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- AmaliahEmpereur
Avec des collègues, nous avions monté un projet sur les femmes orientales, mais faute de prof d'HG, ce projet doit être réduit. En gros nous voulions montrer l'évolution de la femme dans les sociétés du Maghreb, leur oppression, leur lente émancipation au long du XXème siècle, leur rôle actif lors des révoltes et révolutions, la menace qui pèse sur elles avec certains régimes politiques au pouvoir actuellement.
Faute de combattants donc, j'abandonne ce grand projet et cherche comment suivre au plus près le travail que va mener ma collègue d'Arts plastiques : elle va partir des tableaux orientalistes du XIX° siècle pour travailler l'image de la femme orientale, puis sur Lalla Essaydi, artiste marocaine qui reprend des tableaux connus pour les détourner et qui se situe entre peinture, calligraphie et photographie.
Je suis tombée, en lisant le dernier Courrier international, sur un reportage sur les femmes insoumises à travers le monde. J'aurais aimé travaillé sur des textes plus littéraires qui montrent l'oppression des femmes au XX° siècle, et notamment l'oppression du corps, avant de passer à ces articles. Mais je sèche complètement. J'ai pensé éventuellement à Désert de Le Clézio (mais il faut d'abord que je le lise et en général je n'accroche pas avec cette écriture qui s'écoute elle-même). Des extraits de Rêves de femmes - Une enfance au harem de F. Mernissi, de La Civilisation, ma mère de D. Chraïbi, L'Enfant de sable de T. Ben Jelloun et de l'Amour, la fantasia d'Assia Djebar.
Mais du coup mes extraits restent trop tournés vers la littérature maghrébine si je veux ensuite exploiter mes articles de Courrier international.
Mes questions donc après ce pavé :
Auriez-vous en tête des exemples de textes littéraires qui mettent en scène l'oppression des femmes au XX° siècle?
Ou alors une idée pour suivre ma collègue d'AP?
Faute de combattants donc, j'abandonne ce grand projet et cherche comment suivre au plus près le travail que va mener ma collègue d'Arts plastiques : elle va partir des tableaux orientalistes du XIX° siècle pour travailler l'image de la femme orientale, puis sur Lalla Essaydi, artiste marocaine qui reprend des tableaux connus pour les détourner et qui se situe entre peinture, calligraphie et photographie.
Je suis tombée, en lisant le dernier Courrier international, sur un reportage sur les femmes insoumises à travers le monde. J'aurais aimé travaillé sur des textes plus littéraires qui montrent l'oppression des femmes au XX° siècle, et notamment l'oppression du corps, avant de passer à ces articles. Mais je sèche complètement. J'ai pensé éventuellement à Désert de Le Clézio (mais il faut d'abord que je le lise et en général je n'accroche pas avec cette écriture qui s'écoute elle-même). Des extraits de Rêves de femmes - Une enfance au harem de F. Mernissi, de La Civilisation, ma mère de D. Chraïbi, L'Enfant de sable de T. Ben Jelloun et de l'Amour, la fantasia d'Assia Djebar.
Mais du coup mes extraits restent trop tournés vers la littérature maghrébine si je veux ensuite exploiter mes articles de Courrier international.
Mes questions donc après ce pavé :
Auriez-vous en tête des exemples de textes littéraires qui mettent en scène l'oppression des femmes au XX° siècle?
Ou alors une idée pour suivre ma collègue d'AP?
- Une passanteEsprit éclairé
C'est une obligation de rester sur le XXème siècle ? parce que spontanément, je pense aux Lettres persanes et dans les textes du XIXème siècle, il devrait y avoir des trucs intéressants (mais là, rien ne me vient à l'esprit).
- dandelionVénérable
Le premier livre de Nina Bouraoui parlait d'une jeune femme au Maghreb, mais je ne me souviens plus du nom. Je me souviens d'un passage de Simone de Beauvoir (L'Amérique au jour le jour) qui parle des collants des américaines qu'il n'est plus nécessaire de repriser (c'est un point de départ comme un autre pour parler de la condition des femmes!), Simone est en tout cas une valeur sûre du féminisme, tu dois pouvoir trouver des passages pertinents . Aux Etats-Unis, des exemples dans la littérature afro-américaine (Morrison, Angelou -I know why the caged bird sings, magnifique)... Plus daté tu as Pearl Buck qui a décrit la vie des femmes chinoises. Sinon Isabel Allende au Chili,...
Si j'ai d'autres idées ou le temps de chercher sur le net (il doit y avoir des compils gender studies), je te le dis.
Si j'ai d'autres idées ou le temps de chercher sur le net (il doit y avoir des compils gender studies), je te le dis.
- AmaliahEmpereur
Merci pour tes idées Dandelion! Je ne connais absolument pas la littérature (afro-)américaine, donc un grand merci pour les horizons que tu m'ouvres!
J'aime bien Pearl Buck et son Vent d'est, vent d'ouest.
Je vais continuer mes recherches!
J'aime bien Pearl Buck et son Vent d'est, vent d'ouest.
Je vais continuer mes recherches!
- dandelionVénérable
Maya Angelou c'est vraiment une claque, un style, un souffle, c'est magnifique et rare, je te le conseille vivement (les traductions sont-elles à la hauteur par contre?). Sinon je pensais aussi au Journal d'une femme de chambre, mais je ne m'en souviens plus avec exactitude.
- MrBrightsideEmpereur
Le souci de la littérature américaine du 20è c'est qu'elle est encore trop peu traduite (En Afro-américain par exemple, dur de trouver Zora Neale Hurston ou Nella Larsen en français!)
Sinon ce n'est pas du 20è siècle pas presque (1890 et des brouettes) Le Papier Jaune de Charlotte Perkins Gilman
http://www.canadianmysteries.ca/sites/redpath/settings/medicalarchitecture/5141fr.html
Sinon ce n'est pas du 20è siècle pas presque (1890 et des brouettes) Le Papier Jaune de Charlotte Perkins Gilman
http://www.canadianmysteries.ca/sites/redpath/settings/medicalarchitecture/5141fr.html
- BartlebyNiveau 6
Tu peux aller voir du côté d'Annie Ernaux aussi : dans Une Femme, elle évoque sa mère et en fait une biographie presque documentaire, en montrant très clairement sa condition sociale et le comportement induit par le manque de culture, le complexe d'infériorité, etc... Attention, c'est triste !
Peut-être que V. Woolf serait une bonne piste... Une chambre à soi est un must !
Peut-être que V. Woolf serait une bonne piste... Une chambre à soi est un must !
- BartlebyNiveau 6
Je viens de penser à autre chose : tu peux choisir une "forme", sinon, pour coller au travail de ta collègue d'AP. Par exemple, si tu prends le portrait, il y a le super bouquin de Marc Kravetz (qui reprend ses interventions radiophoniques du matin, sur France-Culture), ça s'appelle Portraits du jour... et des femmes qui se battent contre des trucs hallucinants, partout dans le monde, il y en a plein dans ce recueil ! Mais ce n'est pas de la littérature, c'est sûr...
Dans le Journal d'une femme de chambre, il y a un portrait de femme horrible mais très drôle, je peux te le retrouver si tu veux.
Dernière idée avant que j'aille me coucher : les très belles pages de Camus sur sa mère dans Le Premier homme. Dans le genre "enfermée dans sa condition", on ne fait pas mieux.... mais comme pour la mère d'Annie Ernaux dont je parlais dans mon précédent message, c'est à pleurer !
Dans le Journal d'une femme de chambre, il y a un portrait de femme horrible mais très drôle, je peux te le retrouver si tu veux.
Dernière idée avant que j'aille me coucher : les très belles pages de Camus sur sa mère dans Le Premier homme. Dans le genre "enfermée dans sa condition", on ne fait pas mieux.... mais comme pour la mère d'Annie Ernaux dont je parlais dans mon précédent message, c'est à pleurer !
- cléoNiveau 9
Tu as aussi énormément de romans et de nouvelles de Joyce Carol Oates qui évoquent ce thème.
- DalvaVénérable
Bonjour,
Je pense à Mille soleils splendides, de Khaled Hosseini et Les hirondelles de Kaboul, de Yasmina Khadra (Afghanistan pour les deux).
Pour un regard un peu "de côté" sur le corps des femmes et son éventuelle oppression, et leur image, en "lien" avec Joyce Carol Oates, on peut étudier le film Dans les cordes, de Magaly Richard-Serrano (il est passé à collège au cinéma). Tout à fait accessible aux 3e, qui comprennent parfaitement, une fois la surprise passée, le sens de la séquence finale. (Je ne dévoile rien.) C'est un "film de boxe", les personnages principaux sont deux jeunes filles de 20 ans entraînées par leur père et parrain. La femme dans ce film apparaît soit dans la féminité niée (entraînements et combats), soit dans la féminité poussée à l'extrême genre Marylin de bas étage (la mère). Au niveau analyse de l'image (voire histoire des arts, selon les thèmes retenus), on peut étudier le cadrage très resserré en permanence (univers étriqué, étouffant), la lumière (bleutée pour l'univers onirique du personnage principal), la bande son, et des tas d'autres choses qui sont aisément repérables et interprétables par les élèves. Dans ce film, le bouquin De la boxe de Joyce Carol Oates joue une rôle.
Je pense à Mille soleils splendides, de Khaled Hosseini et Les hirondelles de Kaboul, de Yasmina Khadra (Afghanistan pour les deux).
Pour un regard un peu "de côté" sur le corps des femmes et son éventuelle oppression, et leur image, en "lien" avec Joyce Carol Oates, on peut étudier le film Dans les cordes, de Magaly Richard-Serrano (il est passé à collège au cinéma). Tout à fait accessible aux 3e, qui comprennent parfaitement, une fois la surprise passée, le sens de la séquence finale. (Je ne dévoile rien.) C'est un "film de boxe", les personnages principaux sont deux jeunes filles de 20 ans entraînées par leur père et parrain. La femme dans ce film apparaît soit dans la féminité niée (entraînements et combats), soit dans la féminité poussée à l'extrême genre Marylin de bas étage (la mère). Au niveau analyse de l'image (voire histoire des arts, selon les thèmes retenus), on peut étudier le cadrage très resserré en permanence (univers étriqué, étouffant), la lumière (bleutée pour l'univers onirique du personnage principal), la bande son, et des tas d'autres choses qui sont aisément repérables et interprétables par les élèves. Dans ce film, le bouquin De la boxe de Joyce Carol Oates joue une rôle.
- ProvenceEnchanteur
Dans la Maison de Claudine, Colette évoque les longues heures passées à se coiffer, à prendre soin de ses cheveux. C'est une forme de contrainte du corps, soumis à des normes sociales.
- Invité20Habitué du forum
Peut-être faudrait-il aussi chercher dans la littérature québecoise ? Elles en ont pris plein la gueule jusqu'à il y a peu, si j'en crois les québecoises d'environ 60 ans que je connais.
- dandelionVénérable
Ah oui, au Canada il y a Margaret Atwood, j'aime beaucoup. Le premier livre que j'ai lu d'elle était un recueil de nouvelles. Elle a une vision très personnelle et elle décrit bien l'oppression des femmes (The Blind Assassin est très bien, tu y apprendras que dans les régions les plus reculées et froides on cousait les enfants dans leur linge à l'entrée de l'hiver, ne les en sortant qu'au début des très relatifs beaux jours, provoquant ainsi des chocs traumatiques chez les institutrices envoyées en mission).doublecasquette véto a écrit: Peut-être faudrait-il aussi chercher dans la littérature québecoise ? Elles en ont pris plein la gueule jusqu'à il y a peu, si j'en crois les québecoises d'environ 60 ans que je connais.
Du coup ça me fait penser aussi à Doris Lessing (Atwood et Lessing, je crois que c'est ce que je conseillerai à mes filles quand elles seront plus grandes, si après ça t'as pas compris qu'il valait mieux assurer ton indépendance...).
- kattioschNiveau 2
Je pense à cette nouvelle de Jeanne Benameur "le ramadan de la parole". Elle se trouve dans le recueil du collectif "ni putes ni soumises".
- mireliNiveau 3
Les Enfants sont une bénédiction de Buchi Emecheta, Tess d'Uberville de T. Hardy, La Couleur pourpre d'Alice Walker.
Dandelion parlait de Maya Angelou et se demandait si les traductions sont à la hauteur... Je ne lis qu'en français alors je ne peux pas comparer (malheureusement) mais je n'ai jamais oublié ma lecture en français de Je sais pourquoi l'oiseau chante en cage! ... Hautement recommandé.
Et aussi, ce n'est pas littéraire et pas pour des élèves apparemment mais on a parlé à plusieurs reprises sur France culture de La Moitié du ciel, enquête et témoignages.
Dandelion parlait de Maya Angelou et se demandait si les traductions sont à la hauteur... Je ne lis qu'en français alors je ne peux pas comparer (malheureusement) mais je n'ai jamais oublié ma lecture en français de Je sais pourquoi l'oiseau chante en cage! ... Hautement recommandé.
Et aussi, ce n'est pas littéraire et pas pour des élèves apparemment mais on a parlé à plusieurs reprises sur France culture de La Moitié du ciel, enquête et témoignages.
- MehitabelVénérable
dandelion a écrit:Ah oui, au Canada il y a Margaret Atwood, j'aime beaucoup. Le premier livre que j'ai lu d'elle était un recueil de nouvelles. Elle a une vision très personnelle et elle décrit bien l'oppression des femmes (The Blind Assassin est très bien, tu y apprendras que dans les régions les plus reculées et froides on cousait les enfants dans leur linge à l'entrée de l'hiver, ne les en sortant qu'au début des très relatifs beaux jours, provoquant ainsi des chocs traumatiques chez les institutrices envoyées en mission).doublecasquette véto a écrit: Peut-être faudrait-il aussi chercher dans la littérature québecoise ? Elles en ont pris plein la gueule jusqu'à il y a peu, si j'en crois les québecoises d'environ 60 ans que je connais.
Du coup ça me fait penser aussi à Doris Lessing (Atwood et Lessing, je crois que c'est ce que je conseillerai à mes filles quand elles seront plus grandes, si après ça t'as pas compris qu'il valait mieux assurer ton indépendance...).
En littérature québécoise, je rajoute Anne Hébert, en particulier Les fous de Bassan, un meurtre de deux jeunes filles, racontées par cinq voix différentes, dont celle de l'assassin, qui en dit long sur la condition des femmes au Québec, mais on peut lire aussi Les enfants du Sabbath ou Kamouraska, sur la vie conjugale; ainsi que Bonheur d'occasion, Gabrielle Roy, destin croisé de plusieurs femmes dans un Québec en pleine mutation; et Marie Claire Blais, Les nuits de l'underground, sur l'homosexualité féminine (j'ai un doute sur le titre du roman, à vérifier si c'est bien celui là). Et un ouvrage documentaire, Les secrets de famille des soeurs Dionne, sur les quintuplées Dionne, leur vie, la séparation avec leur famille francophone catholique, puis leur retour dans leur famille, l'instrumentalisation de leur image, et leurs vies brisées par un surmédiatisation. Très intéressant. Il y a un téléfilm également qui s'appelle je crois tout simplement "Les jumelles Dionne". Sur le site d'amazon canada: http://www.amazon.ca/Les-Jumelles-Dionne-Roy-Dupuis/dp/B0008ENG7C/ref=sr_1_fkmr0_2?ie=UTF8&qid=1360054494&sr=8-2-fkmr0
- IlianaGrand sage
Sur les femmes et le Maghreb, tu as Les Sacrifiées, de Laurent Gaudé.
Pièce dure mais belle.
Pièce dure mais belle.
_________________
Minuit passé déjà. Le feu s'est éteint et je sens le sommeil qui gagne du terrain.
Je vais m'endormir contre vous, respirer doucement, parce que je sais où nous allons désormais.
Fauve - Révérence
- AmaliahEmpereur
Merci! Et chapeau bas pour vos références variées et intéressantes! Je suis épatée et ne regrette pas d'avoir posé ma question! Et dire que j'ai hésité...
- mireliNiveau 3
Tiens nous au courant alors de l'avancée de ton projet...
- cath4Niveau 5
J'ai lu récemment La Muette et Bas les voiles de Chahdortt Djavann.
Le premier est un court roman qui met en scène trois femmes en Iran, l'une s'est révoltée, l'autre est soumise et la dernière est une jeune fille.
Le deuxième est un pamphlet contre le port du voile.
Le premier est un court roman qui met en scène trois femmes en Iran, l'une s'est révoltée, l'autre est soumise et la dernière est une jeune fille.
Le deuxième est un pamphlet contre le port du voile.
- AbraxasDoyen
Essayez donc la BD — par exemple Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope, de Pichard. Question martyre du corps féminin, ça se pose un peu là. Voir de belles mages sur
http://www.google.fr/search?client=safari&rls=en&q=marie-gabrielle+de+saint-eutrope&oe=UTF-8&redir_esc=&um=1&ie=UTF-8&hl=fr&tbm=isch&source=og&sa=N&tab=wi&ei=vz8SUc_uJ-aZ0QWz9ICwBg&biw=1227&bih=843&sei=xD8SUa6WOs7I0AWKh4HQDw
Par exemple…
http://www.google.fr/search?client=safari&rls=en&q=marie-gabrielle+de+saint-eutrope&oe=UTF-8&redir_esc=&um=1&ie=UTF-8&hl=fr&tbm=isch&source=og&sa=N&tab=wi&ei=vz8SUc_uJ-aZ0QWz9ICwBg&biw=1227&bih=843&sei=xD8SUa6WOs7I0AWKh4HQDw
Par exemple…
- AbraxasDoyen
Et pour qu'il soit clair que je ne suis pas un affreux macho, je ne saurais trop vous recommander un texte écrit par une femme — les Notes sur l'excision de Marie Bonaparte.
On n'est jamais trahi que par les siennes…
On n'est jamais trahi que par les siennes…
- IphigénieProphète
Sinon dans le genre classique, Thérèse Desqueyroux ça en dit pas mal aussi.(et dans le parallèle oppression catho//musulmane...même combat)
- mireliNiveau 3
Chitra Banerjee Divakaruni - Ma soeur, mon amour. Le titre est ridicule mais le roman est beau et peint le portrait de deux jeunes femmes dans l'Inde contemporaine : poids des traditions ancestrales, mariages arrangés et condition de la femme au sein de la belle famille...
- InvitéPasNiveau 9
Monique Wittig, Virgile, non.
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