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- NoukaExpert
Voici la suite des réflexions. Mon mari s'est enseigné tout ce matin. Voilà ce qui peut se passer pour lui dans le pire des scénarios : il démissionne de son actuel boulot, il fait sa période d'essai et ils ne le gardent pas. Résultat : retour en France sans RIEN : il a perdu ses droits au chômage ici car il démissionne et il n'aura rien avec son contrat là-bas parce qu'ils n'ont pas d'assurance chômage... Autrement dit, ca fait un peu froid dans le dos. Seule solution : que son employeur actuel accepte une rupture conventionnelle (impossible...) ou que mon mari cotise pour une assurance chômage personnellement, soit 600 euros par mois.
Dur, dur ...
Dur, dur ...
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- NoukaExpert
Coucou !Malaca a écrit:Je vois que les choses progressent :succes:
2X3 mois c'est effectivement trop long pour être séparés mais assez long pour tenter l'aventure, profite de la possibilité de prendre une dispo, envoie ton dossier pour postuler en Polynésie et laisse faire ...
Les risques sont minimisés dans la mesure ou tu retrouveras un poste quoiqu'il en soit, c'est effectivement ton mari qui prend le plus gros risque, mais sur un cv une telle expérience reste positive.
J'ai passe 7 ans en Polynésie et j'y serais bien restée ...
Fa'a ito ito et manuia!
Contente de te revoir ici. Je n'ai pas répondu à ton mail, je pensais que tu étais encore dans les cartons et dans le speed ! Ca doit etre pourtant le cas ! Comment ça va ????
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- Marie LaetitiaBon génie
Mais il ne peut pas prendre une année de congé sabbatique? Ce n'est pas un droit pour les salariés dans le code des entreprises ?Nouka a écrit:Voici la suite des réflexions. Mon mari s'est enseigné tout ce matin. Voilà ce qui peut se passer pour lui dans le pire des scénarios : il démissionne de son actuel boulot, il fait sa période d'essai et ils ne le gardent pas. Résultat : retour en France sans RIEN : il a perdu ses droits au chômage ici car il démissionne et il n'aura rien avec son contrat là-bas parce qu'ils n'ont pas d'assurance chômage... Autrement dit, ca fait un peu froid dans le dos. Seule solution : que son employeur actuel accepte une rupture conventionnelle (impossible...) ou que mon mari cotise pour une assurance chômage personnellement, soit 600 euros par mois.
Dur, dur ...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- seven5Niveau 6
Le top aurait effectivement qu'il se fasse "virer" de son employeur mais c'est pas toujours possible.
Par contre avant de flipper, il faut voir, est ce que dans son domaine il y a de l'embauche? si il va sur un poste interessant et que il a un profil interessant aussi, il n'y a pas de raison pour que en cas de soucis il ne puisse pas retrouver du boulot.
Il faut que vous prevoyez si vous pouvez de quoi vous assurer une autonomie financiere de quelques mois si il devait retrouver un job.
Il a peut etre un moyen de négocier avec son futur employeur, puisqu'il prend le risque de tout quitter pour ce nouveau job, il pourrait peut etre demandé à avoir une "prime" de départ si au final il ne convenait pas , une prime lui permettant un retour en métropole correct.
apres je ne sais pas ca depend aussi du domaine ou il bosse et de son niveau.
Par contre avant de flipper, il faut voir, est ce que dans son domaine il y a de l'embauche? si il va sur un poste interessant et que il a un profil interessant aussi, il n'y a pas de raison pour que en cas de soucis il ne puisse pas retrouver du boulot.
Il faut que vous prevoyez si vous pouvez de quoi vous assurer une autonomie financiere de quelques mois si il devait retrouver un job.
Il a peut etre un moyen de négocier avec son futur employeur, puisqu'il prend le risque de tout quitter pour ce nouveau job, il pourrait peut etre demandé à avoir une "prime" de départ si au final il ne convenait pas , une prime lui permettant un retour en métropole correct.
apres je ne sais pas ca depend aussi du domaine ou il bosse et de son niveau.
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"J'voudrais pas faire ma raclette, mais la soirée s'annonce pas super."
- piescoModérateur
Le congé est de droit après un certain nombre d'années dans l'entreprise.
Quand on prend un congé sabbatique on a besoin de l'accord de sa boîte pour travailler ailleurs, et en principe on s'engage à travailler dans une autre branche. Après il faut voir, ils seront peut-être arrangeants.
Quand on prend un congé sabbatique on a besoin de l'accord de sa boîte pour travailler ailleurs, et en principe on s'engage à travailler dans une autre branche. Après il faut voir, ils seront peut-être arrangeants.
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Nos han quitado tanto, nos quitaron el miedo.
https://www.youtube.com/watch?v=oeU7rb-dBow&t=277s
- NoukaExpert
Le congé sabbatique, ca ne passera pas, il ne sera pas accepté ou pas dans les délais qu'on a.
2 solutions : ils acceptent la rupture conventionnelle et on est serein pour le retour car il touchera la chômage.
Ils refusent et mon mari démissionne et au retour, plus ou moins prématuré, on puisera dans nos ressources le temps qu'il trouve un autre travail...
J'accepte un peu mieux les choses après une journée de recul. On ne va pas se dire "on ne le fait pas car on a peur qu'au retour il ne touche pas le chômage"...
2 solutions : ils acceptent la rupture conventionnelle et on est serein pour le retour car il touchera la chômage.
Ils refusent et mon mari démissionne et au retour, plus ou moins prématuré, on puisera dans nos ressources le temps qu'il trouve un autre travail...
J'accepte un peu mieux les choses après une journée de recul. On ne va pas se dire "on ne le fait pas car on a peur qu'au retour il ne touche pas le chômage"...
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- NoukaExpert
Vous savez quoi ? Je n'arrive pas à penser au boulot... impossible de me mettre à bosser... et pourtant, je n'ai rien fait, j'attends mon affectation avec impatience et je ne suis pas du tout prête...
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- seven5Niveau 6
avec cela en tete, c'est pas étonnant!
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"J'voudrais pas faire ma raclette, mais la soirée s'annonce pas super."
- PiliGrand sage
Mais pourquoi imaginer le pire scénario ?
Son milieu professionnel est-il aussi fragile ?
Son milieu professionnel est-il aussi fragile ?
- NoukaExpert
C'est plutôt le contexte économique qui est plus que fragile... doublé d'un challenge très difficile à relever : remettre en place toute l'organisation d'une entreprise, revoir les façons de travailler, avec des gens qui n'ont pas "notre" façon de bosser sous pression... donc pas facile sans doute.
Ca marchera peut-être, j'ai confiance en lui (plus que lui en lui !) mais il y a peut-être des aléa que nous ne maîtriserons pas.
Quant à prévoir le pire scénario, ça, c'est dans notre nature...
Ca marchera peut-être, j'ai confiance en lui (plus que lui en lui !) mais il y a peut-être des aléa que nous ne maîtriserons pas.
Quant à prévoir le pire scénario, ça, c'est dans notre nature...
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- piescoModérateur
http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do?idSectionTA=LEGISCTA000006198612&cidTexte=LEGITEXT000006072050&dateTexte=20130819Nouka a écrit:Le congé sabbatique, ca ne passera pas, il ne sera pas accepté ou pas dans les délais qu'on a.
2 solutions : ils acceptent la rupture conventionnelle et on est serein pour le retour car il touchera la chômage.
Ils refusent et mon mari démissionne et au retour, plus ou moins prématuré, on puisera dans nos ressources le temps qu'il trouve un autre travail...
J'accepte un peu mieux les choses après une journée de recul. On ne va pas se dire "on ne le fait pas car on a peur qu'au retour il ne touche pas le chômage"...
- NoukaExpert
Merci mais cela confirme ce que je pensais : l'employeur peut différer de 6 mois la date de départ en congé sabbatique. Etant donné que mon mari est en plein dans un projet qu'il ne pourra donc mener à terme, son employeur ne va pas se gêner pour le garder 6 mois de plus dans le projet. Et donc cela ne colle pas avec le nouveau contrat.
De toute façon mon mari ne pense pas que ce soit une bonne idée vis-à-vis de son employeur et du contexte.
Mais merci quand même, ca nous a permis de l'envisager.
Dernier plan : négocier la rupture conventionnelle...
De toute façon mon mari ne pense pas que ce soit une bonne idée vis-à-vis de son employeur et du contexte.
Mais merci quand même, ca nous a permis de l'envisager.
Dernier plan : négocier la rupture conventionnelle...
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- MalacaEsprit éclairé
Coucou Nouka !
arrivée à destination:topela: nous n'avons donc même plus de cartons, ils voguent, quelque part et nous en sommes (déjà) aux démarches administratives, pratiques et matérielles relatives à la nouvelle installation, tout un programme ...
Je crois qu'il est bon d'envisager toutes les possibilités, même les pires - surtout comme tu le dis dans le contexte très particulier de l'Outre Mer, et je le confirme pour l'avoir vécu ! - cela évite les mauvaises surprises, et je dois dire que c'est aussi ma façon de fonctionner
Par contre une fois les yeux "ouverts" il ne faut pas que cela paralyse toute action, vous allez pouvoir prendre vos décisions en toute connaissance de cause et cela n'en sera que plus motivant.
Si toutefois cela ne fonctionnait pas au mieux, et retour il y avait, je crois que ton mari a de l'expérience et est mobile, cela aide pour rebondir.
Ensuite, si tu demandes et obtiens un poste en Polynésie pour la rentrée 2014, il pourrait toujours tenter sa chance avec une autre entreprise la bas ou en formation free lance ...
Quant à "négocier" son départ, cela dépend des relations actuelles avec sa boîte, c'est sur que ce serait l'idéal...
Bon courage à vous !!
arrivée à destination:topela: nous n'avons donc même plus de cartons, ils voguent, quelque part et nous en sommes (déjà) aux démarches administratives, pratiques et matérielles relatives à la nouvelle installation, tout un programme ...
Je crois qu'il est bon d'envisager toutes les possibilités, même les pires - surtout comme tu le dis dans le contexte très particulier de l'Outre Mer, et je le confirme pour l'avoir vécu ! - cela évite les mauvaises surprises, et je dois dire que c'est aussi ma façon de fonctionner
Par contre une fois les yeux "ouverts" il ne faut pas que cela paralyse toute action, vous allez pouvoir prendre vos décisions en toute connaissance de cause et cela n'en sera que plus motivant.
Si toutefois cela ne fonctionnait pas au mieux, et retour il y avait, je crois que ton mari a de l'expérience et est mobile, cela aide pour rebondir.
Ensuite, si tu demandes et obtiens un poste en Polynésie pour la rentrée 2014, il pourrait toujours tenter sa chance avec une autre entreprise la bas ou en formation free lance ...
Quant à "négocier" son départ, cela dépend des relations actuelles avec sa boîte, c'est sur que ce serait l'idéal...
Bon courage à vous !!
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Ajouter de la vie aux années plutôt que des années à la vie ...
"Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité." A. de Saint-Exupéry
mes rêves, ma réalité ...
- Libé-RationGuide spirituel
Partir à l'étranger, c'est évidemment prendre un risque, c'est larguer les amarres, quitter le port, etc.
Il faut se renseigner sur toutes les options, un homme averti en vaut deux.
Mais rentrer est toujours possible.
Quant à l'aventure sur place....
Quant à ceux qui renoncent, qui rentrent, oui, il y en a, évidemment, des qui pensaient se la couler douce les doigts de pieds en éventail sous les cocotiers en commandant aux locaux, etc.
Ceux qui partent de chez moi :
-ceux qui pensaient faire fortune, vivre comme des nababs. La vie est chère dans les îles, très, très chère, surtout pour le nécessaire.
-ceux qui pensaient trouver le même standard de vie qu'en Europe, clim partout, service de santé performant, etc. Ben, non, j'ai un collègue qui a peut-être une méningite... ben, il attend depuis deux jours qu'il y ait de la place dans un avion pour être rapatrié à l'hôpital... au mieux, il attend encore jusqu'à vendredi...en attendant, il peut agoniser autant qu'il veut.
-ceux qui croit que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil dans les z'îles. Ben, non, des pourris, il y en a plus qu'ailleurs ; tous ceux dont le monde n'a pas voulu s'est ramassé là.
Bonne décision, bon courage pour toutes les démarches, le parcours d'obstacle, etc.
Et bonne expérience ! :aaf: :aab:
Il faut se renseigner sur toutes les options, un homme averti en vaut deux.
Mais rentrer est toujours possible.
Quant à l'aventure sur place....
- Spoiler:
Et puis on sera "voisines"... avec une journée de décalage horaire !
Quant à ceux qui renoncent, qui rentrent, oui, il y en a, évidemment, des qui pensaient se la couler douce les doigts de pieds en éventail sous les cocotiers en commandant aux locaux, etc.
Ceux qui partent de chez moi :
-ceux qui pensaient faire fortune, vivre comme des nababs. La vie est chère dans les îles, très, très chère, surtout pour le nécessaire.
-ceux qui pensaient trouver le même standard de vie qu'en Europe, clim partout, service de santé performant, etc. Ben, non, j'ai un collègue qui a peut-être une méningite... ben, il attend depuis deux jours qu'il y ait de la place dans un avion pour être rapatrié à l'hôpital... au mieux, il attend encore jusqu'à vendredi...en attendant, il peut agoniser autant qu'il veut.
-ceux qui croit que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil dans les z'îles. Ben, non, des pourris, il y en a plus qu'ailleurs ; tous ceux dont le monde n'a pas voulu s'est ramassé là.
Bonne décision, bon courage pour toutes les démarches, le parcours d'obstacle, etc.
Et bonne expérience ! :aaf: :aab:
- NoukaExpert
Merci pour vos messages ! Le pire je crois que ca fait 2 jours qu'on en parle et - je crois - on s'y prépare.
Maintenant, c'est ce que je disais à mon mari hier soir, il ne faut pas non plus que cela occulte le reste. Il faut aussi qu'on s'enthousiasme de ce projet, qu'on pense aussi aux bons côtés. Sinon ce n'est pas la peine non ? Depuis deux jours on ne parle de scénario cata, chômage, retour, etc... Mais j'ai aussi besoin qu'on parle de maison, de maillot de bain, de découverte, d'aventure. Ou alors je manque de réalisme, je ne sais pas...
Maintenant, c'est ce que je disais à mon mari hier soir, il ne faut pas non plus que cela occulte le reste. Il faut aussi qu'on s'enthousiasme de ce projet, qu'on pense aussi aux bons côtés. Sinon ce n'est pas la peine non ? Depuis deux jours on ne parle de scénario cata, chômage, retour, etc... Mais j'ai aussi besoin qu'on parle de maison, de maillot de bain, de découverte, d'aventure. Ou alors je manque de réalisme, je ne sais pas...
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- piescoModérateur
Je trouve normal ce que vous faites en ce moment. A mon sens, c'est un processus normal dans le départ vers l'inconnu, quand on n'est pas inconscient.
Mais cela doit rester une étape: on connait les risques (et aspects négatifs) et on décide de faire quand-même. On voit les avantages (et points positifs), qui logiquement doivent l'emporter sur les premiers. Sinon, à quoi bon partir?
Bon courage pour cette phase nécessaire, mais pesante.
Mais cela doit rester une étape: on connait les risques (et aspects négatifs) et on décide de faire quand-même. On voit les avantages (et points positifs), qui logiquement doivent l'emporter sur les premiers. Sinon, à quoi bon partir?
Bon courage pour cette phase nécessaire, mais pesante.
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- NoukaExpert
Je fais remonter, un mois après !!
Les choses avancent bien. Mon mari a démissionné, on a reçu le contrat de travail. Je m'apprête à poser ma dispo. On commence à vendre des affaires et à envisager le déménagement. Bref, ça avance !!
Je me suis renseignée sur mes possibilités de travailler pendant ma dispo. Mais je ne comprends pas bien. Il est donc, d'après ce que j'ai compris, interdit de travailler dans les établissements publics ou privés sous contrat, en temps que vacataire. Mais en même temps, on me dit que personne n'ira vérifier. D'accord, mais que se passe-t-il si je le fais ? Il faudra bien à un moment que je fasse valoir mes droits à mon retour non ?
Les choses avancent bien. Mon mari a démissionné, on a reçu le contrat de travail. Je m'apprête à poser ma dispo. On commence à vendre des affaires et à envisager le déménagement. Bref, ça avance !!
Je me suis renseignée sur mes possibilités de travailler pendant ma dispo. Mais je ne comprends pas bien. Il est donc, d'après ce que j'ai compris, interdit de travailler dans les établissements publics ou privés sous contrat, en temps que vacataire. Mais en même temps, on me dit que personne n'ira vérifier. D'accord, mais que se passe-t-il si je le fais ? Il faudra bien à un moment que je fasse valoir mes droits à mon retour non ?
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- MalacaEsprit éclairé
Coucou Nouka, contente pour vous de voir que les choses prennent tournure
Sur cette destination, les vacataires sont rémunérés par le vice-rectorat, donc aucun enseignant en dispo n'est accepté, avec ton NUMEN qui te suit partout très facile pour eux de vérifier (c'est aussi pour éviter qu'il y ait une filière bis pour le recrutement, contournant le mouvement normal, logique quelque part )
J'en sais quelque chose et cela m'a bien fait râler à l'époque d'ailleurs toutes mes amies issues du privé ou d'autres administrations avaient des postes de vacataires par contre !
La seule possibilité sera de trouver des cours particuliers ou des organismes privés comme les cours Bufflier... Ou dans d'autres domaines :entreprises, hôtellerie ...
Et ne pas oublier de faire le dossier de demande de détachement pour la prochaine rentrée
Bon courage :succes:
Sur cette destination, les vacataires sont rémunérés par le vice-rectorat, donc aucun enseignant en dispo n'est accepté, avec ton NUMEN qui te suit partout très facile pour eux de vérifier (c'est aussi pour éviter qu'il y ait une filière bis pour le recrutement, contournant le mouvement normal, logique quelque part )
J'en sais quelque chose et cela m'a bien fait râler à l'époque d'ailleurs toutes mes amies issues du privé ou d'autres administrations avaient des postes de vacataires par contre !
La seule possibilité sera de trouver des cours particuliers ou des organismes privés comme les cours Bufflier... Ou dans d'autres domaines :entreprises, hôtellerie ...
Et ne pas oublier de faire le dossier de demande de détachement pour la prochaine rentrée
Bon courage :succes:
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Ajouter de la vie aux années plutôt que des années à la vie ...
"Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité." A. de Saint-Exupéry
mes rêves, ma réalité ...
- NoukaExpert
Coucou !
Voilà des nouvelles du front ! Je viens de recevoir la réponse du rectorat : ma disponibilité est accordée !! Je serai donc officiellement en dispo la 6 janvier ! Il me reste donc 7 semaines à passer avec mes élèves, ca me fait tout drôle !
Départ prévu le 28 décembre...
Voilà des nouvelles du front ! Je viens de recevoir la réponse du rectorat : ma disponibilité est accordée !! Je serai donc officiellement en dispo la 6 janvier ! Il me reste donc 7 semaines à passer avec mes élèves, ca me fait tout drôle !
Départ prévu le 28 décembre...
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