- InvitéInvité
lire la suite.Europe1 a écrit:Les villes vont appliquer la réforme des rythmes scolaires l’année prochaine vont jouer la carte de la simplicité.
A quoi ressemblera l’emploi du temps des écoliers l’an prochain ? Pour 80% des communes, la réforme des rythmes scolaires s’appliquera à la rentrée. Elles avaient jusqu’à ce week end pour rendre leur copie aux rectorats et la tendance est au travail le mercredi. Europe1.fr révèle les premières tendances de la future organisation de la semaine des écoliers.
Travailler le mercredi. Les enfants iront à l’école le mercredi matin, comme le souhaitaient les parents, malgré l’avis des professeurs, qui pencherait plutôt pour le samedi. Les mairies retardataires suivent donc le mouvement des écoles qui ont déjà appliqué la réforme.
- User5899Demi-dieu
On aura de quoi répondre, désormais, au sempiternel argument de l'intérêt des enfants...Europe1 a écrit:Les enfants iront à l’école le mercredi matin, comme le souhaitaient les parents, malgré l’avis des professeurs, qui pencherait plutôt pour le samedi. Les mairies retardataires suivent donc le mouvement des écoles qui ont déjà appliqué la réforme.
lire la suite.
En fait, c'est l'intérêt du we. Pourquoi pas, en effet ? Mais autant le dire...
- arcencielGrand Maître
Intérêt des parents.
Et quel consensus?
Et quel consensus?
- atriumNeoprof expérimenté
Dans ma circo, le consensus c'est que le gouvernement est en train de nous mettre un beau bazar (pour rester poli).
_________________
It's okay to be a responsible member of society if only you know what you're going to be held responsible for.
John Brunner, The Jagged Orbit
- User21714Expert spécialisé
Cripure a écrit:
On aura de quoi répondre, désormais, au sempiternel argument de l'intérêt des enfants...
En fait, c'est l'intérêt du we. Pourquoi pas, en effet ? Mais autant le dire...
Au moins, c'est clair!
Lebiendézenfants a vécu...
- elena3Fidèle du forum
Vous verrez bientôt s'il y a consensus :diable: :diable: ...En réalité, peu de communes ont rendu leur "copie"; et en plus beaucoup de ces copies ont été refusées par les DASEN car "non conformes "
- elena3Fidèle du forum
Un exemple...
Les municipalités qui ont reporté à la rentrée de 2014 la réforme des rythmes scolaires n’ont plus qu’un jour (date butoir du 31 janvier), pour boucler leur nouvelle organisation de la semaine de quatre jours et demi, qui doit s’appliquer à la rentrée de septembre.
Alors que seulement trois communes des Bouches-du-Rhône avaient décidé de mettre en place la réforme en 2013, aujourd’hui il semblerait que la plupart d’entre-elles, à l’exception de quelques cas isolés, aient joué le jeu. A Marseille, ville qui caractérise le mieux l’opposition à la réforme Peillon des rythmes scolaires, le maire (UMP) de Marseille, Jean-Claude Gaudin, a annoncé qu’il demanderait aux enseignants d’assurer du soutien scolaire sur le temps péri-scolaire.
Les directions académiques prendront le relais
Lors de la conférence de presse préparatoire à la rentrée de septembre 2014, le recteur Ali Saïb avait dressé une typologie des communes de l’académie. Avec d’un côté, les bons élèves qui ont déjà bien avancé sur leur projet et c’est la majorité. D’autres qui doivent encore faire leurs preuves et ne se sont toujours pas exprimés sur le sujet mais continuent de travailler sur le plan technique. Enfin, les derniers de la classe, un petit groupe qui par souci idéologique ne s’est toujours pas positionné.
En cas d’absence de projet, ce sont les directions académiques qui prendront en charge l’organisation du temps scolaire, à la place des communes. Toutes les propositions seront ensuite validées par les services académiques qui assureront un suivi. Quant aux communes qui ne rendront pas leur copie au 31 janvier, le rectorat a annoncé qu’il y aurait une nouvelle vague de validation. Dans le cas contraire, le directeur d’académie prendra là aussi la décision d’arrêter une organisation du temps scolaire.
Une enquête du SNUipp
Si dans le département des Hautes-Alpes, près de 80% des communes ont acté leur projet, à ce jour on ignore quel sera le niveau d’implication des Bouches-du-Rhône, où seules trois communes (1%) avaient appliqué la réforme.
Cette absence d’anticipation a poussé le SNUipp-FSU, principal syndicat du 1er degré, à mener sur son site une enquête en ligne, pour récolter le maximum d’informations sur le département. « Il y aura une phase d’analyse pour voir si un modèle peut se dégager », indique Christophe Doré, secrétaire académique du SNUipp.
Les difficultés dans lesquelles se préparent la réforme ne permettent pas à l’heure actuelle de fixer un cadre cohérent. « Les communes peuvent être prêtes mais dans un mauvais cadre qu’est-ce que cela va donner à la rentrée ? », s’interroge le syndicaliste, qui déplore le cadre contraint de la réforme. Aucune expérimentation, encore moins de modèle n’ont émergé. Les communes sont livrées à elles-mêmes.
En l’état actuel, le projet n’est pas plus équilibré pour les élèves et encore moins pour les enseignants. Au SNUipp, on continue d’oeuvrer pour l’abrogation du décret Peillon et pour une reprise de discussion au niveau national sur la question des temps scolaires. Le syndicat a d’ores et déjà envisagé de mener une action nationale d’action le 12 février.
Les municipalités qui ont reporté à la rentrée de 2014 la réforme des rythmes scolaires n’ont plus qu’un jour (date butoir du 31 janvier), pour boucler leur nouvelle organisation de la semaine de quatre jours et demi, qui doit s’appliquer à la rentrée de septembre.
Alors que seulement trois communes des Bouches-du-Rhône avaient décidé de mettre en place la réforme en 2013, aujourd’hui il semblerait que la plupart d’entre-elles, à l’exception de quelques cas isolés, aient joué le jeu. A Marseille, ville qui caractérise le mieux l’opposition à la réforme Peillon des rythmes scolaires, le maire (UMP) de Marseille, Jean-Claude Gaudin, a annoncé qu’il demanderait aux enseignants d’assurer du soutien scolaire sur le temps péri-scolaire.
Les directions académiques prendront le relais
Lors de la conférence de presse préparatoire à la rentrée de septembre 2014, le recteur Ali Saïb avait dressé une typologie des communes de l’académie. Avec d’un côté, les bons élèves qui ont déjà bien avancé sur leur projet et c’est la majorité. D’autres qui doivent encore faire leurs preuves et ne se sont toujours pas exprimés sur le sujet mais continuent de travailler sur le plan technique. Enfin, les derniers de la classe, un petit groupe qui par souci idéologique ne s’est toujours pas positionné.
En cas d’absence de projet, ce sont les directions académiques qui prendront en charge l’organisation du temps scolaire, à la place des communes. Toutes les propositions seront ensuite validées par les services académiques qui assureront un suivi. Quant aux communes qui ne rendront pas leur copie au 31 janvier, le rectorat a annoncé qu’il y aurait une nouvelle vague de validation. Dans le cas contraire, le directeur d’académie prendra là aussi la décision d’arrêter une organisation du temps scolaire.
Une enquête du SNUipp
Si dans le département des Hautes-Alpes, près de 80% des communes ont acté leur projet, à ce jour on ignore quel sera le niveau d’implication des Bouches-du-Rhône, où seules trois communes (1%) avaient appliqué la réforme.
Cette absence d’anticipation a poussé le SNUipp-FSU, principal syndicat du 1er degré, à mener sur son site une enquête en ligne, pour récolter le maximum d’informations sur le département. « Il y aura une phase d’analyse pour voir si un modèle peut se dégager », indique Christophe Doré, secrétaire académique du SNUipp.
Les difficultés dans lesquelles se préparent la réforme ne permettent pas à l’heure actuelle de fixer un cadre cohérent. « Les communes peuvent être prêtes mais dans un mauvais cadre qu’est-ce que cela va donner à la rentrée ? », s’interroge le syndicaliste, qui déplore le cadre contraint de la réforme. Aucune expérimentation, encore moins de modèle n’ont émergé. Les communes sont livrées à elles-mêmes.
En l’état actuel, le projet n’est pas plus équilibré pour les élèves et encore moins pour les enseignants. Au SNUipp, on continue d’oeuvrer pour l’abrogation du décret Peillon et pour une reprise de discussion au niveau national sur la question des temps scolaires. Le syndicat a d’ores et déjà envisagé de mener une action nationale d’action le 12 février.
- elena3Fidèle du forum
Seine-et-Marne
Elles avaient jusqu’à vendredi dernier
Rythmes scolaires : 113 communes n’ont toujours pas rendu leur copie
Le dernier délai accordé aux maires par le ministre de l’Education nationale pour remettre les projets d’organisation était fixé à vendredi.
Vendredi, 303 communes avaient envoyé à l’inspection d’académie leur dossier complet concernant la réforme des rythmes scolaires généralisée à la rentrée prochaine. C’était le dernier délai accordé par le ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon....
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Elles avaient jusqu’à vendredi dernier
Rythmes scolaires : 113 communes n’ont toujours pas rendu leur copie
Le dernier délai accordé aux maires par le ministre de l’Education nationale pour remettre les projets d’organisation était fixé à vendredi.
Vendredi, 303 communes avaient envoyé à l’inspection d’académie leur dossier complet concernant la réforme des rythmes scolaires généralisée à la rentrée prochaine. C’était le dernier délai accordé par le ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon....
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- elena3Fidèle du forum
Vendredi 31 janvier 2014
Réforme des rythmes scolaires : certaines villes de Seine-Saint-Denis traînent toujours les pieds
Les maires avaient jusqu’à hier pour rendre leur copie sur l’application de la réforme à la rentrée. En Seine-Saint-Denis, on est encore loin du compte…
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- trompettemarineMonarque
Je crois qu'à Lille, c'est le samedi qui a été choisi.
- elena3Fidèle du forum
L’école le samedi plutôt que le mercredi, mais de peu.- Sur les 27 communes du secteur, quatorze ont choisi le mercredi, onze le samedi et deux n’ont pas encore pris de décision. Le samedi l’a surtout emporté là où les maires ont établi pour critère premier le respect des avis des chronobiologistes. À Faches-Thumesnil, Mons-en-Bar œul et Ronchin notamment, l’avis de Claire Leconte, professeur à l’Université de Lille 3 et chronobiologiste de référence, a été primordial. Dans la Pévèle, une majorité de communes ont aussi choisi le samedi pour ne pas avoir à toucher aux mercredis récréatifs de feu la CCPP. La volonté de ne pas impacter les associations locales, fréquentées par les enfants le mercredi, a aussi été l’un des critères retenu par les municipalités qui ont opté pour le samedi. Un retour a ce qui existait, en somme, avant l’avènement de l’école à quatre jours.
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- elena3Fidèle du forum
Un retour a ce qui existait, en somme, avant l’avènement de l’école à quatre jours.
Voilà ce qui s'appelle une mauvaise information ! (involontaire ?)
Voilà ce qui s'appelle une mauvaise information ! (involontaire ?)
- Rythmes scolaires, ça sera plutôt le mercredi !
- Rythmes scolaires et classe inversée : JT de 13 h du mercredi 23/01 sur France 2
- Rythmes scolaires : création de l'observatoire ORTEJ avec "MM. Testu et Touitou" (Rythmes et Temps de vie des Enfants et des Jeunes)
- La FCPE organise le mercredi 09 octobre à 20h45 une conférence en ligne sur les rythmes scolaires.
- Dernières nouvelles de la réforme des rythmes scolaires
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