- susannah_283Expert
Bonsoir à tous!
J'ai une question pour les collègues de lycée : un élève qui choisirait l'option latin en seconde s'engage-t-il comme au collège pour trois ans ou a-t-il la possibilité d'arrêter en fin de seconde?
Merci beaucoup de vos réponses,
Susannah
J'ai une question pour les collègues de lycée : un élève qui choisirait l'option latin en seconde s'engage-t-il comme au collège pour trois ans ou a-t-il la possibilité d'arrêter en fin de seconde?
Merci beaucoup de vos réponses,
Susannah
- KilmenyEmpereur
Et cette absence d'engagement fait que les élèves ont moins peur de le choisir... Souvent le fait de pouvoir l'arrêter les rassure.
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- IphigénieProphète
Voui, enfin là je suis en train de me dire qu'il ne faudrait pas trop les rassurer non plus
et leur dire que le latin en lycée c'est un bénéfice à condition de travailler un peu: j'en ai assez de voir des élèves de seconde venir en latin comme au café du commerce:
-" c'est pour avoir des points, M'dame, pas pour bosser.
Ah ben mon petit vieux, tu n'auras pas l'un sans l'autre."
Bref l'élève qui veut prendre le latin mais qui "a peur d'être obligé de le garder", faudrait savoir ce qu'il veut.
Et en plus c'est qu'il ne comprend rien à l'orientation de fin de seconde...
Il y a des orientations où même en le désirant ardemment, il ne pourra pas garder le latin (STMG, et selon les établissements SI.)
Bref ce n'est pas qu'il n'est pas obligé de" c'est qu'il devra "mériter de pouvoir le poursuivre" ou "choisir une orientation que sera compatible"...
et leur dire que le latin en lycée c'est un bénéfice à condition de travailler un peu: j'en ai assez de voir des élèves de seconde venir en latin comme au café du commerce:
-" c'est pour avoir des points, M'dame, pas pour bosser.
Ah ben mon petit vieux, tu n'auras pas l'un sans l'autre."
Bref l'élève qui veut prendre le latin mais qui "a peur d'être obligé de le garder", faudrait savoir ce qu'il veut.
Et en plus c'est qu'il ne comprend rien à l'orientation de fin de seconde...
Il y a des orientations où même en le désirant ardemment, il ne pourra pas garder le latin (STMG, et selon les établissements SI.)
Bref ce n'est pas qu'il n'est pas obligé de" c'est qu'il devra "mériter de pouvoir le poursuivre" ou "choisir une orientation que sera compatible"...
- KilmenyEmpereur
iphigénie a écrit:Voui, enfin là je suis en train de me dire qu'il ne faudrait pas trop les rassurer non plus
et leur dire que le latin en lycée c'est un bénéfice à condition de travailler un peu: j'en ai assez de voir des élèves de seconde venir en latin comme au café du commerce:
-" c'est pour avoir des points, M'dame, pas pour bosser.
Ah ben mon petit vieux, tu n'auras pas l'un sans l'autre.".
Tout à fait... Mon propos ne vise pas à créer des armées de fainéants... Seulement à rassurer les élèves (souvent les bons) qui ont peur de la charge de travail...et aiment conserver une porte de sortie qu'ils n'utilisent pas en principe. (sinon, c'est moi qui y pousse les fainéants. C'est un luxe que je peux à présent me permettre et cela fait du bien )
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- IphigénieProphète
Même situation ici, sur mes trente, j'en aurais viré volontiers une dizaine au début de l'année.
- susannah_283Expert
Là, pour le coup, c'est un très bon élève, qui n'aime pas particulièrement le latin, et voudrait voir si le courant passe toujours au lycée.
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