- IlseÉrudit
Nous allons bientôt nous réunir pour réfléchir sur les élèves en difficulté au collège (journée de solidarité). Que faites-vous dans votre collège ?
- ProvenceEnchanteur
On passe beaucoup de temps à réfléchir sur les élèves en difficulté, sans toujours définir la difficulté d'ailleurs. On oublie trop souvent que nos classes ne sont pas composées que d'élèves en difficulté, que les moyens aussi ont besoin qu'on les soutienne, qu les bons aussi ont besoin d'être tirés vers le haut. C'est agaçant de voir que les réflexions portent toujours sur les mêmes élèves.
Mais tu n'y es pour rien.
Mais tu n'y es pour rien.
- IlseÉrudit
Je sais... Cependant je vais essayer d'élargir le débat aux élèves moyens qu'il faudrait aussi aider, tirer vers le haut.
L'idée est (je crois...) de proposer quelque chose pour les élèves en difficulté, qu'on doit malgré tout garder jusqu'en 3è.
L'idée est (je crois...) de proposer quelque chose pour les élèves en difficulté, qu'on doit malgré tout garder jusqu'en 3è.
- yogiSage
Tutorat.
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"Jboirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin!"
- OlympiasProphète
Tutorat et soutien (au lycée). Mais c'est comme le soutien, cela ne sert à rien si l'élève ne fournit de son côté aucun travail personnel
- Singing in The RainHabitué du forum
Moi ce qui fonctionne très bien cette année : (collège)
- j'ai déjà mes élèves en soutien de français (et pas des élèves que je ne connais pas, dont j'ignore les besoins)
- ensuite je cible les élèves ayant eu des mauvaises notes à des devoirs et ils travaillent à la correction individuelle de leur propre travail et je les valorise par des points bonus (de 0,5 à 3pt sur la note)... ils peuvent réécrire un passage de rédaction, refaire des exercices poétiques ratés....
- je fais aussi une surveillance parallèle sur leurs classeurs car beaucoup de soucis viennent de problèmes méthodologiques : donc rangement régulier du classeur, sommaire, mise en valeur des cours...
+ Les élèves dyslexiques viennent systématiquement et on est libre de travailler selon leur besoin (lire un résumé de livre, coller des documents pour s'organiser...) et cela crée un lien plus libre, moins rigide et plus agréable qu'en classe complète.
- j'ai déjà mes élèves en soutien de français (et pas des élèves que je ne connais pas, dont j'ignore les besoins)
- ensuite je cible les élèves ayant eu des mauvaises notes à des devoirs et ils travaillent à la correction individuelle de leur propre travail et je les valorise par des points bonus (de 0,5 à 3pt sur la note)... ils peuvent réécrire un passage de rédaction, refaire des exercices poétiques ratés....
- je fais aussi une surveillance parallèle sur leurs classeurs car beaucoup de soucis viennent de problèmes méthodologiques : donc rangement régulier du classeur, sommaire, mise en valeur des cours...
+ Les élèves dyslexiques viennent systématiquement et on est libre de travailler selon leur besoin (lire un résumé de livre, coller des documents pour s'organiser...) et cela crée un lien plus libre, moins rigide et plus agréable qu'en classe complète.
- IlseÉrudit
Merci de vos remarques. Comment fonctionne le tutorat?
Nous avons réussi à obtenir 1h par semaine en 4ème et nous prenons chaque 1/2 classe (groupe fort/faible) en orthographe, en alternance.
Je fais aussi corriger et/ou réécrire des passages de rédaction (correction notée sur 5 ou bonus pour la prochaine rédaction).
Nous avons réussi à obtenir 1h par semaine en 4ème et nous prenons chaque 1/2 classe (groupe fort/faible) en orthographe, en alternance.
Je fais aussi corriger et/ou réécrire des passages de rédaction (correction notée sur 5 ou bonus pour la prochaine rédaction).
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