Page 2 sur 2 • 1, 2
- InvitéP22Niveau 9
[Plumeblue : Toi aussi tu as eu la question "M'dame on écrit de quelle couleur ?" et de les voir perdre du temps à chercher ou demander le stylo [/quote]
Oui, jusqu'à la fin de l'année scolaire...
Oui, jusqu'à la fin de l'année scolaire...
- InvitéMLNiveau 2
Alexlafée : mes sixièmes avaient un classeur. Je faisais une séquence par intercalaire. Dans la marge je précisais : Etude de texte / Langue. Puis ils notaient la date pour n rangement chronologique, ce qui fut déjà difficile à obtenir à obtenir pour certains ! Pour alléger leur classeur, je leur disais de le vider à la fin de chaque séquence, une fois l'évaluation finale corrigée. Mais je ne sais pas si cela sera correct pour un tuteur.
Plumebleue : Et pourtant j'utilise que les quatre couleurs basiques ! Parfois je leur demande s'ils voient les couleurs
Plumebleue : Et pourtant j'utilise que les quatre couleurs basiques ! Parfois je leur demande s'ils voient les couleurs
- henrietteMédiateur
En tout cas, pour aider à la gestion des classeurs, un truc utile je trouve (en particulier en 6e/5e), c'est de faire en parallèle un classeur témoin : c'est l'exact double du classeur des élèves, j'y mets tous les documents, les traces écrites copiées moi-même, ou recopiées par des élèves sérieux (il y a toujours des volontaires, et cela leur donne une responsabilité dont ils sont fiers), les sujets des contrôles, etc.
Du coup, lorsque je vois en passant dans les rangs un classeur en bazar (je vérifie la tenue des classeurs de cette façon, pendant qu'ils font un exercice, j'ai arrêté de les prendre pour les noter, trop chronophage et trop lourd), je dis à l'élève en question de venir dans ma salle entre midi et deux le jour même ou le lendemain (j'ai toujours cours, et les élèves sont à 95% demi-pensionnaires) avec son classeur, je lui passe le classeur témoin et il range, recopie ce qui manque, etc.
S'il ne vient pas, alors il est mis "officiellement" en retenue et je laisse le classeur témoin à la vie scolaire comme travail à lui faire faire.
Les élèves sont très contents de ce système, et prennent vite le pli : il y en a régulièrement qui demandent le classeur témoin, quand ils ont fini une activité, pour remettre en ordre le leur.
Idem, très pratique pour les dys, et lorsqu'un élève a été absent, ou qu'on nouveau arrive, ou en cas d'inspection.
Du coup, lorsque je vois en passant dans les rangs un classeur en bazar (je vérifie la tenue des classeurs de cette façon, pendant qu'ils font un exercice, j'ai arrêté de les prendre pour les noter, trop chronophage et trop lourd), je dis à l'élève en question de venir dans ma salle entre midi et deux le jour même ou le lendemain (j'ai toujours cours, et les élèves sont à 95% demi-pensionnaires) avec son classeur, je lui passe le classeur témoin et il range, recopie ce qui manque, etc.
S'il ne vient pas, alors il est mis "officiellement" en retenue et je laisse le classeur témoin à la vie scolaire comme travail à lui faire faire.
Les élèves sont très contents de ce système, et prennent vite le pli : il y en a régulièrement qui demandent le classeur témoin, quand ils ont fini une activité, pour remettre en ordre le leur.
Idem, très pratique pour les dys, et lorsqu'un élève a été absent, ou qu'on nouveau arrive, ou en cas d'inspection.
- MamousseHabitué du forum
Je procède également ainsi.henriette a écrit:Je suis dans la ligne Provence et Dalva : le titre et un éventuel sous-titre s'il est vraiment utile, quand c'est un GT par exemple.
Par contre j'impose toujours aux élèves d'y ajouter une illustration personnelle (qui peut être dessin, collage, montage, etc. pourvu que ce soit fait par l'élève) : à l'oral ensuite, je demande aux volontaires de présenter en une ou deux phrases leur illustration en l'expliquant (cela peut être un moyen simple de rentrer dans un chapitre en partant de leurs représentations mentales).
Je demande aux élèves d'illustrer la page de présentation du chapitre mais, à la différence de henriette, je ne demande pas de justification... A l'occasion, lorsque je circule, je jette un p'tit coup d'oeil sur ce que chacun a fait.
Merci, Provence, pour la page plié en triangle. Travaillant avec un cahier, je trouve que l'idée est bonne.
Pour la langue, pas de chichi : une nouvelle page pour chaque leçon, le titre de la leçon en rouge : orth/ L'accord sujet/verbe par exemple.
Par contre, j'utilisais cette année deux cahiers 47 pages (l'un pour la littérature et l'expression et l'autre pour la langue). Je ne suis pas sûre de poursuivre ainsi : je voudrais mettre en place un cahier d'écrivain.. Alors, 3 cahiers
Donc, Provence, Dalva, henriette, une question : un seul cahier chez vous et une séparation au milieu ?
_________________
"Si tu diffères de moi, mon frère, loin de me léser, tu m'enrichis." (Antoine de Saint-Exupéry, Citadelle)
"C'est véritablement utile, puisque c'est joli." (Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince)
- ProvenceEnchanteur
Deux cahiers chez moi: un pour la langue, un pour la littérature.
- MamousseHabitué du forum
Je faisais aussi un classeur témoin, il y a longtemps... C'est vrai que cela a plein d'avantages... Mais, je ne réussissais pas à le faire au jour le jour pour mes 4 classes...henriette a écrit:En tout cas, pour aider à la gestion des classeurs, un truc utile je trouve (en particulier en 6e/5e), c'est de faire en parallèle un classeur témoin : c'est l'exact double du classeur des élèves, j'y mets tous les documents, les traces écrites copiées moi-même, ou recopiées par des élèves sérieux (il y a toujours des volontaires, et cela leur donne une responsabilité dont ils sont fiers), les sujets des contrôles, etc.
Du coup, lorsque je vois en passant dans les rangs un classeur en bazar (je vérifie la tenue des classeurs de cette façon, pendant qu'ils font un exercice, j'ai arrêté de les prendre pour les noter, trop chronophage et trop lourd), je dis à l'élève en question de venir dans ma salle entre midi et deux le jour même ou le lendemain (j'ai toujours cours, et les élèves sont à 95% demi-pensionnaires) avec son classeur, je lui passe le classeur témoin et il range, recopie ce qui manque, etc.
S'il ne vient pas, alors il est mis "officiellement" en retenue et je laisse le classeur témoin à la vie scolaire comme travail à lui faire faire.
Les élèves sont très contents de ce système, et prennent vite le pli : il y en a régulièrement qui demandent le classeur témoin, quand ils ont fini une activité, pour remettre en ordre le leur.
Idem, très pratique pour les dys, et lorsqu'un élève a été absent, ou qu'on nouveau arrive, ou en cas d'inspection.
Comment t'organises-tu, henriette, pour tenir le rythme ? (c'est une vraie question !)
_________________
"Si tu diffères de moi, mon frère, loin de me léser, tu m'enrichis." (Antoine de Saint-Exupéry, Citadelle)
"C'est véritablement utile, puisque c'est joli." (Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince)
- MamousseHabitué du forum
Provence a écrit:Deux cahiers chez moi: un pour la langue, un pour la littérature.
merci Provence...
Et les élèves apportent toujours les deux ou bien ils savent que tel jour, ce sera littérature et tel autre langue ?
- ProvenceEnchanteur
Mamousse a écrit:Provence a écrit:Deux cahiers chez moi: un pour la langue, un pour la littérature.
merci Provence...
Et les élèves apportent toujours les deux ou bien ils savent que tel jour, ce sera littérature et tel autre langue ?
Je fixe, dans l'emploi du temps, les heures consacrées à la langue et celles consacrées aux textes. C'est pratique puisqu'on évite ainsi souvent le travail donné du jour au lendemain.
- evaNiveau 5
Capessou a écrit:Pour la langue, je fais faire quand même un sommaire au début du cahier qui reprend chaque titre de leçon.
Sommaire
n°1: gramm : la phrase (types, formes...)
n°2: orth : les homophones a, à, as ...
A vous lire, je me demande maintenant pourquoi je fais tout ça. On lit cette fiche en début de chapitre. Bon, il arrive souvent qu'on commence le chapitre et qu'ensuite je donne la fiche qu'on lit alors. Est-ce que ça a réellement du sens ? Y faire figurer les évaluations prévues ça me semble bien pour les élèves.
En fait, c'est ce que j'ai appris à la fac quand je faisais il y a 15 ans maintenant les cours de pré-professionnalisation aux métiers de l’enseignement. C'est la seule formation que j'ai eue. Après j'ai toujours essayé de me renseigner pour faire ce qu'il fallait comme on l'attendait à mes débuts, donc des séquences, même si j'ai très vite ressenti le besoin de cloisonner les classeurs à l'inverse de ce qui était censé être attendu de nous. Au tout début je me souviens avoir fait un code couleur (un angle bleu pour la littérature et un angle rose pour la langue)... Franchement, c'était bête.
Et donc aujourd'hui ma fiche est là pour faire illusion, probablement en cas d'inspection (je l'attends depuis 9 ans, depuis ma titularisation).
Toutes mes collègues travaillent toujours en séquences et une néotit, l'an passé, semblait offusquée que je sépare langue et littérature. Je ne veux donc pas passer pour la prof qui n'entend pas le discours des IPR... mais en même temps, avec l'expérience je sais comment faire progresser mes élèves.
Eh bien, je sens que je vais faire comme vous : titre du chapitre, page pliée en angle, éventuellement illustration, et basta !
Amaliah, pour la littérature, tu mets lecture 1, 2 ... et quoi d'autres comme titres ? Y a-t-il autre chose que "lecture" ?
Est-ce que tu es dans l'acad d'Orléans-Tours ?
Moi, cela va faire ma septième rentrée (sans compter celle du stage) et je n'ai pas non plus vu l'ombre d'un inspecteur...
Bien que je ne travaille pas avec un classeur, je retrouve certaines de vos interrogations...
Les objectifs, avant, je les faisais effectivement figurer sous le titre de la séquence puis j'ai arrêté (par oubli d'abord) et je me suis rendu compte que cela n'apportait finalement pas grand-chose...
- CapessouHabitué du forum
eva a écrit:
Est-ce que tu es dans l'acad d'Orléans-Tours ?
Moi, cela va faire ma septième rentrée (sans compter celle du stage) et je n'ai pas non plus vu l'ombre d'un inspecteur...
Oui, mais j'ai quitté ma précédente académie il n'y a pas si longtemps. Et c'est cette année-là que mes collègues ont été inspectées. Quand je suis arrivée dans mon nouveau collège, mes collègues venaient de se faire inspecter... bref...
eva a écrit: Bien que je ne travaille pas avec un classeur, je retrouve certaines de vos interrogations...
Les objectifs, avant, je les faisais effectivement figurer sous le titre de la séquence puis j'ai arrêté (par oubli d'abord) et je me suis rendu compte que cela n'apportait finalement pas grand-chose...
Dans l'optique d'une inspection, que faire ? Garder mes objectifs pour moi et les présenter si besoin ?
- LunnaNiveau 5
Pour ma part, en début de chapitre/séquence... je fais noter en rouge en majuscule et au centre d'une nouvelle page le titre. Pour les plus grands (4ème et 3ème), en dessous, après discussion, on note la problématique (artificiel, je l'avoue car je sais où je veux les mener).
A l'oral, on évoque les objectifs généraux apparaissant sur le vidéo-projecteur mais ils ne les copient pas. On débat, on voit ce qu'il savent sur telle ou telle notion, etc.
Après cela, il laisse la page libre et la retourne. On est partis pour la première séance.
Je prépare en amont une "fiche séquence" faisant figurer le titre, les objectifs généraux mais aussi les dates, le numéro des séances, les objectifs et les supports utilisés par séance.
Pour moi, c'est très utile, c'est mon fil directeur et comme chaque classe a la sienne propre, je sais toujours ce que j'ai fait et ce que je prévois.
Pour eux, je la distribue en fin de séquence après toutes les corrections (dates qui ont changé, ordre des séances, etc.). Ils la collent dans la partie laissée libre et ainsi ont le sommaire détaillé de leur séquence + ces fameux objectifs généraux.
Quand on a fini deux séquences et si elles ne sont pas liées, ils peuvent enlever les séances mais gardent leurs fiches séquences. Ca permet de garder une trace du travail fait et de chercher plus vite dans le classeur quand on fait un contrôle de grammaire par exemple. Je peux leur dire "réviser toute la grammaire depuis le début de l'année" et du coup, ils savent où chercher.
Je précise que je travaille en "séquences" mais avec deux progressions distinctes quand même... et je réfléchis encore pour faire évoluer ma pratique
A l'oral, on évoque les objectifs généraux apparaissant sur le vidéo-projecteur mais ils ne les copient pas. On débat, on voit ce qu'il savent sur telle ou telle notion, etc.
Après cela, il laisse la page libre et la retourne. On est partis pour la première séance.
Je prépare en amont une "fiche séquence" faisant figurer le titre, les objectifs généraux mais aussi les dates, le numéro des séances, les objectifs et les supports utilisés par séance.
Pour moi, c'est très utile, c'est mon fil directeur et comme chaque classe a la sienne propre, je sais toujours ce que j'ai fait et ce que je prévois.
Pour eux, je la distribue en fin de séquence après toutes les corrections (dates qui ont changé, ordre des séances, etc.). Ils la collent dans la partie laissée libre et ainsi ont le sommaire détaillé de leur séquence + ces fameux objectifs généraux.
Quand on a fini deux séquences et si elles ne sont pas liées, ils peuvent enlever les séances mais gardent leurs fiches séquences. Ca permet de garder une trace du travail fait et de chercher plus vite dans le classeur quand on fait un contrôle de grammaire par exemple. Je peux leur dire "réviser toute la grammaire depuis le début de l'année" et du coup, ils savent où chercher.
Je précise que je travaille en "séquences" mais avec deux progressions distinctes quand même... et je réfléchis encore pour faire évoluer ma pratique
- InvitéMLNiveau 2
Henriette : l'idée du classeur témoin m'intéresserait bien. Mais je m'interroge comme Mamousse : comment faire pour ne pas se perdre entre les classes et les aléas de chacune ?
- AlexlaféeNiveau 6
C'est très intéressant de partager ces pratiques.
j'utilisais aussi la page de présentation de séquence pour "caser" mon document iconographique "d'étude de l'image" . parfois, c'était aux élèves de le trouver .Ce travail donnait parfois lieu à une activité d'écriture insérée avec le doc dans le classeur d'Hida.
Melle Demone, je te pique l'astuce de distinguer en marge LITTERATURE/ LANGUE. je suis presque tentée de leur faire utiliser un bic noir pour tout ce qui relève de la langue afin d'avoir 2 couleurs.
je pense effectivement faire une séquence par intercalaire et m'inspirer de ce que fait Lunna : enlever la séquence une fois terminée et ne garder que la page titre avec le descriptif pour mon tuteur et l'inspecteur.
Enfin, le classeur témoin me semble un appui on négligeable pour les premières classes du collège. je l'utilisais l'an passé, mais j'avoue avoir perdu beaucoup de temps à rattraper mes retards pour le remplir. Cela dit, cette année, avec deux niveaux seulement, je devrais m'en sortir....
j'utilisais aussi la page de présentation de séquence pour "caser" mon document iconographique "d'étude de l'image" . parfois, c'était aux élèves de le trouver .Ce travail donnait parfois lieu à une activité d'écriture insérée avec le doc dans le classeur d'Hida.
Melle Demone, je te pique l'astuce de distinguer en marge LITTERATURE/ LANGUE. je suis presque tentée de leur faire utiliser un bic noir pour tout ce qui relève de la langue afin d'avoir 2 couleurs.
je pense effectivement faire une séquence par intercalaire et m'inspirer de ce que fait Lunna : enlever la séquence une fois terminée et ne garder que la page titre avec le descriptif pour mon tuteur et l'inspecteur.
Enfin, le classeur témoin me semble un appui on négligeable pour les premières classes du collège. je l'utilisais l'an passé, mais j'avoue avoir perdu beaucoup de temps à rattraper mes retards pour le remplir. Cela dit, cette année, avec deux niveaux seulement, je devrais m'en sortir....
- henrietteMédiateur
Pour le classeur témoin : tout d'abord je ne le fais, comme dit, qu'en 6e/5e. Donc, au maximum dans les différentes répartitions que j'ai pu avoir, pour 2 classes.
Ensuite, lorsque j'ai eu deux classes de même niveau, j'ai fait un classeur par classe : justement pour être au plus près de ce que je fais avec chaque classe, car je ne fais jamais exactement pareil, impossible pour moi, les classes ne réagissant pas de la même façon. Les traces écrites peuvent donc varier d'une classe à l'autre selon la direction prise par l'étude et les réactions/questions des élèves.
Après, je suppose que c'est un pli à prendre pour avoir l'habitude. Au début aussi, cela me prenait plus de temps que maintenant.
Quelques trucs d'organisation peut-être :
- faire toujours une photocopie de plus
- mettre dès le départ un bon stock de pochettes plastifiée pour y glisser les feuilles sans perdre de temps
- idem pour les feuilles de classeur
- quand on a un peu de temps dans sa classe : préparer à l'avance les feuilles avec les numéros des séances, ou la numérotation d'un sommaire, etc.
- déléguer le plus possible la gestion du classeur témoin : fixer à l'avance qui sera le secrétaire de séance peut être utile par exemple.
Lorsqu'on a sa salle, c'est sûr que c'est plus simple (ou lorsque la classe a sa salle, c'est jouable aussi).
Par contre, si tout le monde est itinérant, là, je laisserais tomber.
Le truc, c'est qu'il faut s’astreindre à ne pas prendre trop de retard pour le remplir/faire remplir, sinon, en effet, on risque vite de se faire dépasser.
Mais je préfère mille fois faire ça que de relever et "corriger" des classeurs dans un état épouvantable avec la moitié de feuilles perdues.
Ensuite, lorsque j'ai eu deux classes de même niveau, j'ai fait un classeur par classe : justement pour être au plus près de ce que je fais avec chaque classe, car je ne fais jamais exactement pareil, impossible pour moi, les classes ne réagissant pas de la même façon. Les traces écrites peuvent donc varier d'une classe à l'autre selon la direction prise par l'étude et les réactions/questions des élèves.
Après, je suppose que c'est un pli à prendre pour avoir l'habitude. Au début aussi, cela me prenait plus de temps que maintenant.
Quelques trucs d'organisation peut-être :
- faire toujours une photocopie de plus
- mettre dès le départ un bon stock de pochettes plastifiée pour y glisser les feuilles sans perdre de temps
- idem pour les feuilles de classeur
- quand on a un peu de temps dans sa classe : préparer à l'avance les feuilles avec les numéros des séances, ou la numérotation d'un sommaire, etc.
- déléguer le plus possible la gestion du classeur témoin : fixer à l'avance qui sera le secrétaire de séance peut être utile par exemple.
Lorsqu'on a sa salle, c'est sûr que c'est plus simple (ou lorsque la classe a sa salle, c'est jouable aussi).
Par contre, si tout le monde est itinérant, là, je laisserais tomber.
Le truc, c'est qu'il faut s’astreindre à ne pas prendre trop de retard pour le remplir/faire remplir, sinon, en effet, on risque vite de se faire dépasser.
Mais je préfère mille fois faire ça que de relever et "corriger" des classeurs dans un état épouvantable avec la moitié de feuilles perdues.
- Ruggera7Neoprof expérimenté
ALEX, tu as mis "tueur" au lieu de "tuteur" !!!
- AlexlaféeNiveau 6
mon dieu....c'est rectifié...mes excuses .
- DerborenceModérateur
Le classeur de mes élèves comporte trois parties : une partie "séquences", une partie "langue" et une partie "fichier".
Je pense faire cette année, non pas un classeur témoin, mais un sommaire indiquant les titres des séances, les documents distribués, les évaluations et surtout l'endroit où il faut les ranger.
Ce sommaire sera numérique. Je le mettrai en PJ au cahier de textes en ligne et le projetterai en classe dès que nécessaire.
Je pense faire cette année, non pas un classeur témoin, mais un sommaire indiquant les titres des séances, les documents distribués, les évaluations et surtout l'endroit où il faut les ranger.
Ce sommaire sera numérique. Je le mettrai en PJ au cahier de textes en ligne et le projetterai en classe dès que nécessaire.
_________________
"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- DalvaVénérable
Mamousse a écrit:
Par contre, j'utilisais cette année deux cahiers 47 pages (l'un pour la littérature et l'expression et l'autre pour la langue). Je ne suis pas sûre de poursuivre ainsi : je voudrais mettre en place un cahier d'écrivain.. Alors, 3 cahiers
Donc, Provence, Dalva, henriette, une question : un seul cahier chez vous et une séparation au milieu ?
Deux cahiers : un de cours, un d'exercices. Dans le cahier de cours, par devant c'est la littérature (+ voc associé et éventuellement écriture), et 20 ou 30 pages avant la fin c'est la langue. Les élèves découpent un onglet pour y accéder plus facilement. Ceci dans un cahier de 96 pages : on a un mal de chien à trouver des cahiers de 48 pages dans les magasins autour de chez nous. Je fais écrire peu de leçons de langue car j'utilise un TD (du coup, ça nous mène à trois cahiers). Je dis en avance quel jour ils devront apporter quel cahier. Comme Provence, je fixe des heures pour la littérature et pour la langue en début d'année, mais il m'arrive de modifier, ou de n'avoir pas besoin du TD pour une heure de langue, donc je le précise.
En 4e et 3e, on fonctionne avec un classeur, ça simplifie.
- henrietteMédiateur
Mamousse a écrit:Donc, Provence, Dalva, henriette, une question : un seul cahier chez vous et une séparation au milieu ?
Pour ma part, classeur si cela ne dépend que de moi.
Par contre, lorsque je me suis trouvée dans des établissements où les choix d'équipe étaient cahier, alors dans ce cas deux cahiers :
- un pour l'étude littéraire : LA, vocabulaire, expression écrite (les petites expressions genre entraînements/réinvestissements faites souvent au départ sur feuille libre pour que je puisse en ramasser dans devoir prendre le cahier lui-même, puis collées sur le cahier pour qu'elles soient conservées)
- un pour la langue : d'un côté la grammaire, de l'autre ortho et conjugaison
- Ruggera7Neoprof expérimenté
DERBO, que mets-tu dans le fichier si tu sépares déjà la littérature et la langue?
Comme j'avais dû le dire plus haut, pour moi, ce n'est pas une séquence (je dis "parcours") par intercalaire mais
-la séquence en cours (qu'ils vident dès sa fin),
-les poèmes ou textes à mémoriser,
-la langue (c'est ce que j'aurais tendance à appeler fichier: fiches-outils de langue),
-les évals.
Comme j'avais dû le dire plus haut, pour moi, ce n'est pas une séquence (je dis "parcours") par intercalaire mais
-la séquence en cours (qu'ils vident dès sa fin),
-les poèmes ou textes à mémoriser,
-la langue (c'est ce que j'aurais tendance à appeler fichier: fiches-outils de langue),
-les évals.
- DerborenceModérateur
Dans mon établissement, les élèves se constituent un fichier de français de la 6e à la 3e. Le fichier comporte aussi bien des leçons de langue que de littérature.Ruggera7 a écrit:DERBO, que mets-tu dans le fichier si tu sépares déjà la littérature et la langue?
En voici le sommaire :
- Spoiler:
- Sommaire du fichier de français
Fiche
Titre
1
La Bible
2
L’Odyssée et L’Énéide
3
Les Métamorphoses d’Ovide
4
Le conte
5
Première partie : la fable, un genre poétique
Deuxième partie : la poésie
6
Le théâtre : première partie
Le théâtre : deuxième partie
7
Le dictionnaire de langue française
8
Lire l’image
9
La présentation d’un texte
10
10 bis
La situation d’énonciation
La situation d’énonciation
11
Auteur, narrateur, personnage
12
Les formes de discours
13
Le système des temps
14
Les substituts du nom
15
La ponctuation et la mise en valeur d’un texte.
16
La phrase
Annexe 1 : la négation dans la phrase
17
Les classes ou catégories grammaticales
Annexe 1 : les déterminants
18
Les fonctions grammaticales
19
19 bis
Morphologie des temps de l’indicatif
Annexe 1 : le présent de l'indicatif
Annexe 2 : le passé simple de l'indicatif
Morphologie de l'impératif présent
20
Origine et formation des mots
21
Les accords sujet - verbe
22
Les accords dans le groupe nominal
Annexe 1 : le pluriel et le féminin des noms (exceptions)
Annexe 2 : le pluriel et le féminin des adjectifs (exceptions)
23
L'accord du participe passé : niveau 6e/5e
L'accord du participe passé : niveau 4e/3e
24
Les homophones
Annexe : quelques autres homophones grammaticaux
25
L’univers de la chevalerie
26
Qu’est-ce qu’un texte de dérision critique ?
27
Les récits de voyage
28
La presse
29
Se documenter pour un exposé
30
Les marques et les fonctions du dialogue dans le récit : niveau 6e/5e
Faire parler les personnages dans un récit : niveau 4e/3e
31
La description
32
Les connecteurs
33
Les codes de la lettre
34
Le genre fantastique
35
Le point de vue dans le récit
36
La chronologie du récit
37
Le texte explicatif
38
L'expression de l'ordre
39
Les subordonnées
40
Paroles rapportées directement ou indirectement
41
Les tournures de phrases
42
L’autobiographie
43
Organisation de l’argumentation
44
La modalisation ou le vocabulaire de l’argumentation
45
Les figures de style
46
Les liens logiques
47
Subjonctif et conditionnel
48
Les constituants du groupe nominal
49
La nouvelle
50
Majuscules minuscules
51
Fabliau
52
Roman d'aventures
53
Fonctions et degrés de l'adjectif
54
Terminaisons verbales en [é] ou [è]
_________________
"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
Page 2 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum