- JEMSGrand Maître
C’est la énième tentative d’un gouvernement de redorer l'image de l’enseignement professionnel : la création des « campus des métiers et des qualifications », dans lesquels seront intégrés des lycées professionnels. Les ministres de l’éducation nationale, Vincent Peillon, et du redressement productif, Arnaud Montebourg, ont rendu publique, lundi 14 octobre, la liste des douze premiers campus. L’objectif est d’en implanter au moins un par région.
La suite ici :
http://lemonde-educ.blog.lemonde.fr/2013/10/14/vincent-peillon-sattaque-au-lycee-professionnel/
Et voici le campus des métiers !
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http://lemonde-educ.blog.lemonde.fr/2013/10/14/vincent-peillon-sattaque-au-lycee-professionnel/
Et voici le campus des métiers !
- pitchounetteExpert
et une part plus forte a la region!!
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Le bonheur est dans le pré après 7 ans de région parisienne
- PseudoDemi-dieu
On manquait de nouveaux mots.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- JacqGuide spirituel
Déjà si nous arrêtions de parler de "redorer l'image"ou de son "image négative", nous arrêterions justement de l'enfoncer dans cette image.
Enfin voir cité le SNETAA (FO ou pas) qui a accepté le bac pro trois ans histoire de pouvoir être intégré aux négociations cela fait mal au c..... . Le rôle d'opposant, ce syndicat aurait pu le jouer pour le bac pro 3 !
Enfin voir cité le SNETAA (FO ou pas) qui a accepté le bac pro trois ans histoire de pouvoir être intégré aux négociations cela fait mal au c..... . Le rôle d'opposant, ce syndicat aurait pu le jouer pour le bac pro 3 !
CGT Educ'action 263 rue de Paris (Case 549) 93515 Montreuil cedex
Mel : unsen@ferc.cgt.fr - Site : www.unsen.cgt.fr
[...]
Vincent Peillon inaugure, ce lundi 14 octobre 2013 à Oyonnax, le premier campus des métiers.
Cette disposition de la loi d'orientation, publiée au Bulletin Officiel n° 20 du 16 mai 2013, doit
regrouper sur un même lieu des lycées professionnels et polyvalents, des CFA, des organismes de
formation, des établissements d'enseignement supérieur, des laboratoire de recherche.
La mixité des parcours, et très souvent des publics (lycéens/étudiants et apprentis) sera une
obligation. Le partenariat avec les entreprises est un axe essentiel du campus des métiers.
L'objectif affiché est de répondre aux besoins des entreprises à l'égard des établissements.
Dès le mois de juin, la CGT Educ'action a alertée sur le manque de concertation localement dans la
mise en place de ces campus. La politique menée est celle du fait accompli.
De plus, si le renforcement du lien entre les différents acteurs de l'enseignement secondaire et ceux
de l'enseignement supérieur est tout à fait souhaitable, le contexte juridique (par exemple celui d'une
association loi 1901) est des plus surprenants. Pour des missions publiques, ce n'est pas acceptable !
Enfin, encore une fois c'est l'approche du développement de l'apprentissage qui prévaut, par
l'obligation des parcours mixtes. En quoi un parcours second degré/enseignement supérieur, sous
statut scolaire, ne pourrait-il pas s'inscrire dans un parcours de la réussite ?
Loin de partager cette analyse, une nouvelle fois la CGT Educ'action dénonce cette politique qui jette
un discrédit sur l'enseignement professionnel public et ne vise qu'à diminuer le coût de la formation
initiale et continue. Cela se fait au détriment de la qualité de la formation et des conditions de travail
des personnels qui auront à gérer des publics à statuts différents.
Le campus des métiers que met en place aujourd'hui Vincent Peillon, n'a donc pas pour objectif réel
de "revaloriser la voie professionnelle" mais de répondre aux demandes du patronat local qui
souhaite utiliser les ressources disponibles dans les établissements scolaires et dans les universités...
et tout cela avec l'argent des collectivités locales.
Montreuil, le 14 octobre 2013
Mel : unsen@ferc.cgt.fr - Site : www.unsen.cgt.fr
[...]
Vincent Peillon inaugure, ce lundi 14 octobre 2013 à Oyonnax, le premier campus des métiers.
Cette disposition de la loi d'orientation, publiée au Bulletin Officiel n° 20 du 16 mai 2013, doit
regrouper sur un même lieu des lycées professionnels et polyvalents, des CFA, des organismes de
formation, des établissements d'enseignement supérieur, des laboratoire de recherche.
La mixité des parcours, et très souvent des publics (lycéens/étudiants et apprentis) sera une
obligation. Le partenariat avec les entreprises est un axe essentiel du campus des métiers.
L'objectif affiché est de répondre aux besoins des entreprises à l'égard des établissements.
Dès le mois de juin, la CGT Educ'action a alertée sur le manque de concertation localement dans la
mise en place de ces campus. La politique menée est celle du fait accompli.
De plus, si le renforcement du lien entre les différents acteurs de l'enseignement secondaire et ceux
de l'enseignement supérieur est tout à fait souhaitable, le contexte juridique (par exemple celui d'une
association loi 1901) est des plus surprenants. Pour des missions publiques, ce n'est pas acceptable !
Enfin, encore une fois c'est l'approche du développement de l'apprentissage qui prévaut, par
l'obligation des parcours mixtes. En quoi un parcours second degré/enseignement supérieur, sous
statut scolaire, ne pourrait-il pas s'inscrire dans un parcours de la réussite ?
Loin de partager cette analyse, une nouvelle fois la CGT Educ'action dénonce cette politique qui jette
un discrédit sur l'enseignement professionnel public et ne vise qu'à diminuer le coût de la formation
initiale et continue. Cela se fait au détriment de la qualité de la formation et des conditions de travail
des personnels qui auront à gérer des publics à statuts différents.
Le campus des métiers que met en place aujourd'hui Vincent Peillon, n'a donc pas pour objectif réel
de "revaloriser la voie professionnelle" mais de répondre aux demandes du patronat local qui
souhaite utiliser les ressources disponibles dans les établissements scolaires et dans les universités...
et tout cela avec l'argent des collectivités locales.
Montreuil, le 14 octobre 2013
- JEMSGrand Maître
Jacq, les accords Darcos prévoyaient un passage en trois ans, certes, mais surtout une compensation par des ouvertures massives de CAP avec des moyens conséquents et là, effectivement, il y a eu gros bug. La volonté du SNETAA EIL (à l'époque) était de fonder un véritable parcours professionnel du CAP au BTS en tenant compte du fait que les BEP n'étaient plus des diplômes professionnalisants. Il ne se sont pas vendus mais sont restés cohérents avec leurs mandats.
- JacqGuide spirituel
Une façon de voir qui n'est pas la mienne.
Ils ont signé.
Ils ont signé.
- ParatgeNeoprof expérimenté
« Vincent Peillon s'attaque aux Lycées Professionnels » !
Le titre dit tout.
Qu'il se casse pour aller préparer sa campagne électorale !
Encore un qui aime tellement les élèves qu'il aura tout fait pour les aimer du plus loin possible.
Le titre dit tout.
Qu'il se casse pour aller préparer sa campagne électorale !
Encore un qui aime tellement les élèves qu'il aura tout fait pour les aimer du plus loin possible.
- CathEnchanteur
"Peillon s'attaque" ou "Peillon attaque" ?
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