- InvitéInvité
L'article entier ici.
Les bac+2 plus vite embauchés.
Autre conclusion de l'étude Deloitte : les diplômés d'IUT et les titulaires de licence sont plus rapidement embauchés que les autres. Ainsi, plus de la moitié des diplômés d'un bac +2 décrochent un emploi dès le premier entretien, contre 38% des jeunes sortant de grandes écoles. 13% des diplômés d'IUT n'ont même pas envoyé de CV pour décrocher leur emploi, contre 7% de ceux issus de grandes écoles. La raison ? "Ils ont probablement eu un contact avec l'entreprise dans laquelle il ont été recrutés pendant leurs études, à travers des stage ou des processus organisés qui leur ont permis de faire leurs preuves", souligne Jean-Marc Mickeler, responsable de la Marque Employeur de Deloitte en France. "Ils n'ont pas eu besoin, derrière, de vendre leurs compétences."
- dandelionVénérable
Il faudrait savoir ce que l'on entend par grandes écoles (l'exemple donné est celui d'un diplômé de communication, secteur inévitablement touché par la crise car pas forcément 'fondamental' ) mais aussi de ce que l'on entend par 'emploi'. En sortie d'IUT je doute que l'on soit recruté au même niveau salarial qu'à bac plus cinq, d'où des processus de recrutement longs et complexes qui ont par nature une influence sur la durée de la recherche d'emploi.Will.T a écrit:L'article entier ici.
Les bac+2 plus vite embauchés.
Autre conclusion de l'étude Deloitte : les diplômés d'IUT et les titulaires de licence sont plus rapidement embauchés que les autres. Ainsi, plus de la moitié des diplômés d'un bac +2 décrochent un emploi dès le premier entretien, contre 38% des jeunes sortant de grandes écoles. 13% des diplômés d'IUT n'ont même pas envoyé de CV pour décrocher leur emploi, contre 7% de ceux issus de grandes écoles. La raison ? "Ils ont probablement eu un contact avec l'entreprise dans laquelle il ont été recrutés pendant leurs études, à travers des stage ou des processus organisés qui leur ont permis de faire leurs preuves", souligne Jean-Marc Mickeler, responsable de la Marque Employeur de Deloitte en France. "Ils n'ont pas eu besoin, derrière, de vendre leurs compétences."
Enfin l'article parle de chômage mais pas de sa durée (cela part-il de la date de sortie d'école ou est-on confronté à une personne ayant eu par exemple un cdd et se retrouvant ensuite au chômage?).
Dans tous les cas, l'employabilité s'apprécie sur la durée (peut-être même à l'échelle d'une carrière) et en termes de salaire. Encore une fois si les diplômés de licence ou d'IUT sont recrutés au niveau salarial des bac+5, on peut alors comparer.
- ZorglubHabitué du forum
Bof, on lit tout et son contraire.
en 15 secondes avec glouglou :
http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/grandes-ecoles-une-insertion-professionnelle-et-des-remunerations-en-hausse.html
http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/les-ingenieurs-ne-connaissent-pas-le-chomage.html
http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/secteur-automobile-un-grand-besoin-d-ingenieurs.html
etc.
Plus frontalement, mon fils :
stage de M1 (en école d'ingé) à l'Imperial College of London logé et rémunéré 1400 €/mois
année de césure en M2 : 1800 €/mois chez Ernst'n Young.
Pas beaucoup moins qu'un salaire d'embauche qu'un étudiant sortant de DUT !
en 15 secondes avec glouglou :
http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/grandes-ecoles-une-insertion-professionnelle-et-des-remunerations-en-hausse.html
http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/les-ingenieurs-ne-connaissent-pas-le-chomage.html
http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/secteur-automobile-un-grand-besoin-d-ingenieurs.html
etc.
Plus frontalement, mon fils :
stage de M1 (en école d'ingé) à l'Imperial College of London logé et rémunéré 1400 €/mois
année de césure en M2 : 1800 €/mois chez Ernst'n Young.
Pas beaucoup moins qu'un salaire d'embauche qu'un étudiant sortant de DUT !
- retraitéeDoyen
Et je renvoie à l'article du Monde sur les diplômés illettrés, ça doit jouer aussi!
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