Autorisation pour accompagner notre enfant le jour de sa rentrée ?

Tinsel a écrit:La plupart des enfants sont accompagnés par un parent le jour de la rentrée. Les autres métiers sont généralement plus flexibles.

Un parent je veux bien, et si les deux parents sont profs et PP devant être là le jour de la rentrée, j'admets qu'il y a un problème. Mais c'est tout. Il me semble que la revendication de demander un aménagement pour emmener l'enfant à deux le jour de la rentrée est un peu excessive.

Je répondais à l’intervention d'Yzah.

Tinsel a écrit:Je répondais à l’intervention d'Yzah.

Oui oui, j'avais bien vu  
Mais même quand les deux parents sont enseignants, il y a quand même des possibilités pour s'arranger et qu'un des deux accompagne l'enfant. Nous avons quand même de la souplesse dans la façon d'organiser notre temps de travail, il faut accepter les impératifs qui en sont le pendant. Ça me fait à des collègues qui veulent partir en voyage de noces hors vacances scolaires pour payer moins cher.

Je me permettrais juste une dernière intervention au sujet de ce post que j'ai ouvert:
Initialement, je posais une question, je ne demandais pas à être jugée...Je m'étonne grandement du ton emprunté par certains. Je crois avoir compris ta position, MK mais elle ne m'intéresse pas.
Merci tout de même à ceux qui auront su m'aider dans leurs interventions!

Choupsy a écrit: Je crois avoir compris ta position, MK mais elle ne m'intéresse pas.

Excuse-moi, tu n'avais pas précisé dans le message initial que tu ne voulais que des prises de position allant dans ton sens. Je me serais abstenu.
Ce n'est d'ailleurs pas toi que je "juge", je ne fais qu'émettre mon avis (certes négatif) sur la nécessité d'aller à deux emmener son enfant à la rentrée des classes. N'y vois rien de personnel, puisque je ne te connais pas et que je sais bien que ce n'est pas à partir de ce qui est écrit sur ce forum que je peux te connaître.

Choupsy a écrit:Je me permettrais juste une dernière intervention au sujet de ce post que j'ai ouvert:
Initialement, je posais une question, je ne demandais pas à être jugée...Je m'étonne grandement du ton emprunté par certains. Je crois avoir compris ta position, MK mais elle ne m'intéresse pas.
Merci tout de même à ceux qui auront su m'aider dans leurs interventions!

:shock: :shock: :shock: 

Sur un forum pour ne pas être jugé...il suffit de ne rien poster!!  

Mon avis ne va sans doute pas t' intéresser non plus, mais en tant que maîtresse de maternelle, j'avoue que si tous les parents accompagnaient leur enfant le premier jour (disons 27 X 2 adultes) en plus des petits, cela serait juste l'enfer. L'important n'est pas tant le premier le jour, mais les suivants. J'ai horreur des rentrée avec caméra, appareil photo, papi, mamie, tante...En fait je ne comprends pas l'importance de ce premier jour en particulier. J'ai sûrement une vision subjective car je ne considère pas l'école comme l'endroit le plus anxiogène qui soit. En revanche je trouve beaucoup plus important que les parents soient disponibles à la sortie des classes.

Yzah a écrit:Mais comment font les enfants dont les parents ne sont pas enseignants? Sont-ils gravement pénalisés par l'absence de maman et papa ce jour-là?

Quelle drôle de question ! Dans le pire des cas, un des parents salariés prend un jour de congé, mais dans la plupart des cas, la convention collective prévoit une autorisation d'absence sans perte de salaire pour la rentrée des classes. Pour les professions libérales, il est en général possible de s'organiser pour se libérer une heure ou deux. J'ai l'impression d'entendre derrière cette question une de ces sempiternelles attaques contre les enseignants tout pourris de privilèges, alors qu'il s'agit dans ce cas précis d'une situation où nous sommes désavantagés.

Marcel Kroutchev, je suis  d'accord sur le fait que la présence d'un seul parent suffit, mais il y a malheureusement des enseignant(e)s seul(e)s avec leurs enfants, et dans ce cas je considère que des collégiens pâtiront moins de l'absence pour une heure ou deux de leur pp, remplacé par un autre prof de l'équipe pédagogique, qu'un petit de trois ans de celle de son parent.

maikreeeesse a écrit:Mon avis ne va sans doute pas t' intéresser non plus, mais en tant que maîtresse de maternelle, j'avoue que si tous les parents accompagnaient leur enfant le premier jour (disons 27 X 2 adultes) en plus des petits, cela serait juste l'enfer. L'important n'est pas tant le premier le jour, mais les suivants. J'ai horreur des rentrée avec caméra, appareil photo, papi, mamie, tante...En fait je ne comprends pas l'importance de ce premier jour en particulier. J'ai sûrement une vision subjective car je ne considère pas l'école comme l'endroit le plus anxiogène qui soit. En revanche je trouve beaucoup plus important que les parents soient disponibles à la sortie des classes.

  

mathmax a écrit:il y a malheureusement des enseignant(e)s seul(e)s avec leurs enfants, et dans ce cas je considère que des collégiens pâtiront moins de l'absence pour une heure ou deux de leur pp, remplacé par un autre prof de l'équipe pédagogique, qu'un petit de trois ans de celle de son parent.

Je suis évidemment d'accord!

mathmax a écrit:

Quelle drôle de question ! Dans le pire des cas, un des parents salariés prend un jour de congé, mais dans la plupart des cas, la convention collective prévoit une autorisation d'absence sans perte de salaire pour la rentrée des classes. Pour les professions libérales, il est en général possible de s'organiser pour se libérer une heure ou deux.

Euh... ben non.
J'ai été parent d'élève de maternelle ou de primaire de 1987 à 2002, et je n'ai pratiquement jamais assisté à la rentrée de mes enfants (j'en ai trois), because j'avais ma propre rentrée de PP à assurer. Le jour de la rentrée comme tous les autres jours, la garderie fonctionnait à partir de 7h30 et j'y ai eu recours contre la modique somme de 2F50 environ.
Quant aux congés facilement obtenus par les salariés, c'est un peu une vue de l'esprit : hors les grandes entreprises, pas de conventions collectives, et en tant que PP je n'ai vu que peu de parents ( mais c'est vrai qu'en sixième ils sont déjà grands) au collège le matin de la rentrée. Faut arrêter de les élever dans de la ouate.

grandesvacances a écrit:

mathmax a écrit:

Quelle drôle de question ! Dans le pire des cas, un des parents salariés prend un jour de congé, mais dans la plupart des cas, la convention collective prévoit une autorisation d'absence sans perte de salaire pour la rentrée des classes. Pour les professions libérales, il est en général possible de s'organiser pour se libérer une heure ou deux.

Euh... ben non.
J'ai été parent d'élève de maternelle ou de primaire de 1987 à 2002, et je n'ai pratiquement jamais assisté à la rentrée de mes enfants (j'en ai trois), because j'avais ma propre rentrée de PP à assurer. Le jour de la rentrée comme tous les autres jours, la garderie fonctionnait à partir de 7h30 et j'y ai eu recours contre la modique somme de 2F50 environ.
Quant aux congés facilement obtenus par les salariés, c'est un peu une vue de l'esprit : hors les grandes entreprises, pas de conventions collectives, et en tant que PP je n'ai vu que peu de parents ( mais c'est vrai qu'en sixième ils sont déjà grands) au collège le matin de la rentrée. Faut arrêter de les élever dans de la ouate.

je me trompe peut être (sûrement même) mais j'ai l'impression qu'avoir envie d'être présent à la rentrée c'est moins pour l'enfant que pour le parent. Le môme s'en tamponne non? ma mère (qui n'était pas prof) m'a assez souvent répété que le jour de la rentrée en maternelle je ne me suis pas retournée pour lui faire tantôt comme on dit chez moi et elle pleurait toutes les larmes de son corps!!!

Je suis d'avis que la première rentrée est importante dans une nouvelle école, donc PS et CP. Et je pense qu'une présence parentale est importante, au cas où, en cas de réconfort. En dehors de ça, c'est vrai que j'ai tendance à penser que c'est superflu. Et je pense qu'un seul parent suffit, mais je préfère que ce soit moi

Babayaga a écrit:Je suis d'avis que la première rentrée est importante dans une nouvelle école, donc PS et CP. Et je pense qu'une présence parentale est importante, au cas où, en cas de réconfort. En dehors de ça, c'est vrai que j'ai tendance à penser que c'est superflu. Et je pense qu'un seul parent suffi, mais je préfère que ce soit moi

ah, ah!! qu'est-ce que je disais??!!     

doubledecker a écrit:

je me trompe peut être (sûrement même) mais j'ai l'impression qu'avoir envie d'être présent à la rentrée c'est moins pour l'enfant que pour le parent. Le môme s'en tamponne non? ma mère (qui n'était pas prof) m'a assez souvent répété que le jour de la rentrée en maternelle je ne me suis pas retournée pour lui faire tantôt comme on dit chez moi et elle pleurait toutes les larmes de son corps!!!

Ben... oui, du moins d'après mon expérience personnelle. Quand ma fille aînée est entrée en sixième, je l'ai accompagnée ( j'étais PP de troisième cette année-là), eh bien tout juste si cette petite péronnelle me connaissait au moment de l'appel tant elle avait envie de frimer auprès de ses copines. Du coup, j'ai vite pris congé...

Marcel Khrouchtchev a écrit:

Lora a écrit:Mais entre mes enfants et mes élèves, j'ai fait un choix. Et il était vite fait.

C'est toute la question de la vie en société finalement. Doit-on faire passer ses intérêts particuliers avant l'intérêt général? Je comprends parfaitement qu'on puisse se poser la question. Mais si tout le monde faisait la même chose, ce serait la catastrophe. Si on veut être là pour la rentrée, alors on s'arrange: par exemple en n'étant pas PP. Ou alors il faut proposer un aménagement de sa propre rentrée, mais on risque de ne plus s'en sortir. Il ne faut pas endosser des responsabilités que l'on n'est pas capable d'assumer je pense. Ma femme est PE et elle manque donc la rentrée de notre fils, elle en est triste, mais que se passerait-il si elle demandait à bénéficier de la circulaire? Bonjour le bazar... Nous avons quand même, reconnaissons-le, un métier qui permet d'organiser notre travail de façon relativement souple, mais il faut accepter certaines contraintes. Comme travailler le jour de la rentrée!

Plutôt d'accord avec toi ! Je nuance juste pour le cas de choupsy car les deux parents sont concernés, dans un cas comme celui là je pense qu'un des deux pourrait être libéré, si j'étais CDE ce serait le PP de troisième... Enfin tu l'as déjà dit il me semble.

Tinsel a écrit:La plupart des enfants sont accompagnés par un parent le jour de la rentrée. Les autres métiers sont généralement plus flexibles.

NON, je ne peux pas laisser dire ça, les autres métiers ne sont pas plus flexibles, oui on a des inconvénients par rapport à d'autres professions mais croire qu'on fait ce que l'on veut dans le privé c'est ne pas savoir de quoi on parle! On ne s'absente pas si facilement de sa petite entreprise ou de son usine... et dans ces milieux les patrons ne sont pas aussi conciliants qu'on peut se l'imaginer. On a pas mal d'avantages et pas mal d'inconvénients dans notre métier mais on n'a pas le droit de dire que c'est pire qu'ailleurs parce que c'est loin d'être le cas. Souvent je le vois on oublie le sens des réalités quand on est enseignant. C'est même le cas entre enseignant : des collègues de mon collège totalement calme et pépère se plaignent des élèves et des difficultés à longueur de temps en oubliant qu'on est dans un paradis en comparaison de zones beaucoup plus difficiles... Bref faisons preuve d'honnêteté quand on parle de notre métier cela améliora notre image qui en a pris un bon coup. Ce qu'on peut dire c'est qu'on travaille énormément chez nous par rapport aux autres professions, qu'on est mal payé... Mais il faut rester honnête.

Oula Nicolatsar je n'ai pas du tout dit ça! Je ne me plains pas du tout de mon métier moi en plus. Je dis juste que dans les autres métiers, généralement, il est plus facile de prendre 1/2 journée, d'arriver 30mn plus tard le jour de la rentrée, de s'absenter un vendredi pour aller à un mariage, etc... Et je constate moi, en temps que directrice d'école primaire, que les enfants sont accompagnés de leur parents à la rentrée (et je n'ai pas d'enfants d'enseignants).

On peut être honnête en constatant que de très nombreux parents se libèrent pour accompagner leur enfant le jour de la rentrée, y compris pour l'entrée en sixième.

Tant mieux pour ceux qui n'y attachent pas d'importance. Tant mieux pour vous si la/les premières rentrées se sont toujours très bien passées. Mais je ne vois pas l'intérêt d'aller railler les parents qui tiennent à être présents.

Et, au passage, ici il n'y a pas de garderie la première semaine. Et quand bien même, mettre un enfant à la garderie le premier jour quand il ne connaît encore ni les lieux ni les personnes, de mon point de vue ce n'est plus éviter de les "élever dans la ouate".

Okay Tinsel, on ne s'est pas compris je monte trop vite sur mes grands chevaux

je serais prof pour la première fois cette année, avant ça, 10 ans dans le privé, je n'ai jamais pu accompagner mes enfants le jour de la rentrée.
autorisation de prendre mes 5 semaines de congés payés, uniquement pendant les vacances scolaires et uniquement sous forme de semaine complète. pas de RTT, pas d'autorisation de prendre un jour seul pour faire un long weekend.
Mon mari, par contre dans la même branche, vit la situation décrite par les autres, c'est toujours lui qui fait la rentrée. Cette année, il va un peu galérer, GS et CP a la même heure dans deux écoles différentes, heureusement collées l'une à l'autre.

grandesvacances a écrit:

mathmax a écrit:

Quelle drôle de question ! Dans le pire des cas, un des parents salariés prend un jour de congé, mais dans la plupart des cas, la convention collective prévoit une autorisation d'absence sans perte de salaire pour la rentrée des classes. Pour les professions libérales, il est en général possible de s'organiser pour se libérer une heure ou deux.

Euh... ben non.
J'ai été parent d'élève de maternelle ou de primaire de 1987 à 2002, et je n'ai pratiquement jamais assisté à la rentrée de mes enfants (j'en ai trois), because j'avais ma propre rentrée de PP à assurer. Le jour de la rentrée comme tous les autres jours, la garderie fonctionnait à partir de 7h30 et j'y ai eu recours contre la modique somme de 2F50 environ.
Quant aux congés facilement obtenus par les salariés, c'est un peu une vue de l'esprit : hors les grandes entreprises, pas de conventions collectives, et en tant que PP je n'ai vu que peu de parents ( mais c'est vrai qu'en sixième ils sont déjà grands) au collège le matin de la rentrée. Faut arrêter de les élever dans de la ouate.

Justement, tu es enseignant ; je répondais à Yzah qui évoquait le cas de parents non enseignants. Je me suis toujours arrangée pour être présente aux rentrées de primaire, et j'y ai toujours vu l'immense majorité des  enfants accompagné par un des parents.

Sigmajund, c'est bien ce qu'on dit, si les deux parents sont salariés, en général un des deux peut se libérer ; ce n'est pas automatique, mais quand même très fréquent.

Nicolatsar a écrit:

NON, je ne peux pas laisser dire ça, les autres métiers ne sont pas plus flexibles, oui on a des inconvénients par rapport à d'autres professions mais croire qu'on fait ce que l'on veut dans le privé c'est ne pas savoir de quoi on parle! On ne s'absente pas si facilement de sa petite entreprise ou de son usine... et dans ces milieux les patrons ne sont pas aussi conciliants qu'on peut se l'imaginer. On a pas mal d'avantages et pas mal d'inconvénients dans notre métier mais on n'a pas le droit de dire que c'est pire qu'ailleurs parce que c'est loin d'être le cas. Souvent je le vois on oublie le sens des réalités quand on est enseignant. C'est même le cas entre enseignant : des collègues de mon collège totalement calme et pépère se plaignent des élèves et des difficultés à longueur de temps en oubliant qu'on est dans un paradis en comparaison de zones beaucoup plus difficiles... Bref faisons preuve d'honnêteté quand on parle de notre métier cela améliora notre image qui en a pris un bon coup. Ce qu'on peut dire c'est qu'on travaille énormément chez nous par rapport aux autres professions, qu'on est mal payé... Mais il faut rester honnête.

J'ai travaillé dans le privé, suis en contact avec des gens qui y travaillent, et une chose est sûre : cette haine de soi n'y existe pas. Enseignant est, à ma connaissance, le seul métier où il semble nécessaire de se dénigrer, ou de de dénigrer ses collègues, pour se sentir autorisé à exister. C'est assez troublant, mais c'est un autre débat.

Je suis très sincèrement désolé si je t'ai blessée Choupsy, je me rends compte, à la violence des réactions (parlant de "dénigrement") que je suis sans doute allé trop loin. Je ne m'en suis pas rendu compte et, si tu veux bien les accepter, je te présente publiquement mes excuses.

mathmax a écrit:

Nicolatsar a écrit:

NON, je ne peux pas laisser dire ça, les autres métiers ne sont pas plus flexibles, oui on a des inconvénients par rapport à d'autres professions mais croire qu'on fait ce que l'on veut dans le privé c'est ne pas savoir de quoi on parle! On ne s'absente pas si facilement de sa petite entreprise ou de son usine... et dans ces milieux les patrons ne sont pas aussi conciliants qu'on peut se l'imaginer. On a pas mal d'avantages et pas mal d'inconvénients dans notre métier mais on n'a pas le droit de dire que c'est pire qu'ailleurs parce que c'est loin d'être le cas. Souvent je le vois on oublie le sens des réalités quand on est enseignant. C'est même le cas entre enseignant : des collègues de mon collège totalement calme et pépère se plaignent des élèves et des difficultés à longueur de temps en oubliant qu'on est dans un paradis en comparaison de zones beaucoup plus difficiles... Bref faisons preuve d'honnêteté quand on parle de notre métier cela améliora notre image qui en a pris un bon coup. Ce qu'on peut dire c'est qu'on travaille énormément chez nous par rapport aux autres professions, qu'on est mal payé... Mais il faut rester honnête.

J'ai travaillé dans le privé, suis en contact avec des gens qui y travaillent, et une chose est sûre : cette haine de soi n'y existe pas. Enseignant est, à ma connaissance, le seul métier où il semble nécessaire de se dénigrer, ou de de dénigrer ses collègues, pour se sentir autorisé à exister. C'est assez troublant, mais c'est un autre débat.

Je ne pense dénigrer personne, désolé pour toi si tu t'es senti attaqué. Enfin bref j'ai dit le fond de ma pensée s'appuyant sur des constats que j'ai fait sans faire de généralité, je n'entrerai pas dans une polémique sans fin

Je ne me sens pas attaquée du tout, enseignant est pour moi un métier et non une identité, je ne me sens pas concernée par des généralités concernant ma profession. Je suis seulement intriguée par la fréquence de l'auto-dénigrement chez les enseignants.

"Souvent, on oublie le sens des réalités quand on est enseignant", c'est quand même un peu une généralité dépréciative, non ?

mathmax a écrit:Je ne me sens pas attaquée du tout, enseignant est pour moi un métier et non une identité, je ne me sens pas concernée par des généralités concernant ma profession. Je suis seulement intriguée par la fréquence de l'auto-dénigrement chez les enseignants.

Dans ce cas, je ne me sens pas concerné. J'ai passé des années à militer et à agir au niveau syndical, j'aime mon métier et je respecte mes collègues en tant que tels.