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- barègesÉrudit
Je crois que ce sont plutôt nos considérations "théoriques" qui ont dilué ton fil ...
- PhilomèleNiveau 9
Varia, pas de souci, si tu veux poursuivre en MP.
Je ne prétends pas détenir la vérité en la matière mais ce n'est sans doute pas ce que tu attends de moi !
Barèges, j'ai entendu parler de cette histoire de poste de Prag rattaché à un labo.
Que l'on laisse la possibilité à un Prag de faire de la recherche en ne lui coupant pas les moyens (c'est à cela que sert le rattachement à un labo, avoir de l'argent), pourquoi pas. C'est sans doute un aménagement de circonstances bien bancal, vu l'afflux de candidatures de qualifiés MCF sur les postes de Prag (en contexte de pénurie de postes de Mcf). Le Prag peut continuer à alimenter son dossier (ou tenter), redemander la qualification de Mcf au CNU au bout de quatre ans, bref, ne pas désespérer.
Mais que l'on recrute un Prag en prenant en considération le profil de chercheur (ce qui semble induit par un rattachement à un labo), cela serait scandaleux, puisque la recherche n'est pas dans les missions du Prag. De fait, un Prag peut difficilement mener de front un service d'enseignement lourd et de la recherche. Bref, il faut voir en pratique. Le pire serait que ce soit une façon de réserver un poste de Prag à un candidat connu (pratique fameuse connue sous le nom de "profil à moustache").
J'espère que c'est vraiment le premier point qui constitue l'explication.
Quant à un éventuel turn-over des Prag, difficile à dire. Là encore, cela me paraît contredire mon expérience : dans les trois établissements où je suis passée, les Prag étaient en poste depuis longtemps (cinq ans et plus). Il s'agissait véritablement de "professeurs agrégés" (sans thèse), mais je veux bien croire qu'une nouvelle génération de Prag (qualifiés Mcf) soit plus mobile.
Je ne prétends pas détenir la vérité en la matière mais ce n'est sans doute pas ce que tu attends de moi !
Barèges, j'ai entendu parler de cette histoire de poste de Prag rattaché à un labo.
Que l'on laisse la possibilité à un Prag de faire de la recherche en ne lui coupant pas les moyens (c'est à cela que sert le rattachement à un labo, avoir de l'argent), pourquoi pas. C'est sans doute un aménagement de circonstances bien bancal, vu l'afflux de candidatures de qualifiés MCF sur les postes de Prag (en contexte de pénurie de postes de Mcf). Le Prag peut continuer à alimenter son dossier (ou tenter), redemander la qualification de Mcf au CNU au bout de quatre ans, bref, ne pas désespérer.
Mais que l'on recrute un Prag en prenant en considération le profil de chercheur (ce qui semble induit par un rattachement à un labo), cela serait scandaleux, puisque la recherche n'est pas dans les missions du Prag. De fait, un Prag peut difficilement mener de front un service d'enseignement lourd et de la recherche. Bref, il faut voir en pratique. Le pire serait que ce soit une façon de réserver un poste de Prag à un candidat connu (pratique fameuse connue sous le nom de "profil à moustache").
J'espère que c'est vraiment le premier point qui constitue l'explication.
Quant à un éventuel turn-over des Prag, difficile à dire. Là encore, cela me paraît contredire mon expérience : dans les trois établissements où je suis passée, les Prag étaient en poste depuis longtemps (cinq ans et plus). Il s'agissait véritablement de "professeurs agrégés" (sans thèse), mais je veux bien croire qu'une nouvelle génération de Prag (qualifiés Mcf) soit plus mobile.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Merci Philomèle pour ces précisions très intéressantes (et qui franchement me laissent sans voix: qu'on puisse écarter quelqu'un d'un concours de MCF parce qu'il a été pris comme PRAG me laisse songeur... Pourquoi faire des classements avec des gens derrière le 1er dans ce cas?)
Vraiment merci, j'ai encore beaucoup à apprendre de ce milieu (même si je ne suis pas pressé de devoir participer à ces commissions).
Vraiment merci, j'ai encore beaucoup à apprendre de ce milieu (même si je ne suis pas pressé de devoir participer à ces commissions).
- e-WandererGrand sage
Bon, je vais y aller aussi de mon petit avis.
Je donne surtout raison à Philomèle sur un point : le fait de prendre un poste de PRAG peut être un handicap pour obtenir rapidement un poste de MCF (surtout dans une université autre que la sienne). Compte tenu de l'engorgement, à dossier égal, la commission peut effectivement se dire : "Bon, il/elle est casé(e), il vaut peut-être mieux sauver un chercheur brillant d'un poste de collège en banlieue pourrie". C'est d'ailleurs la même chose pour les thésards qui prennent un poste en classe prépa "pour patienter", ou des postes spécifiques dépendant d'autres ministères (défense, justice...).
Inversement, après quelques années, il peut y avoir une "prime au PRAG local". Une université peut être tentée de récompenser un PRAG qui a fait toutes les basses oeuvres sans rechigner (les cours de technique d'expression dont personne ne veut, par exemple). Cela suppose de continuer à publier, ce qui est loin d'être évident, mais c'est une condition sine qua non car le dossier se trouvera toujours en concurrence directe avec des dossiers brillants sans points faibles.
Le PRAG a en revanche un gros avantage, outre celui des services rendus : il est déjà dans la place, donc les collègues le connaissent. Si le dossier recherche tient la route, il peut être moins risqué de recruter sur un poste de MCF un PRAG qu'on connaît bien et qui est un collègue sans problème, plutôt qu'un inconnu au dossier recherche brillant mais dont on ne connaît pas le comportement comme collègue et comme enseignant.
En résumé, un PRAG a intérêt à avoir un dossier très costaud pour s'exporter dans une autre fac sur un poste de MCF, mais il a d'assez bonnes chances dans son établissement d'origine.
Autre constat : un PRAG est très souvent un ancien étudiant de l'université où il est recruté. Comme les PRAG ne sont pas des postes de chercheurs, le recrutement local ou régional est assez fréquent (c'est logique : on préfère prendre quelqu'un qu'on connaît - ancien agrégatif, thésard, moniteur ou ATER - et qui habite la région plutôt qu'un turbo-prof inconnu). Le seul critère officiel étant l'agrégation, rien ne s'y oppose véritablement. Le recrutement d'un candidat local peut aussi être un signe fort adressé aux étudiants, pour leur montrer qu'ils peuvent avoir un avenir à l'université.
Par expérience, il y a BEAUCOUP plus de magouille dans les commission de recrutement de PRAG que dans celles concernant les MCF. Justement parce qu'on peut descendre un bon dossier recherche au prétexte que ce n'est pas officiellement un poste de chercheur (un étudiant local un peu poussif mais sympa, inscrit en thèse avec un prof de l'université peut avoir davantage de chances que le normalien parisien obligé de s'exporter). Et dans la communauté universitaire, il est plus ou moins admis que chaque fac fait sa sauce à sa guise pour les postes de PRAG. En revanche, le moindre poste de MCF dans la fac la plus reculée est aujourd'hui sous le feu des projecteurs : tout le monde surveille ce qui se passe. Dans ma fac, j'ai vu de tout pour les PRAG : recrutements locaux / extérieurs, sans audition / avec audition, ambiance tranquille/ règlements de comptes, etc. Pour ma part, j'essaie d'avoir un comportement éthique et de respecter la même règle que pour les MCF (on prend le meilleur dossier, et à dossier égal, on peut donner une prime au candidat local), mais il m'est arrivé de devoir claquer la porte d'une commission...
Sur le devenir des PRAG, maintenant : je connais plusieurs PRAG qui sont passés MCF. Les cas de favoritisme local existent, mais sont de plus en plus rares car les mentalités évoluent. Mais j'ai aussi vu une élection mémorable où le dossier du PRAG, totalement exceptionnel, écrabouillait toute la concurrence. Les collègues avaient peur qu'on les soupçonne de localisme, mais ils n'avaient vraiment pas à se faire de souci pour leur réputation ! Election très réglo, en tout cas, où les membres extérieurs de la commission avaient eu une totale liberté de parole. Inversement, j'ai vu d'autres cas, qui font un peu mal au coeur, de PRAG qui n'ont pas assez publié (et du coup enchaînent les auditions infructueuses). Ou au contraire de PRAG qui publient pour publier, font du chiffre selon une logique de "publish or perish", mais finissent par signer des travaux très inégaux...
Une dernière remarque, pour finir sur une touche à peu près optimiste : le statut de PRAG est une arnaque, mais ce n'est pas forcément une impasse. Beaucoup de gens arrivent à passer MCF (j'en connais au moins 5) ou à faire autre chose (un copain d'études a été PRAG quelques années, puis a pris la direction d'une Alliance Française dans un pays étranger, ce qui n'est pas rien...). Il y a à mon avis deux dangers : 1) arrêter sa thèse. Dans ce cas, adieu les postes de MCF... C'est pourquoi il vaut mieux prendre un poste de PRAG en fin de thèse. 2) s'illusionner sur ses chances. Je vois passer régulièrement en commission 3 dossiers de PRAG que je connais bien, et c'est sans espoir: pas à cause du statut de PRAG, mais parce que les collègues en question traînent des rapports de thèse désastreux. Ils peuvent publier tous les articles qu'ils voudront, ça ne passera jamais compte tenu de la concurrence actuelle. Il faudrait publier carrément un nouveau livre... Mais les PRAG qui ont un bon rapport de thèse tiennent une solution d'attente comme une autre.
Je donne surtout raison à Philomèle sur un point : le fait de prendre un poste de PRAG peut être un handicap pour obtenir rapidement un poste de MCF (surtout dans une université autre que la sienne). Compte tenu de l'engorgement, à dossier égal, la commission peut effectivement se dire : "Bon, il/elle est casé(e), il vaut peut-être mieux sauver un chercheur brillant d'un poste de collège en banlieue pourrie". C'est d'ailleurs la même chose pour les thésards qui prennent un poste en classe prépa "pour patienter", ou des postes spécifiques dépendant d'autres ministères (défense, justice...).
Inversement, après quelques années, il peut y avoir une "prime au PRAG local". Une université peut être tentée de récompenser un PRAG qui a fait toutes les basses oeuvres sans rechigner (les cours de technique d'expression dont personne ne veut, par exemple). Cela suppose de continuer à publier, ce qui est loin d'être évident, mais c'est une condition sine qua non car le dossier se trouvera toujours en concurrence directe avec des dossiers brillants sans points faibles.
Le PRAG a en revanche un gros avantage, outre celui des services rendus : il est déjà dans la place, donc les collègues le connaissent. Si le dossier recherche tient la route, il peut être moins risqué de recruter sur un poste de MCF un PRAG qu'on connaît bien et qui est un collègue sans problème, plutôt qu'un inconnu au dossier recherche brillant mais dont on ne connaît pas le comportement comme collègue et comme enseignant.
En résumé, un PRAG a intérêt à avoir un dossier très costaud pour s'exporter dans une autre fac sur un poste de MCF, mais il a d'assez bonnes chances dans son établissement d'origine.
Autre constat : un PRAG est très souvent un ancien étudiant de l'université où il est recruté. Comme les PRAG ne sont pas des postes de chercheurs, le recrutement local ou régional est assez fréquent (c'est logique : on préfère prendre quelqu'un qu'on connaît - ancien agrégatif, thésard, moniteur ou ATER - et qui habite la région plutôt qu'un turbo-prof inconnu). Le seul critère officiel étant l'agrégation, rien ne s'y oppose véritablement. Le recrutement d'un candidat local peut aussi être un signe fort adressé aux étudiants, pour leur montrer qu'ils peuvent avoir un avenir à l'université.
Par expérience, il y a BEAUCOUP plus de magouille dans les commission de recrutement de PRAG que dans celles concernant les MCF. Justement parce qu'on peut descendre un bon dossier recherche au prétexte que ce n'est pas officiellement un poste de chercheur (un étudiant local un peu poussif mais sympa, inscrit en thèse avec un prof de l'université peut avoir davantage de chances que le normalien parisien obligé de s'exporter). Et dans la communauté universitaire, il est plus ou moins admis que chaque fac fait sa sauce à sa guise pour les postes de PRAG. En revanche, le moindre poste de MCF dans la fac la plus reculée est aujourd'hui sous le feu des projecteurs : tout le monde surveille ce qui se passe. Dans ma fac, j'ai vu de tout pour les PRAG : recrutements locaux / extérieurs, sans audition / avec audition, ambiance tranquille/ règlements de comptes, etc. Pour ma part, j'essaie d'avoir un comportement éthique et de respecter la même règle que pour les MCF (on prend le meilleur dossier, et à dossier égal, on peut donner une prime au candidat local), mais il m'est arrivé de devoir claquer la porte d'une commission...
Sur le devenir des PRAG, maintenant : je connais plusieurs PRAG qui sont passés MCF. Les cas de favoritisme local existent, mais sont de plus en plus rares car les mentalités évoluent. Mais j'ai aussi vu une élection mémorable où le dossier du PRAG, totalement exceptionnel, écrabouillait toute la concurrence. Les collègues avaient peur qu'on les soupçonne de localisme, mais ils n'avaient vraiment pas à se faire de souci pour leur réputation ! Election très réglo, en tout cas, où les membres extérieurs de la commission avaient eu une totale liberté de parole. Inversement, j'ai vu d'autres cas, qui font un peu mal au coeur, de PRAG qui n'ont pas assez publié (et du coup enchaînent les auditions infructueuses). Ou au contraire de PRAG qui publient pour publier, font du chiffre selon une logique de "publish or perish", mais finissent par signer des travaux très inégaux...
Une dernière remarque, pour finir sur une touche à peu près optimiste : le statut de PRAG est une arnaque, mais ce n'est pas forcément une impasse. Beaucoup de gens arrivent à passer MCF (j'en connais au moins 5) ou à faire autre chose (un copain d'études a été PRAG quelques années, puis a pris la direction d'une Alliance Française dans un pays étranger, ce qui n'est pas rien...). Il y a à mon avis deux dangers : 1) arrêter sa thèse. Dans ce cas, adieu les postes de MCF... C'est pourquoi il vaut mieux prendre un poste de PRAG en fin de thèse. 2) s'illusionner sur ses chances. Je vois passer régulièrement en commission 3 dossiers de PRAG que je connais bien, et c'est sans espoir: pas à cause du statut de PRAG, mais parce que les collègues en question traînent des rapports de thèse désastreux. Ils peuvent publier tous les articles qu'ils voudront, ça ne passera jamais compte tenu de la concurrence actuelle. Il faudrait publier carrément un nouveau livre... Mais les PRAG qui ont un bon rapport de thèse tiennent une solution d'attente comme une autre.
- barègesÉrudit
Toutes ces précisions sont précieuses, Philomèle et E-Wanderer.
Sans savoir, on entrerait dans tout cela comme un chien dans un jeu de quilles...
Sans savoir, on entrerait dans tout cela comme un chien dans un jeu de quilles...
- e-WandererGrand sage
Le plus dur, c'est précisément en début de carrière, parce que tu ne connais pas trop bien les "codes", et aussi parce qu'il y a de fortes chances que tu connaisses pas mal de candidats, qui auront été tes condisciples. C'est très délicat comme situation. Il faut absolument apprendre à dépersonnaliser les débats, tout en appréciant pourtant certains critères "humains".Marcel Khrouchtchev a écrit:Merci Philomèle pour ces précisions très intéressantes (et qui franchement me laissent sans voix: qu'on puisse écarter quelqu'un d'un concours de MCF parce qu'il a été pris comme PRAG me laisse songeur... Pourquoi faire des classements avec des gens derrière le 1er dans ce cas?)
Vraiment merci, j'ai encore beaucoup à apprendre de ce milieu (même si je ne suis pas pressé de devoir participer à ces commissions).
Le principe auquel je me tiens toujours, et que j'ai déjà évoqué plus haut : on prend le meilleur dossier, et à dossier égal, on peut prendre le candidat local s'il fait l'affaire. Principe à tempérer cependant, en fonction de critères humains : ne jamais oublier qu'on recrute d'abord un collègue avec lequel il faudra vivre, ensuite un prof qui devra faire de bons cours, et enfin un chercheur. Ne surtout jamais recruter un savant fou qui parle uniquement de ses marottes en cours, auquel on ne peut confier aucune tâche administrative et qui est caractériel. La recherche, c'est bien beau, mais... (rassure-toi, les fous, c'est quand même surtout au niveau PU).
Quelques autres principes :
- Le vote est secret, donc tu n'as rien à craindre. De quiconque.
- Tout le monde a le droit de se tromper dans son appréciation (j'ai fait une erreur une fois, heureusement sans conséquence), mais il ne faut jamais commettre d'injustice sciemment. On ne peut pas dire "le système est pourri" : le système, en l'occurrence, c'est nous.
- Si tu sièges en commission (membre intérieur ou extérieur), c'est que tu as voix au chapitre : si tu as quelque chose à dire, dis-le. Avec diplomatie dans les facs où la différence hiérarchique PU/MCF est très affichée (il ne faudrait pas te griller), mais dis quand même ce que tu as à dire.
- N'entre pas dans le jeu des mandarins qui votent pour leurs poulains, un coup pour toi, un coup pour moi : si le poulain est le meilleur, pas de souci, mais sinon, il n'y a aucune raison de faire du favoritisme. Si le terrain est miné, ne te mets pas en danger (en tout cas tant que tu n'es pas PU) : tu la boucles prudemment, mais tu votes comme tu l'entends.
- Ne choisis pas à la place des candidats. Si un candidat est élu premier partout, c'est lui qui doit pouvoir décider où il veut aller, et après c'est le jeu des chaises musicales. Mais on n'a pas à classer un type 2e (ou 5e) au prétexte qu'il a déjà été élu 1er ailleurs. Sinon, ça fausse tout. On peut demander au candidat s'il est auditionné ailleurs, on peut éventuellement lui demander son classement s'il a déjà concouru, mais il est RIGOUREUSEMENT INTERDIT de lui demander ce qu'il ferait en cas de double élection (certains comités enfreignent malheureusement cette règle).
Après, tu comprendras très vite la mécanique. Il y a des cas où l'élection est verrouillée d'avance et où il n'y a rien à faire (si les locaux sont tous d'accord, comme le président a voix prépondérante, c'est déjà plié) : à toi de voir si tu trouves ça légitime (quand c'est fait pour élire un candidat de toute façon très fort et indiscutable), ou si au contraire tu es tombé dans un traquenard (auquel cas tu peux très bien refuser de retourner dans la même fac l'année suivante, pour marquer le coup). En général, dès la première réunion (celle où on choisit les candidats à auditionner), on sait où on en est. Regarde aussi à qui sont attribués les dossiers pour les pré-rapports, c'est souvent instructif.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Merci beaucoup pour ton message. Malheureusement pour moi le cas ne se présentera pas rapidement: ma collègue qui part la retraite cette année ne sera pas remplacée (alors que nous faisons déjà tous des heures complémentaires).
Mais vraiment merci, je méditerai ces conseils précieux (ainsi que ceux de Philomèle).
Mais vraiment merci, je méditerai ces conseils précieux (ainsi que ceux de Philomèle).
- barègesÉrudit
Ce n'est pas le sujet, mais je n'entends parler que de départs non remplacés, depuis deux-trois ans. Dans beaucoup de matières différentes.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Malheureusement oui. Chez nous, les postes sont diplomatiquement "gelés"barèges a écrit:Ce n'est pas le sujet, mais je n'entends parler que de départs non remplacés, depuis deux-trois ans. Dans beaucoup de matières différentes.
- CondorcetOracle
Merci Philomèle et E-Wanderer de vos doctes explications.
Les postes gelés, non-remplacés, etc... en disent long sur ce qui attend les candidats aux prochaines campagnes de recrutement.
Les postes gelés, non-remplacés, etc... en disent long sur ce qui attend les candidats aux prochaines campagnes de recrutement.
- CydNiveau 1
A l'attention de tous, mais principalement de Varia, qu'elle ne commette pas la même erreur que moi. Pardonnez-moi chers collègues mais les informations que vous avez données sont erronées, et suivre vos conseils m'a coûté très cher.
En effet, l'an dernier, après une année d'affectation provisoire sur un poste de PRAG ds une fac, j'ai passé 9 auditions pour des postes de PRAG, or il se trouve que je suis docteur et qualifiée MCF (en histoire de l'art), et j'ai été 8 fois classée 2ième et une fois 3è. Qd je demandais un débrief, le président du jury me répondait invariablement que mon statut effrayait le jury, dans la mesure où j'étais susceptible de les quitter pour un poste de MCF, et qu'il n'y avait pas pire pour désorganiser un service qu'un PRAG qui est là par dépit et pense davantage à ses publis qu'à ses cours. Charmant. J'ai donc été renvoyée en collège. Après une thèse etc, encore plus charmant. Du coup cette année j'ai fait flèche de tout bois et ai postulé partout lors de la première campagne. Classée 2è sur les deux postes qui m'intéressaient, j'ai été classée 1ère sur un poste au bout du monde connu, dans un IUT d'une toute petite ville, à 500 km de là où mon mari vit. Je me suis dit que si je devais prendre le poste, ce ne serait que pour un an, et que de toute façon, il y avait la deuxième campagne pour réajuster géographiquement. Au moins avais-je un poste qui faisait de moi une "insider" et me permettait de faire valoir ce statut lors des prochains recrutements. Sauf que contrairement à ce que bcp sur ce forum prétendent, dès lors que l'on est recruté (et que l'on dit oui) à un poste de PRAG sur la première campagne, on n'a plus le droit de postuler sur la deuxième campagne! Mes informations: coup de fil à la gestionnaire du ministère herself, le Snesup qui confirme, et ce texte officiel très explicite: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
J'aurais dû commencer par là plutôt que de lire les forums. Si recrutement sur un poste "supérieur" néanmoins (MCF), pas de problème. Sinon, rien n'est possible. Et la gestionnaire du ministère a été claire: quand bien même je me désiste pour raisons personnelles sérieuses et que c'est accepté, et que dans le même temps je participe à la deuxième campagne et suis classée 1ère qqpart, le ministère refusera ma nouvelle affectation et je retournerai en collège. Voilà voilà...
En effet, l'an dernier, après une année d'affectation provisoire sur un poste de PRAG ds une fac, j'ai passé 9 auditions pour des postes de PRAG, or il se trouve que je suis docteur et qualifiée MCF (en histoire de l'art), et j'ai été 8 fois classée 2ième et une fois 3è. Qd je demandais un débrief, le président du jury me répondait invariablement que mon statut effrayait le jury, dans la mesure où j'étais susceptible de les quitter pour un poste de MCF, et qu'il n'y avait pas pire pour désorganiser un service qu'un PRAG qui est là par dépit et pense davantage à ses publis qu'à ses cours. Charmant. J'ai donc été renvoyée en collège. Après une thèse etc, encore plus charmant. Du coup cette année j'ai fait flèche de tout bois et ai postulé partout lors de la première campagne. Classée 2è sur les deux postes qui m'intéressaient, j'ai été classée 1ère sur un poste au bout du monde connu, dans un IUT d'une toute petite ville, à 500 km de là où mon mari vit. Je me suis dit que si je devais prendre le poste, ce ne serait que pour un an, et que de toute façon, il y avait la deuxième campagne pour réajuster géographiquement. Au moins avais-je un poste qui faisait de moi une "insider" et me permettait de faire valoir ce statut lors des prochains recrutements. Sauf que contrairement à ce que bcp sur ce forum prétendent, dès lors que l'on est recruté (et que l'on dit oui) à un poste de PRAG sur la première campagne, on n'a plus le droit de postuler sur la deuxième campagne! Mes informations: coup de fil à la gestionnaire du ministère herself, le Snesup qui confirme, et ce texte officiel très explicite: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
J'aurais dû commencer par là plutôt que de lire les forums. Si recrutement sur un poste "supérieur" néanmoins (MCF), pas de problème. Sinon, rien n'est possible. Et la gestionnaire du ministère a été claire: quand bien même je me désiste pour raisons personnelles sérieuses et que c'est accepté, et que dans le même temps je participe à la deuxième campagne et suis classée 1ère qqpart, le ministère refusera ma nouvelle affectation et je retournerai en collège. Voilà voilà...
- JohnMédiateur
Cyd, j'ai lu en diagonale, mais dans les messages que j'ai lus, il n'était pas question de la deuxième campagne de Prag la même année :shock:dès lors que l'on est recruté (et que l'on dit oui) à un poste de PRAG sur la première campagne, on n'a plus le droit de postuler sur la deuxième campagne!
A quel message précis penses-tu, quand tu parles de "bcp sur le forum" ?
Dans ce que j'ai lu ici, il était question de candidater à un poste de Prag, puis à un poste de MCF. D'ailleurs tu dis toi-même que cela ne poserait pas de problème, et c'est bien ce que je comprends moi aussi à la lecture des messages.
_________________
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- piescoModérateur
John a écrit:Cyd, j'ai lu en diagonale, mais dans les messages que j'ai lus, il n'était pas question de la deuxième campagne de Prag la même année :shock:dès lors que l'on est recruté (et que l'on dit oui) à un poste de PRAG sur la première campagne, on n'a plus le droit de postuler sur la deuxième campagne!
A quel message précis penses-tu, quand tu parles de "bcp sur le forum" ?
Dans ce que j'ai lu ici, il était question de candidater à un poste de Prag, puis à un poste de MCF. D'ailleurs tu dis toi-même que cela ne poserait pas de problème, et c'est bien ce que je comprends moi aussi à la lecture des messages.
+1 Si on pouvait se désister à la 2è campagne (de Prag) des postes acceptés dans la 1e (de Prag), il faudrait créer une 3e pour pourvoir les postes abandonnés, et ainsi de suite.
Il est évident qu'il fallait commencer par là. Dans un forum on a des conseils, mais seul les textes officiels font loi.
- JohnMédiateur
Sans compter que, si j'ai bien lu, les conseils qui ont été donnés ici sont les bons.
_________________
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- piescoModérateur
John a écrit:Sans compter que, si j'ai bien lu, les conseils qui ont été donnés ici sont les bons.
Oui, ils le sont.
Mais nos lumières (bonnes ou mauvaises) ne dispensent pas la lecture des textes !
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
piesco a écrit:+1 Si on pouvait se désister à la 2è campagne (de Prag) des postes acceptés dans la 1e (de Prag), il faudrait créer une 3e pour pourvoir les postes abandonnés, et ainsi de suite.
Ben non, il y a des classements, il suffit d'aller chercher le 2e ou 3e.
- piescoModérateur
- e-WandererGrand sage
Cyd a écrit:A l'attention de tous, mais principalement de Varia, qu'elle ne commette pas la même erreur que moi. Pardonnez-moi chers collègues mais les informations que vous avez données sont erronées, et suivre vos conseils m'a coûté très cher.
En effet, l'an dernier, après une année d'affectation provisoire sur un poste de PRAG ds une fac, j'ai passé 9 auditions pour des postes de PRAG, or il se trouve que je suis docteur et qualifiée MCF (en histoire de l'art), et j'ai été 8 fois classée 2ième et une fois 3è. Qd je demandais un débrief, le président du jury me répondait invariablement que mon statut effrayait le jury, dans la mesure où j'étais susceptible de les quitter pour un poste de MCF, et qu'il n'y avait pas pire pour désorganiser un service qu'un PRAG qui est là par dépit et pense davantage à ses publis qu'à ses cours. Charmant. J'ai donc été renvoyée en collège. Après une thèse etc, encore plus charmant. Du coup cette année j'ai fait flèche de tout bois et ai postulé partout lors de la première campagne. Classée 2è sur les deux postes qui m'intéressaient, j'ai été classée 1ère sur un poste au bout du monde connu, dans un IUT d'une toute petite ville, à 500 km de là où mon mari vit. Je me suis dit que si je devais prendre le poste, ce ne serait que pour un an, et que de toute façon, il y avait la deuxième campagne pour réajuster géographiquement. Au moins avais-je un poste qui faisait de moi une "insider" et me permettait de faire valoir ce statut lors des prochains recrutements. Sauf que contrairement à ce que bcp sur ce forum prétendent, dès lors que l'on est recruté (et que l'on dit oui) à un poste de PRAG sur la première campagne, on n'a plus le droit de postuler sur la deuxième campagne! Mes informations: coup de fil à la gestionnaire du ministère herself, le Snesup qui confirme, et ce texte officiel très explicite: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
J'aurais dû commencer par là plutôt que de lire les forums. Si recrutement sur un poste "supérieur" néanmoins (MCF), pas de problème. Sinon, rien n'est possible. Et la gestionnaire du ministère a été claire: quand bien même je me désiste pour raisons personnelles sérieuses et que c'est accepté, et que dans le même temps je participe à la deuxième campagne et suis classée 1ère qqpart, le ministère refusera ma nouvelle affectation et je retournerai en collège. Voilà voilà...
Je suis désolé de ce qui t'arrive, et j'espère que tu trouveras rapidement une solution. J'espère aussi que ton récit permettra à d'autres candidats à des postes pourvus par cooptation (PRAG, MCF, PU) de se rappeler une règle d'or : quel que soit l'attrait pour le poste (qui peut évidemment faire très envie quand on veut échapper à un collège pourri ou qu'on désire changer de statut), il faut TOUJOURS se placer dans la situation où on devrait l'occuper pendant de longues années. Car qui peut être certain, par les temps qui courent, de pouvoir obtenir facilement une mutation, un autre poste ? Il faut donc peser le pour et le contre, regarder très précisément ce que ça implique en termes d'éloignement géographique, de contraintes familiales, d'environnement pour l'enseignement ou la recherche etc. Et surtout ne JAMAIS postuler sur un poste dont, fondamentalement, on ne veut pas. Il ne faut postuler que sur des postes qu'on s'estime capable d'occuper, disons, pendant une dizaine d'années. Si les inconvénients et les risques sont plus forts que le bénéfice espéré, il faut renoncer. Un poste conçu comme marche-pied provisoire peut se transformer en véritable piège.
J'espère que tu ne prendras pas ce que j'écris en mauvaise part : je ne cherche pas à donner des leçons (et surtout pas à quelqu'un qui vit une situation délicate), mais simplement à donner des conseils à toute personne qui se trouverait en situation de postuler. Par exemple, si on a sa vie familiale à Paris et que le conjoint ne peut pas bouger, je ne suis pas certain qu'il soit bien prudent de postuler à un poste de MCF à Pau ou à Toulon. Même si ça fait forcément envie de décrocher un poste de MCF, que l'élection semble être ouverte etc.
Ton récit, de façon plus anecdotique, me suggère une autre remarque : il ne faut pas prendre trop à cœur les justifications plus ou moins diplomatiques qu'on peut entendre. Dans ton cas, il me semble évident que tu as un bon dossier (sinon tu n'aurais pas été classée 2e si souvent) mais qu'il y avait un candidat local à peu près partout et qu'il t'est passé devant : il est évidemment moins risqué de recruter quelqu'un que l'on connaît et qui donne satisfaction, plutôt qu'un inconnu éventuellement plus brillant mais qui peut se révéler être un dingue, un absentéiste etc. (les qualités humaines ne sont pas inscrites dans le dossier, et il y a toujours un risque). Pour un poste de MCF ou de PU, le localisme a ses limites car on compare des dossiers de recherche : il serait injuste de recruter un chercheur médiocre si des chercheurs plus brillants sont en lice. Pour un poste de PRAG, où le seul critère officiel est d'avoir l'agreg, rien n'empêche de recruter un agrégé qu'on connaît, qu'on apprécie mais qui n'a pas de dossier de recherche, plutôt qu'un agrégé docteur qu'on ne connaît pas : le doctorat n'est pas un critère officiel. On peut trouver ça injuste, mais c'est juridiquement imparable. De même que pour une colonie de vacances, on demande au moniteur un BAFA, et pas un BAFA + un diplôme de maître nageur. Si la colo choisit d'embaucher un ancien moniteur qui a déjà donné toute satisfaction, il n'y a rien à redire.
Alors on baratine un truc plus ou moins plausible au candidat déçu. C'est ce que l'on constate à chaque fois que ça magouille un peu : pour les attributions de congés sabbatiques, pour les promotions, pour les élections bidonnées, etc. Les arguments peuvent être d'ailleurs largement plus scandaleux et nettement moins plausibles. Parmi les horreurs que j'ai déjà entendues : "Mme X est tellement brillante qu'elle ne saura pas évaluer nos étudiants", "M. Y publie déjà beaucoup, il n'a pas besoin de sabbatique, autant réserver ça à quelqu'un qui a vraiment besoin d'un congé", "Il n'y a pas de convergence possible entre les recherches de M. Z avec les axes du centre de recherche" (alors que M. Z a à peine 30 ans et peut évidemment s'adapter sans problème), etc. Bref, si on ne veut pas finir avec un ulcère, il vaut mieux ne pas ressasser inutilement et faire abstraction de ce qu'on peut entendre (sauf naturellement si c'est dit de façon constructive, pour aider la personne dans ses futures candidatures).
- my alibiJe viens de m'inscrire !
J'ai beau chercher partout (mais certainement pas au bon endroit), je ne trouve pas le document légal suivant :
note de service n° 2012-103 du 3 juillet 2012, publiée aux BOEN du 5 juillet 2012
et du 15 janvier 2013... indiquant qu'on ne peut pas postuler à la 2ième campagne de Prag si on a déjà obtenu un poste au 1er mouvement.
Il s'agit "juste" d'un pdf, mais aucun document officiel légal qui prouve cela.
Est-ce qu'une personne saurait où est le document officiel légal ?
En effet, j'ai obtenu un poste au 1er mouvement (bien)... et le poste de mes rêves est sorti au 2 ième mouvement.
J'aimerai donc être certaine de ne pas pouvoir postuler au 2nd mouvement... ou le contraire
Merci d'avance pour votre aide.
note de service n° 2012-103 du 3 juillet 2012, publiée aux BOEN du 5 juillet 2012
et du 15 janvier 2013... indiquant qu'on ne peut pas postuler à la 2ième campagne de Prag si on a déjà obtenu un poste au 1er mouvement.
Il s'agit "juste" d'un pdf, mais aucun document officiel légal qui prouve cela.
Est-ce qu'une personne saurait où est le document officiel légal ?
En effet, j'ai obtenu un poste au 1er mouvement (bien)... et le poste de mes rêves est sorti au 2 ième mouvement.
J'aimerai donc être certaine de ne pas pouvoir postuler au 2nd mouvement... ou le contraire
Merci d'avance pour votre aide.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
De toute façon, il faut bien te dire que les membres du comité du poste que tu convoites savent que tu as été classé et élu ailleurs. Ce qui limite fortement tes chances.
- Presse-puréeGrand sage
PauvreYorick a écrit:... ou encore ce genre d'initiative: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Marcel Khrouchtchev a écrit:Les postes de PRAG qui comportent un profil recherche sont une honte. Et recruter un PRAG en exigeant de lui qu'il soit docteur et qualifié par le CNU en est une autre.
Déterrage:
Ce que je lis en suivant ce lien est complètement dingue...
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- my alibiJe viens de m'inscrire !
... Sauf si je démissionne du 1 er poste... N'est-ce pas ?
Et si je ne suis pas prise, j'aurai toujours mon poste en lycée... N'est-ce pas ?
Et si je ne suis pas prise, j'aurai toujours mon poste en lycée... N'est-ce pas ?
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Là je ne sais pas. Si tu as déjà accepté ton premier poste, il est possible que celui que tu as en lycée soit considéré comme libéré. Renseigne-toi au rectorat.
- my alibiJe viens de m'inscrire !
Après m'être renseigné, le poste est tjrs disponible si on démissione.
Merci pour les informations
Merci pour les informations
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