- kensingtonEsprit éclairé
Face à la grogne, le ministre intervient dans le journal de TF1. C'est maintenant.
- arcencielGrand Maître
Je viens de me faire très mal avec "le Téléphone sonne" sur France Inter et j'hésite là...
- AudreyOracle
Un fois encore, il a raison. Nous avons tort.
Marre.
Marre.
- ErgoDevin
C'est dans linteretdeszenfants.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- arcencielGrand Maître
9h30? On change l'heure d'entrée?
- arcencielGrand Maître
C'est son égo qui l'obnubile!
- AudreyOracle
C'est vrai que nous, enseignants, parents, on se fiche des gosses...
- arcencielGrand Maître
On n'y pige que dalle nous aux enfants! Pfffffffffffffffff!
- InstructeurpublicFidèle du forum
Cas caractérisé de déni.
- arcencielGrand Maître
Exactement!Instructeurpublic a écrit:Cas caractérisé de déni.
- Fesseur ProGuide spirituel
+ 1Instructeurpublic a écrit:Cas ca...
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Pourvu que ça dure...
- may68Expert
Sur France inter S.Sirh du Snuipp demande que les communes à 4 jours depuis 20 ans puissent le rester !!! Quel scandale !
Ô secours on a tous notre mercredi ou notre jeudi depuis des lustres !!!!!!!!!
C'est n'importe quoi !!!!!!!!
Ô secours on a tous notre mercredi ou notre jeudi depuis des lustres !!!!!!!!!
C'est n'importe quoi !!!!!!!!
- OlympiasProphète
Il a fait une cassette pour répéter en boucle les mêmes trucs d'un plateau radio à un plateau télé ? Flûte, j'avais oublié la presse papier !!!!!!!!!!
Tant que nous y sommes, l'éditorial de Libé, avec ces propos navrants de Sylvain Bourmeau.
Attention, ça risque de vous énerver....
Depuis le 3 septembre, certains écoliers français ont plus de chance que les autres. Une inégalité scolaire supplémentaire a été introduite dans le système qui empêche des centaines de milliers d’enfants de bénéficier d’une réforme réclamée depuis des années par la communauté scientifique des chronobiologistes, la plupart des enseignants et les organisations de parents d’élèves (à défaut, sans doute, d’une majorité de ceux-ci) : la semaine de quatre jours et demi.
Il faudra un peu de recul pour évaluer ses effets mais, un mois après la rentrée, tout laisse penser que ce nouveau calendrier permet aux professeurs comme aux élèves qui en profitent dès cette année de travailler dans de meilleures conditions. A droite, pourtant, plus cancres les unes que les autres, les critiques redoublent, au point que l’Elysée convoque une réunion de crise (à laquelle «la question Rom» et le dérapage de Manuel Valls n’ont, soit dit en passant, toujours pas eu droit !).
Mais ces critiques ne portent jamais sur le temps scolaire, et donc sur le cœur de la réforme : elles visent l’organisation souvent trop hasardeuse des moments périscolaires. Rien de nouveau pourtant sous le soleil de la cour de récré. On n’a, hélas, pas attendu la courageuse réforme de Vincent Peillon pour s’apercevoir qu’à force de revendiquer sa coupure d’avec le monde extérieur, l’école, c’est-à-dire les enseignants, refusaient trop souvent de s’intéresser à ce qui se passe entre ses murs hors les heures d’enseignement.
Le ministre de l’éducation nationale a sans doute eu raison de hâter sa réforme plutôt que de prendre le risque de la voir s’enliser à jamais. Il lui incombe désormais d’organiser avec les collectivités locales mais aussi avec Valérie Fourneyron, sa collègue ministre des Sports, de la Jeunesse, de l’Education populaire et de la Vie associative (tout est dit !), une meilleure articulation entre l’école et la société civile. Et pourquoi pas de réfléchir, avec Geneviève Fioraso, sa collègue de l’enseignement supérieur, à un dispositif attractif permettant aux étudiants de gagner leur vie en s’investissant dans les écoles plutôt qu’en étant contraints de travailler dans les McDo.
Sylvain BOURMEAU
Tant que nous y sommes, l'éditorial de Libé, avec ces propos navrants de Sylvain Bourmeau.
Attention, ça risque de vous énerver....
Depuis le 3 septembre, certains écoliers français ont plus de chance que les autres. Une inégalité scolaire supplémentaire a été introduite dans le système qui empêche des centaines de milliers d’enfants de bénéficier d’une réforme réclamée depuis des années par la communauté scientifique des chronobiologistes, la plupart des enseignants et les organisations de parents d’élèves (à défaut, sans doute, d’une majorité de ceux-ci) : la semaine de quatre jours et demi.
Il faudra un peu de recul pour évaluer ses effets mais, un mois après la rentrée, tout laisse penser que ce nouveau calendrier permet aux professeurs comme aux élèves qui en profitent dès cette année de travailler dans de meilleures conditions. A droite, pourtant, plus cancres les unes que les autres, les critiques redoublent, au point que l’Elysée convoque une réunion de crise (à laquelle «la question Rom» et le dérapage de Manuel Valls n’ont, soit dit en passant, toujours pas eu droit !).
Mais ces critiques ne portent jamais sur le temps scolaire, et donc sur le cœur de la réforme : elles visent l’organisation souvent trop hasardeuse des moments périscolaires. Rien de nouveau pourtant sous le soleil de la cour de récré. On n’a, hélas, pas attendu la courageuse réforme de Vincent Peillon pour s’apercevoir qu’à force de revendiquer sa coupure d’avec le monde extérieur, l’école, c’est-à-dire les enseignants, refusaient trop souvent de s’intéresser à ce qui se passe entre ses murs hors les heures d’enseignement.
Le ministre de l’éducation nationale a sans doute eu raison de hâter sa réforme plutôt que de prendre le risque de la voir s’enliser à jamais. Il lui incombe désormais d’organiser avec les collectivités locales mais aussi avec Valérie Fourneyron, sa collègue ministre des Sports, de la Jeunesse, de l’Education populaire et de la Vie associative (tout est dit !), une meilleure articulation entre l’école et la société civile. Et pourquoi pas de réfléchir, avec Geneviève Fioraso, sa collègue de l’enseignement supérieur, à un dispositif attractif permettant aux étudiants de gagner leur vie en s’investissant dans les écoles plutôt qu’en étant contraints de travailler dans les McDo.
Sylvain BOURMEAU
- Docteur OXGrand sage
l’école, c’est-à-dire les enseignants, refusaient trop souvent de s’intéresser à ce qui se passe entre ses murs hors les heures d’enseignement.
- atriumNeoprof expérimenté
l’école, c’est-à-dire les enseignants, refusaient trop souvent de s’intéresser à ce qui se passe entre ses murs hors les heures d’enseignement.
Sylvain BOURMEAU
Traduction: les enseignants tiennent les élèves (plus ou moins et non sans mal, certes) alors que c'est souvent le bazar avec d'autres (cantinières, étudiants qui surveillent l'interclasse) donc il faut que les enseignants (en commençant par les PE) gèrent tout; ils ont du temps ces feignasses.
En fait, c'est une reconnaissance de nos capacités professionnelles hors norme.
Flattez-nous encore, Sylvain.
Sylvain BOURMEAU
Traduction: les enseignants tiennent les élèves (plus ou moins et non sans mal, certes) alors que c'est souvent le bazar avec d'autres (cantinières, étudiants qui surveillent l'interclasse) donc il faut que les enseignants (en commençant par les PE) gèrent tout; ils ont du temps ces feignasses.
En fait, c'est une reconnaissance de nos capacités professionnelles hors norme.
Flattez-nous encore, Sylvain.
- may68Expert
C'est vrai qu'on pourrait aussi passer le soir ds les chaumières voir s'ils sont bien couchés à l'heure et vérifier qu'ils ont bien mangé 5 fruits et légumes par jour !atrium a écrit: l’école, c’est-à-dire les enseignants, refusaient trop souvent de s’intéresser à ce qui se passe entre ses murs hors les heures d’enseignement.
Sylvain BOURMEAU
Traduction: les enseignants tiennent les élèves (plus ou moins et non sans mal, certes) alors que c'est souvent le bazar avec d'autres (cantinières, étudiants qui surveillent l'interclasse) donc il faut que les enseignants (en commençant par les PE) gèrent tout; ils ont du temps ces feignasses.
En fait, c'est une reconnaissance de nos capacités professionnelles hors norme.
Flattez-nous encore, Sylvain.
On est vraiment des feignasses !
C'est pas comme si on avait plein de trucs à faire après la classe ....
- Invité-BHabitué du forum
Olympias a écrit:Il a fait une cassette pour répéter en boucle les mêmes trucs d'un plateau radio à un plateau télé ? Flûte, j'avais oublié la presse papier !!!!!!!!!!
Tant que nous y sommes, l'éditorial de Libé, avec ces propos navrants de Sylvain Bourmeau.
Attention, ça risque de vous énerver....
Depuis le 3 septembre, certains écoliers français ont plus de chance que les autres. Une inégalité scolaire supplémentaire a été introduite dans le système qui empêche des centaines de milliers d’enfants de bénéficier d’une réforme réclamée depuis des années par la communauté scientifique des chronobiologistes, la plupart des enseignants et les organisations de parents d’élèves (à défaut, sans doute, d’une majorité de ceux-ci) : la semaine de quatre jours et demi.
Il faudra un peu de recul pour évaluer ses effets mais, un mois après la rentrée, tout laisse penser que ce nouveau calendrier permet aux professeurs comme aux élèves qui en profitent dès cette année de travailler dans de meilleures conditions. A droite, pourtant, plus cancres les unes que les autres, les critiques redoublent, au point que l’Elysée convoque une réunion de crise (à laquelle «la question Rom» et le dérapage de Manuel Valls n’ont, soit dit en passant, toujours pas eu droit !).
Mais ces critiques ne portent jamais sur le temps scolaire, et donc sur le cœur de la réforme : elles visent l’organisation souvent trop hasardeuse des moments périscolaires. Rien de nouveau pourtant sous le soleil de la cour de récré. On n’a, hélas, pas attendu la courageuse réforme de Vincent Peillon pour s’apercevoir qu’à force de revendiquer sa coupure d’avec le monde extérieur, l’école, c’est-à-dire les enseignants, refusaient trop souvent de s’intéresser à ce qui se passe entre ses murs hors les heures d’enseignement.
Le ministre de l’éducation nationale a sans doute eu raison de hâter sa réforme plutôt que de prendre le risque de la voir s’enliser à jamais. Il lui incombe désormais d’organiser avec les collectivités locales mais aussi avec Valérie Fourneyron, sa collègue ministre des Sports, de la Jeunesse, de l’Education populaire et de la Vie associative (tout est dit !), une meilleure articulation entre l’école et la société civile. Et pourquoi pas de réfléchir, avec Geneviève Fioraso, sa collègue de l’enseignement supérieur, à un dispositif attractif permettant aux étudiants de gagner leur vie en s’investissant dans les écoles plutôt qu’en étant contraints de travailler dans les McDo.
Sylvain BOURMEAU
- philannDoyen
Merci d'avoir prévenu...mais énervée qd même là !!
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
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