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- steph.stephy3Niveau 5
Les collègues pensent que le passage à 4,5 jours va supprimer les 60 heures de soutien que nous effectuons avec les élèves en difficulté en petits groupes (le truc qui a permis de faire sauter bon nombre de RASED).
- PabloPEExpert
Oh non ce n'est pas du confort.; enfin si c'est du confort pour les enfantsMisson a écrit:C'est pour cela que je parle de deux réformes ineptes.
En revanche la réduction de l'horaire journalier me semble intéressante si elle est doublée d'un plus grand nombre de jours de classe pour augmenter le volume horaire annuel.
Pour le reste je constate juste que la réforme Darcos a soulevé moins de contestations du ventre mou de la profession que celle de Peillon, la perte de deux heures de cours par élève étant moins mal vécue que la demi-journée supplémentaire de présence.
Aujourd'hui pour moi on assiste à une contestation de confort (qui a ses justifications certes), pas à une opposition sur le fond.
Parce que faire croire aux gens que les gosses seront moins fatigués après 45 minutes de préau qu'après 45 minutes de classe déjà c'est une honte (et au passage on peut noter que cela semble être le bagne rester 45 min en classe bref )
Ensuite les chrono-biologistes contestent les 2 jours de week end (pas le mercredi) et hop on nous colle le mercredi parce que les professionnels du tourisme ont été les premiers concertés et que cela n'arrange pas du tout les parents en prime).. bonjour l'intérêt de l'enfant
Et enfin cerise sur le gâteau les gamins sortent à la même heure (pour arranger Mairies et parents) et travaillent une demie journée de plus mais là encore on se retranche derrière lui
Alors oui je suis contre cette réforme mais surtout en tant que maman, pas en tant que fonctionnaire de l'EN
- PabloPEExpert
Ben justement je ne trouve pas ça long moi l'après midiMisson a écrit:doublecasquette a écrit:Chez moi, c'est une contestation de rage.
Considérer que les heures que nous effectuons auprès des élèves sont équivalentes des heures de garderie et qu'un Emploi-Jeune (pour faire simple) qui va garder les élèves qui, de toute façon, seront là de 8 heures à 18 heures, 45 minutes de plus chaque jour les malmènera moins que nous, ça me débecte au plus haut point !
C'est un raccourci. Je ne défends pas Peillon, mais le but premier c'était de réduire le temps des apprentissages scolaires sur la journée et d'augmenter le nombre de journées, ce qui paraît assez intelligent a priori. Combien d'instits trouvent l'après-midi un peu longuette ? Pas mal je crois. Le problème c'est qu'on ne met en œuvre qu'un seul pan de la réforme, sous la pression des lobbies (tourisme, collectivités, mais syndicats enseignants aussi) et qu'on n'augmente pas le nombre de jours de classe.
Si on pousse ton raisonnement au bout et si nous sommes les mieux placés pour prendre les enfants en charge, le mieux serait école de 8 heures à 18h45. Dans ma commune, les éducateurs sportifs sont très compétents et la prise en charge des enfants hors temps scolaire est excellente, parce qu'il y a une vraie politique centrée sur la jeunesse. Ce n'est pas le cas partout, certes. Il est clair que toute réforme de l'école doit s'accompagner d'un vrai plan de formation, de recrutement d'éducateurs partout en France et de créations de structures.
J'aime bien sortir du français maths du coup ce sont les matinées qui sont longues
- MissonNiveau 2
PabloPE a écrit:Alors des réponses en vrac à Misson depuis mon cas personnel
Instit depuis le siècle dernier et toujours à 4 jours depuis le début (Une initiative de Jospin de mémoire, cela devait être étendu à toute la France), comme 25% des écoles en France et il n'y a jamais eu d'études prouvant que nos résultats scolaires étaient moins bons bien au contraire..
Nos vacances étaient légèrement écourtées, on travaillait sans trop de pression ni de fatigue pour les élèves
Du coup en 2008 je ne vois pas pourquoi j'aurais fait grève puisque je trouvais ce rythme agréable
Pour l'APE je suis mitigée car j'aime bien le concept de petit groupe de travail mais je trouve que ça fait beaucoup pour les élèves en difficultés (même si eux adorent venir )
Pour les Rased on a bougé
Le SMA ne me choque pas tant que ça et le mépris des IEN se gère au niveau local avec les syndicats
Pas d'orbite donc pour ma part, juste des grèves quand elles étaient lancées selon que j'adhérais ou non à la revendication
Quant aux dindons je ne suis en rien leur porte parole mais comme j'ai assisté à leur naissance je me permets d'en parler
Quant le collectif est né justement les syndicats ne faisaient RIEN (contrairement aux années précédentes)...il fallait bien que quelqu'un défende les élèves :lol:
Il y a rarement des études indépendantes sur les dispositifs mis en place au fil des années.
Je ne suis pas opposé par principe à la semaine de 4 jours, mais ce dont tu parles c'était avant Darcos avec des vacances amputées et donc plus de jours de classe.
L'APE ne peut être analysée correctement que si on prend en compte son caractère de cheval de Troie pour dynamiter les Rased. Peu de collègues ont accepté de le reconnaître à l'époque pour éviter d'avoir mauvaise conscience en voyant les "spécialisés" faire leur valise. Encore heureux que les petits groupes d'élèves procurent des temps agréables, mais je rappelle que ce dispositif dans les circulaires de 2008 devait réduire l'échec scolaire de 20 % dans les 5 ans. Pas besoin d'étude pour apprécier le résultat aujourd'hui.
Faux : les syndicats ont été très frileux sur l'APE (suspension une semaine par an du snuipp qui voulait des temps de concertation à la place de ces deux heures et qui était trop heureux de voir deux heures de cours disparaître des emplois du temps) ; très frileux sur les évaluations également (refus de faire remonter les résultats mais volonté de conserver la prime de 400 euros). Si on avait attendu et entendu vraiment les syndicats sur le sujet, les évaluations nationales seraient toujours là. Si elles ne sont plus là c'est parce que quelques enseignants ont refusé de les faire passer, ont médiatisé ces refus, et que la FCPE a embrayé. Il ne faut pas refaire l'histoire sur la question.
- MissonNiveau 2
PabloPE a écrit:Ben justement je ne trouve pas ça long moi l'après midiMisson a écrit:doublecasquette a écrit:Chez moi, c'est une contestation de rage.
Considérer que les heures que nous effectuons auprès des élèves sont équivalentes des heures de garderie et qu'un Emploi-Jeune (pour faire simple) qui va garder les élèves qui, de toute façon, seront là de 8 heures à 18 heures, 45 minutes de plus chaque jour les malmènera moins que nous, ça me débecte au plus haut point !
C'est un raccourci. Je ne défends pas Peillon, mais le but premier c'était de réduire le temps des apprentissages scolaires sur la journée et d'augmenter le nombre de journées, ce qui paraît assez intelligent a priori. Combien d'instits trouvent l'après-midi un peu longuette ? Pas mal je crois. Le problème c'est qu'on ne met en œuvre qu'un seul pan de la réforme, sous la pression des lobbies (tourisme, collectivités, mais syndicats enseignants aussi) et qu'on n'augmente pas le nombre de jours de classe.
Si on pousse ton raisonnement au bout et si nous sommes les mieux placés pour prendre les enfants en charge, le mieux serait école de 8 heures à 18h45. Dans ma commune, les éducateurs sportifs sont très compétents et la prise en charge des enfants hors temps scolaire est excellente, parce qu'il y a une vraie politique centrée sur la jeunesse. Ce n'est pas le cas partout, certes. Il est clair que toute réforme de l'école doit s'accompagner d'un vrai plan de formation, de recrutement d'éducateurs partout en France et de créations de structures.
J'aime bien sortir du français maths du coup ce sont les matinées qui sont longues
Donc il y bien des longueurs sur la journée peu importe où elles sont placées.
Fais comme moi : réforme ton emploi du temps. Arts, sport, sciences, etc. sont très souvent placés le matin après la récréation (voire avant pour le sport) et math et français ne sont plus cantonnés aux matinées.
Il est vrai que je prends plus de plaisir sur les maths et le français.
- doublecasquetteEnchanteur
PabloPE a écrit:Ben justement je ne trouve pas ça long moi l'après midiMisson a écrit:doublecasquette a écrit:Chez moi, c'est une contestation de rage.
Considérer que les heures que nous effectuons auprès des élèves sont équivalentes des heures de garderie et qu'un Emploi-Jeune (pour faire simple) qui va garder les élèves qui, de toute façon, seront là de 8 heures à 18 heures, 45 minutes de plus chaque jour les malmènera moins que nous, ça me débecte au plus haut point !
C'est un raccourci. Je ne défends pas Peillon, mais le but premier c'était de réduire le temps des apprentissages scolaires sur la journée et d'augmenter le nombre de journées, ce qui paraît assez intelligent a priori. Combien d'instits trouvent l'après-midi un peu longuette ? Pas mal je crois. Le problème c'est qu'on ne met en œuvre qu'un seul pan de la réforme, sous la pression des lobbies (tourisme, collectivités, mais syndicats enseignants aussi) et qu'on n'augmente pas le nombre de jours de classe.
Si on pousse ton raisonnement au bout et si nous sommes les mieux placés pour prendre les enfants en charge, le mieux serait école de 8 heures à 18h45. Dans ma commune, les éducateurs sportifs sont très compétents et la prise en charge des enfants hors temps scolaire est excellente, parce qu'il y a une vraie politique centrée sur la jeunesse. Ce n'est pas le cas partout, certes. Il est clair que toute réforme de l'école doit s'accompagner d'un vrai plan de formation, de recrutement d'éducateurs partout en France et de créations de structures.
J'aime bien sortir du français maths du coup ce sont les matinées qui sont longues
Moi non plus, je ne les trouve pas longuettes... Quant à les prendre jusqu'à 18 h 45, entendons-nous bien, ce que je trouve débile, c'est de rajouter une demi-journée de classe tout en gardant les 24 heures et c'est pour cela que je critique le fait de laisser croire aux gens que ce temps "gagné" chaque jour sera confié à des gens compétents partout et tout le temps.
Et je ne veux pas dépendre d'une ville ou d'une communauté de communes, même ayant une vraie politique de la ville centrée sur la jeunesse. Les maires, ça change tous les six ans, alors moi, je préfère mon bon vieux mammouth ! Lui, au moins, quand il exagère, on est tous ensemble pour se défendre contre lui !
Quand on dépendra de 36 000 communautés différentes, il n'y aura plus d'unité d'action possible !
- PabloPEExpert
Oh ben sur les évaluations la position syndicale était plutôt faites les évaluations mais refusez la prime (si si il y en a qui ont osé).. après on peut leur faire dire ce que l'on eut aux évaluations mais il n'empêche que aux évaluations de CE2 les résultats ne différaient pas entre ceux à 4 jours et ceux à 4 jours et demi, donc j'ai du mal à avaler qu'on nous dise que cela crée de l'échec scolaire car cela ne respecte pas un certain rythme.. après oui certes on avait des vacances écourtées mais les enfants avaient autant d'heures annualisées.. mais à l'époque ils avaient bien 24h par semaineMisson a écrit:
Il y a rarement des études indépendantes sur les dispositifs mis en place au fil des années.
Je ne suis pas opposé par principe à la semaine de 4 jours, mais ce dont tu parles c'était avant Darcos avec des vacances amputées et donc plus de jours de classe.
L'APE ne peut être analysée correctement que si on prend en compte son caractère de cheval de Troie pour dynamiter les Rased. Peu de collègues ont accepté de le reconnaître à l'époque pour éviter d'avoir mauvaise conscience en voyant les "spécialisés" faire leur valise. Encore heureux que les petits groupes d'élèves procurent des temps agréables, mais je rappelle que ce dispositif dans les circulaires de 2008 devait réduire l'échec scolaire de 20 % dans les 5 ans. Pas besoin d'étude pour apprécier le résultat aujourd'hui.
Faux : les syndicats ont été très frileux sur l'APE (suspension une semaine par an du snuipp qui voulait des temps de concertation à la place de ces deux heures et qui était trop heureux de voir deux heures de cours disparaître des emplois du temps) ; très frileux sur les évaluations également (refus de faire remonter les résultats mais volonté de conserver la prime de 400 euros). Si on avait attendu et entendu vraiment les syndicats sur le sujet, les évaluations nationales seraient toujours là. Si elles ne sont plus là c'est parce que quelques enseignants ont refusé de les faire passer, ont médiatisé ces refus, et que la FCPE a embrayé. Il ne faut pas refaire l'histoire sur la question.
Maths l'après midi j'ai essayé c'est juste l'horreurMisson a écrit:
Donc il y bien des longueurs sur la journée peu importe où elles sont placées.
Fais comme moi : réforme ton emploi du temps. Arts, sport, sciences, etc. sont très souvent placés le matin après la récréation (voire avant pour le sport) et math et français ne sont plus cantonnés aux matinées.
Il est vrai que je prends plus de plaisir sur les maths et le français.
En fait je fais plusieurs activités de français et de maths le matin puis l'après midi après la pause Education artistique, EPS, Anglais, TUICE... et après la récré culture humaniste et sciences. Du coup ça passe assez vite l'après midi
Du coup vous croyez que ce serait possible d'avoir une dérogation pour le mercredi après midi? :lol:
- PabloPEExpert
doublecasquette a écrit:
Moi non plus, je ne les trouve pas longuettes... Quant à les prendre jusqu'à 18 h 45, entendons-nous bien, ce que je trouve débile, c'est de rajouter une demi-journée de classe tout en gardant les 24 heures et c'est pour cela que je critique le fait de laisser croire aux gens que ce temps "gagné" chaque jour sera confié à des gens compétents partout et tout le temps.
Et je ne veux pas dépendre d'une ville ou d'une communauté de communes, même ayant une vraie politique de la ville centrée sur la jeunesse. Les maires, ça change tous les six ans, alors moi, je préfère mon bon vieux mammouth ! Lui, au moins, quand il exagère, on est tous ensemble pour se défendre contre lui !
Quand on dépendra de 36 000 communautés différentes, il n'y aura plus d'unité d'action possible !
- MissonNiveau 2
doublecasquette a écrit:PabloPE a écrit:Ben justement je ne trouve pas ça long moi l'après midiMisson a écrit:doublecasquette a écrit:Chez moi, c'est une contestation de rage.
Considérer que les heures que nous effectuons auprès des élèves sont équivalentes des heures de garderie et qu'un Emploi-Jeune (pour faire simple) qui va garder les élèves qui, de toute façon, seront là de 8 heures à 18 heures, 45 minutes de plus chaque jour les malmènera moins que nous, ça me débecte au plus haut point !
C'est un raccourci. Je ne défends pas Peillon, mais le but premier c'était de réduire le temps des apprentissages scolaires sur la journée et d'augmenter le nombre de journées, ce qui paraît assez intelligent a priori. Combien d'instits trouvent l'après-midi un peu longuette ? Pas mal je crois. Le problème c'est qu'on ne met en œuvre qu'un seul pan de la réforme, sous la pression des lobbies (tourisme, collectivités, mais syndicats enseignants aussi) et qu'on n'augmente pas le nombre de jours de classe.
Si on pousse ton raisonnement au bout et si nous sommes les mieux placés pour prendre les enfants en charge, le mieux serait école de 8 heures à 18h45. Dans ma commune, les éducateurs sportifs sont très compétents et la prise en charge des enfants hors temps scolaire est excellente, parce qu'il y a une vraie politique centrée sur la jeunesse. Ce n'est pas le cas partout, certes. Il est clair que toute réforme de l'école doit s'accompagner d'un vrai plan de formation, de recrutement d'éducateurs partout en France et de créations de structures.
J'aime bien sortir du français maths du coup ce sont les matinées qui sont longues
Moi non plus, je ne les trouve pas longuettes... Quant à les prendre jusqu'à 18 h 45, entendons-nous bien, ce que je trouve débile, c'est de rajouter une demi-journée de classe tout en gardant les 24 heures et c'est pour cela que je critique le fait de laisser croire aux gens que ce temps "gagné" chaque jour sera confié à des gens compétents partout et tout le temps.
Et je ne veux pas dépendre d'une ville ou d'une communauté de communes, même ayant une vraie politique de la ville centrée sur la jeunesse. Les maires, ça change tous les six ans, alors moi, je préfère mon bon vieux mammouth ! Lui, au moins, quand il exagère, on est tous ensemble pour se défendre contre lui !
Quand on dépendra de 36 000 communautés différentes, il n'y aura plus d'unité d'action possible !
L'unité d'action est un leurre. L'action elle a lieu sur le terrain dans la contestation directe, pas à travers les syndicats qui ont perdu toutes les batailles ou presque depuis la réforme des retraites de 2002.
Je suis bien d'accord que cette réforme est mauvaise tout comme la précédente, mais je trouve l'angle d'attaque mal choisi. Il y a des arguments contre le mercredi entendus ici ou là qui me font bondir : facture écologique, baisse du pouvoir d'achat des enseignants (donc il faudrait dire a contrario que la réforme Darcos a été bonne pour le pouvoir d'achat), sieste des enfants le mercredi (argument de prof par excellence). Moi perso, 4 jours ça me va très bien, 3 ou 2 c'est encore mieux avec le même salaire, je ferai la classe à mes gosses et on se lèvera tranquillou. Mais je me vois mal en faire un argument pour combattre cette réforme, sachant que plein de gamins se lèvent tôt tous les jours, école ou pas.
- MissonNiveau 2
PabloPE a écrit:
Oh ben sur les évaluations la position syndicale était plutôt faites les évaluations mais refusez la prime (si si il y en a qui ont osé)...
Trouve-moi un texte qui dit ça. Je connais un instit qui a refusé la prime dans le Bordelais et a rendu public ce refus sur son blog, j'en connais plusieurs qui n'ont pas touché la prime parce qu'ils ont refusé de faire passer les évaluations, mais je n'ai jamais entendu un syndicat parler de refuser la prime en faisant passer les évaluations.
J'ai suivi cette question de très près, ton truc c'est juste de la reconstruction historique, désolé.
- MissonNiveau 2
"Le ministre s’est engagé à ne pas sanctionner les enseignants ayant respecté la consigne syndicale unitaire"
Si un problème, par exemple lié à la non transmission des résultats surgissait pour le versement de cette prime, n’hésitez pas à nous en faire part afin que nous puissions intervenir auprès du ministère.
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J'ai mis en italique ce qui me semble important.
C'est un article parmi d'autres. L'avantage d'internet c'est qu'on n'efface pas les articles des années précédentes et c'est parfois cruel.
Si un problème, par exemple lié à la non transmission des résultats surgissait pour le versement de cette prime, n’hésitez pas à nous en faire part afin que nous puissions intervenir auprès du ministère.
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J'ai mis en italique ce qui me semble important.
C'est un article parmi d'autres. L'avantage d'internet c'est qu'on n'efface pas les articles des années précédentes et c'est parfois cruel.
- ClarinetteGrand Maître
Oui, enfin, les fusions d'écoles ont commencé un peu partout ; les IEN sont de plus en plus en cheville avec les municipalités... C'est un serpent de mer qui sort un peu trop souvent la tête à mon goût...Misson a écrit:La création des epep est un serpent de mer, ce qui ne veut pas dire que le changement de statut n'arrivera pas effectivement un jour, probablement sous un gouvernement socialiste.
Cela va de pair, bien sûr, et je pense que nous sommes beaucoup ici, et ailleurs, à regretter le "vol" de ces deux heures de classe.Misson a écrit:J'ai cru comprendre que sur ce forum beaucoup d'enseignants regrettent une baisse du niveau, mais j'ai entendu peu de monde en 2008 demander un maintien des 26 heures de cours, voire un retour à 30 heures comme avant 1969.
doublecasquette a écrit:En 2013, on veut faire venir les élèves une demi-journée de plus à l'école mais en aucun cas de leur faire faire ne serait-ce que cinq minutes de classe en plus.
Ce que l'on veut, c'est garder les élèves "au chaud" (et encore que... certaines garderies municipales ne disposent comme locaux que d'un préau et d'une cour) "et à l'abri des dangers de la route" une demi-journée de plus, mais il n'est absolument pas question dans ce décret de revenir aux horaires d'avant 2008.
Je ne serais pas aussi catégorique que toi, mais force est de constater dans les réunions inter-écoles qui se tiennent un peu partout en ce moment, que les motivations de la grogne des instits ne sont pas forcément toutes reluisantes...Misson a écrit:C'est pour cela que je parle de deux réformes ineptes.
En revanche la réduction de l'horaire journalier me semble intéressante si elle est doublée d'un plus grand nombre de jours de classe pour augmenter le volume horaire annuel.
Pour le reste je constate juste que la réforme Darcos a soulevé moins de contestations du ventre mou de la profession que celle de Peillon, la perte de deux heures de cours par élève étant moins mal vécue que la demi-journée supplémentaire de présence.
Aujourd'hui pour moi on assiste à une contestation de confort (qui a ses justifications certes), pas à une opposition sur le fond.
doublecasquette a écrit:Chez moi, c'est une contestation de rage.
Considérer que les heures que nous effectuons auprès des élèves sont équivalentes des heures de garderie et qu'un Emploi-Jeune (pour faire simple) qui va garder les élèves qui, de toute façon, seront là de 8 heures à 18 heures, 45 minutes de plus chaque jour les malmènera moins que nous, ça me débecte au plus haut point !
Personnellement, je ne trouve pas l'après-midi longuette, ni la matinée, d'ailleurs... J'ai juste l'impression de courir après le temps en permanence et de presser mes élèves comme des citrons. C'est pour cela que, étant résolument hostile à la semaine de quatre jours, j'appelais de mes vœux un retour aux 4,5 jours, mais je n'aurais jamais imaginé qu'ils osent le faire sans augmenter le temps d'enseignement !Misson a écrit:C'est un raccourci. Je ne défends pas Peillon, mais le but premier c'était de réduire le temps des apprentissages scolaires sur la journée et d'augmenter le nombre de journées, ce qui paraît assez intelligent a priori. Combien d'instits trouvent l'après-midi un peu longuette ? Pas mal je crois.
- PabloPEExpert
Alors c'est simple ils ont dit de faire les évaluations et de ne pas remonter les résultats... ce qui revient à faire les évaluations et renoncer à la primeMisson a écrit:PabloPE a écrit:
Oh ben sur les évaluations la position syndicale était plutôt faites les évaluations mais refusez la prime (si si il y en a qui ont osé)...
Trouve-moi un texte qui dit ça. Je connais un instit qui a refusé la prime dans le Bordelais et a rendu public ce refus sur son blog, j'en connais plusieurs qui n'ont pas touché la prime parce qu'ils ont refusé de faire passer les évaluations, mais je n'ai jamais entendu un syndicat parler de refuser la prime en faisant passer les évaluations.
J'ai suivi cette question de très près, ton truc c'est juste de la reconstruction historique, désolé.
Je garde ton histoire de bordelais et au hasard je trouve sur:
Le SNUipp-FSU est favorable à des évaluations nationales qui soient utiles aux enseignants et qui contribuent à la réussite de tous les élèves.
Le SNUipp-FSU de la Gironde appelle les collègues à :
* se réunir en conseil des maîtres afin d’adopter une position collective face à ces évaluations afin de ne pas isoler les collègues de CE1 et les directeurs.
* ne faire passer que les items évaluables
* ne rendre compte des résultats qu’à l’élève et à ses parents
Il soutient la non-remontée des résultats des évaluations et conservera les résultats pour les écoles qui ne souhaitent pas les transmettre à l’IA.
Vous trouverez en pièce jointe un quatre pages sur l’évaluation élaboré suite au colloque du SNUipp le 7 avril 2011
On a donc bien "faites les évaluations" (rendre compte à l'élève et à ses parents) et "renoncez à la prime" (conservera les résultats pour les écoles qui ne souhaitent pas les transmettre à l'IA)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Pas de rappel ici de la promesse du ministre...y aurait il eu un changement de cap entre?
- C'est pas fauxEsprit éclairé
Je ne comprends pas bien où tu veux en venir, Misson. Tu te trouves tellement bien traité que tu souhaites renvoyer l'ascenseur en renonçant sans compensation à tes mercredis et à une partie de tes vacances ?
En ce qui me concerne, sans sensiblerie (ce n'est pas vraiment mon genre), je ne sais sincèrement pas si je peux tenir physiquement si on alourdit ma barque.
En ce qui me concerne, sans sensiblerie (ce n'est pas vraiment mon genre), je ne sais sincèrement pas si je peux tenir physiquement si on alourdit ma barque.
- MissonNiveau 2
Ton interprétation n'est pas bonne. Le snuipp demandait de ne pas faire remonter les résultats, mais n'a jamais appelé à ne pas faire passer les évals, justement parce qu'il ne voulait pas que les collègues soient privés de cette prime et qu'il refusait de prôner la désobéissance.
Le discours du Snuipp c'était : "Ne faites pas remonter mais on vous soutiendra pour réclamer la prime si les IA vous la refuse."
Dans ton lien le document en PDF parle d'une transformation de la prime en prime d'équipement pour tous les instits : on retombe sur les 400 euros arrachés à Peillon ces jours-ci.
Sans compter qu'une telle consigne ne tenait pas la route sur le terrain. 99,9 % des instits qui ont fait passer les évals n'allaient pas renoncer à la prime, alors que le gros du boulot c'était la passation et la correction.
Le snuipp est le grand spécialiste du double discours, il ne faut pas s'y tromper.
Je le répète il faut être très précis sur les positions des différents acteurs pendant l'ère Darcos-Chatel.
Le discours du Snuipp c'était : "Ne faites pas remonter mais on vous soutiendra pour réclamer la prime si les IA vous la refuse."
Dans ton lien le document en PDF parle d'une transformation de la prime en prime d'équipement pour tous les instits : on retombe sur les 400 euros arrachés à Peillon ces jours-ci.
Sans compter qu'une telle consigne ne tenait pas la route sur le terrain. 99,9 % des instits qui ont fait passer les évals n'allaient pas renoncer à la prime, alors que le gros du boulot c'était la passation et la correction.
Le snuipp est le grand spécialiste du double discours, il ne faut pas s'y tromper.
Je le répète il faut être très précis sur les positions des différents acteurs pendant l'ère Darcos-Chatel.
- PabloPEExpert
Je dis exactement la même chose.. sauf que sans remontée aucune prime possible..Misson a écrit:Ton interprétation n'est pas bonne. Le snuipp demandait de ne pas faire remonter les résultats, mais n'a jamais appelé à ne pas faire passer les évals, justement parce qu'il ne voulait pas que les collègues soient privés de cette prime et qu'il refusait de prôner la désobéissance.
Le discours du Snuipp c'était : "Ne faites pas remonter mais on vous soutiendra pour réclamer la prime si les IA vous la refuse."
Dans ton lien le document en PDF parle d'une transformation de la prime en prime d'équipement pour tous les instits : on retombe sur les 400 euros arrachés à Peillon ces jours-ci.
Sans compter qu'une telle consigne ne tenait pas la route sur le terrain. 99,9 % des instits qui ont fait passer les évals n'allaient pas renoncer à la prime, alors que le gros du boulot c'était la passation et la correction.
Le snuipp est le grand spécialiste du double discours, il ne faut pas s'y tromper.
Je le répète il faut être très précis sur les positions des différents acteurs pendant l'ère Darcos-Chatel.
Après je n'ai jamais été dans ce cas alors je ne saurais dire si il y a eu ou pas absence de prime dans le cadre de ce soutien du snuipp mais bon certes on pourra épiloguer pendant dans lustres et j'ai la flemme de faire une recherche mais il n'empêche que là on voit bien faites les évaluations, ne remontez pas et au pire on vous soutiendra
- MissonNiveau 2
C'est pas faux a écrit:Je ne comprends pas bien où tu veux en venir, Misson. Tu te trouves tellement bien traité que tu souhaites renvoyer l'ascenseur en renonçant sans compensation à tes mercredis et à une partie de tes vacances ?
En ce qui me concerne, sans sensiblerie (ce n'est pas vraiment mon genre), je ne sais sincèrement pas si je peux tenir physiquement si on alourdit ma barque.
Ce que je veux dire, c'est que nous avons deux postures dans notre métier : nous sommes enseignants du public, nous avons une mission envers les élèves ; nous sommes également des travailleurs salariés avec des revendications classiques : gagner plus, travailler moins.
Il n'est pas sain de mélanger les deux et d'argumenter sur les rythmes scolaires avec une position de salarié. Avec ce type de discours nous nous mettons tout le pays à dos.
Que les enfants en difficulté bossent une demi-heure de plus par jour, matin, midi ou soir, ça n'a pas gêné grand-monde au final et si demain Peillon nous dispensait du mercredi matin (mais pas les enfants avec une prise en charge par les néo-titulaires par exemple) y aurait-il une telle opposition ?
Dire que la réforme est manquée, oui, pour le reste je suis très sceptique.
- doublecasquetteEnchanteur
On ne se met pas le pays à dos, on a énormément de parents d'élèves et d'élus municipaux qui pensent comme nous.
- PabloPEExpert
Ici on nous a dit depuis le début de ne pas prendre les élèves relevant du RASED : on avait pour "consigne" de ne prendre que les élèves ayant une difficulté ponctuelle et de ne pas prendre les mêmes élèves d'une période sur l'autre.. effectivement si un élève ayant de grandes difficultés se retrouve tous les jours toute l'année tous les ans en AP c'est la cata. Par contre pour un élève qui peut être débloqué en quelques séances c'est intéressantMisson a écrit:C'est pas faux a écrit:Je ne comprends pas bien où tu veux en venir, Misson. Tu te trouves tellement bien traité que tu souhaites renvoyer l'ascenseur en renonçant sans compensation à tes mercredis et à une partie de tes vacances ?
En ce qui me concerne, sans sensiblerie (ce n'est pas vraiment mon genre), je ne sais sincèrement pas si je peux tenir physiquement si on alourdit ma barque.
Ce que je veux dire, c'est que nous avons deux postures dans notre métier : nous sommes enseignants du public, nous avons une mission envers les élèves ; nous sommes également des travailleurs salariés avec des revendications classiques : gagner plus, travailler moins.
Il n'est pas sain de mélanger les deux et d'argumenter sur les rythmes scolaires avec une position de salarié. Avec ce type de discours nous nous mettons tout le pays à dos.
Que les enfants en difficulté bossent une demi-heure de plus par jour, matin, midi ou soir, ça n'a pas gêné grand-monde au final et si demain Peillon nous dispensait du mercredi matin (mais pas les enfants avec une prise en charge par les néo-titulaires par exemple) y aurait-il une telle opposition ?
Dire que la réforme est manquée, oui, pour le reste je suis très sceptique.
Quant au reste oui, même si je restais au chaud chez moi le mercredi et que mes élèves et mon fils avaient classe ça m'énerverait tout autant (voire plus )
_________________
"Et moi qui
me croyais tranquille pour un bout de temps avec mon chat brun."
- PabloPEExpert
Exactement (et souvent ceux qui ne le pensent pas changent d'avis quand ils réalisent le truc)doublecasquette a écrit:On ne se met pas le pays à dos, on a énormément de parents d'élèves et d'élus municipaux qui pensent comme nous.
Sinon objectivement je n'ai toujours pas trouvé quelqu'un qui trouve le décret "bien".. j'ai trouvé des personnes qui pensent que "c'est un début" ou "ça pourrait être pire" voire "que au moins on a des postes" mais personne qui le trouve réellement bien
Moi je veux que notre école aille mieux pas qu'elle n'aille pas plus mal
- C'est pas fauxEsprit éclairé
Pour qu'il n'y ait pas de malentendu, tu trouverais dans les archives du blog d'Abraxas plein de messages de DC, Celadon, moi-même et d'autres encore vitupérant contre la perte d'heures de classe consécutive à la réforme Darcos. Je ne comprends toujours pas bien comment scinder l'instit que nous sommes, investi d'une mission envers les élèves, et le salarié, encombré des mêmes contingences que ses semblables, et notamment des journées de 24 h et des fins de mois à boucler.
En clair, on cherche à nous emporter à un rythme inédit dans une refondation du métier où, pour peu que l'on se préoccupe sérieusement de cette fameuse mission, 24 heures ne suffiront plus pour assurer efficacement la classe une fois qu'on se sera acquitté de ses nouvelles charges d'animateur et de bureaucrate.
En clair, on cherche à nous emporter à un rythme inédit dans une refondation du métier où, pour peu que l'on se préoccupe sérieusement de cette fameuse mission, 24 heures ne suffiront plus pour assurer efficacement la classe une fois qu'on se sera acquitté de ses nouvelles charges d'animateur et de bureaucrate.
- MissonNiveau 2
PabloPE a écrit:Je dis exactement la même chose.. sauf que sans remontée aucune prime possible..Misson a écrit:Ton interprétation n'est pas bonne. Le snuipp demandait de ne pas faire remonter les résultats, mais n'a jamais appelé à ne pas faire passer les évals, justement parce qu'il ne voulait pas que les collègues soient privés de cette prime et qu'il refusait de prôner la désobéissance.
Le discours du Snuipp c'était : "Ne faites pas remonter mais on vous soutiendra pour réclamer la prime si les IA vous la refuse."
Dans ton lien le document en PDF parle d'une transformation de la prime en prime d'équipement pour tous les instits : on retombe sur les 400 euros arrachés à Peillon ces jours-ci.
Sans compter qu'une telle consigne ne tenait pas la route sur le terrain. 99,9 % des instits qui ont fait passer les évals n'allaient pas renoncer à la prime, alors que le gros du boulot c'était la passation et la correction.
Le snuipp est le grand spécialiste du double discours, il ne faut pas s'y tromper.
Je le répète il faut être très précis sur les positions des différents acteurs pendant l'ère Darcos-Chatel.
Après je n'ai jamais été dans ce cas alors je ne saurais dire si il y a eu ou pas absence de prime dans le cadre de ce soutien du snuipp mais bon certes on pourra épiloguer pendant dans lustres et j'ai la flemme de faire une recherche mais il n'empêche que là on voit bien faites les évaluations, ne remontez pas et au pire on vous soutiendra
Désolé ce n'est pas la même chose : "Ne faites pas remontez, mais si on vous sucre la prime on vous aidera à la récupérer", ce n'est pas la même chose que dire : "Refusez la prime parce que c'est un moyen de vous acheter pour que vous fassiez un truc qui vous semble idiot ou dangereux."
C'est typiquement un discours qui pousse les gens à se dire : bon pour avoir la prime j'ai deux solutions, je fais tout comme il faut même si c'est nul et inutile ou alors je fais les choses à 90 %, je me mets mon inspecteur à dos (le même à qui je vais demander de venir pour que ma note augmente l'année prochaine) et je lance une procédure avec un syndicat, procédure qui risque de foirer alors que je viens d'apprendre que le collègue du syndicat en question a tout fait remonter, lui, pour sa classe qu'il n'a qu'à mi-temps (et heureusement quand même parce que sinon il ne pourrait pas s'occuper de l'imbécile comme moi qui avec mes impôts lui paie ses jours de décharge") :lol:
- MissonNiveau 2
C'est pas faux a écrit:Pour qu'il n'y ait pas de malentendu, tu trouverais dans les archives du blog d'Abraxas plein de messages de DC, Celadon, moi-même et d'autres encore vitupérant contre la perte d'heures de classe consécutive à la réforme Darcos. Je ne comprends toujours pas bien comment scinder l'instit que nous sommes, investi d'une mission envers les élèves, et le salarié, encombré des mêmes contingences que ses semblables, et notamment des journées de 24 h et des fins de mois à boucler.
Nous avons un métier de schizophrènes, c'est une évidence.
- profecolesHabitué du forum
Ceux-là (les collègues qui ne savent rien ...) il les aime a t-il dit cet après-midi aux IEN, DASEN et Recteurs tous réunis. En fait, il nous aime tous ...sauf les vilains Dindons.
Extrait du Café Pédagogique :
L'essentiel ce sont les professeurs. Vincent Peillon a nettement invité les inspecteurs à s'emparer du rôle de soutien. "Il faut à la fois tenir le discours de la norme, de l'Etat, et être capable d'adapter nos exigences aux particularités... Les professeurs doivent être reconnus comme étant l'essentiel de ce qui nous fait faire face ensemble". Cela ne l'a pas empêché de s'en prendre aux "dindons", un collectif d'enseignants hostile à la réforme, jugeant "inacceptable" l'image qu'ils donnent du métier. Mais le ministre demande aux inspecteurs de débattre pas de réprimer. "Vous devez entrer dans ces discussions avec sollicitude... Vous avez beaucoup d'angoisse à lever ".
Extrait du Café Pédagogique :
L'essentiel ce sont les professeurs. Vincent Peillon a nettement invité les inspecteurs à s'emparer du rôle de soutien. "Il faut à la fois tenir le discours de la norme, de l'Etat, et être capable d'adapter nos exigences aux particularités... Les professeurs doivent être reconnus comme étant l'essentiel de ce qui nous fait faire face ensemble". Cela ne l'a pas empêché de s'en prendre aux "dindons", un collectif d'enseignants hostile à la réforme, jugeant "inacceptable" l'image qu'ils donnent du métier. Mais le ministre demande aux inspecteurs de débattre pas de réprimer. "Vous devez entrer dans ces discussions avec sollicitude... Vous avez beaucoup d'angoisse à lever ".
- Docteur OXGrand sage
- profecolesHabitué du forum
Je retiens que le mot plaisir est employé 2 fois et à chaque fois dans l'opposition avec apprentissages.
Et si on pouvait apprendre avec plaisir ? Même plus concevable ça ?
Et si on pouvait apprendre avec plaisir ? Même plus concevable ça ?
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- Est-ce que vos collègues vous demandent souvent "Ca va avec tes classes ? Ils ne sont pas trop durs tes élèves ?" ?
- Les Asiatiques sont les pestiférés des universités américaines parce qu'ils sont trop bons !
- Rythmes scolaires : 88% des communes sont prêtes, 6% ont des difficultés, 5,6% sont "dans une posture d'opposition".
- Tensions entre collègues au sujet de la grève ?
- Le Snuipp-75 va-t-il trop loin dans son opposition à la réforme des rythmes ?
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