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- Marie LaetitiaBon génie
Al-qalam a écrit:J'ai travaillé en master sur la céramique iranienne au XIXe, et je compte bien travailler l'an prochain en thèse sur l'art iranien du XVIIIe, sujet vierge pour l'instant. (youhou !)
Bon, moi si je dis mes sujets, tout le monde va pouvoir m'identifier (si ça n'est pas déjà fait )
Disons que mon truc à moi
Et j'adore la recherche !
- kiwiGuide spirituel
J'ai honte, j'ai qu'une licence moi... Je voulais passer les concours très très vite pour gagner ma croûte.
Mais j'aurais bien aimé travailler sur le XVIIIème siècle, c'est mon dada. Deux thématiques en particulier : la famille, l'enfant ou la 1ère colonisation. Voilà.
Mais j'aurais bien aimé travailler sur le XVIIIème siècle, c'est mon dada. Deux thématiques en particulier : la famille, l'enfant ou la 1ère colonisation. Voilà.
- User7674Érudit
J'ai fait une maîtrise sur les sociabilités villageoises dans le Poitou entre 1870 et 1914. L'année d'après, le master est passé par là et dans mon université, il consistait à bâtir le squelette d'une thèse (historio, plan, et une sous-partie rédigée). J'ai souhaité développer l'une des questions de ma maîtrise, à savoir les sociabilités féminines, en lien avec leur quotidien (travail, coutumes, rites de passage... etc).
J'ai adoré mon année de maîtrise, avec le travail aux archives, la découverte de fonds dans la BU jamais utilisés depuis plus de 30 ans (un ethnologue local avait enregistré des témoignages de vieilles mamies dans les années 50, elles racontaient leur enfance, chantaient... heureusement que je connais un chouïa le patois du coin pour comprendre !). L'année de M2, j'ai beaucoup moins aimé mon travail de recherche, c'était long et rébarbatif, je ne rentrais pas dans le vif du sujet et c'était frustrant. Par contre, j'ai été passionnée par les conférences et les colloques auxquels nous assistions.
Si je devais reprendre, je crois que je partirai sur un truc totalement différent sur l'histoire de la cuisine !! Juste pour le plaisir ! Mais ça reste un doux rêve, comme un jour commencer un cursus de psycho, d'histoire de l'art... Pourquoi pas un jour !
J'ai adoré mon année de maîtrise, avec le travail aux archives, la découverte de fonds dans la BU jamais utilisés depuis plus de 30 ans (un ethnologue local avait enregistré des témoignages de vieilles mamies dans les années 50, elles racontaient leur enfance, chantaient... heureusement que je connais un chouïa le patois du coin pour comprendre !). L'année de M2, j'ai beaucoup moins aimé mon travail de recherche, c'était long et rébarbatif, je ne rentrais pas dans le vif du sujet et c'était frustrant. Par contre, j'ai été passionnée par les conférences et les colloques auxquels nous assistions.
Si je devais reprendre, je crois que je partirai sur un truc totalement différent sur l'histoire de la cuisine !! Juste pour le plaisir ! Mais ça reste un doux rêve, comme un jour commencer un cursus de psycho, d'histoire de l'art... Pourquoi pas un jour !
- ArtysiaVénérable
Moi j'ai un M2 HDA mais ça compte quand même non ?
J'ai bossé sur l'architecture des bâtiments religieux des commanderies de l'ordre des hospitaliers
J'ai bossé sur l'architecture des bâtiments religieux des commanderies de l'ordre des hospitaliers
- User7674Érudit
Artysia a écrit:Moi j'ai un M2 HDA mais ça compte quand même non ?
J'ai bossé sur l'architecture des bâtiments religieux des commanderies de l'ordre des hospitaliers
Oui ça compte
J'ai une question pour tous : est-ce vous qui avez choisi votre sujet puis cherché un directeur ou bien aviez-vous un attrait particulier pour un thème et le choix du sujet vous a été proposé par votre directeur ?
- ArtysiaVénérable
Moi je n'ai pas trop eu le choix, on m'a assigné une église à analyser de fond en comble. Mais je voulais bosser sur l'archi religieuse et les ordres militaires m'intéressaient fortement. Il existait très peu de choses sur les Hospitaliers
- Douglas ColvinNeoprof expérimenté
janis a écrit:
J'ai une question pour tous : est-ce vous qui avez choisi votre sujet puis cherché un directeur ou bien aviez-vous un attrait particulier pour un thème et le choix du sujet vous a été proposé par votre directeur ?
Je voulais bosser sur un empereur romain "fou". Je pensais à Domitien au départ, mais une bio anglaise récente à l'époque venait de sortir. Je voulais la faire avec F. Hurlet (encore à Tours à l'époque). Il m'a alors suggéré Vitellius (j'étais moyennement emballé). J'ai pensé à Commode, et comme il n'y avait rien sur lui, hormis un bouquin italien de 1964, parlant des luttes politiques durant son règne, je me suis lancé sur Commode.
Hurlet ayant quitté ensuite la fac de Tours, il m'a remis entre les mains expertes de B Beaujard (même si le Haut Empire n'est pas sa période de recherche).
- boris vassilievGrand sage
Je voulais travailler dans ce qui m'avait le plus plu en licence : sensibilité religieuse et paléographie. Donc je me suis adressé au prof qui assurait ces cours et il nous a proposé, à nous le trio inséparable que nous formions depuis la première année, de travailler à partir des registres aixois, la "main d'oeuvre" permettant de dépouiller suffisamment de registres. Au final je n'avais qu'une partie de mon mémoire sur les sensibilités religieuses, qui étaient plus au coeur du travail de mes camarades (sur les testaments et les contrats de mariage), mais ces inventaires m'avaient fasciné...
Et puis c'était déjà de la "recherche" (si on peut dire ça pour une maîtrise...) comme on n'en faisait plus trop, de l'histoire sérielle comme à la grande époque...
Et puis c'était déjà de la "recherche" (si on peut dire ça pour une maîtrise...) comme on n'en faisait plus trop, de l'histoire sérielle comme à la grande époque...
- Marie LaetitiaBon génie
janis a écrit:Artysia a écrit:Moi j'ai un M2 HDA mais ça compte quand même non ?
J'ai bossé sur l'architecture des bâtiments religieux des commanderies de l'ordre des hospitaliers
Oui ça compte
J'ai une question pour tous : est-ce vous qui avez choisi votre sujet puis cherché un directeur ou bien aviez-vous un attrait particulier pour un thème et le choix du sujet vous a été proposé par votre directeur ?
option 2. Dans le lot, je voulais travailler sur les bourreaux (leur singularité, leur isolement par rapport au reste de la société), ou alors les phénomènes d'ascension sociale... Boah, déjà fait tout ça. Du coup, j'ai donné mes centres d'intérêt au directeur que je voulais ( ) et il m'a donné un sujet qui l'arrangeait pour son travail de recherche de l'époque... Et pour le DEA, en revanche, c'est moi qui suis arrivée avec un sujet, tiré de ma maîtrise. Mais il a été énooooormément remanié pour arriver au sujet de thèse. Depuis le début de la thèse aussi d'ailleurs mais c'est une autre histoire
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- CondorcetOracle
La maîtrise m'a amené une rubrique d'un quotidien du soir très apprécié ici :lol: tandis que le DEA m'a conduit sur les sentes des journalistes politiques français au XXe siècle. L'élaboration des sujets a été dictée par mon intérêt pour la presse écrite que mon directeur de mémoire a orienté vers ces thèmes.
Ma thèse a commencé un soir niortais d'ennui : j'ai couché sur le papier quelques thèmes qui m'intéressaient et parmi ceux-ci, les intellectuels et la télévision en France. Peu à peu, les émissions littéraires proposées par mon directeur de thèse ont pris le pas sur le thème original qui m'a cependant permis d'élargir mes horizons... intellectuels.
Ma thèse a commencé un soir niortais d'ennui : j'ai couché sur le papier quelques thèmes qui m'intéressaient et parmi ceux-ci, les intellectuels et la télévision en France. Peu à peu, les émissions littéraires proposées par mon directeur de thèse ont pris le pas sur le thème original qui m'a cependant permis d'élargir mes horizons... intellectuels.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
J'ai fait une maîtrise sur les protestants de ma ville au temps des guerres de Religion (2001-2002) et ça m'a énormément plu, mais je ne comptais pas forcément continuer, je ne me pensais pas assez courageux et il n'y avait pas de professeur en histoire moderne dans mon Université d'alors. Mais j'ai eu un coup de chance énorme: l'année où je passais l'agrégation, j'ai été contacté par le Conseil Général de mon département pour aller travailler 14 mois à Berlin, sur le Refuge huguenot dans la perspective d'une exposition. Ça m'a mis la pression, car pour pouvoir partir, je devais avoir l'agreg pour avoir un report de stage (car j'étais déjà en report de stage du CAPES, je ne pouvais pas repousser si j'échouais à l'agreg). Ça m'a amené à faire un DEA en parallèle. Et ensuite, une fois en poste dans le secondaire, je me suis taillé un sujet de thèse sur un corpus extraordinaire que personne n'avait eu le courage d'attaquer de front. J'ai réussi à convaincre un directeur de recherches que je ne connaissais pas et à qui mon sujet a plu. Et c'était parti pour 5 ans...
- jammeNeoprof expérimenté
J'ai fait une maîtrise sous la direction de JP Poussou sur "les jardinier du Faubourg Saint Antoine entre 1740 et 1830". Vaste sujet très intéressant que j'ai mis deux ans à boucler mais le résultat n'était pas à la hauteur des heures de travail fourni... Je me pose la question de faire un M2 après la titularisation. A voir, si j'ai le courage!
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Tu l'as faite récemment cette maîtrise? Poussou a été un extraordinaire pourvoyeur de sujets de recherche! Je connais des dizaines d'étudiants ayant travaillé avec lui, c'est vraiment remarquable! Il est à la retraite j'imagine?
- RoninMonarque
Une maîtrise en contemporaine sous la direction de Jean-Noël Luc à Paris 4.
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- Isis39Enchanteur
Moi j'ai fait une maîtrise en contemporaine, sujet de l'IHTP, dirigée par François Marcot. Les pénuries à la fin de de la Seconde Guerre mondiale l'après-guerre (le rationnement n'a cessé qu'en 1949).
J'ai adoré passer mon temps aux archives sur les rapports de préfets, les journaux, les archives des partis politiques, des syndicats (avec autorisations).
Et l'omelette sans oeufs n'a plus de secrets pour moi !
J'ai choisi déjà le prof qui m'a proposé plusieurs sujets (en fonction des enquêtes lancées par l'IHTP et les ouvertures d'archives).
J'ai adoré passer mon temps aux archives sur les rapports de préfets, les journaux, les archives des partis politiques, des syndicats (avec autorisations).
Et l'omelette sans oeufs n'a plus de secrets pour moi !
J'ai choisi déjà le prof qui m'a proposé plusieurs sujets (en fonction des enquêtes lancées par l'IHTP et les ouvertures d'archives).
- histoireeternelle59Niveau 8
Pareil, si je donne un nom ou mon sujet de manière exacte, l'anonymat (forcément restreint en participant à un forum comme celui-ci) va fondre comme neige au soleil. Je m'en tiendrais à : M2 en histoire médiévale. Travail d'histoire urbaine (société et économie) à travers les actes de la pratique. Un sujet que j'aimerai bien développer en thèse, mais un prof d'une autre fac a donné ce sujet l'an dernier à un étudiant étranger... J'attends de voir s'il va aller au bout ou s'il va renoncer (vu l'ampleur de la tâche, sachant qu'il n'est pas du tout spécialiste, et donc n'a pas les bases, j'ai bon espoir!).
- Douglas ColvinNeoprof expérimenté
Isis39 a écrit:Moi j'ai fait une maîtrise en contemporaine, sujet de l'IHTP, dirigée par François Marcot. Les pénuries à la fin de de la Seconde Guerre mondiale l'après-guerre (le rationnement n'a cessé qu'en 1949).
J'ai adoré passer mon temps aux archives sur les rapports de préfets, les journaux, les archives des partis politiques, des syndicats (avec autorisations).
Et l'omelette sans oeufs n'a plus de secrets pour moi !
J'ai choisi déjà le prof qui m'a proposé plusieurs sujets (en fonction des enquêtes lancées par l'IHTP et les ouvertures d'archives).
ça doit être intéressant à lire ça !!
On ne pourrait pas imaginer mettre nos "oeuvres" en ligne quelque part ?
- jammeNeoprof expérimenté
Marcel Khrouchtchev a écrit:Tu l'as faite récemment cette maîtrise? Poussou a été un extraordinaire pourvoyeur de sujets de recherche! Je connais des dizaines d'étudiants ayant travaillé avec lui, c'est vraiment remarquable! Il est à la retraite j'imagine?
Ma maîtrise date de 2001! D'après ce que je sais, il est à la retraite depuis un moment. J'avais suivi avec passion ses cours sur l'histoire du Canada en licence.
- Isis39Enchanteur
Douglas Colvin a écrit:Isis39 a écrit:Moi j'ai fait une maîtrise en contemporaine, sujet de l'IHTP, dirigée par François Marcot. Les pénuries à la fin de de la Seconde Guerre mondiale l'après-guerre (le rationnement n'a cessé qu'en 1949).
J'ai adoré passer mon temps aux archives sur les rapports de préfets, les journaux, les archives des partis politiques, des syndicats (avec autorisations).
Et l'omelette sans oeufs n'a plus de secrets pour moi !
J'ai choisi déjà le prof qui m'a proposé plusieurs sujets (en fonction des enquêtes lancées par l'IHTP et les ouvertures d'archives).
ça doit être intéressant à lire ça !!
On ne pourrait pas imaginer mettre nos "oeuvres" en ligne quelque part ?
Mettre en ligne ??? Faudrait scanner mon mémoire pour le mettre en ligne !
En tout cas le sujet était super intéressant, même pour les personnes qui m'ont relu. Et si tu veux la recette de l'omelette sans oeufs, ou comment faire du pain frais avec du pain rassis.... J'avais aussi eu des affaires de trafic de sucre avec règlement de compte...
- Marie LaetitiaBon génie
Douglas Colvin a écrit:Isis39 a écrit:Moi j'ai fait une maîtrise en contemporaine, sujet de l'IHTP, dirigée par François Marcot. Les pénuries à la fin de de la Seconde Guerre mondiale l'après-guerre (le rationnement n'a cessé qu'en 1949).
J'ai adoré passer mon temps aux archives sur les rapports de préfets, les journaux, les archives des partis politiques, des syndicats (avec autorisations).
Et l'omelette sans oeufs n'a plus de secrets pour moi !
J'ai choisi déjà le prof qui m'a proposé plusieurs sujets (en fonction des enquêtes lancées par l'IHTP et les ouvertures d'archives).
ça doit être intéressant à lire ça !!
On ne pourrait pas imaginer mettre nos "oeuvres" en ligne quelque part ?
il y a une grande opération de mise en ligne des mémoires et master lancée depuis quelques années (bon moi je n'ai pas voulu y participer... pour d'autres raisons)
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- jofromlilleNiveau 3
Il y a quelques géographes sur le forum ?
J'ai travaillé sur la notion de Gouvernance Urbaine avec l'exemple de Bruxelles. C'était en 2001 à l'université de Lille 1. Le sujet ne m'a pas "branché" à l'époque, mais je crois qu'aujourd'hui il m'irait plus!!! Etonnant comme nos centres d'intérêts évoluent.
J'ai travaillé sur la notion de Gouvernance Urbaine avec l'exemple de Bruxelles. C'était en 2001 à l'université de Lille 1. Le sujet ne m'a pas "branché" à l'époque, mais je crois qu'aujourd'hui il m'irait plus!!! Etonnant comme nos centres d'intérêts évoluent.
- Douglas ColvinNeoprof expérimenté
Isis39 a écrit:Douglas Colvin a écrit:Isis39 a écrit:Moi j'ai fait une maîtrise en contemporaine, sujet de l'IHTP, dirigée par François Marcot. Les pénuries à la fin de de la Seconde Guerre mondiale l'après-guerre (le rationnement n'a cessé qu'en 1949).
J'ai adoré passer mon temps aux archives sur les rapports de préfets, les journaux, les archives des partis politiques, des syndicats (avec autorisations).
Et l'omelette sans oeufs n'a plus de secrets pour moi !
J'ai choisi déjà le prof qui m'a proposé plusieurs sujets (en fonction des enquêtes lancées par l'IHTP et les ouvertures d'archives).
ça doit être intéressant à lire ça !!
On ne pourrait pas imaginer mettre nos "oeuvres" en ligne quelque part ?
Mettre en ligne ??? Faudrait scanner mon mémoire pour le mettre en ligne !
En tout cas le sujet était super intéressant, même pour les personnes qui m'ont relu. Et si tu veux la recette de l'omelette sans oeufs, ou comment faire du pain frais avec du pain rassis.... J'avais aussi eu des affaires de trafic de sucre avec règlement de compte...
Tu l'as faite quand ta maîtrise ?
J'ai la mienne en version numérique.
- Isis39Enchanteur
Douglas Colvin a écrit:Isis39 a écrit:Douglas Colvin a écrit:Isis39 a écrit:Moi j'ai fait une maîtrise en contemporaine, sujet de l'IHTP, dirigée par François Marcot. Les pénuries à la fin de de la Seconde Guerre mondiale l'après-guerre (le rationnement n'a cessé qu'en 1949).
J'ai adoré passer mon temps aux archives sur les rapports de préfets, les journaux, les archives des partis politiques, des syndicats (avec autorisations).
Et l'omelette sans oeufs n'a plus de secrets pour moi !
J'ai choisi déjà le prof qui m'a proposé plusieurs sujets (en fonction des enquêtes lancées par l'IHTP et les ouvertures d'archives).
ça doit être intéressant à lire ça !!
On ne pourrait pas imaginer mettre nos "oeuvres" en ligne quelque part ?
Mettre en ligne ??? Faudrait scanner mon mémoire pour le mettre en ligne !
En tout cas le sujet était super intéressant, même pour les personnes qui m'ont relu. Et si tu veux la recette de l'omelette sans oeufs, ou comment faire du pain frais avec du pain rassis.... J'avais aussi eu des affaires de trafic de sucre avec règlement de compte...
Tu l'as faite quand ta maîtrise ?
J'ai la mienne en version numérique.
EUhhhhh 1992. Elle doit être sur une disquette quelque part..................................
- boris vassilievGrand sage
Pareil, en 2001, j'avais fait ça sous Word 97 (avec un ordi de récupération datant de 1992 :lol: :lol: ) et rendu uniquement sur papier. Je n'ai plus le fichier numérique.
Je n'ai en ligne qu'un article rédigé à partir de ma maîtrise publié dans la revue que dirigeait à l'époque mon directeur de maîtrise...
Je n'ai en ligne qu'un article rédigé à partir de ma maîtrise publié dans la revue que dirigeait à l'époque mon directeur de maîtrise...
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- Douglas ColvinNeoprof expérimenté
La question est la suivante : cela intéresserait-il les collègues de les mettre en ligne ?
- Marie LaetitiaBon génie
boris vassiliev a écrit:Pareil, en 2001, j'avais fait ça sous Word 97 (avec un ordi de récupération datant de 1992 :lol: :lol: ) et rendu uniquement sur papier. Je n'ai plus le fichier numérique.
Je n'ai en ligne qu'un article rédigé à partir de ma maîtrise publié dans la revue que dirigeait à l'époque mon directeur de maîtrise...
Moi j'ai perdu ma merveilleuse base de données, juste parce que personne n'a su faire une sauvegarde et que plusieurs années plus tard, l'ordinateur - qui m'avait été prêté par l'université - est parti à la casse...
Le Grincheux a récupéré comme ça la thèse d'une collègue, thèse qui datait de 1997 je crois... ça a été chaud.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
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