- EsméraldaGrand sage
J'ai épuisé mon stock d'exos, je cherche un exo ou deux pour leur évaluation : par exemple un exercice de réécriture ( texte au présent et réécriture au système du passé, les 2 temps du passé à choisir ). Ou n'importe quel exercice où ils doivent choisir entre l'un ou l'autre temps.
HELP
Merci d'avance
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- MimicracraFidèle du forum
Tu en as dans le couleurs du français 4ème pages 305 et 309
- EsméraldaGrand sage
Pas sûre de l'avoir celui-là, je vais regarder, merci !
- DerborenceModérateur
Employer le passé simple et l'imparfait
Exercice 1. Souligne les verbes à l'imparfait et indique leur valeur.
1. Le village corse s’étirait sur le flanc gauche de la colline et les maison s’entassaient autour de la petite place. C’est ainsi que les Corses construisaient leurs bourgs au XIXe siècle.
2. Quand Orso se levait tard, il pouvait être sûr que sa sœur l’attendait dans la cuisine, elle lui préparait le bruccio.
3. La jeune fille chantait une ballata quand il arriva.
4. Elle portait un mezzaro noir et son visage resplendissait.
5. Il avait fini par se venger car sa sœur l’y avait poussé.
Exercice 2. Souligne les verbes au passé simple et indique leur valeur.
1. La jeune fille sortit au moment où l’horloge sonnait minuit.
2. Elle descendit l’escalier, ouvrit la porte et fit entrer le bandit.
3. Tout le monde dormait quand elle s’échappa.
4. Elle écrivit de trois heures à cinq heures du matin.
5. La grande bâtisse sentait la lavande, les servantes en aspergeaient régulièrement le sol. Mathilda se couvrit le nez pour ne pas respirer cette odeur.
Exercice 3. Réécris ce texte au passé.
J’habite un charmant village blotti au pied de la colline que traverse une petite rivière qui prend sa source un peu plus haut. Ce matin, je passe sur le pont quand Éric m’interpelle. Il me demande si je vais à la boulangerie. C’est le cas, alors il m’accompagne. La boulangère nous reçoit avec amabilité et nous donne trois baguettes.
Exercice 4. Réécris le texte suivant en utilisant les temps du passé.
Cette odeur de cuir moisi des anciennes voitures, Thérèse l'aime... Elle se console d'avoir oublié ses cigarettes, détestant fumer dans le noir. Les lanternes éclairent les talus, une frange de fougères, la base des pins géants. [...] Elle enlève son chapeau, appuie contre le cuir odorant sa petite tête blême et ballottée, livre son corps aux cahots.
François Mauriac, Thérèse Desqueyroux.
Exercice 5. Transforme le texte en le mettant au passé (« ce matin-là... ») et en remplaçant « je » par « nous ».
Ce matin, je sens que je vais travailler. Travailler vraiment. J'ai réussi à sortir de chez moi, le cerveau à peu près frais, les nerfs à peu près intacts. Personne ne m'a agrippé pour me demander les cinq francs d'une cotisation, les vingt francs du déjeuner.
Françoise Mallet-Joris, La Maison de Papier.
Réécriture
Mettez le texte au passé et remplacez M. Brulé par « les maîtres ».
M. Brulé nous attend, la blouse bien sanglée, les mains dans le dos, les lunettes déjà méfiantes sur le nez. On entre un par un. La salle de classe attend dans une pénombre bleutée. On dirait une chapelle. Le maître a tiré les grands rideaux. Il ne faut pas qu'il y ait le moindre morceau de ciel pour nous distraire.
Daniel Picouly, Le Champ de Personne.
Exercice 1. Souligne les verbes à l'imparfait et indique leur valeur.
1. Le village corse s’étirait sur le flanc gauche de la colline et les maison s’entassaient autour de la petite place. C’est ainsi que les Corses construisaient leurs bourgs au XIXe siècle.
2. Quand Orso se levait tard, il pouvait être sûr que sa sœur l’attendait dans la cuisine, elle lui préparait le bruccio.
3. La jeune fille chantait une ballata quand il arriva.
4. Elle portait un mezzaro noir et son visage resplendissait.
5. Il avait fini par se venger car sa sœur l’y avait poussé.
Exercice 2. Souligne les verbes au passé simple et indique leur valeur.
1. La jeune fille sortit au moment où l’horloge sonnait minuit.
2. Elle descendit l’escalier, ouvrit la porte et fit entrer le bandit.
3. Tout le monde dormait quand elle s’échappa.
4. Elle écrivit de trois heures à cinq heures du matin.
5. La grande bâtisse sentait la lavande, les servantes en aspergeaient régulièrement le sol. Mathilda se couvrit le nez pour ne pas respirer cette odeur.
Exercice 3. Réécris ce texte au passé.
J’habite un charmant village blotti au pied de la colline que traverse une petite rivière qui prend sa source un peu plus haut. Ce matin, je passe sur le pont quand Éric m’interpelle. Il me demande si je vais à la boulangerie. C’est le cas, alors il m’accompagne. La boulangère nous reçoit avec amabilité et nous donne trois baguettes.
Exercice 4. Réécris le texte suivant en utilisant les temps du passé.
Cette odeur de cuir moisi des anciennes voitures, Thérèse l'aime... Elle se console d'avoir oublié ses cigarettes, détestant fumer dans le noir. Les lanternes éclairent les talus, une frange de fougères, la base des pins géants. [...] Elle enlève son chapeau, appuie contre le cuir odorant sa petite tête blême et ballottée, livre son corps aux cahots.
François Mauriac, Thérèse Desqueyroux.
Exercice 5. Transforme le texte en le mettant au passé (« ce matin-là... ») et en remplaçant « je » par « nous ».
Ce matin, je sens que je vais travailler. Travailler vraiment. J'ai réussi à sortir de chez moi, le cerveau à peu près frais, les nerfs à peu près intacts. Personne ne m'a agrippé pour me demander les cinq francs d'une cotisation, les vingt francs du déjeuner.
Françoise Mallet-Joris, La Maison de Papier.
Réécriture
Mettez le texte au passé et remplacez M. Brulé par « les maîtres ».
M. Brulé nous attend, la blouse bien sanglée, les mains dans le dos, les lunettes déjà méfiantes sur le nez. On entre un par un. La salle de classe attend dans une pénombre bleutée. On dirait une chapelle. Le maître a tiré les grands rideaux. Il ne faut pas qu'il y ait le moindre morceau de ciel pour nous distraire.
Daniel Picouly, Le Champ de Personne.
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- EsméraldaGrand sage
MErci Derbo je vais peut-être pouvoir en faire quelque chose
- GadjiNiveau 3
Je passe par là tardivement, mais merci Derborence pr cette série d''exos!
Mes élèves plancheront dessus prochainement
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