La PP d'une de mes classes me savonne la planche auprès des élèves. Que faire ?

thrasybule a écrit:Si elle te harcèle, il faut TRES RAPIDEMENT, élaborer un plan d'attaque , sinon elle va continuer. Encore une exécrable engeance, celle des pervers narcissiques.

+1

Ta collègue n'est pas dans une attitude rationnelle: inutile de tenter les grandes explications ou la discussion franche. Il faut faire en sorte que cela ne t'atteigne pas (en apparence) et que cela ne trouble pas ton cours (quitte à serrer la vis à tes élèves).

Dalva a écrit:Enfin, c'est tout de même assez incroyable ! Tu penses que c'est fréquent ?

Quand j'étais au collège, j'en ai été témoin. Une c... du style bonne soeur laïque, qui n'avait que le travail pour combler sa vacuité existentielle, et qui s'en prenait aux gens peu sûrs d'eux toujours sous des prétextes fallacieux. " Il faut l'aider" etc.. et qui les enfonçait par-derrière. Bon, là, c'est pas le cas de figure mais c'est le même archétype.

Si ton chef d'établissement est fiable, c'est à lui qu'il faut t'adresser, de manière calme, posée et argumentée.

Vois si tu peu t'appuyer sur d'autres collègues de la classe pour parler à cette PP à plusieurs.

Envers les élèves, zéro compromis, et tu fais bien comprendre qu'à chaque fois qu'ils joueront à ce jeu, tu seras encore plus stricte et intransigeante avec eux.

Je crains toujours l'adresse directe au chef d'établissement. Il faut avoir un "dossier" béton, des témoins si possible, et réussir à exposer les faits objectivement. Tout dépend de la personne qu'on a en face de soi.

Parce que si elle est comme elle semble être, elle va jouer la victime à n'en pas douter.

Fous lui une tarte !

Dalva a écrit:Je crains toujours l'adresse directe au chef d'établissement. Il faut avoir un "dossier" béton, des témoins si possible, et réussir à exposer les faits objectivement. Tout dépend de la personne qu'on a en face de soi.

Je partage un peu ton avis. Souvent ces personnes fascinés par le pouvoir qu'ils peuvent exercer sur l'autre se débrouillent pour être en bons termes avec leus supérieurs. Tyrans avec leurs pairs, serfs avec leurs seigneurs et maîtres. Si ce n'est pas le cas, le conseil de Celeborn me parait indiqué.

Dalva a écrit:Parce que si elle est comme elle semble être, elle va jouer la victime à n'en pas douter.

Exact. Je pense que la risposte doit être frontale, mais sans insulte, pour être efficace. Si tu en fais part au chef, tu te mets en position d'infériorité. Ce n'est que mon humble avis.

Dalva a écrit:Je crains toujours l'adresse directe au chef d'établissement. Il faut avoir un "dossier" béton, des témoins si possible, et réussir à exposer les faits objectivement. Tout dépend de la personne qu'on a en face de soi.

+1 Comment ta collègue est-elle vue dans l'établissement? As-tu de bons rapports avec ton CDE? Si ce n'est pas le cas, tu prends des risques. Lui mettre les points sur les 'i' semble par contre nécessaire, c'est vraiment tordu ce qu'elle te fait subir! Si tu as peur de t'emporter, autant le faire en comité restreint (tu n'es peut-être pas la seule à subir son 'aide', un collègue pourrait t'accompagner?)

Dalva a écrit:
Il faut que tu deviennes une carne pour qu'ils regrettent d'avoir un jour tenté de s'amuser avec toi.
En bref, accède à toutes leurs demandes, et fais en sorte qu'ils s'en mordent systématiquement les doigts. Dans les relations de domination et de manipulation, il n'y a pas vraiment d'autre solution que jouer le jeu de l'autre contre lui.

Quant à la PP, je déconseille non seulement les insultes mais aussi les hurlements. Un simple, franc et froid "Tu dois cesser immédiatement ton jeu de sape avec telle classe, cela ne m'amuse plus du tout." en la regardant droit dans les yeux, surtout sans frémir.

+10000. Cela va leur passer l'envie de se plaindre à nouveau.

dandelion a écrit:

Dalva a écrit:Je crains toujours l'adresse directe au chef d'établissement. Il faut avoir un "dossier" béton, des témoins si possible, et réussir à exposer les faits objectivement. Tout dépend de la personne qu'on a en face de soi.

+1 Comment ta collègue est-elle vue dans l'établissement? As-tu de bons rapports avec ton CDE? Si ce n'est pas le cas, tu prends des risques. Lui mettre les points sur les 'i' semble par contre nécessaire, c'est vraiment tordu ce qu'elle te fait subir! Si tu as peur de t'emporter, autant le faire en comité restreint (tu n'es peut-être pas la seule à subir son 'aide', un collègue pourrait t'accompagner?)

Les points sur les "i", je n'y crois pas trop: un tordu se tire toujours d'affaire.

J'ai eu une collègue, il y a quelques années, un peu du même genre: bien vue par les chefs, manipulant son monde pour obtenir ce qu'elle voulait (une vraie manipulatrice, sans exagération), humiliante envers certains gamins, démago avec les autres. Elle était du genre à écouter les gosses un peu trop et à leur parler de ses collègues. J'ai appris un jour que j'avais fait une grande école à Paris (gnê? ). Une classe a demandé à un autre collègue: "C'est vrai, monsieur, que vous ne nous aimez pas? Madame Vipère, elle a dit que votre place était à l’université". Et tout du même tonneau... J'ai croisé un jour une élève, fragile, dépressive, toujours collée aux profs, qui voulait savoir ce que je pensais de Mme Trucmuche (une bonne femme détestable par ailleurs).
"Pourquoi me poses-tu donc la question? :shock:
- Ben, madame Vipère, elle a dit que ceci et que cela.
- Je refuse de croire une seule seconde que ma collègue, Mme Vipère, ait pu commettre pareille faute professionnelle! Ce serait bas et méprisable! Non, vraiment, je n'y crois pas: c'est impossible!"
Et je suis partie. Je suppose que mes doux propos sont parvenus jusqu'aux oreilles de Mme Vipère... :diable:

Commence peut-être par en parler avec tes autres collègues de la même classe pour savoir si la chose a lieu avec elles aussi. Si tel est le cas vous aurez moins de mal ensemble à contrer et les élèves et la collègue.
PAr ailleurs, c'est plus simple d'arrivée devant le CDE avec des billes, pour cette raison, je te conseille de noter tout truc qui te semble baroque, réaction d'élèves, commentaires de ta collègue etc... Note tout!!

Et surtout bon courage à toi!!

dandelion a écrit:

Dalva a écrit:Je crains toujours l'adresse directe au chef d'établissement. Il faut avoir un "dossier" béton, des témoins si possible, et réussir à exposer les faits objectivement. Tout dépend de la personne qu'on a en face de soi.

+1 Comment ta collègue est-elle vue dans l'établissement? As-tu de bons rapports avec ton CDE? Si ce n'est pas le cas, tu prends des risques. Lui mettre les points sur les 'i' semble par contre nécessaire, c'est vraiment tordu ce qu'elle te fait subir! Si tu as peur de t'emporter, autant le faire en comité restreint (tu n'es peut-être pas la seule à subir son 'aide', un collègue pourrait t'accompagner?)

elle n'est pas appréciée, en particulier des collègues, elle est vraiment caractérielle. Moi j'ai un bon rapport avec mes chefs. Quand à la classe, à part un noyau qui profite en effet de son travail de sape, ça ne se passe pas si mal, surtout depuis la rentrée de janvier. C'était dur en décembre, pas qu'avec moi d'ailleurs, mais franchement cela va beaucoup mieux, j'ai une bonne partie de la classe de mon côté, même si encore une fois il y en a certains qui essaient de profiter que la PP me savonne la planche, je le vois bien. Et les jours ou ils ont "parlé' avec elle, c'est net, ce petit noyau la est vraiment insolent et se croit tout permis, c'est assez pénible, on sent qu'ils s'imaginent en impunité.

Provence a écrit:

dandelion a écrit:

Dalva a écrit:Je crains toujours l'adresse directe au chef d'établissement. Il faut avoir un "dossier" béton, des témoins si possible, et réussir à exposer les faits objectivement. Tout dépend de la personne qu'on a en face de soi.

+1 Comment ta collègue est-elle vue dans l'établissement? As-tu de bons rapports avec ton CDE? Si ce n'est pas le cas, tu prends des risques. Lui mettre les points sur les 'i' semble par contre nécessaire, c'est vraiment tordu ce qu'elle te fait subir! Si tu as peur de t'emporter, autant le faire en comité restreint (tu n'es peut-être pas la seule à subir son 'aide', un collègue pourrait t'accompagner?)

Les points sur les "i", je n'y crois pas trop: un tordu se tire toujours d'affaire.

J'ai eu une collègue, il y a quelques années, un peu du même genre: bien vue par les chefs, manipulant son monde pour obtenir ce qu'elle voulait (une vraie manipulatrice, sans exagération), humiliante envers certains gamins, démago avec les autres. Elle était du genre à écouter les gosses un peu trop et à leur parler de ses collègues. J'ai appris un jour que j'avais fait une grande école à Paris (gnê? ). Une classe a demandé à un autre collègue: "C'est vrai, monsieur, que vous ne nous aimez pas? Madame Vipère, elle a dit que votre place était à l’université". Et tout du même tonneau... J'ai croisé un jour une élève, fragile, dépressive, toujours collée aux profs, qui voulait savoir ce que je pensais de Mme Trucmuche (une bonne femme détestable par ailleurs).
"Pourquoi me poses-tu donc la question? :shock:
- Ben, madame Vipère, elle a dit que ceci et que cela.
- Je refuse de croire une seule seconde que ma collègue, Mme Vipère, ait pu commettre pareille faute professionnelle! Ce serait bas et méprisable! Non, vraiment, je n'y crois pas: c'est impossible!"
Et je suis partie. Je suppose que mes doux propos sont parvenus jusqu'aux oreilles de Mme Vipère... :diable:

C'est bien pensé...

Provence a écrit:

dandelion a écrit:

Dalva a écrit:Je crains toujours l'adresse directe au chef d'établissement. Il faut avoir un "dossier" béton, des témoins si possible, et réussir à exposer les faits objectivement. Tout dépend de la personne qu'on a en face de soi.

+1 Comment ta collègue est-elle vue dans l'établissement? As-tu de bons rapports avec ton CDE? Si ce n'est pas le cas, tu prends des risques. Lui mettre les points sur les 'i' semble par contre nécessaire, c'est vraiment tordu ce qu'elle te fait subir! Si tu as peur de t'emporter, autant le faire en comité restreint (tu n'es peut-être pas la seule à subir son 'aide', un collègue pourrait t'accompagner?)

Les points sur les "i", je n'y crois pas trop: un tordu se tire toujours d'affaire.

J'ai eu une collègue, il y a quelques années, un peu du même genre: bien vue par les chefs, manipulant son monde pour obtenir ce qu'elle voulait (une vraie manipulatrice, sans exagération), humiliante envers certains gamins, démago avec les autres. Elle était du genre à écouter les gosses un peu trop et à leur parler de ses collègues. J'ai appris un jour que j'avais fait une grande école à Paris (gnê? ). Une classe a demandé à un autre collègue: "C'est vrai, monsieur, que vous ne nous aimez pas? Madame Vipère, elle a dit que votre place était à l’université". Et tout du même tonneau... J'ai croisé un jour une élève, fragile, dépressive, toujours collée aux profs, qui voulait savoir ce que je pensais de Mme Trucmuche (une bonne femme détestable par ailleurs).
"Pourquoi me poses-tu donc la question? :shock:
- Ben, madame Vipère, elle a dit que ceci et que cela.
- Je refuse de croire une seule seconde que ma collègue, Mme Vipère, ait pu commettre pareille faute professionnelle! Ce serait bas et méprisable! Non, vraiment, je n'y crois pas: c'est impossible!"
Et je suis partie. Je suppose que mes doux propos sont parvenus jusqu'aux oreilles de Mme Vipère... :diable:

Bravo Provence !

corisandiane a écrit:

Madame_Prof a écrit:Il en pense quoi le chef?

il n'en sait rien, mais si ça continue je crois que je ne vais pas tarder à lui en parler la c'est clair

Courrier strictement circonstanciel au chef.
Altercation mesurée mais en public en sdp.
Mise au point en classe : "Pas la peine de venir me parler de ce que vous dites en vdc, il n'y aura aucun changement qui ne passe par moi. Dans mon cours, le chef, c'est moi, pas votre PP. Vous pouvez le lui redire. Et si vous trouvez qu'il y a trop de bavardages, c'est très simple : vous la bouclez".
Rien de plus, rien de moins.

Je n'ose pas te demander où tu enseignes, mais j'en ai connu une comme ça lors de mon année de stage. Un jour, cette gourde m'a envoyé un mail pour me faire savoir que des élèves se plaignaient de moi, car j'excluais trop facilement; ils avaient fait une HVC sur moi où les pires horreurs s'étaient dites sur mon compte (y compris des rumeurs). J'avais transféré le mail à ma tutrice, qui l'avait transféré au chef. Ca a été réglé du jour au lendemain. Tu devrais lui envoyer un mail en lui demandant ce qui s'est dit excatement, comme ça tu aurais une trace écrite!

Cripure a écrit:

corisandiane a écrit:

Madame_Prof a écrit:Il en pense quoi le chef?

il n'en sait rien, mais si ça continue je crois que je ne vais pas tarder à lui en parler la c'est clair

Courrier strictement circonstanciel au chef.
Altercation mesurée mais en public en sdp.
Mise au point en classe : "Pas la peine de venir me parler de ce que vous dites en vdc, il n'y aura aucun changement qui ne passe par moi. Dans mon cours, le chef, c'est moi, pas votre PP. Vous pouvez le lui redire. Et si vous trouvez qu'il y a trop de bavardages, c'est très simple : vous la bouclez".
Rien de plus, rien de moins.

je n'aurais pas mieux dit.
C'est exactement ce que tu dois faire, et assez rapidement, et sans aucune culpabilité.

Je trouve aussi que ces HVC sont propices à la libération de la parole des élèves. Comme si on avait besoin d'une heure spécifique pour gérer leurs plaintes et leurs revendications pffff. J'ai des élèves qui se plaignent en hvc que Untel a triché pendant mon contrôle, comme si c'était pas possible de venir me le dire directement, qu'il faille forcément en passer par le PP... Et la PP qui se prend pour la messagère des élèves, non mais franchement, il faut avoir que ça à faire.

albertine02 a écrit:

Cripure a écrit:

corisandiane a écrit:

Madame_Prof a écrit:Il en pense quoi le chef?

il n'en sait rien, mais si ça continue je crois que je ne vais pas tarder à lui en parler la c'est clair

Courrier strictement circonstanciel au chef.
Altercation mesurée mais en public en sdp.
Mise au point en classe : "Pas la peine de venir me parler de ce que vous dites en vdc, il n'y aura aucun changement qui ne passe par moi. Dans mon cours, le chef, c'est moi, pas votre PP. Vous pouvez le lui redire. Et si vous trouvez qu'il y a trop de bavardages, c'est très simple : vous la bouclez".
Rien de plus, rien de moins.

je n'aurais pas mieux dit.
C'est exactement ce que tu dois faire, et assez rapidement, et sans aucune culpabilité.

Exactement ! Tu lui claques le beignet en public, fermement et froidement. Et quand aux petits casse-.....(ah, je ne trouve plus l'excellente expression de cripure l'autre jour), ils doivent saisir tout de suite que dans ta classe, il n'y a qu'un seul chef de meute : TOI
La PP démago, c'est une plaie. Courage !!

Tess. a écrit:Je n'ose pas te demander où tu enseignes, mais j'en ai connu une comme ça lors de mon année de stage. Un jour, cette gourde m'a envoyé un mail pour me faire savoir que des élèves se plaignaient de moi, car j'excluais trop facilement; ils avaient fait une HVC sur moi où les pires horreurs s'étaient dites sur mon compte (y compris des rumeurs). J'avais transféré le mail à ma tutrice, qui l'avait transféré au chef. Ca a été réglé du jour au lendemain. Tu devrais lui envoyer un mail en lui demandant ce qui s'est dit excatement, comme ça tu aurais une trace écrite!

le problème c'est que justement elle ment, pas si bête, elle a nié, elle nie, c'est pour ça qu'aller la voir, je sais pas si ça sert à quelque chose, elle dit que les élèves ont mal compris, etc...je crois que je vais débarquer dans le bureau du chef et voila, cette nana est malveillante et en plus elle est isolée et pas appréciée du tout, donc je ne vais pas prendre de gants avec cette p....

Surtout ne l'insulte pas, aujourd'hui les c...osent tout, même porter plainte en mentant (une de mes collègues a appris effarée qu'une de nos collègues cruchasses avait déposé une plainte....depuis, la cruchasse se terre en arrêt maladie...comment faire machine arrière ??? )
Heureusement, la maréchaussée a compris qu'elle avait un pet au casque !

Olympias a écrit:Surtout ne l'insulte pas, aujourd'hui les c...osent tout, même porter plainte en mentant (une de mes collègues a appris effarée qu'une de nos collègues cruchasses avait déposé une plainte....depuis, la cruchasse se terre en arrêt maladie...comment faire machine arrière ??? )
Heureusement, la maréchaussée a compris qu'elle avait un pet au casque !

mais c'est ce qui arrivera si je vais lui parler en direct en sdp, car c'est une caractérielle et elle ne peut pas parler sans s'énerver, donc le ton risque de monter trés vite, et la...je risque d'en venir aux insultes ou pire même, franchement ce qu'elle me fait, ça ne m'étais jamais arrivée, pour moi ce n'est pas une PN car ces gens la sont plus sournois et font ça moins frontalement, la c'est assez grossier quand même, mais n'empeche que c'est vraiment malveillant. le côté positif c'est qu'avec son caractère de m...elle s'est mis presque tout le monde à dos. Je pense que je vais aller parler directement au chef et lui dire ce qu'elle fait.

Sans la mesure où ton chef est digne de confiance...
Parce que les collègues telles que celle que tu décris sont aussi les reines de la flagornerie dans le bureau directorial.
Bon courage !

Haldetrude a écrit:Je trouve aussi que ces HVC sont propices à la libération de la parole des élèves. Comme si on avait besoin d'une heure spécifique pour gérer leurs plaintes et leurs revendications pffff. J'ai des élèves qui se plaignent en hvc que Untel a triché pendant mon contrôle, comme si c'était pas possible de venir me le dire directement, qu'il faille forcément en passer par le PP... Et la PP qui se prend pour la messagère des élèves, non mais franchement, il faut avoir que ça à faire.

Depuis qu'on nous les paie, je les fais toutes.Pendant un quart d'heure, je leur dis ce que les collègues leur reprochent éventuellement. Et puis, hop ! 40 minutes de français. Non mais. Y'a pas écrit "Bureau de pleurs" sur ma salle

corisandiane a écrit:c'est ce qui arrivera si je vais lui parler en direct en sdp, car c'est une caractérielle et elle ne peut pas parler sans s'énerver, donc le ton risque de monter trés vite