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- MamaVénérable
Bon bon bon... J'essaie... Je m'entraîne pour l'agreg, mais pour l'instant je n'ai pas révisé mes fiches de grammaire, alors bon...
Je sonde l'étendue de mon oubli...
= [(celui) qui rira le dernier] rira bien. (= qui dort dîne)
qui = pronom relatif (ou indéfini?) sujet
qui rira le dernier = subordonnée relative substantive (sans antécédent) sujet de "rira bien"
"le dernier" = déterminant ordinal attribut du sujet "qui" ?
ai-je bon ? pas bon ? oublié-je une interrogation à soulever ?
Merci aux férus de grammaire
Je sonde l'étendue de mon oubli...
= [(celui) qui rira le dernier] rira bien. (= qui dort dîne)
qui = pronom relatif (ou indéfini?) sujet
qui rira le dernier = subordonnée relative substantive (sans antécédent) sujet de "rira bien"
"le dernier" = déterminant ordinal attribut du sujet "qui" ?
ai-je bon ? pas bon ? oublié-je une interrogation à soulever ?
Merci aux férus de grammaire
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Si "qui rira le dernier" est une relative, "qui" est un pronom relatif. Elle est substantive, oui. Si elle est l'équivalent d'un nom, on peut imaginer que cette proposition peut recevoir un adjectif apposé : "dernier", et être introduite par un déterminant : "le".
Mais j'ai peur de dire de grosses bêtises.
Ou alors "Le dernier" est le groupe nominal antécédent de "qui rira", qui est une proposition relative non pas substantive mais adjective. Oui, en fait je pencherais plus pour cette option. Il me semble même que c'est ça.
Mais j'ai peur de dire de grosses bêtises.
Ou alors "Le dernier" est le groupe nominal antécédent de "qui rira", qui est une proposition relative non pas substantive mais adjective. Oui, en fait je pencherais plus pour cette option. Il me semble même que c'est ça.
- User17706Bon génie
Mon intervention ne va servir à rien du tout mais je trouve amusant qu'on nomme ça «analyse logique», même si, évidemment, ça a un rapport
- MamaVénérable
Merci Sylvain, c'est vrai qu'on pourrait simplement transformer en "Le dernier qui rira rira bien."
Je n'y avais même pas pensé.... Mais dans ce cas la relative est aussi déterminative, non ?
Je n'y avais même pas pensé.... Mais dans ce cas la relative est aussi déterminative, non ?
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Oui, la relative permet d'identifier un rieur parmi tous les rieurs. L'analyse complète serait : relative adjective épithète déterminative. :flower:
- User17706Bon génie
Toutefois, la phrase n'a pas le même sens selon qu'on estime que «celui qui rira le dernier» est une description qui permet d'identifier un individu ou non. En d'autres termes, il y a une grosse différence entre:
- celui, quel qu'il soit, qui rira le dernier, rira bien
et
- il y a quelqu'un qui rira le dernier et celui-là rira bien.
(Et là pour le coup ça recouvre des distinctions proprement logiques.)
- celui, quel qu'il soit, qui rira le dernier, rira bien
et
- il y a quelqu'un qui rira le dernier et celui-là rira bien.
(Et là pour le coup ça recouvre des distinctions proprement logiques.)
- MamaVénérable
Oui Yorick. Comme c'est un dicton, je suppose que c'est plutôt le 1er...
- User17706Bon génie
D'un autre côté il est toujours employé pour signifier implicitement: «c'est MOI qui rirai le dernier, et à ce moment-là, gare à ta gueule». Non ?
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
J'avoue ne pas bien voir la différence... Pour moi, "Il y a quelqu'un" paraphrase "celui", d'une manière ou d'une autre la phrase se garde bien de donner un nom.PauvreYorick a écrit:- celui, quel qu'il soit, qui rira le dernier, rira bien
et
- il y a quelqu'un qui rira le dernier et celui-là rira bien.
Sans doute, c'est comme dire : "Il n'y a pas de place pour deux ici !" Sous-entendu : dégage. Mais cela reste sous-entendu.PauvreYorick a écrit:D'un autre côté il est toujours employé pour signifier implicitement: «c'est MOI qui rirai le dernier, et à ce moment-là, gare à ta gueule». Non ? Very Happy
- User17706Bon génie
Il y a plusieurs différences. La première phrase n'implique pas que quelqu'un rira le dernier, par exemple. (Certes, dans l'usage courant, ce genre de nuance a peu de chances d'apparaître.)Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:J'avoue ne pas bien voir la différence... Pour moi, "Il y a quelqu'un" paraphrase "celui", d'une manière ou d'une autre la phrase se garde bien de donner un nom.PauvreYorick a écrit:- celui, quel qu'il soit, qui rira le dernier, rira bien
et
- il y a quelqu'un qui rira le dernier et celui-là rira bien.
Différence plus importante: la première phrase exclut plus ou moins, et la seconde n'exclut clairement pas, que celui qui la prononce soit en mesure de dire à quel individu précis il pense.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Non mais je me réveille tout à coup et je me rends compte que j'ai dit n'importe quoi. Ça fait deux fois n'importe quoi, donc.
"Qui rira le dernier" est forcément une relative substantive, sujet du verbe "rira", caractérisé par l'adverbe "bien". Oui, c'était bon. Par contre j'ai du mal avec "le dernier" : équivalent de "en dernier", groupe adverbial ?...
Je comprends mieux, Yorick. Mais du coup "qui rira le dernier" ne me semble pas pouvoir équivaloir à aucune de ces deux phrases, en fin de compte : le contexte et l'intonation peuvent créer un sous-entendu, mais "qui", en lui-même, ne désigne personne d'existant dans le présent du discours et ne délivre aucune information sur celui qui sera le dernier à rire...
"Qui rira le dernier" est forcément une relative substantive, sujet du verbe "rira", caractérisé par l'adverbe "bien". Oui, c'était bon. Par contre j'ai du mal avec "le dernier" : équivalent de "en dernier", groupe adverbial ?...
Je comprends mieux, Yorick. Mais du coup "qui rira le dernier" ne me semble pas pouvoir équivaloir à aucune de ces deux phrases, en fin de compte : le contexte et l'intonation peuvent créer un sous-entendu, mais "qui", en lui-même, ne désigne personne d'existant dans le présent du discours et ne délivre aucune information sur celui qui sera le dernier à rire...
- User17706Bon génie
Si ça ne désigne personne, alors ça revient plutôt à la première phrase !
- User5899Demi-dieu
Ce qu'on nomme analyse logique est d'ordinaire une analyse des propositions. Je rêve, ou "rira bien" n'a pas été analysée ?
Par ailleurs, moi qui suis un peu âgé, j'analyse "qui rira le dernier" en proposition subordonnée relative, complément d'un antécédent sous-entendu, "celui".
Par ailleurs, moi qui suis un peu âgé, j'analyse "qui rira le dernier" en proposition subordonnée relative, complément d'un antécédent sous-entendu, "celui".
- roxanneOracle
Ah ! je n'osais rien dire, mais comme c'est un agrégé qui en parle ...C'est comme ça que je l'explique aux élèves en tout cas .Cripure a écrit:Ce qu'on nomme analyse logique est d'ordinaire une analyse des propositions. Je rêve, ou "rira bien" n'a pas été analysée ?
Par ailleurs, moi qui suis un peu âgé, j'analyse "qui rira le dernier" en proposition subordonnée relative, complément d'un antécédent sous-entendu, "celui".
- CathEnchanteur
+1, je rejoins l'avis des "plus de 40 ans".roxanne a écrit:Ah ! je n'osais rien dire, mais comme c'est un agrégé qui en parle ...C'est comme ça que je l'explique aux élèves en tout cas .Cripure a écrit:Ce qu'on nomme analyse logique est d'ordinaire une analyse des propositions. Je rêve, ou "rira bien" n'a pas été analysée ?
Par ailleurs, moi qui suis un peu âgé, j'analyse "qui rira le dernier" en proposition subordonnée relative, complément d'un antécédent sous-entendu, "celui".
- invitéeEBNiveau 10
C'est ce que je leur dis aussi !roxanne a écrit:Ah ! je n'osais rien dire, mais comme c'est un agrégé qui en parle ...C'est comme ça que je l'explique aux élèves en tout cas .Cripure a écrit:Ce qu'on nomme analyse logique est d'ordinaire une analyse des propositions. Je rêve, ou "rira bien" n'a pas été analysée ?
Par ailleurs, moi qui suis un peu âgé, j'analyse "qui rira le dernier" en proposition subordonnée relative, complément d'un antécédent sous-entendu, "celui".
Employez-vous, avec vos élèves, la terminologie de "proposition subordonnée relative substantive" ? Moi je ne le fais jamais mais peut-être est-ce un tort ! Déjà qu'ils ont du mal à différencier une relative d'une conjonctive ...
- roxanneOracle
J'ai dû le faire une année .Maintenant, c'est totalement inenvisageable . D'ailleurs , c'est un autre sujet, mais même avec des élèves de niveau correct, la grammaire devient un truc abscon ...
- User17706Bon génie
Restons courtoisroxanne a écrit:même avec des élèves de niveau correct, la grammaire devient un truc abscon ...
- invitéeEBNiveau 10
C'est bien ce que je me disais ... Merci Roxanne !
- TriskelNiveau 7
Quand le relatif n'a pas d'antécédent (c'est-à-dire d'antécédent dans le cotexte), on parle de relative substantive. On peut toujours restituer un antécédent ("celui"), mais la prudence veut que l'analyse se fasse uniquement sur l'occurrence en cotexte. La restitution prouve que nous avons affaire à une relative (si besoin était, puisque "qui" a une fonction dans la proposition qu'il introduit), c'est tout. Comme la relative peut être remplacée par un nom, elle est bien substantive.
Selon la GMF, "qui" est dans le cas présent un "relatif sans antécédent (obligatoirement simple) [qui] s'apparente à un pronom indéfini" ; cette grammaire exclue la possibilité d'un "qui" pronom indéfini, mais c'est de l'ergotage.
Je ne saurais comment analyser "le dernier". En ce qui concerne sa nature, c'est un adjectif, qui exprime un degré élevé, qui a subi une conversion, fréquente pour les adjectifs ; mais pour sa fonction…
Selon la GMF, "qui" est dans le cas présent un "relatif sans antécédent (obligatoirement simple) [qui] s'apparente à un pronom indéfini" ; cette grammaire exclue la possibilité d'un "qui" pronom indéfini, mais c'est de l'ergotage.
Je ne saurais comment analyser "le dernier". En ce qui concerne sa nature, c'est un adjectif, qui exprime un degré élevé, qui a subi une conversion, fréquente pour les adjectifs ; mais pour sa fonction…
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L'espoir des cantharides
Est un bien bel espoir.
- User5899Demi-dieu
Aucun intérêt du point de vue du lycée. J'ai juste besoin de différencier relative de conjonctive et de faire comprendre la notion d'antécédent, éventuellement sous-entendu. Je sais qu'universitairement, ce n'est pas très valable comme analyse syntaxique, mais nous ne travaillons pas à l'université.Emma B. a écrit:Employez-vous, avec vos élèves, la terminologie de "proposition subordonnée relative substantive" ? Moi je ne le fais jamais mais peut-être est-ce un tort ! Déjà qu'ils ont du mal à différencier une relative d'une conjonctive ...
C'est un attribut du sujet "qui" via un "étant" sous-entenduTriskel a écrit:Je ne saurais comment analyser "le dernier". En ce qui concerne sa nature, c'est un adjectif, qui exprime un degré élevé, qui a subi une conversion, fréquente pour les adjectifs ; mais pour sa fonction…
- V.MarchaisEmpereur
Mamamanette, l'analyse traditionnelle est celle évoquée par Cripure et Roxane.
Mais dans la perspective de l'agrégation, tu peux peut-être, au lieu de te précipiter sur cette analyse, même reconnue, poser les problèmes que soulèvent ces tournures sans antécédent.
Quelques pistes :
- celle, déjà développée ici, de la relative avec antécédent sous-entendu : [celui] qui dort dîne, [celui] qui rira le dernier rira bien. Cela a déjà été expliqué, je n'y reviens pas.
- la commutation, dans ces tournures, de "qui" avec "quiconque" qui s'analyse aussi comme pronom indéfini. On peut dès lors légitimement poser la question : puisqu'il n'y a pas d'antécédent et que le mot commute avec un indéfini, n'est-il pas plus cohérent de le considérer lui aussi comme un indéfini ?
- le problème de ces tournures où "qui" sans antécédent est employé en fonction de COD, ce qui est impossible pour un pronom relatif, le pronom relatif COD étant "que" et non "qui". On en a des exemples attestés dans des tours comme "Embrassez qui vous voudrez" (qui ne peut se paraphraser par "Embrassez [celui] qui vous voudrez). Mais on dira aussi bien :
Qui m'aime me suive, mais qui j'aime me guide ! (et non que j'aime, comme on dirait "celui que j'aime").
Qui elle appellera se lèvera et se placera à sa droite.
Etc.
Dès lors, deux possibilités d'analyses, le pronom relatif étant exclu à cause de sa morphologie :
- on en revient au pronom indéfini (équivalent de quiconque) ;
- ou bien on considère ici qui comme un pronom interrogatif, et l'analyse se fait sémantiquement ainsi : Qui rira le dernier ? La personne qui remplit cette condition rira bien. Cela peut paraître un peu tiré par les cheveux, mais d'un point de vue strictement morphologique, cela se défend mieux que pronom relatif pour tous les cas où l'on a "qui" COD, et ça a sa cohérence. Je ne saurais plus te dire sous quelle plume j'avais lu cette analyse (qui n'est guère de moi), que j'avais trouvé intéressante.
Bref, dans la perspective d'une leçon d'agreg, où il s'agit davantage de faire montre de ses capacités d'analyse que de réciter une leçon bien circonscrite, je pense que ces éléments peuvent être intéressants.
bon courage.
Mais dans la perspective de l'agrégation, tu peux peut-être, au lieu de te précipiter sur cette analyse, même reconnue, poser les problèmes que soulèvent ces tournures sans antécédent.
Quelques pistes :
- celle, déjà développée ici, de la relative avec antécédent sous-entendu : [celui] qui dort dîne, [celui] qui rira le dernier rira bien. Cela a déjà été expliqué, je n'y reviens pas.
- la commutation, dans ces tournures, de "qui" avec "quiconque" qui s'analyse aussi comme pronom indéfini. On peut dès lors légitimement poser la question : puisqu'il n'y a pas d'antécédent et que le mot commute avec un indéfini, n'est-il pas plus cohérent de le considérer lui aussi comme un indéfini ?
- le problème de ces tournures où "qui" sans antécédent est employé en fonction de COD, ce qui est impossible pour un pronom relatif, le pronom relatif COD étant "que" et non "qui". On en a des exemples attestés dans des tours comme "Embrassez qui vous voudrez" (qui ne peut se paraphraser par "Embrassez [celui] qui vous voudrez). Mais on dira aussi bien :
Qui m'aime me suive, mais qui j'aime me guide ! (et non que j'aime, comme on dirait "celui que j'aime").
Qui elle appellera se lèvera et se placera à sa droite.
Etc.
Dès lors, deux possibilités d'analyses, le pronom relatif étant exclu à cause de sa morphologie :
- on en revient au pronom indéfini (équivalent de quiconque) ;
- ou bien on considère ici qui comme un pronom interrogatif, et l'analyse se fait sémantiquement ainsi : Qui rira le dernier ? La personne qui remplit cette condition rira bien. Cela peut paraître un peu tiré par les cheveux, mais d'un point de vue strictement morphologique, cela se défend mieux que pronom relatif pour tous les cas où l'on a "qui" COD, et ça a sa cohérence. Je ne saurais plus te dire sous quelle plume j'avais lu cette analyse (qui n'est guère de moi), que j'avais trouvé intéressante.
Bref, dans la perspective d'une leçon d'agreg, où il s'agit davantage de faire montre de ses capacités d'analyse que de réciter une leçon bien circonscrite, je pense que ces éléments peuvent être intéressants.
bon courage.
- User5899Demi-dieu
Oui, Véronique a raison, et je l'ai bien laissé entendre : j'ai une agreg de classiques et je n'ai jamais eu de leçon de grammaire universitaire à présenter. Mes analyses sont celles que je présente succinctement en lycée pour les besoins de la compréhension des textes que je fais lire. Je n'ai rien contre la réflexion en grammaire (j'ai beaucoup plus, en revanche, contre la grammaire universitaire en collège, mais c'est un sujet récurrent).
- barègesÉrudit
Mais ce n'est pas le cas ici, dans "rira bien qui rira le dernier".V.Marchais a écrit:
- le problème de ces tournures où "qui" sans antécédent est employé en fonction de COD, ce qui est impossible pour un pronom relatif, le pronom relatif COD étant "que" et non "qui". On en a des exemples attestés dans des tours comme "Embrassez qui vous voudrez" (qui ne peut se paraphraser par "Embrassez [celui] qui vous voudrez). Mais on dira aussi bien :
Qui m'aime me suive, mais qui j'aime me guide ! (et non que j'aime, comme on dirait "celui que j'aime").
Qui elle appellera se lèvera et se placera à sa droite.
Etc.
Dès lors, deux possibilités d'analyses, le pronom relatif étant exclu à cause de sa morphologie :
- on en revient au pronom indéfini (équivalent de quiconque) ;
- ou bien on considère ici qui comme un pronom interrogatif, et l'analyse se fait sémantiquement ainsi : Qui rira le dernier ? La personne qui remplit cette condition rira bien. Cela peut paraître un peu tiré par les cheveux, mais d'un point de vue strictement morphologique, cela se défend mieux que pronom relatif pour tous les cas où l'on a "qui" COD, et ça a sa cohérence. Je ne saurais plus te dire sous quelle plume j'avais lu cette analyse (qui n'est guère de moi), que j'avais trouvé intéressante.
Autre chose, qui n'a rien à voir mais me revient en tête quand on a ces tournures avec "qui" COD : en diachronie, il y a eu des époques où "qui" était la forme normale du pronom relatif régime. Il y en a des traces jusqu'au 17e siècle.
L'analyse en pronom interrogatif trouverait ses limites dans les cas où "qui" a une fonction dans la subordonnée : c'est un critère de reconnaissance de la relative...
- V.MarchaisEmpereur
Certes, mais si on veut interroger ce pronom tout de même problématique, il va falloir réfléchir en élargissant un peu le corpus.barèges a écrit:
Mais ce n'est pas le cas ici, dans "rira bien qui rira le dernier".
Je ne savais pas. C'est intéressant. Tu aurais des exemples ?
Autre chose, qui n'a rien à voir mais me revient en tête quand on a ces tournures avec "qui" COD : en diachronie, il y a eu des époques où "qui" était la forme normale du pronom relatif régime. Il y en a des traces jusqu'au 17e siècle.
Je ne comprends pas : le pronom interrogatif a lui aussi une fonction dans la subordonnée.L'analyse en pronom interrogatif trouverait ses limites dans les cas où "qui" a une fonction dans la subordonnée : c'est un critère de reconnaissance de la relative...
Je me demande qui il a appelé : qui, COD du verbe appeler.
Je me demande qui est là : qui, sujet.
Etc.
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