- oxaNiveau 9
Grande sagesseGryphe a écrit:Comme quoi beaucoup de choses dépendent des endroits et des personnes...
(cut) Mais chacun ses choix, y'a pas de souci.
Ne pas confondre le débat d'idées et des personnes.
Merci.
Peut-être prochainement sous une même banderole
- GrypheMédiateur
Vi ! :aau:oxa a écrit:Ne pas confondre le débat d'idées et des personnes.
J'suis pas trop du genre à manifester (et j'ai choisi un autre syndicat). Mais c'pas grave.Peut-être prochainement sous une même banderole
- LefterisEsprit sacré
Non pas du tout . Mais il était hors de question de toute manière que je revienne dans ce syndicat après ce qu'ils m'ont fait ... Une fois éliminés les catégoriels (par principe, même si je reconnais des bonnes idées ) , les "collabos" que je ne citerai pas , le choix se restreignait . Il ne restait plus grand monde en lice. Les idées de FO me convenaient, que ce soit sur la FP en général ou sur l'EN me convenaient, ajouté à leur combativité sur les questions concrètes et individuelles.Gryphe a écrit:Merci pour les explications. Je pense que sur la seconde partie, on va être parfaitement d'accord.Lefteris a écrit:Oui , FO ne veut pas entendre parler comme certains de "méthodes" , de programmes , et refuse d'entrer dans le technicisme (comment faire une séquence ? Doit on faire plutôt des périodes ? je caricature à dessein ) . Mais la position est très claire et nette sur l'essentiel sur beaucoup de points : école des savoirs, concours de connaissances disciplinaires , liberté pédagogique sans entrave administrative , programmes nationaux , diplômes nationaux ...
(FO était déjà ton syndicat dans ton autre administration ?)
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- PeinardNiveau 10
La date du 15 décembre (un dimanche!) est-elle officielle?
En effet, cela me paraît étrange de fixer une date limite sur un sujet aussi délicat tandis que les concertations sont toujours en cours; à moins que pratiquement tout ait été décidé d'avance...
Ceci dit, j'espère que l'on pourra partir en vacances l'esprit tranquille. Parce que dans le cas contraire, il faudra faire des économies...
En effet, cela me paraît étrange de fixer une date limite sur un sujet aussi délicat tandis que les concertations sont toujours en cours; à moins que pratiquement tout ait été décidé d'avance...
Ceci dit, j'espère que l'on pourra partir en vacances l'esprit tranquille. Parce que dans le cas contraire, il faudra faire des économies...
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Toute négociation comporte un calendrier.Peinard a écrit:La date du 15 décembre (un dimanche!) est-elle officielle?
En effet, cela me paraît étrange de fixer une date limite sur un sujet aussi délicat tandis que les concertations sont toujours en cours; à moins que pratiquement tout ait été décidé d'avance...
Ceci dit, j'espère que l'on pourra partir en vacances l'esprit tranquille. Parce que dans le cas contraire, il faudra faire des économies...
- Roumégueur IerÉrudit
Là, franchement, sur un thème aussi épineux et casse-gueule que la réforme de notre sacro-saint statut, dire que l'on va annoncer des décisions dès le 15 décembre en commençant fin novembre, c'est vraiment hâtif comme démarche. Du coup, l'usine à fantasmes va fonctionner à plein : soit il réforme à la marge, soit il a déjà tout préparé et ne pliera que sous notre mobilisation.Ingeborg B. a écrit:Toute négociation comporte un calendrier.Peinard a écrit:La date du 15 décembre (un dimanche!) est-elle officielle?
En effet, cela me paraît étrange de fixer une date limite sur un sujet aussi délicat tandis que les concertations sont toujours en cours; à moins que pratiquement tout ait été décidé d'avance...
Ceci dit, j'espère que l'on pourra partir en vacances l'esprit tranquille. Parce que dans le cas contraire, il faudra faire des économies...
Dans les deux cas, on n'aura pas laissé le temps au temps et c'est encore une fois bien dommage (une déception de plus, ça commence à faire).
Quelqu'un peut nous rappeler en tout combien vont durer les groupes de travail (combien de journées au total sur le primaire, secondaire, le statut...) ? En jour, ça doit pas faire lourd, faut espérer que ces journées sont denses et constructives...
- DuplayExpert
Oh, et puis zut ! Ras-le-bol !Ingeborg B. a écrit:
En plus, un syndicat qui est censé représenter les profs et qui refusent de se positionner sur les questions pédagogiques ou bien pratique la politique de la chaise vide en CSE, cela me laisse un peu sceptique.
Quant à la poussée du nombre de syndiqués chez FO, j'aimerais avoir les chiffres.
Je constate que, depuis quelques temps, quand certains collègues exposent les positions ou analyses de FO, la réaction qui suit, ce sont de petites piques contre le syndicat, des attaques personnelles contre certains délégués qui ne sont bien évidemment pas nommés (facile de raconter n'importe quoi ou de généraliser à partir de cas particuliers), des assertions hétéroclites… Rarement une discussion sur le fond, avec des arguments, ce qui permettrait un débat.
Et ce qui revient régulièrement, évidemment, c'est le fait que FO refuse de se "positionner sur les questions pédagogiques".
Mais bien sûr, le rôle d'un syndicat : se positionner sur les questions pédagogiques ! Dogme qui ne peut souffrir aucune contestation !
C'est effectivement la conception défendue par plusieurs syndicats enseignants : Snuipp, Snes, SE-Unsa, Snalc, Sgen... Eh bien, on a vu ce que ça donnait sur le terrain et on peut dire que les résultats sont brillants !
Dans le primaire, depuis des décennies, c'est la conception du syndicalisme qui a prévalu, avec la FEN d'abord puis avec Snuipp-FSU et Se-UNSA ensuite, qui n'ont eu de cesse de défendre leurs doctrines pédagogiques et de combattre les pratiques "déviantes".
Comment ? Par la diffusion massive, notamment, du fameux Fenêtres sur cours édité par le syndicat majoritaire (Snuipp-FSU), organe de la pédagogie officielle régulièrement brandi par les inspecteurs lors des conférences-animations pédagogiques obligatoires et qui trône en bonne place dans nombre de centres de ressources.
Le canard d'un syndicat brandi par un patron ou ses bras-droits pour mettre au pas ses employés... un truc de ouf qui laisse toujours pantois nos camarades des autres secteurs professionnels. :lol:
Mais l'évangélisation pédagogique ne saurait se limiter à une simple publication, même diffusée à cette échelle et avec le soutien de la hiérarchie.
Alors, il y a aussi tout un militantisme sur le terrain, au coeur des écoles, favorisé en particulier par les fameux outils "conquis" de haute lutte par ces syndicats : les réunions de concertation (conseil des maîtres, conseil de cycles, conseils de tout et conseils de n'importe quoi…), le projet d'école… pour "harmoniser les pratiques" (les "bonnes" pratiques, cela va sans dire).
Et malheur aux collègues isolés qui ont des pratiques "déviantes". C'est que là, on ne rigole plus ! Non, quand il s'agit de La Vérité pédagogique, on ne rigole plus du tout : isolement, dénonciation aux IEN et CPC, parfois cabales… tout est permis.
Ça s'est un peu calmé en 2008 avec les nouveaux programmes (un comble, quand on y pense !). Mais avant, le collègue de CP qui faisait le choix d'une méthode de lecture grapho-phonémique, celui de CM qui faisait le choix d'une méthode progressive et rigoureuse de grammaire… avaient intérêt à être très solides mentalement pour tenir dans des écoles avec des directeurs ou militants Snuipp en particulier. Et avec les futurs nouveaux nouveaux programmes, on peut s'attendre à un beau retour en arrière. Mais n'anticipons pas !
Par ailleurs, le positionnement sur les questions pédagogiques et les choix de société ont conduit la plupart de ces syndicats à élaborer puis signer l'APPEL de BOBIGNY : Sgen, Se-UNSA bien sûr… mais aussi : FSU, SNUipp-FSU et SNES.
http://www.fsu.fr/Appel-de-Bobigny-Vers-un-grand.html
C'est en référence aux propositions de cet appel de Bobigny que Peillon a élaboré sa géniale réforme dite des rythmes scolaires, qui est en train de semer le chaos dans les écoles parisiennes entre autres. On comprend mieux pourquoi il s'acharne à ne rien vouloir lâcher, assuré qu'il aura le soutien de toutes les organisations signataires de cet appel.
On comprend aussi pourquoi, pour le CSE du 14 novembre, les syndicats signataires de l'Appel de Bobigny n'avaient aucune raison de soutenir la demande de FO de déplacer la date de ce CSE, puisque c'était un jour de grève nationale et de manifestation contre cette réforme.
Donc, oui, nos représentants n'étaient pas au CSE du 14 : ils étaient à leur place, avec les collègues, dans les AG et manifestations pour la suspension immédiate de la réforme et l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires. Et encore heureux !
Enfin, une dernière remarque sur notre conception du syndicalisme. Pour tous ceux qui ont fait le choix de rejoindre FO -et c'est un point sur lequel nous sommes tous très très chatouilleux- : nous revendiquons notre liberté de pensée et notre indépendance, il est hors de question qu'on dicte nos choix pédagogiques, ou électoraux, ou autres.
Notre syndicat est là pour défendre nos intérêts matériels et moraux, individuels et collectifs en tant que salariés. Ce qui n'exclut aucunement par ailleurs d'adhérer à des mouvements politiques, pédagogiques…
Pour les choix de société et la politique, libre à chacun de rejoindre les partis, associations et mouvements divers qui correspondent à ses convictions.
Pour la pédagogie, libre à chacun de rejoindre des associations et mouvements pédagogiques, de participer à des forums et listes de discussion. On peut être syndiqué à FO tout en étant engagé dans le GRIP, l'ICEM, l'APPEx… ou pas.
Des programmes nationaux clairs, définis exclusivement en termes de contenus d'enseignement, par année pour le primaire… et la liberté pédagogique pour les mettre en oeuvre, telles sont nos deux revendications en matière purement pédagogique.
- arcencielGrand Maître
Merci Mowgli pour cette mise au point.
- tonton goldenNiveau 5
Bravo Mowgli !
- RoninMonarque
Oh Mowgli je t'aime c'est bien pour tout ce que tu décris que je me sens proche de FO, et que je vomis le snuipp et l'unsa.
_________________
- Roumégueur IerÉrudit
Merci Mowgli, j'ai eu aussi ce sentiment de ras-le-bol, je l'ai aussi exprimé.
J'adore ton expression 'évangélisation pédagogique'.
J'ai aussi été choqué que nombre de syndicats appellent à voter pour François Hollande : ce n'est pas le rôle d'un syndicat (FO ne l'a jamais fait et c'est très bien, un électeur sait ce qu'il doit faire) et ensuite lorsque l'on devient critique après avoir lancé une consigne de vote ou un appel (type Bobigny, une belle embuscade), très difficile de tourner casaque.
J'adore ton expression 'évangélisation pédagogique'.
J'ai aussi été choqué que nombre de syndicats appellent à voter pour François Hollande : ce n'est pas le rôle d'un syndicat (FO ne l'a jamais fait et c'est très bien, un électeur sait ce qu'il doit faire) et ensuite lorsque l'on devient critique après avoir lancé une consigne de vote ou un appel (type Bobigny, une belle embuscade), très difficile de tourner casaque.
- User17706Bon génie
Naturellement; mon propos n'est de censurer personne. Mais si les considérations sur les réactions syndicales à propos du problème initial posé par le fil dérivent en considérations sur les différences stratégiques, tactiques, etc., des syndicats en général, voire en anecdotes sur ce qui s'est passé dans tel ou tel bahut, on s'éloigne quand même du sujet initial, qui est la raison pour laquelle ce fil existe et pour laquelle on le lit.Ingeborg B. a écrit:Mais, il ne s'agit pas de détester mais on peut tout de même s'interroger sur les stratégies syndicales, non ?PauvreYorick a écrit:Il est peut-être temps de créer un nouveau fil qui serait intitulé: «Les syndicats que vous adorez détester» ?
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Oui mais bon, en l’occurrence, s'alarmer sur ce qui n'existe pas dans un texte, c'est un peu problématique, non ?PauvreYorick a écrit:Naturellement; mon propos n'est de censurer personne. Mais si les considérations sur les réactions syndicales à propos du problème initial posé par le fil dérivent en considérations sur les différences stratégiques, tactiques, etc., des syndicats en général, voire en anecdotes sur ce qui s'est passé dans tel ou tel bahut, on s'éloigne quand même du sujet initial, qui est la raison pour laquelle ce fil existe et pour laquelle on le lit.Ingeborg B. a écrit:Mais, il ne s'agit pas de détester mais on peut tout de même s'interroger sur les stratégies syndicales, non ?PauvreYorick a écrit:Il est peut-être temps de créer un nouveau fil qui serait intitulé: «Les syndicats que vous adorez détester» ?
- User17706Bon génie
@Ingeborg : pas un instant je ne conteste que cette question soit légitime.
- MarieLNeoprof expérimenté
Une constante depuis que j'ai commencé tout de même c'est le reproche d'un soi-disant alarmisme des syndicats alors que ce qui n'était pas écrit clairement finissait souvent par se vérifier concrètement.Ingeborg B. a écrit:Oui mais bon, en l’occurrence, s'alarmer sur ce qui n'existe pas dans un texte, c'est un peu problématique, non ?PauvreYorick a écrit:Naturellement; mon propos n'est de censurer personne. Mais si les considérations sur les réactions syndicales à propos du problème initial posé par le fil dérivent en considérations sur les différences stratégiques, tactiques, etc., des syndicats en général, voire en anecdotes sur ce qui s'est passé dans tel ou tel bahut, on s'éloigne quand même du sujet initial, qui est la raison pour laquelle ce fil existe et pour laquelle on le lit.Ingeborg B. a écrit:Mais, il ne s'agit pas de détester mais on peut tout de même s'interroger sur les stratégies syndicales, non ?
Je n'interviens pas sur les tactiques syndicales que je ne comprends pas toujours, mais je m'étonne depuis longtemps du nombre d'enseignants qui continuent à refuser de s'inquiéter "trop tôt" alors que, me semble-t-il, ils auraient dû être largement échaudés depuis le temps.
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- RoninMonarque
La technique de la grenouille fonctionne merveilleusement bien.
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- OsmieSage
Etendons le constat aux syndicats en général. J'en ai ras-le-bol de faire du travail de terrain pour ensuite lire des gens baver sur les syndicats, alors que bon nombre n'ont jamais adhéré à aucun d'eux et ne connaissent même pas leurs idées et leurs actions. Quand je lis que le SNUIPP ou le SNES ne sont pas dans l'action, je me demande à quoi servent mes visites d'établissements, mes heures d'information syndicale, les actions avec les collègues, etc.Mowgli a écrit:Oh, et puis zut ! Ras-le-bol !Ingeborg B. a écrit:
En plus, un syndicat qui est censé représenter les profs et qui refusent de se positionner sur les questions pédagogiques ou bien pratique la politique de la chaise vide en CSE, cela me laisse un peu sceptique.
Quant à la poussée du nombre de syndiqués chez FO, j'aimerais avoir les chiffres.
Je constate que, depuis quelques temps, quand certains collègues exposent les positions ou analyses de FO, la réaction qui suit, ce sont de petites piques contre le syndicat, des attaques personnelles contre certains délégués qui ne sont bien évidemment pas nommés (facile de raconter n'importe quoi ou de généraliser à partir de cas particuliers), des assertions hétéroclites… Rarement une discussion sur le fond, avec des arguments, ce qui permettrait un débat.
Et ce qui revient régulièrement, évidemment, c'est le fait que FO refuse de se "positionner sur les questions pédagogiques".
Mais bien sûr, le rôle d'un syndicat : se positionner sur les questions pédagogiques ! Dogme qui ne peut souffrir aucune contestation !
C'est effectivement la conception défendue par plusieurs syndicats enseignants : Snuipp, Snes, SE-Unsa, Snalc, Sgen... Eh bien, on a vu ce que ça donnait sur le terrain et on peut dire que les résultats sont brillants !
Dans le primaire, depuis des décennies, c'est la conception du syndicalisme qui a prévalu, avec la FEN d'abord puis avec Snuipp-FSU et Se-UNSA ensuite, qui n'ont eu de cesse de défendre leurs doctrines pédagogiques et de combattre les pratiques "déviantes".
Comment ? Par la diffusion massive, notamment, du fameux Fenêtres sur cours édité par le syndicat majoritaire (Snuipp-FSU), organe de la pédagogie officielle régulièrement brandi par les inspecteurs lors des conférences-animations pédagogiques obligatoires et qui trône en bonne place dans nombre de centres de ressources.
Le canard d'un syndicat brandi par un patron ou ses bras-droits pour mettre au pas ses employés... un truc de ouf qui laisse toujours pantois nos camarades des autres secteurs professionnels. :lol:
Mais l'évangélisation pédagogique ne saurait se limiter à une simple publication, même diffusée à cette échelle et avec le soutien de la hiérarchie.
Alors, il y a aussi tout un militantisme sur le terrain, au coeur des écoles, favorisé en particulier par les fameux outils "conquis" de haute lutte par ces syndicats : les réunions de concertation (conseil des maîtres, conseil de cycles, conseils de tout et conseils de n'importe quoi…), le projet d'école… pour "harmoniser les pratiques" (les "bonnes" pratiques, cela va sans dire).
Et malheur aux collègues isolés qui ont des pratiques "déviantes". C'est que là, on ne rigole plus ! Non, quand il s'agit de La Vérité pédagogique, on ne rigole plus du tout : isolement, dénonciation aux IEN et CPC, parfois cabales… tout est permis.
Ça s'est un peu calmé en 2008 avec les nouveaux programmes (un comble, quand on y pense !). Mais avant, le collègue de CP qui faisait le choix d'une méthode de lecture grapho-phonémique, celui de CM qui faisait le choix d'une méthode progressive et rigoureuse de grammaire… avaient intérêt à être très solides mentalement pour tenir dans des écoles avec des directeurs ou militants Snuipp en particulier. Et avec les futurs nouveaux nouveaux programmes, on peut s'attendre à un beau retour en arrière. Mais n'anticipons pas !
Par ailleurs, le positionnement sur les questions pédagogiques et les choix de société ont conduit la plupart de ces syndicats à élaborer puis signer l'APPEL de BOBIGNY : Sgen, Se-UNSA bien sûr… mais aussi : FSU, SNUipp-FSU et SNES.
http://www.fsu.fr/Appel-de-Bobigny-Vers-un-grand.html
C'est en référence aux propositions de cet appel de Bobigny que Peillon a élaboré sa géniale réforme dite des rythmes scolaires, qui est en train de semer le chaos dans les écoles parisiennes entre autres. On comprend mieux pourquoi il s'acharne à ne rien vouloir lâcher, assuré qu'il aura le soutien de toutes les organisations signataires de cet appel.
On comprend aussi pourquoi, pour le CSE du 14 novembre, les syndicats signataires de l'Appel de Bobigny n'avaient aucune raison de soutenir la demande de FO de déplacer la date de ce CSE, puisque c'était un jour de grève nationale et de manifestation contre cette réforme.
Donc, oui, nos représentants n'étaient pas au CSE du 14 : ils étaient à leur place, avec les collègues, dans les AG et manifestations pour la suspension immédiate de la réforme et l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires. Et encore heureux !
Enfin, une dernière remarque sur notre conception du syndicalisme. Pour tous ceux qui ont fait le choix de rejoindre FO -et c'est un point sur lequel nous sommes tous très très chatouilleux- : nous revendiquons notre liberté de pensée et notre indépendance, il est hors de question qu'on dicte nos choix pédagogiques, ou électoraux, ou autres.
Notre syndicat est là pour défendre nos intérêts matériels et moraux, individuels et collectifs en tant que salariés. Ce qui n'exclut aucunement par ailleurs d'adhérer à des mouvements politiques, pédagogiques…
Pour les choix de société et la politique, libre à chacun de rejoindre les partis, associations et mouvements divers qui correspondent à ses convictions.
Pour la pédagogie, libre à chacun de rejoindre des associations et mouvements pédagogiques, de participer à des forums et listes de discussion. On peut être syndiqué à FO tout en étant engagé dans le GRIP, l'ICEM, l'APPEx… ou pas.
Des programmes nationaux clairs, définis exclusivement en termes de contenus d'enseignement, par année pour le primaire… et la liberté pédagogique pour les mettre en oeuvre, telles sont nos deux revendications en matière purement pédagogique.
Encore une fois, les syndicats manquent de bras, alors soyez les bienvenus.
- atriumNeoprof expérimenté
Bravo Mowgli.
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It's okay to be a responsible member of society if only you know what you're going to be held responsible for.
John Brunner, The Jagged Orbit
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Alors, étant syndiquée et fortement impliquée, je ne me permettrais jamais de critiquer le travail de terrain. Je pose juste la question suivante : Pourquoi alarmer sur des éléments qui n'apparaissent pas dans un texte de négociation ? Par ailleurs, ces alarmes ne sont lancées que par un seul syndicat, pourquoi ? Enfin, de fil en aiguille, on me compare à une grenouille et on accuse presque le SNES et le SNUIPP d'être des syndicats maison responsables de la dégradation des conditions de travail des enseignants.Janne a écrit:Etendons le constat aux syndicats en général. J'en ai ras-le-bol de faire du travail de terrain pour ensuite lire des gens baver sur les syndicats, alors que bon nombre n'ont jamais adhéré à aucun d'eux et ne connaissent même pas leurs idées et leurs actions. Quand je lis que le SNUIPP ou le SNES ne sont pas dans l'action, je me demande à quoi servent mes visites d'établissements, mes heures d'information syndicale, les actions avec les collègues, etc.Mowgli a écrit:Oh, et puis zut ! Ras-le-bol !Ingeborg B. a écrit:
En plus, un syndicat qui est censé représenter les profs et qui refusent de se positionner sur les questions pédagogiques ou bien pratique la politique de la chaise vide en CSE, cela me laisse un peu sceptique.
Quant à la poussée du nombre de syndiqués chez FO, j'aimerais avoir les chiffres.
Je constate que, depuis quelques temps, quand certains collègues exposent les positions ou analyses de FO, la réaction qui suit, ce sont de petites piques contre le syndicat, des attaques personnelles contre certains délégués qui ne sont bien évidemment pas nommés (facile de raconter n'importe quoi ou de généraliser à partir de cas particuliers), des assertions hétéroclites… Rarement une discussion sur le fond, avec des arguments, ce qui permettrait un débat.
Et ce qui revient régulièrement, évidemment, c'est le fait que FO refuse de se "positionner sur les questions pédagogiques".
Mais bien sûr, le rôle d'un syndicat : se positionner sur les questions pédagogiques ! Dogme qui ne peut souffrir aucune contestation !
C'est effectivement la conception défendue par plusieurs syndicats enseignants : Snuipp, Snes, SE-Unsa, Snalc, Sgen... Eh bien, on a vu ce que ça donnait sur le terrain et on peut dire que les résultats sont brillants !
Dans le primaire, depuis des décennies, c'est la conception du syndicalisme qui a prévalu, avec la FEN d'abord puis avec Snuipp-FSU et Se-UNSA ensuite, qui n'ont eu de cesse de défendre leurs doctrines pédagogiques et de combattre les pratiques "déviantes".
Comment ? Par la diffusion massive, notamment, du fameux Fenêtres sur cours édité par le syndicat majoritaire (Snuipp-FSU), organe de la pédagogie officielle régulièrement brandi par les inspecteurs lors des conférences-animations pédagogiques obligatoires et qui trône en bonne place dans nombre de centres de ressources.
Le canard d'un syndicat brandi par un patron ou ses bras-droits pour mettre au pas ses employés... un truc de ouf qui laisse toujours pantois nos camarades des autres secteurs professionnels. :lol:
Mais l'évangélisation pédagogique ne saurait se limiter à une simple publication, même diffusée à cette échelle et avec le soutien de la hiérarchie.
Alors, il y a aussi tout un militantisme sur le terrain, au coeur des écoles, favorisé en particulier par les fameux outils "conquis" de haute lutte par ces syndicats : les réunions de concertation (conseil des maîtres, conseil de cycles, conseils de tout et conseils de n'importe quoi…), le projet d'école… pour "harmoniser les pratiques" (les "bonnes" pratiques, cela va sans dire).
Et malheur aux collègues isolés qui ont des pratiques "déviantes". C'est que là, on ne rigole plus ! Non, quand il s'agit de La Vérité pédagogique, on ne rigole plus du tout : isolement, dénonciation aux IEN et CPC, parfois cabales… tout est permis.
Ça s'est un peu calmé en 2008 avec les nouveaux programmes (un comble, quand on y pense !). Mais avant, le collègue de CP qui faisait le choix d'une méthode de lecture grapho-phonémique, celui de CM qui faisait le choix d'une méthode progressive et rigoureuse de grammaire… avaient intérêt à être très solides mentalement pour tenir dans des écoles avec des directeurs ou militants Snuipp en particulier. Et avec les futurs nouveaux nouveaux programmes, on peut s'attendre à un beau retour en arrière. Mais n'anticipons pas !
Par ailleurs, le positionnement sur les questions pédagogiques et les choix de société ont conduit la plupart de ces syndicats à élaborer puis signer l'APPEL de BOBIGNY : Sgen, Se-UNSA bien sûr… mais aussi : FSU, SNUipp-FSU et SNES.
http://www.fsu.fr/Appel-de-Bobigny-Vers-un-grand.html
C'est en référence aux propositions de cet appel de Bobigny que Peillon a élaboré sa géniale réforme dite des rythmes scolaires, qui est en train de semer le chaos dans les écoles parisiennes entre autres. On comprend mieux pourquoi il s'acharne à ne rien vouloir lâcher, assuré qu'il aura le soutien de toutes les organisations signataires de cet appel.
On comprend aussi pourquoi, pour le CSE du 14 novembre, les syndicats signataires de l'Appel de Bobigny n'avaient aucune raison de soutenir la demande de FO de déplacer la date de ce CSE, puisque c'était un jour de grève nationale et de manifestation contre cette réforme.
Donc, oui, nos représentants n'étaient pas au CSE du 14 : ils étaient à leur place, avec les collègues, dans les AG et manifestations pour la suspension immédiate de la réforme et l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires. Et encore heureux !
Enfin, une dernière remarque sur notre conception du syndicalisme. Pour tous ceux qui ont fait le choix de rejoindre FO -et c'est un point sur lequel nous sommes tous très très chatouilleux- : nous revendiquons notre liberté de pensée et notre indépendance, il est hors de question qu'on dicte nos choix pédagogiques, ou électoraux, ou autres.
Notre syndicat est là pour défendre nos intérêts matériels et moraux, individuels et collectifs en tant que salariés. Ce qui n'exclut aucunement par ailleurs d'adhérer à des mouvements politiques, pédagogiques…
Pour les choix de société et la politique, libre à chacun de rejoindre les partis, associations et mouvements divers qui correspondent à ses convictions.
Pour la pédagogie, libre à chacun de rejoindre des associations et mouvements pédagogiques, de participer à des forums et listes de discussion. On peut être syndiqué à FO tout en étant engagé dans le GRIP, l'ICEM, l'APPEx… ou pas.
Des programmes nationaux clairs, définis exclusivement en termes de contenus d'enseignement, par année pour le primaire… et la liberté pédagogique pour les mettre en oeuvre, telles sont nos deux revendications en matière purement pédagogique.
Encore une fois, les syndicats manquent de bras, alors soyez les bienvenus.
Je dois être un peu :censure: mais je ne comprends toujours pas ce raisonnement... Quoiqu'il en soit, je rappellerais aussi que les représentants du SNES font un énorme boulot, épaulent collègues et établissements tout en continuant à enseigner. Je suis donc pour ma part choquée d'apprendre que ces personnes qui ne comptent pas leur temps ne sont jamais dans l'action (fin du hors-sujet).
- oxaNiveau 9
Réedit Merci Mowgli
Je pense personnellement qu'ils sont dans le vrai dans leur interprétation, même s'il est effectivement trop tôt. Ceci dit, une forte réaction et un avertissement seraient un point fort dans l'orientation de ce travail.
Concernant le SNES et le SNUIPP, je pense que leur positionnement (et leur alliance politique) ont parfois tendance à les couper du ressenti de la base. Il est difficile d'appeler à voter Hollande, et de bloquer ensuite son projet de réforme de son ministre PEILLON.
Certes FO gueule parfois trop, et parfois trop tôt, mais...
C'est l'alarmiste FO qui était sans concession sur la réforme Ayrault. Retrait du projet!
C'est l'alarmiste FO qui le premier s'est insurgé contre l'acte II de la décentralisation... et aujourd'hui l'acte III.
C'est l'alarmiste FO qui le premier (dès le mois d'aout!!) a revendiqué contre le rattrapage des journées du 13 novembre et du 11 juin.
C'est l'alarmiste FO qui fait circuler des pétitions contre la privatisation des cantines scolaires.
C'est l'alarmiste FO qui refuse les fermetures des CIO.
C'est l'alarmiste FO qui a dénoncé la réforme en STI de manière la plus virulente.
C'est l'alarmiste FO qui refuse de négocier toute régression dans notre statut, et tout alourdissement de nos ORS.
C'est l'alarmiste FO qui s'insurge contre les blocages de postes aux mouvements (inter et intra) pour des personnels non statutaires.
C'est l'alarmiste FO qui dénonce les dangers d'une annualisation et de la corvéabilité qu'elle engendre.
C'est l'alarmiste FO qui s'insurge contre la précarisation de nos jeunes collègues.
C'est l'alarmiste FO qui milite pour le déblocage du point d'indice (depuis 2010).
C'est l'alarmiste FO qui continue de demander le retrait du LPC, machine à gaz stérile et ingérable, alors que certains demandent son xème ré-aménagement...
Alors on peut coller toute une ribambelle de et de , la bienséance et la netiquette m'interdisent de dire ce que j'en pense.
MERCI à tous ceux qui s'investissent et se battent au quotidien et ce quelle que soit leur appartenance. .
Je suis pour ma part délégué établissement snFOlc et fais aussi mon taf.
Les gué-guerres intestinales et syndicales qui nuisent au débat me :censure: les :censure: !!
Le projet de travail dans sa forme semble suffisamment révélateur pour s'inquiéter. Le message de FO appelle juste préventivement à prendre position pour le maintien de toutes les garanties statutaires et contre toute régression (aucune mission obligatoire supplémentaire, aucune suppression de poste, aucune baisse de salaire…) !Ingeborg B. a écrit:Je pose juste la question suivante : Pourquoi alarmer sur des éléments qui n'apparaissent pas dans un texte de négociation ? Par ailleurs, ces alarmes ne sont lancées que par un seul syndicat, pourquoi ?
Je pense personnellement qu'ils sont dans le vrai dans leur interprétation, même s'il est effectivement trop tôt. Ceci dit, une forte réaction et un avertissement seraient un point fort dans l'orientation de ce travail.
Je ne pense pas que la grenouille visait une personne en particulier, c'était une métaphore globale sur la réactivité dans le milieu enseignant.Ingeborg B. a écrit:Enfin, de fil en aiguille, on me compare à une grenouille et on accuse presque le SNES et le SNUIPP d'être des syndicats maison responsables de la dégradation des conditions de travail des enseignants.
Concernant le SNES et le SNUIPP, je pense que leur positionnement (et leur alliance politique) ont parfois tendance à les couper du ressenti de la base. Il est difficile d'appeler à voter Hollande, et de bloquer ensuite son projet de réforme de son ministre PEILLON.
Certes FO gueule parfois trop, et parfois trop tôt, mais...
C'est l'alarmiste FO qui était sans concession sur la réforme Ayrault. Retrait du projet!
C'est l'alarmiste FO qui le premier s'est insurgé contre l'acte II de la décentralisation... et aujourd'hui l'acte III.
C'est l'alarmiste FO qui le premier (dès le mois d'aout!!) a revendiqué contre le rattrapage des journées du 13 novembre et du 11 juin.
C'est l'alarmiste FO qui fait circuler des pétitions contre la privatisation des cantines scolaires.
C'est l'alarmiste FO qui refuse les fermetures des CIO.
C'est l'alarmiste FO qui a dénoncé la réforme en STI de manière la plus virulente.
C'est l'alarmiste FO qui refuse de négocier toute régression dans notre statut, et tout alourdissement de nos ORS.
C'est l'alarmiste FO qui s'insurge contre les blocages de postes aux mouvements (inter et intra) pour des personnels non statutaires.
C'est l'alarmiste FO qui dénonce les dangers d'une annualisation et de la corvéabilité qu'elle engendre.
C'est l'alarmiste FO qui s'insurge contre la précarisation de nos jeunes collègues.
C'est l'alarmiste FO qui milite pour le déblocage du point d'indice (depuis 2010).
C'est l'alarmiste FO qui continue de demander le retrait du LPC, machine à gaz stérile et ingérable, alors que certains demandent son xème ré-aménagement...
Alors on peut coller toute une ribambelle de et de , la bienséance et la netiquette m'interdisent de dire ce que j'en pense.
Je sais. Nous le savons tous.Ingeborg B. a écrit:Quoiqu'il en soit, je rappellerais aussi que les représentants du SNES font un énorme boulot, épaulent collègues et établissements tout en continuant à enseigner. Je suis donc pour ma part choquée d'apprendre que ces personnes qui ne comptent pas leur temps ne sont jamais dans l'action.
MERCI à tous ceux qui s'investissent et se battent au quotidien et ce quelle que soit leur appartenance. .
Je suis pour ma part délégué établissement snFOlc et fais aussi mon taf.
Les gué-guerres intestinales et syndicales qui nuisent au débat me :censure: les :censure: !!
- Karine B.Guide spirituel
Le snes n'a pas appelé à voter Hollande mais à voter CONTRE Sarkozy AVANT le premier tour, ce que je n'ai pas interprété comme un vote au premier tour pour hollande (ce que je n'ai pas fait d'ailleurs).
Quant à la plupart des points que tu évoques (lpc, point d'indice ... Pas facile de tout reprendre au téléphone), le snes défend les mêmes positions
Quant à la plupart des points que tu évoques (lpc, point d'indice ... Pas facile de tout reprendre au téléphone), le snes défend les mêmes positions
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Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- Ingeborg B.Esprit éclairé
+ 1000Karine B. a écrit:Le snes n'a pas appelé à voter Hollande mais à voter CONTRE Sarkozy AVANT le premier tour, ce que je n'ai pas interprété comme un vote au premier tour pour hollande (ce que je n'ai pas fait d'ailleurs).
Quant à la plupart des points que tu évoques (lpc, point d'indice ... Pas facile de tout reprendre au téléphone), le snes défend les mêmes positions
- retraitéeDoyen
Une chose est sûre : que les syndicats défendent les conditions de salaire et de travail, et ne se mêlent pas de pédagogie !
- mathmaxExpert spécialisé
Bon, ce qui est amusant, c'est que FO est bêtement alarmiste, mais que le SNES est quand même intervenu pour faire retirer cette référence prétendument anodine aux 1607h ! Si je comprends bien, seuls le SGEN l'UNSA et le SNALC savent garder la tête froide et ne pas s'affoler inutilement.
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- atriumNeoprof expérimenté
Le ministère estime peut-être qu'en pleine contestation de sa politique dans le 1er degré, alors que le SNUIPP rejoint l'intersyndicale, mieux vaut ne pas ouvrir un second front. Vous gagnez un répit.
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It's okay to be a responsible member of society if only you know what you're going to be held responsible for.
John Brunner, The Jagged Orbit
- oxaNiveau 9
Je ne suis pas tout à fait d'accord sur ce point, en tous les cas les méthodes divergent grandement.Karine B. a écrit: Quant à la plupart des points que tu évoques (lpc, point d'indice ... Pas facile de tout reprendre au téléphone), le snes défend les mêmes positions
C'est plus difficile de faire reculer la machine quand on a mit les mains dans le cambouis pour la faire avancer.
(Je pense au Snuipp pour le 1er degré qui a perdu une année en attendant de se mettre officiellement en accord avec sa base et ce seulement suite à la mobilisation du 14 novembre, et espère que ce ne sera pas la même chose dans le second degré avec le SNES...).
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