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- Carrie7Niveau 9
Bon courage à toi ! cela va te demander de l'énergie, mais ce ne sont que quelques semaines...
- ModuloHabitué du forum
Et bien je te souhaite alors bon courage pour tout mener de front
N'hésite tout de même pas à nous donner des nouvelles par la suite.
N'hésite tout de même pas à nous donner des nouvelles par la suite.
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Essayons d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple
- InvitéInvité
Il me semble que le jury n'a pas d'autres infos que nos noms, date de naissance et académie d'inscription.
- pirandellaNiveau 5
Quelles sont ces "sources sûres" qui t'ont donné cette information a priori intéressante ?
- chartoineNiveau 6
looooooooooo a écrit:Alors à tous, je viens vous raconter quand même le dénouement de l'histoire : je sais de source sûre que ce que tu fais, c'est dans ton dossier et que ce type de démarche y figure bien sûr. J'ai aussi appris qu'en fait, pour les oraux, non, ils n'ont pas ton dossier mais à la délibération, oui donc si tu vas à l'encontre de l'éthique et de la morale professionnelles, eh bien oui, ils peuvent faire en sorte de t'évincer, voire ils t'évincent de fait. Bref, j'ai fait mes plus plates excuses en disant (ce qui au passage est vrai) que j'ai déconné sous l'effet du stress et que je ne voulais bien sur plus démissionner.
Bref, si, Modulo, ce n'est pas que de la parano !
Donc, en conclusion, à tous et toutes, ne déconnez pas avec l'éducation nationale sous peine de se voir dire adieu !
Heureusement, je suis fataliste et peu orgueilleuse, je ravale donc ma fierté et me remets au travail d'arrache pied !
Bon courage à vous tous, merci quand même et à la revoyure avec de bonnes nouvelles, j'espère !!!
lecteur
Ben tu vois je suis pas étonnée, il se passe des trucs pas toujours nets aux oraux, donc oui il faut être parano et essayer d'être soit même ''transparent" et rester dans les clous definis par l'EN...
- InvitéInvité
Il faut aussi raison garder: il me semble un peu douteux que les jurys aient d'autres infos que celles que j'ai citées au-dessus. Nous sommes dans des situations différentes, contractuels ou non, encore étudiants... Le concours est national et anonyme. Mais la situation de la candidate est délicate, donc l'arrêt me paraît la meilleure décision si elle sent l'épuisement la gagner et sans trop rentrer en conflit avec l’administration.
- libelia2Niveau 5
looooooooooo a écrit:Alors à tous, je viens vous raconter quand même le dénouement de l'histoire : je sais de source sûre que ce que tu fais, c'est dans ton dossier et que ce type de démarche y figure bien sûr. J'ai aussi appris qu'en fait, pour les oraux, non, ils n'ont pas ton dossier mais à la délibération, oui donc si tu vas à l'encontre de l'éthique et de la morale professionnelles, eh bien oui, ils peuvent faire en sorte de t'évincer, voire ils t'évincent de fait. Bref, j'ai fait mes plus plates excuses en disant (ce qui au passage est vrai) que j'ai déconné sous l'effet du stress et que je ne voulais bien sur plus démissionner.
Bref, si, Modulo, ce n'est pas que de la parano !
C'est la deuxième fois en peu de temps que je lis sur ce forum que des personnes "autorisées" disent aux CAD2 que leurs activités en tant que CAD2 peuvent être prises en compte pour le concours (voir un post sur ce forum dans lequel une CAD2 s'était entendue dire par une inspectrice qu'elle risquait de figurer parmi la liste noire de ceux dont on ne souhaitait pas qu'ils obtiennent le concours).
Apparemment, cela serait donc vrai et en même temps, je suis surprise que cela ne soit pas une procédure clairement explicitée dans les documents officiels. Les concours de la fonction publique ne sont-ils pas censés fonctionner selon des règles transparentes, connues de tous??? :shock:
C'est assez angoissant pour nous CAD2, cette opacité du système. Cela veut dire que si potentiellement nous démissionnons car nous ne parvenons pas à tout faire correctement, cela risque de nous pénaliser?! :shock:
Et puisqu'il n'y a pas de transparence du système, on peut aussi imaginer que si nous tenons mal nos classes, nous pourrions aussi être pénalisés lors de ces fameuses "délibérations" (souveraines) du jury???
On peut tout imaginer dès lors...
:shock: :shock: :shock:
- VioletEmpereur
corailc a écrit:Il me semble que le jury n'a pas d'autres infos que nos noms, date de naissance et académie d'inscription.
Oui, c'est ça nom, prénom et date de naissance.
C'est tout.
Et pour les oraux, les membres du jury n'ont pas non plus les notes d'écrit.
- libelia2Niveau 5
En théorie oui mais j'ai du mal à croire qu'on ait menti à looooooo (ou à l'autre CAD2 dont je parlais).
- VioletEmpereur
Les rumeurs sont parfois fausses, tu sais ...
- libelia2Niveau 5
Il me semble que quand ces rumeurs proviennent de la hiérarchie académique elle-même, on peut se demander si ce sont bien des rumeurs...
- InvitéInvité
Il vaut mieux ne pas céder aux rumeurs, on entend beaucoup de choses, je vous assure que l’an passé, seule ma carte d'identité m'a été demandée. Il en sera de même cette année, vérifier qui a fait quoi cette année lors des délibérations me semble très hasardeux à organiser. Et sujet à polémique, donc non, je ne crois pas. Preuve en est, le jury ne fait pas même pas la distinction privé/public.
- ModuloHabitué du forum
Et puis, je me permets de rappeler que, pour ce concours, le ministère a communiqué sur un nombre d'admissibles largement supérieur au nombre de postes, ce que nous savons être un mensonge.
Il ne peut donc pas se permettre de recruter toutes les personnes qui vont poser leur démission pour les oraux, sinon, ça risque de mettre à plat toute la communication axée sur "Nous sommes de nouveau attractifs"
Rappelez vous que l'EN a (énormément) besoin de nous
Il ne peut donc pas se permettre de recruter toutes les personnes qui vont poser leur démission pour les oraux, sinon, ça risque de mettre à plat toute la communication axée sur "Nous sommes de nouveau attractifs"
Rappelez vous que l'EN a (énormément) besoin de nous
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Essayons d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple
- DimkaVénérable
Bonjour,
Si ces rumeurs sont exactes, c’est illégal, il peut donc y avoir des recours. Certes, un candidat ou un syndicat ne peut rien prouver, n’ayant pas accès aux infos qui peuvent circuler officieusement, mais le capes est une grosse machine : beaucoup de profs sont nécessaires, d’autant plus nombreux qu’on doit prendre en compte toutes les disciplines. Et parmi ces profs, ce n’est pas possible qu’il n’y en ait pas au moins un qui soit intègre, qui ne soit indigné s’il prend connaissance de cela, et qui ne se contente pas de grommeler face à un abus manifeste. Qui serait assez stupide, au ministère, pour prendre un tel risque ? Je connais des profs qui participent aux oraux du capes, qui sont des gens droits, et des gens courageux (et des gens qui ne portent pas l’éducation nationale très haut dans leur cœur…), je ne peux pas imaginer qu’ils laissent passer ça sans, au minimum, pousser un formidable coup de gueule, et en public. Il est également probable qu’il y ait des membres de jury syndiqués qui ne manqueraient pas d’alerter leurs syndicats en cas de dérives.
Ou alors l’éducation nationale et le supérieur sont pourris intégralement, au-delà de ce que je peux imaginer.
En fait, j’ai simplement l’impression que la hiérarchie joue la peur pour asseoir son autorité (son pouvoir) sur des individus, en postulant, manifestement à raison, leur méconnaissance du droit et du fonctionnement du système, et en profitant de leurs inquiétudes légitimes (personne n’a envie de prendre de risque l’année où il joue sa vie).
(d’ailleurs, le monde de l’éducation nationale me donnerait presqu’envie de me construire quelques bases en droit administratif…)
Je suis d’accord avec ça. C’est un concours, il y a des règles, clairement établies, des textes législatifs auxquels on peut avoir accès, je suppose. S’il y a des choses secrètes parallèlement à ces règles, c’est invalide. Après, il y a des tas de rumeurs, sur tout, et là, j’ai vraiment un doute.libelia2 a écrit:Apparemment, cela serait donc vrai et en même temps, je suis surprise que cela ne soit pas une procédure clairement explicitée dans les documents officiels. Les concours de la fonction publique ne sont-ils pas censés fonctionner selon des règles transparentes, connues de tous??? :shock:
C'est assez angoissant pour nous CAD2, cette opacité du système. Cela veut dire que si potentiellement nous démissionnons car nous ne parvenons pas à tout faire correctement, cela risque de nous pénaliser?! :shock:
Et puisqu'il n'y a pas de transparence du système, on peut aussi imaginer que si nous tenons mal nos classes, nous pourrions aussi être pénalisés lors de ces fameuses "délibérations" (souveraines) du jury???
On peut tout imaginer dès lors...
Si ces rumeurs sont exactes, c’est illégal, il peut donc y avoir des recours. Certes, un candidat ou un syndicat ne peut rien prouver, n’ayant pas accès aux infos qui peuvent circuler officieusement, mais le capes est une grosse machine : beaucoup de profs sont nécessaires, d’autant plus nombreux qu’on doit prendre en compte toutes les disciplines. Et parmi ces profs, ce n’est pas possible qu’il n’y en ait pas au moins un qui soit intègre, qui ne soit indigné s’il prend connaissance de cela, et qui ne se contente pas de grommeler face à un abus manifeste. Qui serait assez stupide, au ministère, pour prendre un tel risque ? Je connais des profs qui participent aux oraux du capes, qui sont des gens droits, et des gens courageux (et des gens qui ne portent pas l’éducation nationale très haut dans leur cœur…), je ne peux pas imaginer qu’ils laissent passer ça sans, au minimum, pousser un formidable coup de gueule, et en public. Il est également probable qu’il y ait des membres de jury syndiqués qui ne manqueraient pas d’alerter leurs syndicats en cas de dérives.
Ou alors l’éducation nationale et le supérieur sont pourris intégralement, au-delà de ce que je peux imaginer.
En fait, j’ai simplement l’impression que la hiérarchie joue la peur pour asseoir son autorité (son pouvoir) sur des individus, en postulant, manifestement à raison, leur méconnaissance du droit et du fonctionnement du système, et en profitant de leurs inquiétudes légitimes (personne n’a envie de prendre de risque l’année où il joue sa vie).
(d’ailleurs, le monde de l’éducation nationale me donnerait presqu’envie de me construire quelques bases en droit administratif…)
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- Spoiler:
- GrypheMédiateur
Je crois que c'est beaucoup plus simple que ça : il y a pénurie de profs, et quand quelqu'un cherche à partir, on cherche à le garder, surtout s'il est bon. C'est tout.Dimka a écrit:En fait, j’ai simplement l’impression que la hiérarchie joue la peur pour asseoir son autorité (son pouvoir) sur des individus, en postulant, manifestement à raison, leur méconnaissance du droit et du fonctionnement du système, et en profitant de leurs inquiétudes légitimes
- DimkaVénérable
Oui, aussi. L’un n’empêche pas l’autre, si on cherche à le garder en jouant sur sa méconnaissance du droit et ses inquiétudes (ce qui semble être le cas ici).Gryphe a écrit:Je crois que c'est beaucoup plus simple que ça : il y a pénurie de profs, et quand quelqu'un cherche à partir, on cherche à le garder, surtout s'il est bon. C'est tout.
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- Spoiler:
- libelia2Niveau 5
Il semble en tout cas qu'effectivement, il y ait quelque chose d'anormal dans cette situation: soit il existe bel et bien une procédure de "vérification" du dossier après l'attribution des notes des oraux du concours (et en ce cas nous devrions le savoir, cela devrait être écrit quelque part), soit c'est un mensonge et les inspecteurs ou autres personnels qui instillent cette idée dans nos têtes sont en tort. Dans les deux cas, quelque chose ne tourne pas rond et cela se fait au détriment des CAD2.
A noter d'ailleurs que les inspecteurs font partie des jurys et que malgré ce qui avait été annoncé, certains inspecteurs ont visité des CAD2 dans leurs classes. Et ce sont apparemment justement ces inspecteurs qui participeraient à la diffusion de cette idée...
A noter d'ailleurs que les inspecteurs font partie des jurys et que malgré ce qui avait été annoncé, certains inspecteurs ont visité des CAD2 dans leurs classes. Et ce sont apparemment justement ces inspecteurs qui participeraient à la diffusion de cette idée...
- RFLX13Niveau 9
Bonjour,
Non, dans le privé, on ne peut pas rompre un CDD une fois la période d'essai passée, SAUF si on trouve un CDI et uniquement dans ce cas ou alors qu'il y a une faute de l'employeur grave (ou que vous vous mettez d'accord) : http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F40.xhtml#N100B9
Si on rompt quand même un CDD sans motif (un recommandé, un préavis à la carte et au revoir sans accord bilatéral), l'employeur peut attaquer son ex-employé au Tribunal des Prud'hommes, bien que ce soit rarement le cas (temps, argent, etc...).
Cela me semble normal car en changeant de point de vue, on n'aimerait peut être pas se faire planter à 3 mois de la fin de l'année ou de l'aboutissement d'un projet ou d'un gros contrat.
Ce point explique pourquoi en cas de prud'hommes à l'initiative de l'employeur, il y a alors estimation du préjudice que devra verser l'ex-employé s'il est démontré qu'il n'avait pas de raisons légitimes de quitter son poste, raisons dont la liste se trouve sur le lien donné + haut.
Bon courage pour les révisions
Non, dans le privé, on ne peut pas rompre un CDD une fois la période d'essai passée, SAUF si on trouve un CDI et uniquement dans ce cas ou alors qu'il y a une faute de l'employeur grave (ou que vous vous mettez d'accord) : http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F40.xhtml#N100B9
Si on rompt quand même un CDD sans motif (un recommandé, un préavis à la carte et au revoir sans accord bilatéral), l'employeur peut attaquer son ex-employé au Tribunal des Prud'hommes, bien que ce soit rarement le cas (temps, argent, etc...).
Cela me semble normal car en changeant de point de vue, on n'aimerait peut être pas se faire planter à 3 mois de la fin de l'année ou de l'aboutissement d'un projet ou d'un gros contrat.
Ce point explique pourquoi en cas de prud'hommes à l'initiative de l'employeur, il y a alors estimation du préjudice que devra verser l'ex-employé s'il est démontré qu'il n'avait pas de raisons légitimes de quitter son poste, raisons dont la liste se trouve sur le lien donné + haut.
Bon courage pour les révisions
- henrietteMédiateur
RFLX13 a écrit:Bonjour,
Non, dans le privé, on ne peut pas rompre un CDD une fois la période d'essai passée, SAUF si on trouve un CDI et uniquement dans ce cas ou alors qu'il y a une faute de l'employeur grave (ou que vous vous mettez d'accord) : http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F40.xhtml#N100B9
Si on rompt quand même un CDD sans motif (un recommandé, un préavis à la carte et au revoir sans accord bilatéral), l'employeur peut attaquer son ex-employé au Tribunal des Prud'hommes, bien que ce soit rarement le cas (temps, argent, etc...).
Cela me semble normal car en changeant de point de vue, on n'aimerait peut être pas se faire planter à 3 mois de la fin de l'année ou de l'aboutissement d'un projet ou d'un gros contrat.
Ce point explique pourquoi en cas de prud'hommes à l'initiative de l'employeur, il y a alors estimation du préjudice que devra verser l'ex-employé s'il est démontré qu'il n'avait pas de raisons légitimes de quitter son poste, raisons dont la liste se trouve sur le lien donné + haut.
Bon courage pour les révisions
Merci beaucoup pour l'info, je ne savais pas du tout (faut dire que je n'ai jamais bossé dans le privé, alors...)
- RFLX13Niveau 9
henriette a écrit:RFLX13 a écrit:Bonjour,
Non, dans le privé, on ne peut pas rompre un CDD une fois la période d'essai passée, SAUF si on trouve un CDI et uniquement dans ce cas ou alors qu'il y a une faute de l'employeur grave (ou que vous vous mettez d'accord) : http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F40.xhtml#N100B9
Si on rompt quand même un CDD sans motif (un recommandé, un préavis à la carte et au revoir sans accord bilatéral), l'employeur peut attaquer son ex-employé au Tribunal des Prud'hommes, bien que ce soit rarement le cas (temps, argent, etc...).
Cela me semble normal car en changeant de point de vue, on n'aimerait peut être pas se faire planter à 3 mois de la fin de l'année ou de l'aboutissement d'un projet ou d'un gros contrat.
Ce point explique pourquoi en cas de prud'hommes à l'initiative de l'employeur, il y a alors estimation du préjudice que devra verser l'ex-employé s'il est démontré qu'il n'avait pas de raisons légitimes de quitter son poste, raisons dont la liste se trouve sur le lien donné + haut.
Bon courage pour les révisions
Merci beaucoup pour l'info, je ne savais pas du tout (faut dire que je n'ai jamais bossé dans le privé, alors...)
Bien contente d'avoir apporté de l'eau à ton moulin. C'est vrai que par ailleurs, mais je m'éloigne du sujet d'origine, pour de très nombreuses personnes, les prud'hommes sont l'endroit où attaquer son employeur. Pas que...
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- Démission de l'éducation nationale
- Au secours (Modulo ou tous ceux qui sauront me répondre) !! (démission CAD2 : quelles conséquences ?)
- Pétition: Démission de Madame la ministre de l'éducation nationale
- [France24] "J'ai vécu ma démission de l'Éducation nationale comme un 'coming out'"
- Détachement - passer du public au privé
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