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- OlympiasProphète
Mais le traumatisme de la victime, on s'en fout !!! Par contre, garder des petits caïds, ça s'est pédagogique !!
- adelaideaugustaFidèle du forum
linkus a écrit:Bon sang! Moi qui croyait que ce groupe Collège Lycée Stendhal était tranquille....
A Grenoble, RIEN n'est tranquille. Il s'y passe sans cesse des évènements innommables. Les hiérarchies (directeurs d'écoles en particulier) ne défendent pas leurs enseignants. Je ne suis pas tellement étonnée.
- phiExpert
Encore une fois le directeur d'école ne fait pas partie de la hiérarchie... Pour le reste tu n'as pas tort... Enfin ça dépend des écoles quand même...adelaideaugusta a écrit:linkus a écrit:Bon sang! Moi qui croyait que ce groupe Collège Lycée Stendhal était tranquille....
A Grenoble, RIEN n'est tranquille. Il s'y passe sans cesse des évènements innommables. Les hiérarchies (directeurs d'écoles en particulier) ne défendent pas leurs enseignants. Je ne suis pas tellement étonnée.
- adelaideaugustaFidèle du forum
phi a écrit:Encore une fois le directeur d'école ne fait pas partie de la hiérarchie... Pour le reste tu n'as pas tort... Enfin ça dépend des écoles quand même...adelaideaugusta a écrit:linkus a écrit:Bon sang! Moi qui croyait que ce groupe Collège Lycée Stendhal était tranquille....
A Grenoble, RIEN n'est tranquille. Il s'y passe sans cesse des évènements innommables. Les hiérarchies (directeurs d'écoles en particulier) ne défendent pas leurs enseignants. Je ne suis pas tellement étonnée.
Quand il y a un incident grave dans ton école (menaces de mort par la mère d'un de tes élèves ) et que ton directeur ne juge pas nécessaire d'en avertir l'inspection, (surtout pas de vagues qui puissent nuire à l'image de cette école de ZEP en ZUS, )et que tu le vois deux jours après "l'incivilité" féliciter la-dite mère car elle s'est achetée une nouvelle voiture, il y a un problème, non ???
- phiExpert
Exact. En théorie les directeurs ne sont pas nos supérieurs hiérarchiques. mais certains sont très copains avec les IEN et n'hésitent pas même à dénoncer leurs collègues (j'en ai moi-même fait les frais). j'ignore si c'est particulier à l'académie de Grenoble cela étant.
- linkusNeoprof expérimenté
C'est vrai, entre Fontaine et Echirolles....adelaideaugusta a écrit:linkus a écrit:Bon sang! Moi qui croyait que ce groupe Collège Lycée Stendhal était tranquille....
A Grenoble, RIEN n'est tranquille. Il s'y passe sans cesse des évènements innommables. Les hiérarchies (directeurs d'écoles en particulier) ne défendent pas leurs enseignants. Je ne suis pas tellement étonnée.
Il n'y a que le Campus de St Martin d'Heres qui est tranquille et encore...
la nuit c'est autre chose!
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J'entends souvent dire qu'avec l'agrégation, c'est travailler moins pour gagner plus. En réalité, avec le CAPES c'est travailler plus pour gagner moins.
Avec un travail acharné, même un raté peut battre un génie. Rock Lee
Je ne suis pas gros, j'ai une ossature lourde!
Vous aimez Bomberman? Venez jouer à Bombermine.
- FoulquartNiveau 6
Un scandale. L'acte est d'une gravité énormissime.
Ce CdD est peuplé de couards ne réfléchissant pas aux implications pédagogiques d'une telle décision. Quel message est donné au fautif et à tous les élèves ? Pas grave !
Ce CdD est peuplé de couards ne réfléchissant pas aux implications pédagogiques d'une telle décision. Quel message est donné au fautif et à tous les élèves ? Pas grave !
- Raoul LEVILAINNiveau 5
Obligé de fuir le collège Stendhal de Grenoble après deux agressions :
http://www.leparisien.fr/grenoble-38000/grenoble-oblige-de-fuir-son-college-apres-deux-agressions-25-02-2013-2597301.php
http://www.leparisien.fr/grenoble-38000/grenoble-oblige-de-fuir-son-college-apres-deux-agressions-25-02-2013-2597301.php
- MarmadocNiveau 5
cath5660 a écrit:Surtout que les parents ont dû porter plainte...
philann a écrit:[Avec les réserves d'usage (parce que l'on ne sait pas ce qui a motivé le sursis) non seulement en tant que parent je porterais plainte contre le gamin mais aussi contre l'établissement pour incitation à la violence et défaut dan la protection des mineurs qui lui sont confiés.
En effet, après avoir été contraints de changer leur fils d'établissement, les parents ont porté plainte contre le proviseur (le principal ?) pour "manquement à la sécurité » et « mise en danger de la vie d’autrui ».
http://www.leparisien.fr/grenoble-38000/grenoble-oblige-de-fuir-son-college-apres-deux-agressions-25-02-2013-2597301.php
Hugo, 11 ans, a le sentiment d’être victime d’une double peine. Ce jeune Grenoblois, très violemment frappé dans son collège, a été contraint de quitter l’établissement alors que son agresseur, lui, continue à y être scolarisé. Scandalisés, les parents d’Hugo ont décidé de porter plainte contre le proviseur.
En septembre, Hugo, élève de 6e du collège Stendhal de Grenoble (Isère), est agressé par un camarade de classe âgé de 12 ans. « Il m’avait prévenu : Je vais te taper, tu vas voir qui est le plus fort. Je t’attends à la sortie. J’étais allé voir la conseillère principale d’éducation. Elle m’avait dit qu’elle placerait des surveillants devant le collège. Mais il n’y avait personne lorsque j’ai été frappé », raconte Hugo.
Une exclusion… mais assortie du sursis
Ses parents signalent les faits à la police. De son côté, la direction du collège affirme qu’elle ne peut rien faire, l’incident s’étant produit à l’extérieur. Le 25 janvier, Hugo est la cible du même agresseur. A l’intérieur du collège cette fois. « Avec ses mains, il m’a serré au niveau de la trachée-artère. Il m’étranglait, je ne pouvais plus respirer. Je me suis évanoui. Il m’a donné des coups de poing et jeté dans les escaliers. J’aurais pu mourir », relate, encore traumatisé, le garçon. Le médecin qui l’a examiné conclut ainsi son rapport : « Traumatisme crânien avec perte de connaissance suite à une tentative de strangulation suivie d’une chute dans les escaliers. »
L’enfant se voit délivrer une incapacité totale de travail de dix jours, prolongée jusqu’au 22 février. Ses parents portent plainte. Ils attendent une sanction exemplaire de l’Education nationale contre l’agresseur. Or, le 18 février, le conseil de discipline prononce à son encontre « une exclusion définitive » mais « avec sursis ». Cet élève reste dans l’établissement mais change juste de classe. « Il n’a même pas eu une heure de colle pour des faits aussi graves. C’est scandaleux », clame Véronique, la mère d’Hugo.
Hors de question pour l’enfant de revenir au collège avec le risque de recroiser son agresseur. Ses parents décident donc, contraints et forcés, de le changer d’établissement. Hugo est écœuré : « J’ai dû partir alors que c’est moi qui me suis fait agresser. Je trouve cela injuste.»
« Si, aujourd’hui, on inculque à nos enfants que l’on peut faire ce que l’on veut, sans être sanctionné, mais dans quelle société vit-on? » s’insurge son père. Les parents d’Hugo ont décidé de porter plainte contre le proviseur pour « manquement à la sécurité » et « mise en danger de la vie d’autrui ».
Du côté du rectorat, on regrette le départ d’Hugo, mais on justifie l’absence d’exclusion contre son agresseur : « Nous sommes dans le domaine de l’accompagnement de mineurs. Il convient de donner au jeune agresseur une chance pour le futur et qu’ayant pris conscience de ce qui s’était passé il ne renouvelle pas ce genre d’exaction », explique le directeur de cabinet du recteur.
Le Parisien
- OlympiasProphète
J'ai lu le papier ce matin. Les propos du type du rectorat donnent envie de hurler...
- NestyaEsprit sacré
Non mais je rêve!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Du côté du rectorat, on regrette le départ d’Hugo, mais on justifie l’absence d’exclusion contre son agresseur : « Nous sommes dans le domaine de l’accompagnement de mineurs. Il convient de donner au jeune agresseur une chance pour le futur et qu’ayant pris conscience de ce qui s’était passé il ne renouvelle pas ce genre d’exaction », explique le directeur de cabinet du recteur.
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- OlympiasProphète
Peut-être faut-il fusionner avec le topic sur le même thème ?
- abricotedapiExpert spécialisé
Mais comment peut-il comprendre que son geste est TRES grave s'il n'est pas puni ? Et en quoi laisser un enfant agressé dans l'obligation de changer d'établissement en cours d'année pour ne pas avoir à croiser son agresseur fait partie de "l'accompagnement" des mineurs ?!
Un enfant a le droit d'étrangler quelqu'un seulement s'il ne recommence pas ensuite ?
Un enfant a le droit d'étrangler quelqu'un seulement s'il ne recommence pas ensuite ?
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- Spoiler:
- 2024-2025 : en poste fixe !!
2023-2024 (TZR) AFA : 2 classes de 6e (PP 6e)
2022-2023 (TZR) AFA : 1 classe de 5e, 2 classes de 4e, 1 classe de 3e (PP 5e)
2021-2022 (TZR) 2 remplacements : 2 classes de 5e, 1 classe de 6e / 3 classes de 6e
2020-2021 (TZR) AFA 2 collèges dont le RAD : 2 classes de 5e, 1 classe de 4e (PP 5e) + 1 classe de 6e
2019-2020 (TZR) AFA RAD : 2 classes de 6e, 2 classes de 5e (PP 6e)
2018-2019 (TZR) AFA : 4 classes de 6e
2014-2018 : quatre ans en poste fixe (8 classes de 6e, 4 classes de 4e, 3 classes de 5e, 2 classes de 3e et 4 x PP 6e)
2013-2014 (stagiaire) : 2 classes de 5e, 1 classe de 6e
- cannelle21Grand Maître
Olympias a écrit:Peut-être faut-il fusionner avec le topic sur le même thème ?
Sujets fusionnés
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Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- OlympiasProphète
ll ne comprendra rien s'il n'y a pas de sanction et une exclusion avec sursis n'est absolument pas perçue comme telle...Il ne s'agit pas de le traiter comme un criminel en puissance mais l'accompagnement doit intégrer la sanction.
- dandelionVénérable
Mais c'est un criminel tout court, ce qu'il a fait entre dans la catégorie des crimes (du fait de son jeune âge il ne saurait être jugé je suppose, mais il y aura sans doute une mesure éducative mise en place par le juge des enfants, si la plainte suit son cours). Par contre, la pédopsychiatrie étant sinistrée, il sera difficile de trouver un suivi pour cet enfant qui de fait requiert des soins si les comportements décrits sont avérés.Olympias a écrit:ll ne comprendra rien s'il n'y a pas de sanction et une exclusion avec sursis n'est absolument pas perçue comme telle...Il ne s'agit pas de le traiter comme un criminel en puissance mais l'accompagnement doit intégrer la sanction.
Le problème est surtout que l'on oublie trop qu'il faut, parfois, faire des exemples (je ne dis pas de le fusiller hein, mais de prendre une sanction proportionnée à la faute, aucun établissement ne peut tolérer la violence extrême sans prendre le risque qu'elle ne se renouvelle). De toute façon, la hiérarchie semble faire semblant de ne pas savoir qu'en omettant de punir les faits peu graves (de façon proportionnée, je réitère), on fait le lit de violences bien pires (les statistiques sur les accidents sont formelles, il y a corrélation entre le nombre d'incidents mineurs et le nombre d'accidents graves). Qui affirmerait qu'il ne serait pas tenté de détourner la loi s'il s'apercevait qu'il peut le faire sans risque? Enfin, ne pas punir cet enfant à l'aune de son acte est aussi une violence contre lui. L'indolence de l'institution est donc blâmable à tous les niveaux.
- palomitaNeoprof expérimenté
Je trouve scandaleux que l'agresseur n'ait eu qu'un simple changement de classe et une exclusion avec sursis alors que la victime de violences aussi graves est obligée de changer d'établissement pour une question de survie.
Message pour l'agresseur: " on te laisse une deuxième chance, mais si tu étrangles quelqu'un d'autre, alors là, tu es exclu pour de bon" ;
Message pour l'agresseur: " on te laisse une deuxième chance, mais si tu étrangles quelqu'un d'autre, alors là, tu es exclu pour de bon" ;
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"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
- YazilikayaNeoprof expérimenté
Olympias a écrit:ll ne comprendra rien s'il n'y a pas de sanction et une exclusion avec sursis n'est absolument pas perçue comme telle...Il ne s'agit pas de le traiter comme un criminel en puissance mais l'accompagnement doit intégrer la sanction.
Ben j'assimile son geste à une tentative de meurtre pour ma part. Que la victime doive fuir pour sa survie est proprement scandaleux.
- FoulquartNiveau 6
L'EN, royaume de la poussière sous le tapis, once again.
- *Lady of Shalott*Fidèle du forum
C'est hallucinant. Les parents ont raison de porter plainte ; et ça me navre qu'un conseil de discipline puisse prendre une telle décision (je ne parle même pas du rectorat : quand il y a une ânerie à faire ou à dire, ils sont toujours là, eux )
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"Est-ce que les professeurs vont dans un au-delà spécial quand ils meurent ? fit Cohen. - Je ne crois pas", répondit tristement monsieur Cervelas. Il se demanda un instant s'il existait réellement dans les cieux une grande Heure de Libre. Ça paraissait peu probable. Il y aurait sûrement des corrections à se taper. (T. Pratchett, Les Tribulations d'un mage en Aurient)
- PiliGrand sage
A gerber cette histoire!!!!! :censure:
- OlympiasProphète
dandelion a écrit:Mais c'est un criminel tout court, ce qu'il a fait entre dans la catégorie des crimes (du fait de son jeune âge il ne saurait être jugé je suppose, mais il y aura sans doute une mesure éducative mise en place par le juge des enfants, si la plainte suit son cours). Par contre, la pédopsychiatrie étant sinistrée, il sera difficile de trouver un suivi pour cet enfant qui de fait requiert des soins si les comportements décrits sont avérés.Olympias a écrit:ll ne comprendra rien s'il n'y a pas de sanction et une exclusion avec sursis n'est absolument pas perçue comme telle...Il ne s'agit pas de le traiter comme un criminel en puissance mais l'accompagnement doit intégrer la sanction.
Le problème est surtout que l'on oublie trop qu'il faut, parfois, faire des exemples (je ne dis pas de le fusiller hein, mais de prendre une sanction proportionnée à la faute, aucun établissement ne peut tolérer la violence extrême sans prendre le risque qu'elle ne se renouvelle). De toute façon, la hiérarchie semble faire semblant de ne pas savoir qu'en omettant de punir les faits peu graves (de façon proportionnée, je réitère), on fait le lit de violences bien pires (les statistiques sur les accidents sont formelles, il y a corrélation entre le nombre d'incidents mineurs et le nombre d'accidents graves). Qui affirmerait qu'il ne serait pas tenté de détourner la loi s'il s'apercevait qu'il peut le faire sans risque? Enfin, ne pas punir cet enfant à l'aune de son acte est aussi une violence contre lui. L'indolence de l'institution est donc blâmable à tous les niveaux.
L'EN n'assume rien avec le courage habituel de la maison !!!
Cet élève, s'il a moins de 13 ans n'aura que des mesures éducatives. Il sera convoqué par le juge des enfants qui le mettra en examen et le jugera plus tard avec deux assesseurs (c'est ce que je fais). La sanction doit passer car sans elle pas de prise de conscience des faits, de leur gravité et de leurs conséquences. Les sanctions des TPE sont très progressives mais je m'interroge toujours que l'opportunité de juger très tard par rapport aux faits. Par exemple, on peut juger en février 2013 des faits datant de juin 2012, mais aussi des faits datant de ...2010 ! Il faut un juste milieu en toutes choses...
- OlympiasProphète
je m'interroge toujours sur l'opportunité
- dandelionVénérable
J'ai aussi eu un élève jugé deux ou trois ans plus tard. A cet âge là, c'est vraiment atroce. Ce devrait vraiment être une priorité que de financer un peu mieux la justice des enfants (ça et le traitement des maladies psychiatriques chez l'enfant...). J'ai eu des élèves suivis par la protection judiciaire de la jeunesse, et franchement, le moins qu'on puisse dire c'est que c'était léger (par défaut de personnel je suppose). C'est vraiment triste pour ces enfants aussi, ils paieront sans doute toute leur vie l'incurie des institutions.
- CeladonDemi-dieu
Le sujet est passé au 20 H de Fr 2. Les parents se demandent en effet ce qu'il faut faire pour être exclu. Ils portent plainte aussi contre le proviseur, qui est soutenu par sa hiérarchie, justifiant l'absence de sanction par le fait qu'il y a eu une instance qui s'est réunie et en a décidé ainsi.
La victime a fort bien exprimé le sentiment d'injustice qu'elle ressent à la perspective de devoir changer d'établissement.
La victime a fort bien exprimé le sentiment d'injustice qu'elle ressent à la perspective de devoir changer d'établissement.
- OlympiasProphète
dandelion a écrit:J'ai aussi eu un élève jugé deux ou trois ans plus tard. A cet âge là, c'est vraiment atroce. Ce devrait vraiment être une priorité que de financer un peu mieux la justice des enfants (ça et le traitement des maladies psychiatriques chez l'enfant...). J'ai eu des élèves suivis par la protection judiciaire de la jeunesse, et franchement, le moins qu'on puisse dire c'est que c'était léger (par défaut de personnel je suppose). C'est vraiment triste pour ces enfants aussi, ils paieront sans doute toute leur vie l'incurie des institutions.
Effectivement, deux ou trois ans après, la sanction n'a aucun sens (surtout si le gosse n'a commis aucune infraction depuis, ce qui est heureusement 90% des gosses concernés). La sanction a encore moins de sens chez les récidivistes lorsque le juge n'a pas les moyens de faire appliquer les sanctions !!!! Il faut que le mineur adhère à la sanction (le TIG par exemple...). Le personnel de la PJJ est insuffisant, les budgets aussi, les places sont insuffisantes dans les divers types de foyers (j'ai une grosse étude sur les centres pour mineurs que je peux mettre en pj), certains éducateurs sont ou mal formés ou n'ont aucune autorité...
Quand au suivi psy, indispensable c'est la dernière roue du carrosse. Dès que je sors du tribunal j'en suis en pétard
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- Elève agressé par un autre aux abords du collège, j'enseigne dans ce collège
- Amiens : Un élève du collège Jean-Marc Laurent étrangle son professeur.
- Lille - Enseignante condamnée à 18 mois de prison avec sursis pour sa relation avec une élève de moins de 15 ans.
- Aiguillon (47) : 4 mois de prison avec sursis pour un parent d'élève qui a menacé et frappé un CPE.
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