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- frefromparis10Je viens de m'inscrire !
oui tu vas pouvoir toucher l'AIP ... En ce qui me concerne, elle a été versée en novembre (j'avais fait le dossier en septembre) ....
Pour ttes les infos, regarde ce site:
https://www.aip-fonctionpublique.fr/aip/web/home
Pour ttes les infos, regarde ce site:
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- ChaDaliNiveau 1
Merci à tous !! je ferai toutes les démarches en temps et en heure
_________________
Rentrée 2013 (stagiaire) : deux 5e, une 4e
Rentrée 2014 (néo-tit) : deux 6e, une 4e, une 3e
Rentrée 2015 : une 6e, deux 4e, une 3e
Rentrée 2016 : une 6e, une 4e, deux 3e.
- Madame_ProfEsprit sacré
Voli vola, je te vois corriger sur tous les fils le terme ''stagiaire'' par ''professeur stagiaire''. Rien de négatif quand c'est dit sur le forum à mon avis, c'est juste plus rapide et cela permet de bien faire la distinction (le statut de stagiaire étant bien particulier).
ChaDali, tu as 4 mois pour faire la demande quand t'auras ton appart, attends d'abord d'avoir ton académie, puis ton poste. Qui sait, tu n'auras peut-etre pas besoin de déménager ! (ce fut mon cas pour le stage)
ChaDali, tu as 4 mois pour faire la demande quand t'auras ton appart, attends d'abord d'avoir ton académie, puis ton poste. Qui sait, tu n'auras peut-etre pas besoin de déménager ! (ce fut mon cas pour le stage)
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2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- InviteeFVénérable
J'ai failli répondre avec une grosse tartine (que j'ai longuement rédigée) sur l'importance des termes, le fait que le terme "stagiaire" tout seul (qui ne me choquait pas quand, à l'issue du concours, l'entrée dans le métier était progressive mais ce n'est plus le cas à présent) me semble hautement en décalage avec
- la hauteur des responsabilités du lauréat qui effectue sa première année post-admission
- la lourdeur de son emploi du temps, au moins équivalente, si ce n'est supérieure, à celle d'un emploi du temps de professeur titulaire
et hautement périlleuse car beaucoup de collègues, hélas, pas forcément sur Neoprofs mais en général, marquent l'opposition entre stagiaires et professeurs....
(si, si, si, véridique ! Que n'ai-je entendu cette année "ah oui, X, il était stagiaire [précision : à 18h hebdo + formation, donc] l'année dernière, et il est professeur cette année !" / "on vous appelle les bébés profs !" / "quand vous serez des vrais professeurs...." / "il est scandaleux que des stagiaires soient prioritaires sur les professeurs dignes de ce nom pour l'obtention d'un poste" [ça, c'était de mon ex pseudo tutrice, enjoy] / ou quand j'ai été titularisée, quelqu'un que j'apprécie pourtant m'a dit : "Bienvenue dans la grande famille de l'Education Nationale!", c'est vrai qu'avant, en fait, je n'y étais pas, je n'y travaillais pas et je ne comptais pas, mais du jour au lendemain, POF, parce que cette annonce a été faite, je suis devenue un membre de la famille ? Chic alors !)
... au lieu de marquer l'opposition entre professeurs stagiaires et professeurs titulaires.
mais je crois qu'en fait ça n'intéresse (et n'insurge) que moi
je vais donc faire économiser du temps de lecture à tout le monde !
- la hauteur des responsabilités du lauréat qui effectue sa première année post-admission
- la lourdeur de son emploi du temps, au moins équivalente, si ce n'est supérieure, à celle d'un emploi du temps de professeur titulaire
et hautement périlleuse car beaucoup de collègues, hélas, pas forcément sur Neoprofs mais en général, marquent l'opposition entre stagiaires et professeurs....
(si, si, si, véridique ! Que n'ai-je entendu cette année "ah oui, X, il était stagiaire [précision : à 18h hebdo + formation, donc] l'année dernière, et il est professeur cette année !" / "on vous appelle les bébés profs !" / "quand vous serez des vrais professeurs...." / "il est scandaleux que des stagiaires soient prioritaires sur les professeurs dignes de ce nom pour l'obtention d'un poste" [ça, c'était de mon ex pseudo tutrice, enjoy] / ou quand j'ai été titularisée, quelqu'un que j'apprécie pourtant m'a dit : "Bienvenue dans la grande famille de l'Education Nationale!", c'est vrai qu'avant, en fait, je n'y étais pas, je n'y travaillais pas et je ne comptais pas, mais du jour au lendemain, POF, parce que cette annonce a été faite, je suis devenue un membre de la famille ? Chic alors !)
... au lieu de marquer l'opposition entre professeurs stagiaires et professeurs titulaires.
mais je crois qu'en fait ça n'intéresse (et n'insurge) que moi
je vais donc faire économiser du temps de lecture à tout le monde !
- Madame_ProfEsprit sacré
Je suis tout de même d'accord avec tout ceci (donc, je serai pardonnée quand j'utiliserai le terme "stagiaire" seul :lol: ).
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2012-2013 - Année de stage en collège
- IphigénieProphète
Voli vola a écrit:J'ai failli répondre avec une grosse tartine (que j'ai longuement rédigée) sur l'importance des termes, le fait que le terme "stagiaire" tout seul (qui ne me choquait pas quand, à l'issue du concours, l'entrée dans le métier était progressive mais ce n'est plus le cas à présent) me semble hautement en décalage avec
- la hauteur des responsabilités du lauréat qui effectue sa première année post-admission
- la lourdeur de son emploi du temps, au moins équivalente, si ce n'est supérieure, à celle d'un emploi du temps de professeur titulaire
et hautement périlleuse car beaucoup de collègues, hélas, pas forcément sur Neoprofs mais en général, marquent l'opposition entre stagiaires et professeurs....
(si, si, si, véridique ! Que n'ai-je entendu cette année "ah oui, X, il était stagiaire [précision : à 18h hebdo + formation, donc] l'année dernière, et il est professeur cette année !" / "on vous appelle les bébés profs !" / "quand vous serez des vrais professeurs...." / "il est scandaleux que des stagiaires soient prioritaires sur les professeurs dignes de ce nom pour l'obtention d'un poste" [ça, c'était de mon ex pseudo tutrice, enjoy] / ou quand j'ai été titularisée, quelqu'un que j'apprécie pourtant m'a dit : "Bienvenue dans la grande famille de l'Education Nationale!", c'est vrai qu'avant, en fait, je n'y étais pas, je n'y travaillais pas et je ne comptais pas, mais du jour au lendemain, POF, parce que cette annonce a été faite, je suis devenue un membre de la famille ? Chic alors !)
... au lieu de marquer l'opposition entre professeurs stagiaires et professeurs titulaires.
mais je crois qu'en fait ça n'intéresse (et n'insurge) que moi
je vais donc faire économiser du temps de lecture à tout le monde !
ben moi je suis totalement d'accord avec toi. Je trouve cette "création" d'une année de stage terriblement casse-gueule en terme de statut: vous êtes profs, vous faites le boulot du prof, mais on vous colle pour le fun un petit handicap, histoire de voir qui résiste le mieux à la pression: on va dire à tous que vous êtes un "débutant", c'est pour voir si vous êtes capables d'avoir de l'autorité.
On n'est plus à une hypocrisie près, hein....
- ChaDaliNiveau 1
Surtout que pendant le M2 on a eu 1mois de stage, donc la le terme de stagiaire était legitime mais c'est vrai que pour l'année après le capes c'est un peu "degradant" dans la mesure ou on a beaucoup de choses derriere nous et comme cela a été si bien dit tout le travail et les responsabilités d'un "vrai" prof
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Rentrée 2013 (stagiaire) : deux 5e, une 4e
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- Ibn KhaldounNiveau 8
Je rejoins l'analyse de Voli Vola, le terme de "Professeur stagiaire" reste finalement le plus juste ! Car ces enseignants font le même boulot que les professeurs si ce n’est plus.
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Qui pourrait, en France, parler de « race » ? Notre Midi a sa pinte de sang sarrasin, espagnol, andalou. [...] Tant d'« immigrés », depuis si longtemps, depuis notre Préhistoire jusqu'à l'histoire très récente, ont réussi à faire naufrage sans trop de bruit dans la masse française que l'on pourrait dire, en s'amusant, que tous les Français, si le regard se reporte aux siècles et aux millénaires qui ont précédé notre temps, sont fils d'immigrés. Très diverse, la France ne peut-elle courir le risque de le devenir, biologiquement, davantage encore ?
L'identité de la France - Fernand Braudel
- JacqGuide spirituel
iphigénie a écrit:Voli vola a écrit:J'ai failli répondre avec une grosse tartine (que j'ai longuement rédigée) sur l'importance des termes, le fait que le terme "stagiaire" tout seul (qui ne me choquait pas quand, à l'issue du concours, l'entrée dans le métier était progressive mais ce n'est plus le cas à présent) me semble hautement en décalage avec
- la hauteur des responsabilités du lauréat qui effectue sa première année post-admission
- la lourdeur de son emploi du temps, au moins équivalente, si ce n'est supérieure, à celle d'un emploi du temps de professeur titulaire
et hautement périlleuse car beaucoup de collègues, hélas, pas forcément sur Neoprofs mais en général, marquent l'opposition entre stagiaires et professeurs....
(si, si, si, véridique ! Que n'ai-je entendu cette année "ah oui, X, il était stagiaire [précision : à 18h hebdo + formation, donc] l'année dernière, et il est professeur cette année !" / "on vous appelle les bébés profs !" / "quand vous serez des vrais professeurs...." / "il est scandaleux que des stagiaires soient prioritaires sur les professeurs dignes de ce nom pour l'obtention d'un poste" [ça, c'était de mon ex pseudo tutrice, enjoy] / ou quand j'ai été titularisée, quelqu'un que j'apprécie pourtant m'a dit : "Bienvenue dans la grande famille de l'Education Nationale!", c'est vrai qu'avant, en fait, je n'y étais pas, je n'y travaillais pas et je ne comptais pas, mais du jour au lendemain, POF, parce que cette annonce a été faite, je suis devenue un membre de la famille ? Chic alors !)
... au lieu de marquer l'opposition entre professeurs stagiaires et professeurs titulaires.
mais je crois qu'en fait ça n'intéresse (et n'insurge) que moi
je vais donc faire économiser du temps de lecture à tout le monde !
ben moi je suis totalement d'accord avec toi. Je trouve cette "création" d'une année de stage terriblement casse-gueule en terme de statut: vous êtes profs, vous faites le boulot du prof, mais on vous colle pour le fun un petit handicap, histoire de voir qui résiste le mieux à la pression: on va dire à tous que vous êtes un "débutant", c'est pour voir si vous êtes capables d'avoir de l'autorité.
On n'est plus à une hypocrisie près, hein....
Quelques remarques d'un vieil imbécile de prof (je m'auto caricature, personne n'a dit cela ici) qui va faire long contrairement à Volivola parce qu'il ne sait pas faire court !
Je n'ai jamais entendu dans ma salle des prof de personnes marquant une opposition entre stagiaires et professeurs de façon péjorative, mais parfois une distinction qui a plus pour but d'aider ou de conseiller. Maintenant je suppose que cette opposition "négative" doit exister, c'est certain (des abrutis, il y en a partout). Si je l'entendais, je pense que je ferais alors une petite remarque au brillant auteur de cette opposition.
"il est scandaleux que des stagiaires soient prioritaires sur les professeurs dignes de ce nom pour l'obtention d'un poste" [ça, c'était de mon ex pseudo tutrice]. Si ce sont les propos tenus par ta tutrice, elle n'était effectivement pas très maline. L'expression soulignée par toi, si elle a été employée, est idiote et surtout insultante pour nos collègues stagiaires. Je parle de collègue car pour moi un stagiaire est un collègue.
Par contre c'est vrai qu'il y a un double scandale, qui touche et les "déjà titulaires" (donc les stagiaires dans un an, scandale dont ils vont souffrir aussi ensuite) et les actuels ou futurs stagiaires (je reste sur ce terme pour l'instant, j'y reviens plus tard) qui sont les "futurs titulaires".
Ce scandale ?
- Donner un temps plein (sous Chatel) ou un temps à peine moins plein (sous Peillon, nous verrons ce que cela va donner ensuite) à des personnes qui débutent, stage ou pas stage en première année. Lorsqu'on voit la charge de travail d'une première année d'enseignement, même à temps réduit (j'ai eu la chance de passer à l'époque du 6-9h), pour les cours, pour les formations, pour toute la paperasserie totalement inutile qui est demandée au stagiaire, c'est un scandale ! Merci Chatel !
- La contrepartie de tout cela a été de réserver des postes, qualifiés "affectueusement et sans aucun mépris" de "poste-berceau" à des stagiaires. Sur le principe, c'est très bien. En plus souvent (pas toujours) ils sont bloqués sur des établissement proches des IUFM. Mais c'est aussi là où les titulaires attendent de muter depuis des années : vers les villes ! Du coup vient le reproche, non pas aux stagiaires, mais bien au système mis en place par Chatel qui contribue encore plus à bloquer les mutations. D'où la critique, contre ce système mis en place, et pas contre les "stagiaires". De toute façon les stagiaires d'une année seront eux-mêmes les victimes de ce système pour leur propre mutation à venir. Enfin, il faut aussi comprendre les titulaires. Dans mon académie il y a au moins trois disciplines où tous les postes vacants d'un département (le plus demandé sur l'académie) sont occupés par (ou plutôt par le rectorat "pour") des stagiaires. Il est évident que lorsque cela fait plus de dix ans que tu attends un mut, que tu sais qu'enfin un poste se libère et que tu vois qu'il ne passe pas au mouvement, cela fait rager. Mais je t'assure n'avoir pas entendu à ce sujet une remarque contre "les stagiaires" mais plutôt contre le système en place (sauf une exception, venant d'ailleurs d'une néo titulaire qui elle accuse les stagiaires en oubliant qu'elle l'était il y a peu).
- L'ancien système avait aussi ses défauts puisque parfois le stagiaire servait de "bouche trou" pour des temps incomplets, avec parfois des professeurs en place qui laissaient les pires heures aux arrivants (d'où l'idée de Chatel). Mais il y avait un autre système qui était de prendre les heures sur l'Edt du tuteur (c'est la chance que j'ai eue) ce qui faisait que là le stagiaire n'était pas un "bouche trou" mais quelqu'un à qui un professeur tuteur réservait des heures sur son propre emploi du temps.... Bien sûr, c'est le système qui était le plus coûteux... Un temps incomplet permettait aussi de confier (lorsque l'épuipe de prof en place est de bonne volonté, ce qui n'est pas toujours le cas) de mettre des classes particulières au stagiaire (pas de classe à exam, les classes les moins difficiles). Avec un temps plein, c'est simple, c'est impossible !
Et pour finir, le terme "stagiaire" ou "professeur stagiaire".
Pourquoi pas ? Le terme de professeur stagiaire peut sembler plus juste.
Je comprends tout à fait les remarques formulées ici, entre autre sur la double charge de travail entre le boulot à temps plein plus les "conneries" demandées lors de l'année de "stage", mais surtout :
- la seule chose qui importe c'est que lors de l'année de titularisation vous êtes devant élève des "professeurs", pas des "stagiaires" ou des "professeurs stagiaires". Non, vous êtes des professeurs dans leur intégralité, comme les autres.
- qu'un prof vous croise et dise en salle des prof : "ah, c'est toi le stagiaire en math". Rien de choquant. Par contre qu'un prof vous présente devant élève comme "stagiaire" ou "prof stagiaire", c'est une autre chose. Devant les élèves il n'y a que des professeurs.
- IphigénieProphète
eh bien justement non! c'est ça le problème soulevé par ce statut bancal. AUparavant (il y a longtemps) quand tu étais stagiaire, c'était dans la classe du tuteur, tuteur présent et responsable de la classe.Devant les élèves il n'y a que des professeurs.
Maintenant on te balance, par pure économie, devant une classe, responsable mais avec le statut de stagiaire: et il faut être très optimiste pour penser que les élèves qui voient débarquer un tuteur de temps à autre ne pigent pas que le prof n'est pas un "vrai" prof. Je trouve ce statut très peu propice à l'installation d'une autorité.
Pour le reste, d'accord avec tes remarques.
- JacqGuide spirituel
iphigénie a écrit:eh bien justement non! c'est ça le problème soulevé par ce statut bancal. AUparavant (il y a longtemps) quand tu étais stagiaire, c'était dans la classe du tuteur, tuteur présent et responsable de la classe.Devant les élèves il n'y a que des professeurs.
Maintenant on te balance, par pure économie, devant une classe, responsable mais avec le statut de stagiaire: et il faut être très optimiste pour penser que les élèves qui voient débarquer un tuteur de temps à autre ne pigent pas que le prof n'est pas un "vrai" prof. Je trouve ce statut très peu propice à l'installation d'une autorité.
Pour le reste, d'accord avec tes remarques.
Oui.
Bon mon tuteur m'avait confié UNE classe, une seule, tout le temps. Il m'avait demandé si je voulais qu'il fasse la rentrée avec moi, j'avais refusé. Il n'est venu que tardivement ce qui fait que pendant longtemps j'étais le "seul" prof et leur prof (c'étaient des entrants en seconde pro). C'était une demande de ma part, justement pour éviter cette subordination apparente. Ensuite lorsqu'il est venu c'était quand même moi le "maître", si j'ose dire.
Je ne sais pas comment j'aurais pu faire avec plus d'heures et de classes lorsque je vois le boulot que cela me demandait pour faire peu d'heures.
Quand je vois, en tant que titulaire, la précipitation lors de la rentrée scolaire, j'imagine la situation en tant stagiaire.
En tout cas, bon courage à tous et toutes les collègues-stagiaires pour l'année prochaine !
- DaphnéDemi-dieu
Jacq a écrit:iphigénie a écrit:Voli vola a écrit:J'ai failli répondre avec une grosse tartine (que j'ai longuement rédigée) sur l'importance des termes, le fait que le terme "stagiaire" tout seul (qui ne me choquait pas quand, à l'issue du concours, l'entrée dans le métier était progressive mais ce n'est plus le cas à présent) me semble hautement en décalage avec
- la hauteur des responsabilités du lauréat qui effectue sa première année post-admission
- la lourdeur de son emploi du temps, au moins équivalente, si ce n'est supérieure, à celle d'un emploi du temps de professeur titulaire
et hautement périlleuse car beaucoup de collègues, hélas, pas forcément sur Neoprofs mais en général, marquent l'opposition entre stagiaires et professeurs....
(si, si, si, véridique ! Que n'ai-je entendu cette année "ah oui, X, il était stagiaire [précision : à 18h hebdo + formation, donc] l'année dernière, et il est professeur cette année !" / "on vous appelle les bébés profs !" / "quand vous serez des vrais professeurs...." / "il est scandaleux que des stagiaires soient prioritaires sur les professeurs dignes de ce nom pour l'obtention d'un poste" [ça, c'était de mon ex pseudo tutrice, enjoy] / ou quand j'ai été titularisée, quelqu'un que j'apprécie pourtant m'a dit : "Bienvenue dans la grande famille de l'Education Nationale!", c'est vrai qu'avant, en fait, je n'y étais pas, je n'y travaillais pas et je ne comptais pas, mais du jour au lendemain, POF, parce que cette annonce a été faite, je suis devenue un membre de la famille ? Chic alors !)
... au lieu de marquer l'opposition entre professeurs stagiaires et professeurs titulaires.
mais je crois qu'en fait ça n'intéresse (et n'insurge) que moi
je vais donc faire économiser du temps de lecture à tout le monde !
ben moi je suis totalement d'accord avec toi. Je trouve cette "création" d'une année de stage terriblement casse-gueule en terme de statut: vous êtes profs, vous faites le boulot du prof, mais on vous colle pour le fun un petit handicap, histoire de voir qui résiste le mieux à la pression: on va dire à tous que vous êtes un "débutant", c'est pour voir si vous êtes capables d'avoir de l'autorité.
On n'est plus à une hypocrisie près, hein....
Quelques remarques d'un vieil imbécile de prof (je m'auto caricature, personne n'a dit cela ici) qui va faire long contrairement à Volivola parce qu'il ne sait pas faire court !
Je n'ai jamais entendu dans ma salle des prof de personnes marquant une opposition entre stagiaires et professeurs de façon péjorative, mais parfois une distinction qui a plus pour but d'aider ou de conseiller. Maintenant je suppose que cette opposition "négative" doit exister, c'est certain (des abrutis, il y en a partout). Si je l'entendais, je pense que je ferais alors une petite remarque au brillant auteur de cette opposition.
"il est scandaleux que des stagiaires soient prioritaires sur les professeurs dignes de ce nom pour l'obtention d'un poste" [ça, c'était de mon ex pseudo tutrice]. Si ce sont les propos tenus par ta tutrice, elle n'était effectivement pas très maline. L'expression soulignée par toi, si elle a été employée, est idiote et surtout insultante pour nos collègues stagiaires. Je parle de collègue car pour moi un stagiaire est un collègue.
Par contre c'est vrai qu'il y a un double scandale, qui touche et les "déjà titulaires" (donc les stagiaires dans un an, scandale dont ils vont souffrir aussi ensuite) et les actuels ou futurs stagiaires (je reste sur ce terme pour l'instant, j'y reviens plus tard) qui sont les "futurs titulaires".
Ce scandale ?
- Donner un temps plein (sous Chatel) ou un temps à peine moins plein (sous Peillon, nous verrons ce que cela va donner ensuite) à des personnes qui débutent, stage ou pas stage en première année. Lorsqu'on voit la charge de travail d'une première année d'enseignement, même à temps réduit (j'ai eu la chance de passer à l'époque du 6-9h), pour les cours, pour les formations, pour toute la paperasserie totalement inutile qui est demandée au stagiaire, c'est un scandale ! Merci Chatel !
- La contrepartie de tout cela a été de réserver des postes, qualifiés "affectueusement et sans aucun mépris" de "poste-berceau" à des stagiaires. Sur le principe, c'est très bien. En plus souvent (pas toujours) ils sont bloqués sur des établissement proches des IUFM. Mais c'est aussi là où les titulaires attendent de muter depuis des années : vers les villes ! Du coup vient le reproche, non pas aux stagiaires, mais bien au système mis en place par Chatel qui contribue encore plus à bloquer les mutations. D'où la critique, contre ce système mis en place, et pas contre les "stagiaires". De toute façon les stagiaires d'une année seront eux-mêmes les victimes de ce système pour leur propre mutation à venir. Enfin, il faut aussi comprendre les titulaires. Dans mon académie il y a au moins trois disciplines où tous les postes vacants d'un département (le plus demandé sur l'académie) sont occupés par (ou plutôt par le rectorat "pour") des stagiaires. Il est évident que lorsque cela fait plus de dix ans que tu attends un mut, que tu sais qu'enfin un poste se libère et que tu vois qu'il ne passe pas au mouvement, cela fait rager. Mais je t'assure n'avoir pas entendu à ce sujet une remarque contre "les stagiaires" mais plutôt contre le système en place (sauf une exception, venant d'ailleurs d'une néo titulaire qui elle accuse les stagiaires en oubliant qu'elle l'était il y a peu).
- L'ancien système avait aussi ses défauts puisque parfois le stagiaire servait de "bouche trou" pour des temps incomplets, avec parfois des professeurs en place qui laissaient les pires heures aux arrivants (d'où l'idée de Chatel). Mais il y avait un autre système qui était de prendre les heures sur l'Edt du tuteur (c'est la chance que j'ai eue) ce qui faisait que là le stagiaire n'était pas un "bouche trou" mais quelqu'un à qui un professeur tuteur réservait des heures sur son propre emploi du temps.... Bien sûr, c'est le système qui était le plus coûteux... Un temps incomplet permettait aussi de confier (lorsque l'épuipe de prof en place est de bonne volonté, ce qui n'est pas toujours le cas) de mettre des classes particulières au stagiaire (pas de classe à exam, les classes les moins difficiles). Avec un temps plein, c'est simple, c'est impossible !
Et pour finir, le terme "stagiaire" ou "professeur stagiaire".
Pourquoi pas ? Le terme de professeur stagiaire peut sembler plus juste.
Je comprends tout à fait les remarques formulées ici, entre autre sur la double charge de travail entre le boulot à temps plein plus les "conneries" demandées lors de l'année de "stage", mais surtout :
- la seule chose qui importe c'est que lors de l'année de titularisation vous êtes devant élève des "professeurs", pas des "stagiaires" ou des "professeurs stagiaires". Non, vous êtes des professeurs dans leur intégralité, comme les autres.
- qu'un prof vous croise et dise en salle des prof : "ah, c'est toi le stagiaire en math". Rien de choquant. Par contre qu'un prof vous présente devant élève comme "stagiaire" ou "prof stagiaire", c'est une autre chose. Devant les élèves il n'y a que des professeurs.
+1 Jacq
L'administration ici ne parle que de "fonctionaires stagiaires".
- alanneFidèle du forum
chez nous, on parle pour l'an prochain de stagiaire 6H et stagiaire 15H et il n y a aucune volonté de rabaisser des collègues professeurs !
_________________
Wait and see
- InviteeFVénérable
D'accord avec la quasi-totalité du message de Jacq. (quasi !)
Alanne, si vous opposez ces "stagiaires 6h" et "stagiaires 15h" au reste des "profs" de l'établissement, je trouve l'emploi de vos termes particulièrement odieux.
J'explique :
1. si vous tenez à marquer la différence entre le prof stagiaire et tous les autres, qui ont été titularisés, c'est que le statut est important pour vous, que le fait d'avoir été proclamé titularisé vous semble primordial, discriminant, digne d'être rappelé.
On trouve ça bien, on trouve ça mal, peu importe. Je constate simplement que vous y attachez de l'importance.
2. Vous accordez donc de l'importance aux statuts, mais vous mettez dans le même sac
* un lauréat du concours, qui fait le grand saut à temps quasi-complet, avec un dispositif de formation et d'accompagnement, certes, mais qui va devoir suivre le rythme de tous les collègues titulaires face à ses classes, ses prépas de cours, ses corrections, etc.
* et un étudiant qui prépare le concours, ne l'a pas (encore) décroché, suit une formation plus conséquente que le nombre d'heures qu'il dispense en étant chaperonné, et entre doucement dans le métier.
Vous n'avez pas l'impression que, à ce moment-là, vous vous asseyez sur une différence statutaire de même envergure que celle que vous mettiez pourtant en relief au départ ?
Et bien si. Vous le faites.
Alors, ce n'est peut-être pas faire le mal si pleinement et si gaiement que quand on le fait par conscience, mais c'est faire le mal quand même.
Alanne, si vous opposez ces "stagiaires 6h" et "stagiaires 15h" au reste des "profs" de l'établissement, je trouve l'emploi de vos termes particulièrement odieux.
J'explique :
1. si vous tenez à marquer la différence entre le prof stagiaire et tous les autres, qui ont été titularisés, c'est que le statut est important pour vous, que le fait d'avoir été proclamé titularisé vous semble primordial, discriminant, digne d'être rappelé.
On trouve ça bien, on trouve ça mal, peu importe. Je constate simplement que vous y attachez de l'importance.
2. Vous accordez donc de l'importance aux statuts, mais vous mettez dans le même sac
* un lauréat du concours, qui fait le grand saut à temps quasi-complet, avec un dispositif de formation et d'accompagnement, certes, mais qui va devoir suivre le rythme de tous les collègues titulaires face à ses classes, ses prépas de cours, ses corrections, etc.
* et un étudiant qui prépare le concours, ne l'a pas (encore) décroché, suit une formation plus conséquente que le nombre d'heures qu'il dispense en étant chaperonné, et entre doucement dans le métier.
Vous n'avez pas l'impression que, à ce moment-là, vous vous asseyez sur une différence statutaire de même envergure que celle que vous mettiez pourtant en relief au départ ?
Et bien si. Vous le faites.
Alors, ce n'est peut-être pas faire le mal si pleinement et si gaiement que quand on le fait par conscience, mais c'est faire le mal quand même.
- alanneFidèle du forum
On ne marque pas de différence par rapport aux statuts, ce seront des professeurs comme nous mais je ne vois pas le mal à employer ce terme!On en parlait car entre les collègues qui ont eu leurs mutations , ceux qui partent en retraite , les AVS et aed qui partent nous auront beaucoup de personnes nouvelles cette année. A chaque rentrée , les nouvelles personnes sont très bien accueillies, encouragées conseillées aussi bien par les tuteurs que les autres personnes alors non, je ne fais pas de différence par rapport au travail en classe mais j’essaierai d'être plus présente pour les personnes qui n'ont jamais enseigné quelle soit à 6H ou 15H.
_________________
Wait and see
- MalagaModérateur
Cela ne me choque pas de parler de "stagiaires" car nous sommes sur un forum de professeurs et le terme "professeur" est, pour moi, sous-entendu. D'ailleurs, Madame Prof avait ouvert un sujet "les stagiaires à la rentrée 2012", une collègue a ouvert un sujet "contractuels: avez-vous des nouvelles pour la rentrée ?", un autre collègue a ouvert un sujet "la vie des TZR dans son RAD". A chaque fois, je ne crois pas qu'il y ait la volonté de dénigrer qui que ce soit.
_________________
J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- InviteeFVénérable
Alanne : des profs stagiaires à 15h (ou même à 6h) peuvent très bien avoir une expérience d'enseignement conséquente derrière eux, en tant que contractuels.
Et employer le terme "stagiaire" qui ne fait que renvoyer à un statut, c'est mettre ce statut en avant (qu'on le veuille ou non !)
Et employer le terme "stagiaire" qui ne fait que renvoyer à un statut, c'est mettre ce statut en avant (qu'on le veuille ou non !)
- Fleur16Habitué du forum
Jacq a écrit:
- La contrepartie de tout cela a été de réserver des postes, qualifiés "affectueusement et sans aucun mépris" de "poste-berceau" à des stagiaires. Sur le principe, c'est très bien. En plus souvent (pas toujours) ils sont bloqués sur des établissement proches des IUFM.
ça c'est la théorie, comme tous les (professeurs) stagiaires d'HG affectés en Essonne, j'étais convoquée à Gennevilliers à 1h45 de chez moi (plus depuis mon établissement) un jeudi sur deux.
Et mon collège (que j'ai néanmoins adoré) RRS avec CLA, SAS (supprimée certes), reconnu difficile (mais plus de place en ZEP) et avec des conflits importants avec la direction (intervention de la DASEN) aura le privilège d'être "berceau" en HG d'un professeur stagiaire à 15h et un professeur stagiaire à 6h sur 6 professeurs d'HG (et sans compter d'autres professeurs stagiaires).
Tout ça me laisse perplexe.
Pour répondre au "débat", être appelée "stagiaire" sur le forum ne m'a jamais gênée, c'est d'ailleurs rare et dans des posts où on discute des statuts, l'être par les collègues plus. "Ah tu es stagiaire" ne me dérange pas (au contraire il s'agit souvent de soutenir "le stagiaire") mais m'entendre appeler "la stagiaire" dans un contexte n'impliquant pas mon statut (donc pas en discutant des mutations etc.) alors que je m'étais déjà présentée de nombreuses fois, oui je l'ai très mal vécu (c'était lors de ma première année de stage, il a d'ailleurs été indiqué à mon IPR que je ne savais pas travailler en équipe, mes nouveaux collègues n'en sont pas revenus).
- CathEnchanteur
Mais vraiment, vous êtes bien chatouilleux...
Appeler qqn "stagiaire", indépendamment du nouveau truc 6h/15h, c'est une façon d'apporter des précisions sur lui: que vraisemblablement il débute, qu'il aura peut-être particulièrement besoin d'une oreille attentive, de conseils, etc.
C'est de la fierté mal placée, je trouve.
Appeler qqn "stagiaire", indépendamment du nouveau truc 6h/15h, c'est une façon d'apporter des précisions sur lui: que vraisemblablement il débute, qu'il aura peut-être particulièrement besoin d'une oreille attentive, de conseils, etc.
C'est de la fierté mal placée, je trouve.
- Fleur16Habitué du forum
Vis l'année que j'ai vécu, à 18h dans un lycée d'élite où j'étais (et n'étais que) "la stagiaire" pour beaucoup, élèves et parents d'élèves compris, et on reparlera de fierté mal placée. (et du coup, pas mal de collègues ne perdaient pas leur temps à faire connaissance avec "la stagiaire" dont on connait à peine le prénom et qui ne sera pas là l'année suivante)
Préciser qu'on est stagiaire est bien sûr une bonne chose mais ne pas oublier le "professeur" est valorisant lors d'une année déjà particulièrement difficile où on est infantilisé par l'IUFM, l'IPR et quelques fois la direction et le tuteur.
Préciser qu'on est stagiaire est bien sûr une bonne chose mais ne pas oublier le "professeur" est valorisant lors d'une année déjà particulièrement difficile où on est infantilisé par l'IUFM, l'IPR et quelques fois la direction et le tuteur.
- InviteeFVénérable
Cath, ce n'est pas de la fierté bien ou mal placée puisque ce n'est pas en me sentant personnellement concernée ou attaquée que je réagis (auquel cas, on pourrait l'envisager), mais sur une question de principe.
Comme le dit très bien Fleur, l'emploi ponctuel de l'adjectif tout seul, sur le forum ou au détour d'un couloir, dans une discussion qui a à voir avec le statut, est une chose, l'attribution de l'étiquette en tant que telle, pour définir la personne comme stagiaire par essence (un peu comme : le cancer de la chambre 5, le bras cassé du box 4, etc., comme si la personne n'existait qu'à travers ce trait...) dans une discussion où, qui plus est, ce n'est en rien indispensable, en est une autre.
Et l'opposition "les profs" (sous-entendu : les vrais) et "les stagiaires" (tout le reste dans le même panier sans distinction : EAP, stagiaires 6h, lauréats du concours, etc.), idem.
Pas étonnant que les profs soient méprisés s'ils ne se serrent pas les coudes eux-mêmes... or pour se tirer dans les pattes, nous sommes champions, hélas !
Comme le dit très bien Fleur, l'emploi ponctuel de l'adjectif tout seul, sur le forum ou au détour d'un couloir, dans une discussion qui a à voir avec le statut, est une chose, l'attribution de l'étiquette en tant que telle, pour définir la personne comme stagiaire par essence (un peu comme : le cancer de la chambre 5, le bras cassé du box 4, etc., comme si la personne n'existait qu'à travers ce trait...) dans une discussion où, qui plus est, ce n'est en rien indispensable, en est une autre.
Et l'opposition "les profs" (sous-entendu : les vrais) et "les stagiaires" (tout le reste dans le même panier sans distinction : EAP, stagiaires 6h, lauréats du concours, etc.), idem.
Pas étonnant que les profs soient méprisés s'ils ne se serrent pas les coudes eux-mêmes... or pour se tirer dans les pattes, nous sommes champions, hélas !
- isamiaNiveau 5
Quand j'étais "fonctionnaire stagiaire", on m'appelait la stagiaire et je n'en ai jamais souffert. Je n'étais pas titulaire donc normal pour moi qu'on m’appelle la stagiaire. Je ne vois vraiment pas où est le mal. J'ai eu des stagiaires et jamais je ne les ai présentés à mes collègues en utilisant le terme de "fonctionnaire stagiaire"... et ce n'était pas du mépris de ma part.
- InviteeFVénérable
Mais ouiiii, savonnons joyeusement la planche des collègues en les présentant aux élèves et aux familles comme ce qu'ils vont traduire par des "profs à l'essai" (la présentation en tant que "stagiaire", c'est véridique, j'y ai eu droit au premier CA de l'année, pour une collègue ça a été écrit dans le journal du collège, pour d'autres, c'était sur l'emploi du temps des élèves "STAGIAIRE MATHS", pour d'autres encore, des "collègues" l'ont glissé aux élèves...) pour voir s'ils arrivent à tenir le choc tout de même. Qui peut le plus, peut le moins, non ?
Mais il y a aussi les collègues en or :
Mais il y a aussi les collègues en or :
- JulHabitué du forum
+ 1isamia a écrit:Quand j'étais "fonctionnaire stagiaire", on m'appelait la stagiaire et je n'en ai jamais souffert. Je n'étais pas titulaire donc normal pour moi qu'on m’appelle la stagiaire. Je ne vois vraiment pas où est le mal. J'ai eu des stagiaires et jamais je ne les ai présentés à mes collègues en utilisant le terme de "fonctionnaire stagiaire"... et ce n'était pas du mépris de ma part.
- isamiaNiveau 5
Bon, si j'ai un stagiaire l'année prochaine, pardon un" professeur fonctionnaire stagiaire" je lui déroulerai le tapis rouge en l'appelant "professeur fonctionnaire stagiaire" , il ou elle sera content(e). Franchement, c'est ridicule de titiller sur un mot!! Dans n'importe quel autre métier , dire "stagiaire" ne pose aucun problème; mais ici j'ai l’impression qu'on touche à l’ego...
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