Jean-marc Ayrault a-t-il fréquenté les IPES pour passer le capes d'allemand ?

Janne a écrit:C'est tonton golden qui me fait rire et pas Ayrault ...
J'ai envie de retrouver cette source : entre les stagiaires et les contractuels-admissibles, quand je vois la casse de l'entrée dans le métier des nouveaux venus et quand je pense aux conditions qu'Ayrault et Peillon ont eues à leurs débuts....

La référence à Balavoine m'est venue tout de suite à l'esprit quand " Z'Ayrault " a été nommé Premier " Sinistre ".

Je suis en accord avec ce que tu dis au sujet des nouveaux profs. Voir mon message sur le topic " Si j'étais ministre de l'Education Nationale " .

Je m'attendais à beaucoup mieux quand le PS est arrivé au pouvoir. Je suis encore déçu ! Ils n'ont pas retenu la leçon de 2002 !! Les politiques au pouvoir depuis 1997 continuent leur travail de destruction de l'Education Nationale, du métier d'enseignant et pire de l'avenir de nos enfants.

iphigénie a écrit:revers de la médaille, l'Ipessien qui n'obtenait pas le Capes se voyait automatiquement propulsé comme maître-auxiliaire ou devait rembourser ses Ipes.

En théorie seulement, selon l'état des besoin de l'ÉN en M-A : mon épouse, Ipéssienne en Lett. class. qui ne souhaitait finalement pas enseigner, a raté (comme prévu) le CAPES une première fois, a eu une sorte de bourse, équivalant il me semble à la moitié du montant des IPES, pour préparer une 2e tentative : échec programmé à nouveau, en juin 75 : le patron des IPES lui a alors indiqué qu'il n'y avait aucun poste à lui proposer comme M-A, et que de ce fait l'État rompait le contrat qui prévoyait explicitement une telle obligation, ce qui libérait par là même mon épouse de toute obligation de remboursement. Bingo !! C'était le bon temps...