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- User5899Demi-dieu
Ah, d'accord, mais ça, c'est une pratique qui découle des IO, qui ne disent jamais que ces documents doivent être présentés physiquement lors de l'épreuve. Bof, pour l'iconographie, hein... On est en françaisnuages a écrit:Pour les OI il s'agit effectivement d'un texte officiel auquel Cripure s'est référé à plusieurs reprises mentionnant une OI poésie en série technologique : recueil de poèmes ou section d'un recueil en plusieurs parties. Je suis allée vérifier quand Cripure a corrigé un de mes messages indiquant 2 OI, il m'a fait remarquer que c'était 3 et il avait raison.
Quant aux documents complémentaires , l'IPR de l'académie de Rouen a indiqué, à une réunion d'harmonisation pour l'oral en juin 2013 de tous les examinateurs, qu'ils ne devaient ni être fournis aux examinateurs dans le descriptif ni être apportés par le candidat. Le professeur peut bien sûr en étudier pendant l'année autant qu'il veut, l'élève peut les mentionner dans l'entretien s'il le souhaite mais on ne peut pas s'appuyer concrètement dessus ni les consulter. Cette nouvelle mesure a soulevé les protestations des collègues ayant tout particulièrement étudié des documents iconographiques car si l'élève veut les évoquer, il doit le faire de mémoire.
Toutefois, le descriptif étant fourni aux examinateurs en avance, les IO précisent que les docs complémentaires donnés par le prof figurent sur ce descriptif, n'en déplaise à Monsieur l'IA-IPR de l'académie de Rouen
- MymiNiveau 5
Je suis en fait d'accord avec ce point que je souligne dans votre réponse, mais du coup, quid de l'objet d'étude "le texte théâtral et sa représentation"?Cripure a écrit:
Ah, d'accord, mais ça, c'est une pratique qui découle des IO, qui ne disent jamais que ces documents doivent être présentés physiquement lors de l'épreuve. Bof, pour l'iconographie, hein... On est en français
Toutefois, le descriptif étant fourni aux examinateurs en avance, les IO précisent que les docs complémentaires donnés par le prof figurent sur ce descriptif, n'en déplaise à Monsieur l'IA-IPR de l'académie de Rouen
J'aimerais réellement savoir comment vous envisagez ce travail, car, "theatreuse" depuis plus de 10 ans maintenant, j'ai tendance à penser qu'on a voulu ici faire preuve d'un esprit d'ouverture soit louable, mais qui dépasse le cadre du Français.
D'ailleurs, c'est simple, quand un gamin travailleur a des difficultés là dessus, je lui conseille de venir observer quelques séances de l'atelier théâtre.
- User5899Demi-dieu
Cet OE est intéressant, mais c'est un cauchemar dans mon lycée de campagne, car représentation n'est pas mise en scène et sans théâtre à proximité, c'est dur d'étudier ces points seulement au vidéoprojecteur. De toutes façons, pour l'oral, c'est clairement limité au texte.Mymi a écrit:Je suis en fait d'accord avec ce point que je souligne dans votre réponse, mais du coup, quid de l'objet d'étude "le texte théâtral et sa représentation"?Cripure a écrit:
Ah, d'accord, mais ça, c'est une pratique qui découle des IO, qui ne disent jamais que ces documents doivent être présentés physiquement lors de l'épreuve. Bof, pour l'iconographie, hein... On est en français
Toutefois, le descriptif étant fourni aux examinateurs en avance, les IO précisent que les docs complémentaires donnés par le prof figurent sur ce descriptif, n'en déplaise à Monsieur l'IA-IPR de l'académie de Rouen
J'aimerais réellement savoir comment vous envisagez ce travail, car, "theatreuse" depuis plus de 10 ans maintenant, j'ai tendance à penser qu'on a voulu ici faire preuve d'un esprit d'ouverture soit louable, mais qui dépasse le cadre du Français.
D'ailleurs, c'est simple, quand un gamin travailleur a des difficultés là dessus, je lui conseille de venir observer quelques séances de l'atelier théâtre.
- trompettemarineMonarque
Bonjour,
je suis surprise de ce qui est dit sur les textes à fournir à l'examinateur. Chez nous, c'est l'inverse : nous sommes conviés à donner une copie de tous nos textes et à être le plus précis possible sur le descriptif pour que l'on puisse mener correctement l'entretien.
Enfin la dénomination "textes complémentaires" disparaît des programmes : elle est remplacée (en gros) par "textes étudiés en lecture cursive". Néanmoins les textes régissant le baccalauréat n'ayant pas été changés, l'expression "texte complémentaire" peut apparaître sur le descriptif.
Enfin, je suis d'accord avec Cripure pour dire que les programmes sont peu clairs sur le point suivant : chaque objet d'étude doit comprendre une œuvre intégrale, un ou deux groupements, de la LCA et/ou de l'histoire des Arts (selon les Objets). Or dans les IO des séries générales, comment comprendre la phrase : "L'étude de trois œuvres au moins et de trois groupements au moins sur une année est obligatoire." (pour les séries technologiques lire "deux œuvres") ?
"L'étude" doit-elle forcément comprendre des LA (ce que je pense) [dans ce cas il faut ajouter à ces trois œuvres et trois groupements, une autre œuvre et un autre groupement en lecture cursive] ? En suivant ce "sens-là" des IO, je fais entre 15 et 18 textes en STMG, 20 et 25 en S/ ET et 28-30 en L.
Ou est-on libre d'étudier comme l'on souhaite ces trois œuvres et trois groupements (lecture analytique ou lecture cursive)? On peut alors aboutir alors à quatre séquences maximum, voire trois (si on croise les objets d'étude) et au bout du compte très peu de textes en lecture analytique. Certaines listes de bac ont alors parfois moins d'une dizaine de textes en lecture analytique.
Les textes officiels ne précisent pas le nombre de lectures analytiques.
Je souhaiterais que le texte soit clarifié (dans un sens ou dans l'autre) afin d'être plus sereine dans l'établissement de ma progression.
je suis surprise de ce qui est dit sur les textes à fournir à l'examinateur. Chez nous, c'est l'inverse : nous sommes conviés à donner une copie de tous nos textes et à être le plus précis possible sur le descriptif pour que l'on puisse mener correctement l'entretien.
Enfin la dénomination "textes complémentaires" disparaît des programmes : elle est remplacée (en gros) par "textes étudiés en lecture cursive". Néanmoins les textes régissant le baccalauréat n'ayant pas été changés, l'expression "texte complémentaire" peut apparaître sur le descriptif.
Enfin, je suis d'accord avec Cripure pour dire que les programmes sont peu clairs sur le point suivant : chaque objet d'étude doit comprendre une œuvre intégrale, un ou deux groupements, de la LCA et/ou de l'histoire des Arts (selon les Objets). Or dans les IO des séries générales, comment comprendre la phrase : "L'étude de trois œuvres au moins et de trois groupements au moins sur une année est obligatoire." (pour les séries technologiques lire "deux œuvres") ?
"L'étude" doit-elle forcément comprendre des LA (ce que je pense) [dans ce cas il faut ajouter à ces trois œuvres et trois groupements, une autre œuvre et un autre groupement en lecture cursive] ? En suivant ce "sens-là" des IO, je fais entre 15 et 18 textes en STMG, 20 et 25 en S/ ET et 28-30 en L.
Ou est-on libre d'étudier comme l'on souhaite ces trois œuvres et trois groupements (lecture analytique ou lecture cursive)? On peut alors aboutir alors à quatre séquences maximum, voire trois (si on croise les objets d'étude) et au bout du compte très peu de textes en lecture analytique. Certaines listes de bac ont alors parfois moins d'une dizaine de textes en lecture analytique.
Les textes officiels ne précisent pas le nombre de lectures analytiques.
Je souhaiterais que le texte soit clarifié (dans un sens ou dans l'autre) afin d'être plus sereine dans l'établissement de ma progression.
- User5899Demi-dieu
Bon, pourêtre franc, maintenant, je fais un peu ce que je veux, et les ambiguïtés des BO m'en touchent une sans ébranler l'autre.trompettemarine a écrit:Bonjour,
je suis surprise de ce qui est dit sur les textes à fournir à l'examinateur. Chez nous, c'est l'inverse : nous sommes conviés à donner une copie de tous nos textes et à être le plus précis possible sur le descriptif pour que l'on puisse mener correctement l'entretien.
Enfin la dénomination "textes complémentaires" disparaît des programmes : elle est remplacée (en gros) par "textes étudiés en lecture cursive". Néanmoins les textes régissant le baccalauréat n'ayant pas été changés, l'expression "texte complémentaire" peut apparaître sur le descriptif.
Enfin, je suis d'accord avec Cripure pour dire que les programmes sont peu clairs sur le point suivant : chaque objet d'étude doit comprendre une œuvre intégrale, un ou deux groupements, de la LCA et/ou de l'histoire des Arts (selon les Objets). Or dans les IO des séries générales, comment comprendre la phrase : "L'étude de trois œuvres au moins et de trois groupements au moins sur une année est obligatoire." (pour les séries technologiques lire "deux œuvres") ?
"L'étude" doit-elle forcément comprendre des LA (ce que je pense) [dans ce cas il faut ajouter à ces trois œuvres et trois groupements, une autre œuvre et un autre groupement en lecture cursive] ? En suivant ce "sens-là" des IO, je fais entre 15 et 18 textes en STMG, 20 et 25 en S/ ET et 28-30 en L.
Ou est-on libre d'étudier comme l'on souhaite ces trois œuvres et trois groupements (lecture analytique ou lecture cursive)? On peut alors aboutir alors à quatre séquences maximum, voire trois (si on croise les objets d'étude) et au bout du compte très peu de textes en lecture analytique. Certaines listes de bac ont alors parfois moins d'une dizaine de textes en lecture analytique.
Les textes officiels ne précisent pas le nombre de lectures analytiques.
Je souhaiterais que le texte soit clarifié (dans un sens ou dans l'autre) afin d'être plus sereine dans l'établissement de ma progression.
- retraitéeDoyen
En 1982, date à laquelle je suis arrivée au lycée, il fallait juste une liste de textes choisis du XVIe au XXe, et appartenant à tous les genres (roman, théâtre, poésie, essais). Il y avait des OI, mais au choix aussi.
J'avais établi une liste "chronologique"
Ce qu'on était peinard, alors!
Une copine, elle, ne présentait que des OI, en nombre important. Au moins, ses élèves avaient lu et retenu le contenu de ces oeuvres !
J'avais établi une liste "chronologique"
Ce qu'on était peinard, alors!
Une copine, elle, ne présentait que des OI, en nombre important. Au moins, ses élèves avaient lu et retenu le contenu de ces oeuvres !
- trompettemarineMonarque
Cripure : "Bon, pour être franc, maintenant, je fais un peu ce que je veux, et les ambiguïtés des BO m'en touchent une sans ébranler l'autre."
Malheureusement, je n'en ai pas.
Malheureusement, je n'en ai pas.
- InvitéInvité
Moi, ce qui me sidère, c'est de voir les différences de consignes qu'il y a entre les académies, quant aux descriptifs ou aux corrections. Et après ça, on viendra nous parler d'égalité liée au bac et d'injustice liée au contrôle continu.
Je rigole doucement.
Je rigole doucement.
- User5899Demi-dieu
Même pas deux seins ?trompettemarine a écrit:Cripure : "Bon, pour être franc, maintenant, je fais un peu ce que je veux, et les ambiguïtés des BO m'en touchent une sans ébranler l'autre."
Malheureusement, je n'en ai pas.
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