- Carlito06Niveau 1
Bonjour à tous,
Nouveau sur le forum, voilà ce qui m'amène. J'ai 32 ans, père de famille, titulaire d'un M2 Sciences Eco / Finances et travaille dans le secteur privé depuis 6 ans. En l’occurrence, je suis co gérant d'une agence immobilière ... Bref, à des années lumières de l'enseignement !
Je n'ai jamais trouvé mon compte dans cette vie professionnelle et ma passion est l'étude - en amateur - de la philosophie. Il y a peu, j'en suis venu à me dire qu'il n'était peut être pas trop tard et qu'une reconversion était encore possible. Ainsi j'envisage de plus en plus de m'inscrire au CAPES de Philo pour 2014, avec en perspective 5 à 6 mois de préparation à temps plein (je pourrais m'organiser pour interrompre mes activités pro pour un temps).
Mon niveau scolaire dans cette discipline se résume à mon année de TES il y a 13 ans. A l'époque la philo était une discipline dans laquelle j'avais de bons résultats, assez nettement au dessus du niveau général, ce qui avait d'ailleurs été remarqué par mon professeur à l'époque.
Depuis le temps a passé. J'ai toutefois continué à entretenir mon goût pour la réflexion philosophique. Cela m'a conduit depuis peu à suivre quelques cours en auditeur libre, à m'initier plus précisément à la pensée des grands philosophes, au divers courants de pensée ...
J'ai conscience du fossé gigantesque - sur le plan académique et culturel - qui me sépare encore de bon nombre de candidats sortis de master, voire même de doctorat. Mais je ne peux m'empêcher de penser qu'un concours se réussi d'abord grâce à une très bonne préparation, une maitrise de la méthode, et à l'effort fourni pendant les semaines qui ont précédé l'épreuve. Pour autant je n'ai aucun moyen d'évaluer mes chances objectivement.
Est-il sérieux de croire en mes chances d'y parvenir ? Cinq mois suffiront-ils pour me préparer, même à raison de 10h par jour ? Puis-je y arriver seul ? Deux tentatives à ce même concours pourraient elles suffirent à l'obtenir ou serait ce encore hautement improbable ?
Vu mon âge et ma situation de famille, je n'ai pas le droit à l'erreur ... Échouer une première fois au concours, je pourrais encore m'en accommoder, mais je ne pourrai me permettre de passer ce concours plus de 2 fois ... Alors n'hésitez pas à me donner votre sentiment profond sans détour ! Je compte sur votre franchise et sur vos conseils !
Au plaisir de vous lire.
CARLITO.
Nouveau sur le forum, voilà ce qui m'amène. J'ai 32 ans, père de famille, titulaire d'un M2 Sciences Eco / Finances et travaille dans le secteur privé depuis 6 ans. En l’occurrence, je suis co gérant d'une agence immobilière ... Bref, à des années lumières de l'enseignement !
Je n'ai jamais trouvé mon compte dans cette vie professionnelle et ma passion est l'étude - en amateur - de la philosophie. Il y a peu, j'en suis venu à me dire qu'il n'était peut être pas trop tard et qu'une reconversion était encore possible. Ainsi j'envisage de plus en plus de m'inscrire au CAPES de Philo pour 2014, avec en perspective 5 à 6 mois de préparation à temps plein (je pourrais m'organiser pour interrompre mes activités pro pour un temps).
Mon niveau scolaire dans cette discipline se résume à mon année de TES il y a 13 ans. A l'époque la philo était une discipline dans laquelle j'avais de bons résultats, assez nettement au dessus du niveau général, ce qui avait d'ailleurs été remarqué par mon professeur à l'époque.
Depuis le temps a passé. J'ai toutefois continué à entretenir mon goût pour la réflexion philosophique. Cela m'a conduit depuis peu à suivre quelques cours en auditeur libre, à m'initier plus précisément à la pensée des grands philosophes, au divers courants de pensée ...
J'ai conscience du fossé gigantesque - sur le plan académique et culturel - qui me sépare encore de bon nombre de candidats sortis de master, voire même de doctorat. Mais je ne peux m'empêcher de penser qu'un concours se réussi d'abord grâce à une très bonne préparation, une maitrise de la méthode, et à l'effort fourni pendant les semaines qui ont précédé l'épreuve. Pour autant je n'ai aucun moyen d'évaluer mes chances objectivement.
Est-il sérieux de croire en mes chances d'y parvenir ? Cinq mois suffiront-ils pour me préparer, même à raison de 10h par jour ? Puis-je y arriver seul ? Deux tentatives à ce même concours pourraient elles suffirent à l'obtenir ou serait ce encore hautement improbable ?
Vu mon âge et ma situation de famille, je n'ai pas le droit à l'erreur ... Échouer une première fois au concours, je pourrais encore m'en accommoder, mais je ne pourrai me permettre de passer ce concours plus de 2 fois ... Alors n'hésitez pas à me donner votre sentiment profond sans détour ! Je compte sur votre franchise et sur vos conseils !
Au plaisir de vous lire.
CARLITO.
- User17706Bon génie
Pour les raisons que tu indiques, précisément, on ne peut pas dire que la possession d'un doctorat constitue un avantage pour les concours (d'autant qu'il y a doctorat et doctorat). Compte tenu de la nature des épreuves, pour évaluer ton degré d'impréparation (je préfère m'exprimer ainsi, mais il ne faut y voir aucune dépréciation), la seule solution me semble être, dans un premier temps, de trouver quelqu'un qui soit disposé à corriger une dissertation et une explication de texte faites dans les conditions du concours (en cinq heures chacune, sans document). Ça n'équivaut pas à une évaluation des chances, parce que la concurrence est tout de même rude compte tenu du nombre assez restreint de places (80 postes au capes 2014 session ordinaire): il est difficile d'évaluer précisément ses chances vu la sélectivité, il faut être vraiment excellent pour être plus ou moins à l'abri d'une surprise.Carlito06 a écrit:J'ai conscience du fossé gigantesque - sur le plan académique et culturel - qui me sépare encore de bon nombre de candidats sortis de master, voire même de doctorat. Mais je ne peux m'empêcher de penser qu'un concours se réussit d'abord grâce à une très bonne préparation, une maitrise de la méthode [...]. Pour autant je n'ai aucun moyen d'évaluer mes chances objectivement.
Cela dit, mon expérience me suggère que les qualités qui permettent aux étudiants d'obtenir ce concours ou celui de l'agrégation sont usuellement des qualités qu'ils n'acquièrent pas durant l'année de la préparation, mais qu'ils ont su préserver et renforcer dans les années précédentes; ce pourquoi le rythme du «bourrage intensif» ne me paraît pas, abstraitement parlant, être le rythme typique du candidat «heureux». Cela dit, il est difficile d'appliquer à des cas toujours individuels ce genre de généralité.
En revanche l'inscription aux concours de philosophie court jusqu'au 22 octobre, il faut donc s'inscrire rapidement (ce qui ne coûte rien ou presque et n'engage pas à grand'chose non plus).
- Mr_ZNiveau 5
à ta place, et en jugeant juste avec les éléments donnés, je ferais quand même au moins deux ans de fac avant de me lancer. Préparer et donner des cours de philosophie ça demande un bagage solide, qui s'acquière avec du temps. Et le programme de terminale est gigantesque.
- Carlito06Niveau 1
Merci pour vos réponses !
Je rebondi sur ce que vous avez dit.
2 ans de Fac avant de me lancer, je le ferai volontiers mais cela me semble poser un problème pratique : vivre sans revenus (ou très peu) pendant cette période ... Revenir sur les bancs de la fac ne me permettrait pas de maintenir un emploi à plein temps. Or je suis lancé dans la vie. Ma femme travaille mais ça ne suffira pas. Je peux m'organiser pour m'investir dans les 6 prochains mois à plein temps sur le sujet mais au delà ce sera compliqué.
Préparer et donner des cours de philo, c'est évidemment un métier, et à ce jour ce n'est pas le mien. Mais les étudiants licence / master qui parviennent à réussir le concours sont-ils davantage préparés à enseigner que je ne le suis moi même ? Cet apprentissage n'est il pas prévu dans un second temps, une fois lauréat et durant la période préalable à la titularisation ?
Aurais-je des chances de me mettre à niveau en suivant par exemple des cours particuliers avec un professeur ? Avec le CNED ?
Je suis d'accord avec l'observation "le bourrage intensif n'est pas le rythme du candidat heureux". A l'évidence il faut laisser du temps au temps. Mais plus précisément quelles sont ces qualités qui s'acquiert davantage au cours des années d'études que pendant la préparation du concours ?
Si vous connaissez un enseignant en philosophie résident dans les Alpes Maritimes qui serait disposé à m'aider à me préparer et à tester une copie, je suis preneur !
A vous lire ...
Je rebondi sur ce que vous avez dit.
2 ans de Fac avant de me lancer, je le ferai volontiers mais cela me semble poser un problème pratique : vivre sans revenus (ou très peu) pendant cette période ... Revenir sur les bancs de la fac ne me permettrait pas de maintenir un emploi à plein temps. Or je suis lancé dans la vie. Ma femme travaille mais ça ne suffira pas. Je peux m'organiser pour m'investir dans les 6 prochains mois à plein temps sur le sujet mais au delà ce sera compliqué.
Préparer et donner des cours de philo, c'est évidemment un métier, et à ce jour ce n'est pas le mien. Mais les étudiants licence / master qui parviennent à réussir le concours sont-ils davantage préparés à enseigner que je ne le suis moi même ? Cet apprentissage n'est il pas prévu dans un second temps, une fois lauréat et durant la période préalable à la titularisation ?
Aurais-je des chances de me mettre à niveau en suivant par exemple des cours particuliers avec un professeur ? Avec le CNED ?
Je suis d'accord avec l'observation "le bourrage intensif n'est pas le rythme du candidat heureux". A l'évidence il faut laisser du temps au temps. Mais plus précisément quelles sont ces qualités qui s'acquiert davantage au cours des années d'études que pendant la préparation du concours ?
Si vous connaissez un enseignant en philosophie résident dans les Alpes Maritimes qui serait disposé à m'aider à me préparer et à tester une copie, je suis preneur !
A vous lire ...
- InvitéP2Niveau 5
Un problème connexe au vôtre a été récemment évoqué dans le fil de discussion quel niveau en licence pour "espérer" avoir le CAPES de philosophie ? La plupart des informations qui y sont contenues devraient vous concerner.
- User17706Bon génie
Apparemment tu es pressé de te lancer dans cette nouvelle aventure. Si j'étais à ta place, j'envisagerais peut-être plutôt la solution suivante: sans pour l'instant me consacrer entièrement à la préparation des concours, m'y inscrire (et m'inscire à la faculté de Nice si elle propose, ce qui, j'imagine, est le cas, une préparation auxdits concours), ce qui me permettrait de rendre des devoirs qui seront dûment corrigés dans ce cadre. Donc faire sérieusement ces devoirs, mais sans non plus me consacrer entièrement à la préparation: plutôt remettre à l'année suivante une éventuelle interruption complète de toute autre activité, en ayant déjà des indices précis sur ce qu'il me faudra travailler, et en planifiant cela moins à l'arrache que mi-octobre pour début avril (soit moins de 6 mois, ce qui me semble peu).
- Carlito06Niveau 1
Merci du conseil. Reste a voir avec l'université de Nice ...
Je reviens sur la question du métier de l'enseignement, réagissant à la remarque de Mr_Z, les étudiants licence / master qui parviennent à réussir le concours sont-ils réellement davantage préparés au métier d'enseignant que je ne le suis moi même ? Cet apprentissage n'est il pas prévu dans un second temps, une fois lauréat et durant la période préalable à la titularisation ?
Je reviens sur la question du métier de l'enseignement, réagissant à la remarque de Mr_Z, les étudiants licence / master qui parviennent à réussir le concours sont-ils réellement davantage préparés au métier d'enseignant que je ne le suis moi même ? Cet apprentissage n'est il pas prévu dans un second temps, une fois lauréat et durant la période préalable à la titularisation ?
- User17706Bon génie
La question malheureusement n'est pas simple: elle suppose de faire le tri, dans le métier d'enseignant, de ce qui relève de la maîtrise de la discipline, d'une part, et d'autre part de tout le reste. Et sur la nature et l'importance de ce reste, bien des évaluations sont possibles. Quant à savoir s'il peut s'apprendre autrement que sur le tas, autrement dit en donnant des cours (avec l'aide constituée par le tutorat assuré par un professeur expérimenté), autrement dit quant à savoir si les formations ex-IUFM et à présent ESPÉ (du type: «comment préparer son premier cours», formation délivrée en mars ou en avril de l'année suivant le premier cours du stagiaire...) peuvent ou non servir à quoi que ce soit, c'est encore une autre histoire.Carlito06 a écrit: Je reviens sur la question du métier de l'enseignement, réagissant à la remarque de Mr_Z, les étudiants licence / master qui parviennent à réussir le concours sont-ils réellement davantage préparés au métier d'enseignant que je ne le suis moi même ? Cet apprentissage n'est il pas prévu dans un second temps, une fois lauréat et durant la période préalable à la titularisation ?
Mais s'il s'agit seulement de comparer les jeunes de 25 ans avec les (un peu) moins jeunes de 32 ans sur ce point, je ne crois pas qu'il y ait une différence significative à faire. La remarque de Mr_Z, à mon avis (mais il me corrigera lui-même si je me trompe), touchait essentiellement à la maîtrise de la discipline qui est requise pour effectivement construire un enseignement philosophique. Et si c'est bien ce qu'il voulait dire, j'abonde en son sens: je dirais que c'est, au bas mot, 99% du boulot (contrairement à ce que voudrait faire croire l'idée d'une «pédagogie» qui serait abstraite des contenus).
EDIT: autrement dit, sans qu'on puisse dire qu'il y ait identité entre les qualités requises pour passer un concours avec succès et les qualités requises pour être un bon professeur (il y a des bêtes à concours qui ne font pas forcément, loin de là, de meilleurs professeurs que d'autres candidats qui, pour mille raisons, n'excellent pas dans ce genre de course et doivent s'y reprendre à plusieurs fois), il me semble qu'on peut dire qu'il y a au moins une forte convergence entre les qualités qu'on sollicite lors de la préparation d'un concours et celles que le métier de professeur sollicite.
- supersosoSage
Je ne sais pas si je vais aider. Mais au vu de ce que tu dis :Carlito06 a écrit:Bonjour à tous,
Nouveau sur le forum, voilà ce qui m'amène. J'ai 32 ans, père de famille, titulaire d'un M2 Sciences Eco / Finances et travaille dans le secteur privé depuis 6 ans. En l’occurrence, je suis co gérant d'une agence immobilière ... Bref, à des années lumières de l'enseignement !
Je n'ai jamais trouvé mon compte dans cette vie professionnelle et ma passion est l'étude - en amateur - de la philosophie. Il y a peu, j'en suis venu à me dire qu'il n'était peut être pas trop tard et qu'une reconversion était encore possible. Ainsi j'envisage de plus en plus de m'inscrire au CAPES de Philo pour 2014, avec en perspective 5 à 6 mois de préparation à temps plein (je pourrais m'organiser pour interrompre mes activités pro pour un temps).
Mon niveau scolaire dans cette discipline se résume à mon année de TES il y a 13 ans. A l'époque la philo était une discipline dans laquelle j'avais de bons résultats, assez nettement au dessus du niveau général, ce qui avait d'ailleurs été remarqué par mon professeur à l'époque.
Depuis le temps a passé. J'ai toutefois continué à entretenir mon goût pour la réflexion philosophique. Cela m'a conduit depuis peu à suivre quelques cours en auditeur libre, à m'initier plus précisément à la pensée des grands philosophes, au divers courants de pensée ...
J'ai conscience du fossé gigantesque - sur le plan académique et culturel - qui me sépare encore de bon nombre de candidats sortis de master, voire même de doctorat. Mais je ne peux m'empêcher de penser qu'un concours se réussi d'abord grâce à une très bonne préparation, une maitrise de la méthode, et à l'effort fourni pendant les semaines qui ont précédé l'épreuve. Pour autant je n'ai aucun moyen d'évaluer mes chances objectivement.
Est-il sérieux de croire en mes chances d'y parvenir ? Cinq mois suffiront-ils pour me préparer, même à raison de 10h par jour ? Puis-je y arriver seul ? Deux tentatives à ce même concours pourraient elles suffirent à l'obtenir ou serait ce encore hautement improbable ?
Vu mon âge et ma situation de famille, je n'ai pas le droit à l'erreur ... Échouer une première fois au concours, je pourrais encore m'en accommoder, mais je ne pourrai me permettre de passer ce concours plus de 2 fois ... Alors n'hésitez pas à me donner votre sentiment profond sans détour ! Je compte sur votre franchise et sur vos conseils !
Au plaisir de vous lire.
CARLITO.
Il est toujours sérieux de croire en ses chances quand on prépare un concours (dans le cas contraire autant ne pas se présenter). Mais la philosophie a ceci de particulier que le concours est le seul débouché "naturel", que le nombre de place est réduit - puisqu'enseigné uniquement en terminale. De ce fait, tu vas te retrouver en concurrence avec et des bêtes à concours et des personnes ayant passé le concours de nombreuses fois, connaissant parfaitement les exercices demandés et maîtrisant bien le programme (certains enseignant comme contractuels depuis longtemps). Du coup, même avec un excellent niveau, il est difficile de te répondre. Deux tentatives peuvent te suffire. Mais elles peuvent aussi ne pas être suffisante. La question est de savoir si tu es prêt à investir du temps et de l'argent sur une reconversion qui restera néanmoins hypothétique. Est-ce que tu es prêt aussi à prendre le risque de te retrouver à la case départ au bout du compte (car c'est quand même un risque non négligeable).
La solution proposée par PauvreYorick est me semble-t-il la plus judicieuse, puisqu'elle permettrait de ne pas griller toutes tes cartes d'emblée. Pour le reste, à toi de voir : tu peux toujours t'inscrire, ça ne t'engage pas à te présenter au concours.
Par ailleurs, peut-être serait-il judicieux aussi d'essayer un stage de 15 jours en classe (si tu prépares le concours, ça doit pouvoir se faire), afin de voir ce qu'est l'enseignement à l'heure actuelle. Il peut facilement y avoir un gros écart entre ce qu'on a vécu comme élève et le fait d'enseigner. Observer comment ça se passe de l'autre côté serait peut-être la meilleure chose à faire avant de te décider.
- Une passanteEsprit éclairé
et pourquoi ne pas tenter d'abord une formation en philosophie par correspondance ? cela permettrait de s'améliorer tout en continuant à travailler à côté, donc moins de pression et une vraie "mise à niveau" avant de se consacrer pleinement aux concours...
Le site de la FIED indiquera les formations susceptibles d'être intéressantes...
Le site de la FIED indiquera les formations susceptibles d'être intéressantes...
- CasparProphète
Pardonne-moi Carlito, mais ton projet me semble irréaliste (pour les raisons évoquées par certains ci-dessus), à cause du faible nombre de postes en philosophie. Comme l'ont suggéré mes collègues, essaie déjà de t'inscrire au CNED et de rendre des dissertations ou des explications de texte, ça te permettra d'y voir plus clair. Je te souhaite bonne chance et bon courage malgré mes doutes.
- Carlito06Niveau 1
Salut Cortès
Merci pour ton témoignage.
Je me suis inscrit au concours ce matin. Advienne que pourra ...
J'accepte ton aide avec joie !
Je t'ai laissé un message privé avec mes coordonnées.
Encore merci.
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