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- User5899Demi-dieu
Voilà, là, on est d'accord. Toujours en arriver à mieux cerner en quoi un texte est unique. Vous pourriez en remontrer à votre "tuteur".thebestchicken a écrit:Bon, en gros, ma séance consistera à leur faire écrire leur version du texte, puis de la comparer au texte original afin d'arriver à une analyse du texte (qui sera, elle, finalement très traditionnelle). Qu'en pensez-vous ? Je n'ai rien de mieux à proposer
- LilypimsGrand sage
Cripure a écrit:Je suis au désespoir quand je lis ça. Mais enfin, depuis quand un tableau éclaire-t-il un texte, quand bien même il aurait un sujet proche ? Depuis quand le Déjeuner sur l'herbe éclaire-t-il les deux ou trois poèmes des Fêtes galantes qui présentent un sujet proche ? Deux langages différents, qu'on ne pourra qu'ignorer en cherchant les points communs : est-ce cela notre travail ? Moins les élèves sont à l'aise sur les textes, plus on semble vouloir les en distraire ! La soupe quitte le collège, gagne le lycée : mais enfin, il nous reste quoi à faire à ce compte ?Lilypims a écrit:tu peux aussi commencer par l'étude d'un tableau pour éclairer le texte
Quant aux démarches à base de textes à trous... Je vais rester poli, tiens.
Nous en avons déjà discuté, Cripure. Quand je parle d'éclairer un texte par un tableau, ce n'est pas parce qu'ils auraient un sujet commun. Ce n'est pas le sujet qui m'intéresse.
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- IphigénieProphète
C'est un vaste et intéressant débat que tout cela....
En fait moi, j'en suis à douter fortement du bien-fondé de la notion de "corpus" sur lequel repose toute la construction de nos programmes. J'y vois une des causes majeures du délitement de la littérature pour nos élèves.
A chaque étape en fait , on est incité à leur montrer ce que les auteurs ont "en commun" au lieu de leur faire voir ce qu'ils ont d'unique (genre, école, "objet d'étude", HDA , textes fondateurs et sujets d'invention en renfort, car toi aussi tu peux le faire... )
En fait moi, j'en suis à douter fortement du bien-fondé de la notion de "corpus" sur lequel repose toute la construction de nos programmes. J'y vois une des causes majeures du délitement de la littérature pour nos élèves.
A chaque étape en fait , on est incité à leur montrer ce que les auteurs ont "en commun" au lieu de leur faire voir ce qu'ils ont d'unique (genre, école, "objet d'étude", HDA , textes fondateurs et sujets d'invention en renfort, car toi aussi tu peux le faire... )
- LilypimsGrand sage
iphigénie a écrit:C'est un vaste et intéressant débat que tout cela....
En fait moi, j'en suis à douter fortement du bien-fondé de la notion de "corpus" sur lequel repose toute la construction de nos programmes. J'y vois une des causes majeures du délitement de la littérature pour nos élèves.
A chaque étape en fait , on est incité à leur montrer ce que les auteurs ont "en commun" au lieu de leur faire voir ce qu'ils ont d'unique (genre, école, "objet d'étude", HDA , textes fondateurs et sujets d'invention en renfort, car toi aussi tu peux le faire... )
Confronter des textes, ce n'est pas étudier les thèmes qu'ils ont en commun mais voir les spécificités de chacun. Enfin, il me semble. Non ?
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- IphigénieProphète
Cela dépend à quel niveau: à celui de nos élèves, c'est surtout confondre.
La confrontation, n'est possible qu'in fine. Mais là elle est proposée comme moyen de découverte, c'est là que ça coince. Je me souviens il y a très longtemps déjà d'un élève qui avait étudié au bac (très ancien programme) un corpus sur la littérature historique et qui confondait les noms de Sartre et Villehardouin: sur un seul texte de chaque étudié, fallait-il lui en vouloir? Aujourd'hui je vois des secondes qui pensent que Courbet est un écrivain réaliste entre Balzac et Flaubert, le célèbre auteur des Misérables :lol:
La confrontation, n'est possible qu'in fine. Mais là elle est proposée comme moyen de découverte, c'est là que ça coince. Je me souviens il y a très longtemps déjà d'un élève qui avait étudié au bac (très ancien programme) un corpus sur la littérature historique et qui confondait les noms de Sartre et Villehardouin: sur un seul texte de chaque étudié, fallait-il lui en vouloir? Aujourd'hui je vois des secondes qui pensent que Courbet est un écrivain réaliste entre Balzac et Flaubert, le célèbre auteur des Misérables :lol:
- thebestchickenExpert
On prend les mêmes et on recommence... Je dois présenter vendredi une LA de "Voyelles", toujours en cherchant de nouvelles voies... Je désespère un peu...
- cannelle21Grand Maître
Tu as un TBI ? Tu peux utiliser le logiciel groupzap qui est un mur virtuel sur lequel on colle des post-it virtuels (espace collaboratif). Tu demandes aux gamins leurs réactions sur le texte, des citations... tu les notes sur des postits différents. Ensuite tu distingues analyse, procédés, citations... tu déplaces les post-it pour organiser les idées sous la forme d'un plan de commentaire.
Je l'utilise quand je travaille le sujet de réflexion avec les troisièmes et ça fonctionne plutôt bien.
Je l'utilise quand je travaille le sujet de réflexion avec les troisièmes et ça fonctionne plutôt bien.
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Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- thebestchickenExpert
Non, je n'ai pas de TBI. Par contre, je fais quelque chose d'un peu ressemblant, en plus simple, avec Word, pour chaque texte. Les élèves apprécient ce genre de travail.
Mais ce que mon tuteur attend, c'est que je varie l'entrée dans le texte, que je trouve des idées originales...
Mais ce que mon tuteur attend, c'est que je varie l'entrée dans le texte, que je trouve des idées originales...
- C-3PONiveau 5
Innover à chaque fois ? Curieuse façon d'envisager la littérature. Chaque texte innove par sa spécificité, non ? Aborder chaque nouveau texte avec une nouvelle manière me semble fastidieux...
Bon, je dis ça pour me rassurer car je suis un peu fainéant.
Bon, je dis ça pour me rassurer car je suis un peu fainéant.
- User5899Demi-dieu
Attention, ne mâchez pas trop le travail, la lecture est un exercice de réflexion, pas de récitation...thebestchicken a écrit:Non, je n'ai pas de TBI. Par contre, je fais quelque chose d'un peu ressemblant, en plus simple, avec Word, pour chaque texte. Les élèves apprécient ce genre de travail.
- InvitéeEvNiveau 5
L'an dernier en stage notre ipr nous avait suggéré de réaliser la L.A. en mettant face à face deux textes dont l'un faisait apparaître par contraste la spécificité de l'autre. :lecteur:
Comme les élèves ont tendance à prendre Rimbaud pour un auteur très classique, le mettre à côté d'un texte véritablement classique, dans ses thèmes et sa versification, peut les aider à trouver des "pistes" pour l'explication.
Notre IPR avait montré ça sur le roman (la déclaration de Rodolphe à Emma pendant la remise du prix de crottin se retrouvait à côté d'un extrait du Lys dans la Vallée dans un locus amoenus) et j'ai testé sur "Zone" d'Apollinaire, mis en face du "Lac" de Lamartine.
Ça avait bien marché et je crois que cela avait à la fois fixé ce qu'on avait déjà fait sur le romantisme et créé une bonne base pour aborder la modernité poétique.
On doit bien pouvoir trouver un texte classique pour mettre en relief l'originalité des "Voyelles"…
Comme les élèves ont tendance à prendre Rimbaud pour un auteur très classique, le mettre à côté d'un texte véritablement classique, dans ses thèmes et sa versification, peut les aider à trouver des "pistes" pour l'explication.
Notre IPR avait montré ça sur le roman (la déclaration de Rodolphe à Emma pendant la remise du prix de crottin se retrouvait à côté d'un extrait du Lys dans la Vallée dans un locus amoenus) et j'ai testé sur "Zone" d'Apollinaire, mis en face du "Lac" de Lamartine.
Ça avait bien marché et je crois que cela avait à la fois fixé ce qu'on avait déjà fait sur le romantisme et créé une bonne base pour aborder la modernité poétique.
On doit bien pouvoir trouver un texte classique pour mettre en relief l'originalité des "Voyelles"…
- ysabelDevin
J'ai du mal à comprendre cette manie, cette course sans fin à l'innovation. Je trouve que c'est perturbant pour les élèves (sauf les bons) qui sont sans cesse en terrain glissant car ils ne savent jamais sur quel pied danser et quoi faire quand ils se retrouvent seuls face au texte.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- NLM76Grand Maître
Tiens, comme c'est étrange... iphigénie dit comme moi.iphigénie a écrit:C'est un vaste et intéressant débat que tout cela....
En fait moi, j'en suis à douter fortement du bien-fondé de la notion de "corpus" sur lequel repose toute la construction de nos programmes. J'y vois une des causes majeures du délitement de la littérature pour nos élèves.
A chaque étape en fait , on est incité à leur montrer ce que les auteurs ont "en commun" au lieu de leur faire voir ce qu'ils ont d'unique (genre, école, "objet d'étude", HDA , textes fondateurs et sujets d'invention en renfort, car toi aussi tu peux le faire... )
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- ysabelDevin
nlm76 a écrit:Tiens, comme c'est étrange... iphigénie dit comme moi.iphigénie a écrit:C'est un vaste et intéressant débat que tout cela....
En fait moi, j'en suis à douter fortement du bien-fondé de la notion de "corpus" sur lequel repose toute la construction de nos programmes. J'y vois une des causes majeures du délitement de la littérature pour nos élèves.
A chaque étape en fait , on est incité à leur montrer ce que les auteurs ont "en commun" au lieu de leur faire voir ce qu'ils ont d'unique (genre, école, "objet d'étude", HDA , textes fondateurs et sujets d'invention en renfort, car toi aussi tu peux le faire... )
Bah, on est plusieurs à le penser et à le faire... mes GT je ne les forme qu'à partir d'un seul auteur et je travail de plus en plus en OI.
Je fais quand même qq corpus comme au bac dans l'année (mais j'essaie tjs de restreindre au même siècle, même mouvement littéraire)
HDA ? c'est quoi ?
- Spoiler:
- Bon, invention on peut encore trouver des trucs chauds ! "A la manière de Montesquieu dans "De l'esclavage des nègres", dénoncez les opposants au mariage pour tous"
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« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- NLM76Grand Maître
Tiens c'est étrange... ysabel aussi, elle dit comme moi.
Et en plus, je dis comme elle :
la meilleure façon d'innover pour faire une "L.A.", c'est de faire une explication de texte brillante.
Et en plus, je dis comme elle :
la meilleure façon d'innover pour faire une "L.A.", c'est de faire une explication de texte brillante.
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- ysabelDevin
nlm76 a écrit:Tiens c'est étrange... ysabel aussi, elle dit comme moi.
Et en plus, je dis comme elle :
la meilleure façon d'innover pour faire une "L.A.", c'est de faire une explication de texte brillante.
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- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Je souscris à ce qui est dit ici et là sur cette politique d'innovation systématique...
Cela dit, s'il s'agit de proposer une "entrée" différente, quelque chose qui pourrait plaire à la fois aux élèves, au tuteur, et n'être ni nocif ni inutile, c'est une "lecture chorale" du poème. Je m'explique: proposer une mise en voix à plusieurs (3, 4 maxi si le poème n'est pas long.) avec des consignes précises: respect absolu de l'articulation, de la ponctuation, des liaisons, des e muets et tout le toutim, plus proposition de mise en valeur par la voix (volume sonore/ changement de rythme/ dire à plusieurs/changement de lecteur...etc.) des éléments qui leur paraissent importants dans le texte. Donner environ 20 à30 mn pour la préparation, ensuite passages oraux et discussion (éventuellement) sur ce qui a été mis en évidence qui n'est pas forcément la même chose dans tous les groupes. OK ça prend du temps, mais à l'arrivée:
-appropriation du texte
-prise de conscience de la musicalité du poème
-application des règles de versification- voire pour certains "découverte"
-ils se sont déjà posé des questions de sens, parfois ont perçu des choses qu'ils n'auraient pas ressenties autrement
-entraînement à la lecture orale à plusieurs = moins intimidant que seul ...
Bref, je ne dis pas que ce soit à faire de façon systématique mais une fois de temps en temps c'est plutôt intéressant.
Cela dit, s'il s'agit de proposer une "entrée" différente, quelque chose qui pourrait plaire à la fois aux élèves, au tuteur, et n'être ni nocif ni inutile, c'est une "lecture chorale" du poème. Je m'explique: proposer une mise en voix à plusieurs (3, 4 maxi si le poème n'est pas long.) avec des consignes précises: respect absolu de l'articulation, de la ponctuation, des liaisons, des e muets et tout le toutim, plus proposition de mise en valeur par la voix (volume sonore/ changement de rythme/ dire à plusieurs/changement de lecteur...etc.) des éléments qui leur paraissent importants dans le texte. Donner environ 20 à30 mn pour la préparation, ensuite passages oraux et discussion (éventuellement) sur ce qui a été mis en évidence qui n'est pas forcément la même chose dans tous les groupes. OK ça prend du temps, mais à l'arrivée:
-appropriation du texte
-prise de conscience de la musicalité du poème
-application des règles de versification- voire pour certains "découverte"
-ils se sont déjà posé des questions de sens, parfois ont perçu des choses qu'ils n'auraient pas ressenties autrement
-entraînement à la lecture orale à plusieurs = moins intimidant que seul ...
Bref, je ne dis pas que ce soit à faire de façon systématique mais une fois de temps en temps c'est plutôt intéressant.
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- AzadHabitué du forum
ça me paraît une bonne idée, d'autant que je trouve que d'année en année les élèves lisent de plus en plus comme s'ils lisaient une notice de médicament.
- User5899Demi-dieu
Tout pareilysabel a écrit:nlm76 a écrit:Tiens, comme c'est étrange... iphigénie dit comme moi.iphigénie a écrit:C'est un vaste et intéressant débat que tout cela....
En fait moi, j'en suis à douter fortement du bien-fondé de la notion de "corpus" sur lequel repose toute la construction de nos programmes. J'y vois une des causes majeures du délitement de la littérature pour nos élèves.
A chaque étape en fait , on est incité à leur montrer ce que les auteurs ont "en commun" au lieu de leur faire voir ce qu'ils ont d'unique (genre, école, "objet d'étude", HDA , textes fondateurs et sujets d'invention en renfort, car toi aussi tu peux le faire... )
Bah, on est plusieurs à le penser et à le faire... mes GT je ne les forme qu'à partir d'un seul auteur et je travail de plus en plus en OI.
- NLM76Grand Maître
Et puis là, comme j'ai corrigé le commentaire qui avait été donné au bac blanc, je l'ai compté comme "lecture analytique". Mais si ce texte est tout seul dans son "GT", je m'en tape. Mon groupement de texte est très cohérent. En plus je fais de l'interdisciplinaire avec les mathématiques : je leur apprends qu'un ensemble peut inclure un seul élément, voire aucun
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- AlExpert spécialisé
Ca ça me plait, je trouve ces idées intéressantes. Par contre quel est le rapport entre "Le lac" et "Zone", que peut-on comparer ? de mémoire je ne vois pas...Evina a écrit:L'an dernier en stage notre ipr nous avait suggéré de réaliser la L.A. en mettant face à face deux textes dont l'un faisait apparaître par contraste la spécificité de l'autre. :lecteur:
Comme les élèves ont tendance à prendre Rimbaud pour un auteur très classique, le mettre à côté d'un texte véritablement classique, dans ses thèmes et sa versification, peut les aider à trouver des "pistes" pour l'explication.
Notre IPR avait montré ça sur le roman (la déclaration de Rodolphe à Emma pendant la remise du prix de crottin se retrouvait à côté d'un extrait du Lys dans la Vallée dans un locus amoenus) et j'ai testé sur "Zone" d'Apollinaire, mis en face du "Lac" de Lamartine.
Ça avait bien marché et je crois que cela avait à la fois fixé ce qu'on avait déjà fait sur le romantisme et créé une bonne base pour aborder la modernité poétique.
On doit bien pouvoir trouver un texte classique pour mettre en relief l'originalité des "Voyelles"…
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