- JohnMédiateur
http://www.humanite.fr/monde/education-la-suede-n-en-peut-plus-du-tout-prive-555812La privatisation de l’école? La Suède s’en mort les doigts. Vingt ans après le lancement d'un programme de privatisation partielle des écoles secondaires, le pays s'interroge sur le bien-fondé d'une telle politique, marquée par la faillite de nombreux établissements et la baisse du niveau des élèves.[...]
Le bilan financier et éducatif de ces établissements est aujourd’hui très inquiétant. Plusieurs d’entre eux ont fait faillite ces dernières années, dont récemment JB Education, une école secondaire propriété de l'entreprise Axcel, qui accueillait 11 000 élèves. Facture: un milliard de couronnes (111 millions d'euros) et un millier d'enseignants au chômage. Des dizaines d'autres établissements ont aussi connu des revers de fortune. Un collège suédois sur quatre perd de l'argent et le risque d'insolvabilité a augmenté de 188% depuis 2008. Des difficultés financières accentuées par la baisse démographique du nombre d’élèves dans le secondaire.[...]
«J'ai souvent dit qu'il était plus facile d'ouvrir une école indépendante qu'une baraque à hot dogs, souligne Eva-Lis Siren, secrétaire générale de Lararforbundet, le principal syndicat enseignant. Quand on incite à la liberté de choix, on perd de vue le contrôle de la qualité.» Selon une étude de l'Agence nationale pour l’éducation, un élève de 15 ans sur quatre n'est désormais pas capable de comprendre un texte factuel de base.[...]
« Je pense que dans notre aveuglement, nous avons beaucoup trop cru que davantage d'écoles privées signifierait un meilleur niveau d’éducation », a reconnu Tomas Tobe, président de la commission de l’Education au parlement et chef de file du Parti du rassemblement modéré, pivot de la coalition au pouvoir. Les Verts, longtemps partisans eux aussi de la privatisation, ont publié le mois dernier une tribune dans un grand quotidien sous le titre «Pardonnez-nous, notre politique a fait dériver nos écoles». Malgré tout, les dirigeants politiques suédois, dans leur majorité, n'envisagent pas de revenir au système éducatif d'antan.
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- linkusNeoprof expérimenté
Ça n'a pas marché parce que la privatisation n'était pas totale.
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- NuitsFidèle du forum
:lol!:linkus a écrit:Ça n'a pas marché parce que la privatisation n'était pas totale.
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- amourExpert
Ca ne peut pas marcher parce que le savoir n'est pas un outil qui peut servir le Capital. l'éducation, quand elle se veut démocratique et nationale, est à l'exact extrême de toute privatisation.Nuits a écrit:linkus a écrit:Ça n'a pas marché parce que la privatisation n'était pas totale.
:lol!:
Et là dessus, oui, je n'ai plus aucun humour.
- User5899Demi-dieu
"Les champs de l'aveuglement donnent la mort pour fruits" (Eschyle)
(atès arousa thanaton enkarpizdétai)
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- CondorcetOracle
L'Humanité a écrit:La Suède s'en mort les doigts
- CathEnchanteur
Je suis surprise de voir des hommes politiques reconnaitre leur erreur : franchement, a-t-on déjà vu ça, en France ? C'est plutôt honnête...
Mais alors pourquoi ne veulent-ils pas revenir en arrière ? :shock:
Mais alors pourquoi ne veulent-ils pas revenir en arrière ? :shock:
- LeclochardEmpereur
amour a écrit:Ca ne peut pas marcher parce que le savoir n'est pas un outil qui peut servir le Capital. l'éducation, quand elle se veut démocratique et nationale, est à l'exact extrême de toute privatisation.Nuits a écrit:linkus a écrit:Ça n'a pas marché parce que la privatisation n'était pas totale.
:lol!:
Et là dessus, oui, je n'ai plus aucun humour.
C'est surtout que ce secteur ne peut pas dégager de grosses marges par nature car les charges sont énormes (frais de personnel, locaux à entretenir et à chauffer...). Ce n'est pas un hasard si le privé hors-contrat est si rare et si coûteux en France. En Suède, les charges sont peut-être moins élevées mais la problématique reste la même.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- egometDoyen
Leclochard a écrit:amour a écrit:Ca ne peut pas marcher parce que le savoir n'est pas un outil qui peut servir le Capital. l'éducation, quand elle se veut démocratique et nationale, est à l'exact extrême de toute privatisation.Nuits a écrit:
:lol!:
Et là dessus, oui, je n'ai plus aucun humour.
C'est surtout que ce secteur ne peut pas dégager de grosses marges par nature car les charges sont énormes (frais de personnel, locaux à entretenir et à chauffer...). Ce n'est pas un hasard si le privé hors-contrat est si rare et si coûteux en France. En Suède, les charges sont peut-être moins élevées mais la problématique reste la même.
Les charges sont trop élevées en France, mais c'est vrai pour la totalité du secteur privé, écoles ou autres. Dégager des marges n'est pas une impossibilité naturelle dans l'enseignement. Il y a des tas d'autres secteurs où la main d’œuvre est importante et où il faut entretenir des locaux.
Si le privé hors contrat est rare, c'est surtout parce qu'il est très difficile de s'aligner avec un secteur public financé par l'impôt.
En réalité, le privé hors contrat n'est pas cher. Mais les sommes demandées paraissent chères par rapport à la gratuité apparente du public. Quand une école hors contrat demande 5000 € par an, ce n'est pas grand-chose par rapport au coût d'un élève inscrit dans le public. De l'ordre de 10 à 15 000 € selon le niveau, si j'ai bonne mémoire. La vraie question c'est: qui paie? Les familles directement ou les contribuables sans s'en rendre compte? Au demeurant, il est possible de conserver un système d'aides publiques, même en organisant la concurrence.
Alors qu'une privatisation partielle ne fonctionne pas, ça n'a rien d'étonnant. La concurrence est forcément faussée s'il y a un secteur public. Et plus encore si les fonctionnaires ont la nostalgie de leur monopole et cherchent à le rétablir.
Quant aux faillites, si notre système public n'en connaît pas, c'est précisément parce que la carte scolaire l'interdit. Mais il y a beaucoup de collèges sensibles qui mériteraient peut-être de disparaître au profit d'établissements mieux tenus. La faillite, c'est justement le mécanisme qui permet au marché de se purger régulièrement. En soi, c'est normal. Ce qui ne l'est pas, c'est la faillite simultanée d'un grand nombre d'entreprises d'un même secteur. Soit dit en passant, quand ça arrive, c'est généralement dû soit à l'arrivée d'une nouvelle technologie qui rend le même service plus efficacement que ces entreprises, soit à des interventions publiques (lois ou impôts).
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Mes livres, mes poèmes, réflexions pédagogiques: http://egomet.sanqualis.com/
- amourExpert
egomet a écrit:Leclochard a écrit:amour a écrit:
Ca ne peut pas marcher parce que le savoir n'est pas un outil qui peut servir le Capital. l'éducation, quand elle se veut démocratique et nationale, est à l'exact extrême de toute privatisation.
Et là dessus, oui, je n'ai plus aucun humour.
C'est surtout que ce secteur ne peut pas dégager de grosses marges par nature car les charges sont énormes (frais de personnel, locaux à entretenir et à chauffer...). Ce n'est pas un hasard si le privé hors-contrat est si rare et si coûteux en France. En Suède, les charges sont peut-être moins élevées mais la problématique reste la même.
Les charges sont trop élevées en France, mais c'est vrai pour la totalité du secteur privé, écoles ou autres. Dégager des marges n'est pas une impossibilité naturelle dans l'enseignement. Il y a des tas d'autres secteurs où la main d’œuvre est importante et où il faut entretenir des locaux.
Si le privé hors contrat est rare, c'est surtout parce qu'il est très difficile de s'aligner avec un secteur public financé par l'impôt.
En réalité, le privé hors contrat n'est pas cher. Mais les sommes demandées paraissent chères par rapport à la gratuité apparente du public. Quand une école hors contrat demande 5000 € par an, ce n'est pas grand-chose par rapport au coût d'un élève inscrit dans le public. De l'ordre de 10 à 15 000 € selon le niveau, si j'ai bonne mémoire. La vraie question c'est: qui paie? Les familles directement ou les contribuables sans s'en rendre compte? Au demeurant, il est possible de conserver un système d'aides publiques, même en organisant la concurrence.
Alors qu'une privatisation partielle ne fonctionne pas, ça n'a rien d'étonnant. La concurrence est forcément faussée s'il y a un secteur public. Et plus encore si les fonctionnaires ont la nostalgie de leur monopole et cherchent à le rétablir.
Quant aux faillites, si notre système public n'en connaît pas, c'est précisément parce que la carte scolaire l'interdit. Mais il y a beaucoup de collèges sensibles qui mériteraient peut-être de disparaître au profit d'établissements mieux tenus. La faillite, c'est justement le mécanisme qui permet au marché de se purger régulièrement. En soi, c'est normal. Ce qui ne l'est pas, c'est la faillite simultanée d'un grand nombre d'entreprises d'un même secteur. Soit dit en passant, quand ça arrive, c'est généralement dû soit à l'arrivée d'une nouvelle technologie qui rend le même service plus efficacement que ces entreprises, soit à des interventions publiques (lois ou impôts).
Des fonctionnaires qui ont la nostalgie de leur monopole et cherchent à le rétablir: je me demande de quel pays vous parlez.
Des collèges sensibles qui mériteraient de disparaitre au profit d'établissement mieux tenus: mais mieux tenus par qui? et qui voudrait y enseigner, à quel prix, et qui paierait?
- OlympiasProphète
Je pense que dans notre aveuglement, nous avons beaucoup trop cru que davantage d'écoles privées signifierait un meilleur niveau d’éducation, a reconnu Tomas Tobe, président de la commission de l’Education au parlement et chef de file du Parti du rassemblement modéré, pivot de la coalition au pouvoir. Les Verts, longtemps partisans eux aussi de la privatisation, ont publié le mois dernier une tribune dans un grand quotidien sous le titre «Pardonnez-nous, notre politique a fait dériver nos écoles».
Malgré tout, les dirigeants politiques suédois, dans leur majorité, n'envisagent pas de revenir au système éducatif d'antan.
Peut-être parce que leur progéniture ne se trouve pas dans les établissements qui ont fait faillite....?
Malgré tout, les dirigeants politiques suédois, dans leur majorité, n'envisagent pas de revenir au système éducatif d'antan.
Peut-être parce que leur progéniture ne se trouve pas dans les établissements qui ont fait faillite....?
- LefterisEsprit sacré
Ce qui est très intéressant, c'est d'apprendre que les "verts" sont à la manoeuvre. Or, ils ont des clones dans toute l'Europe. Quand je dis que c'est un parti de bobos-agioteurs plus à droite que l'UMP ... ( à gauche de la gauche pour le "sociétal" et la bienpensance, à droite de la droite pour l'économie).
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- OlympiasProphète
Libéraux-libertaires...tout s'achète et se vend (mais en décroissant... )Lefteris a écrit:Ce qui est très intéressant, c'est d'apprendre que les "verts" sont à la manoeuvre. Or, ils ont des clones dans toute l'Europe. Quand je dis que c'est un parti de bobos-agioteurs plus à droite que l'UMP ...
- LefterisEsprit sacré
Cripure a écrit:"Les champs de l'aveuglement donnent la mort pour fruits" (Eschyle)
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ἄτης ἄρουρα θάνατον ἐκκαρπίζεται
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- egometDoyen
amour a écrit:
Des fonctionnaires qui ont la nostalgie de leur monopole et cherchent à le rétablir: je me demande de quel pays vous parlez.
Ma remarque était d'ordre général. Il y a toujours des nostalgiques. En RDA ou ailleurs, dès qu'un monopole tombe, pour certains, c'est le confort qui tombe.
amour a écrit:Des collèges sensibles qui mériteraient de disparaitre au profit d'établissement mieux tenus: mais mieux tenus par qui? et qui voudrait y enseigner, à quel prix, et qui paierait?
Peu importe par qui. L'important, c'est que le service soit assuré.
Si un collège sensible venait à disparaître, ses élèves se disperseraient dans les établissements voisins offrant un service plus convaincant. Avec la carte scolaire, ce qu'il y a de redoutable (ou de bien, selon le point de vue), c'est que les collèges n'ont pas besoin de convaincre. De toute façon on n'a pas le choix. Personne n'a le choix, ni les parents, ni les professeurs, ni les élèves. Pas de liberté angoissante et moins de responsabilités...
Au passage, j'en profite pour dire que les questions de prix et de recrutement se posent aussi dans un système monopolistique. C'est quand même une grosse prise de risque de devenir prof en France, quand on connaît les salaires et qu'on sait qu'on sera traité comme un pion par l'administration. Qui est volontaire pour une ZEP? Il y en a, mais si on devait compter sur les volontaires... Le marché est le moyen le plus souple et le plus efficace d'ajuster l'offre aux besoins.
Franchement, on se plaint tous les jours des absurdités d'une administration sclérosée, de son incapacité à se réformer dans le bon sens, de l'absence de liberté pédagogique, du pouvoir inébranlable des mandarins, et on refuse d'envisager la possibilité de sortir de ce système! Faudra-t-il encore 40 ans d'erreurs?
Savoir qui paie, oui, ça, c'est la vraie question. C'est toujours la vraie question. Qui paie aujourd'hui? Tout un chacun, par la TVA beaucoup, l'impôt sur le revenu un peu, sans s'en rendre vraiment compte, sans avoir la moindre idée des montants et de l'affectation des ressources. Cela dit, je sais bien qu'aujourd'hui, il serait peu réaliste d'abandonner le financement public de l'éducation, surtout avec le chômage de masse. Qu'à cela ne tienne, un chèque éducation est toujours possible.
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Mes livres, mes poèmes, réflexions pédagogiques: http://egomet.sanqualis.com/
- LeclochardEmpereur
Lefteris a écrit:Ce qui est très intéressant, c'est d'apprendre que les "verts" sont à la manoeuvre. Or, ils ont des clones dans toute l'Europe. Quand je dis que c'est un parti de bobos-agioteurs plus à droite que l'UMP ... ( à gauche de la gauche pour le "sociétal" et la bienpensance, à droite de la droite pour l'économie).
A la droite de la droite pour l'économie, les Verts ? De quoi parles-tu ?
Je t'ai connu plus inspiré.
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- elena3Fidèle du forum
Peut-être pas EELV (s'ils existent encore...) mais il y a bien des courants écolo ultra-libéraux !
http://www.contrepoints.org/2013/10/05/141482-considerations-ecologiques-libertarianisme-13
http://www.contrepoints.org/2013/10/05/141482-considerations-ecologiques-libertarianisme-13
- LeclochardEmpereur
elena3 a écrit:Peut-être pas EELV (s'ils existent encore...) mais il y a bien des courants écolo ultra-libéraux !
http://www.contrepoints.org/2013/10/05/141482-considerations-ecologiques-libertarianisme-13
Il y a des hommes de petite taille; cet humain est un homme; donc il est de petite taille. Super.
Si être libéral, c'est ne pas subventionner des énergies polluantes, je suis libéral dans ce cas précis, mais ça ne veut pas dire qu'il faille généraliser à tous les sujets ma position.
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- elena3Fidèle du forum
Si être libéral, c'est ne pas subventionner des énergies polluantes, je suis libéral.
Il ne s'agit pas du tout de cela. Le libéral, c'est celui qui veut que l'Etat intervienne le moins possible dans la régulation économique (ici écologique !)
Les limites à fixer à l'action de l'État, ainsi que les modalités de l'action publique, notamment aux rôles respectifs de l'action administrative et de la loi, sont donc sujets à débat au sein même du libéralisme. La plupart des libéraux considèrent que l'action de l'État est nécessaire à la protection des libertés individuelles, dans le cadre de ses fonctions régaliennes, et nombre d'entre eux (comme Adam Smith, Raymond Aron, Karl Popper ou Benedetto Croce) acceptent et même recommandent certaines interventions de l'État dans l'économie, notamment en matière de contrôle et de régulation. À l'opposé, les libertariens de tendance anarcho-capitaliste refusent à l'État toute légitimité dans quelque domaine que ce soit.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9ralisme
- LeclochardEmpereur
elena3 a écrit:
Si être libéral, c'est ne pas subventionner des énergies polluantes, je suis libéral.
Il ne s'agit pas du tout de cela. Le libéral, c'est celui qui veut que l'Etat intervienne le moins possible dans la régulation économique (ici écologique !)
Les limites à fixer à l'action de l'État, ainsi que les modalités de l'action publique, notamment aux rôles respectifs de l'action administrative et de la loi, sont donc sujets à débat au sein même du libéralisme. La plupart des libéraux considèrent que l'action de l'État est nécessaire à la protection des libertés individuelles, dans le cadre de ses fonctions régaliennes, et nombre d'entre eux (comme Adam Smith, Raymond Aron, Karl Popper ou Benedetto Croce) acceptent et même recommandent certaines interventions de l'État dans l'économie, notamment en matière de contrôle et de régulation. À l'opposé, les libertariens de tendance anarcho-capitaliste refusent à l'État toute légitimité dans quelque domaine que ce soit.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9ralisme
Ta citation est plus profonde que ta phrase. Il y a une multitude de libéralismes. Et effectivement, refuser qu'on subventionne un secteur, c'est une pensée d'inspiration libérale, quoi que tu en penses.
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- Les conséquences secondaires de la réforme : grille horaire des établissements
- Un prof expose des confiscations réalisées depuis 1996 dans les établissements primaires et secondaires de la région de Londres.
- Dispense partielle EPS bac...
- Élève MDPH, PAI, PPS et/ou dispense partielle d'EPS
- interrogation partielle et totale (6ème)
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