- petit-chatJe viens de m'inscrire !
Bonjour,
Je suis affectée sur deux établissements pour l'année et contractuelle. Dans l'un des deux établissements, tout se passe à merveille, une équipe soudée, des collègues qui se soutiennent, une direction à l'écoute de son équipe, des élèves dans l'ensemble polis et travailleurs.
Dans l'autre c'est une catastrophe : une majorité de gens refusent de m'adresser la parole car je ne suis que contractuelle, la collègue dont je complète le poste vient de foutre en l'air deux mois de travail (et sans aucune justification, certains de ses actes vont à l'encontre du bon sens et de l'éthique), le CPE me force à prendre des élèves que j'ai refusés et renvoyés en perm car arrivés en retard. Quand à la direction je préfère ne pas en parler. Que faire face à tout ca? J'ai une boule au ventre quand je vais travailler dans cet établissement, je pleure régulièrement, c'est à vous dégoûter du métier. A contrario je suis heureuse de me rendre chaque semaine dans mon établissement principal.
Je suis affectée sur deux établissements pour l'année et contractuelle. Dans l'un des deux établissements, tout se passe à merveille, une équipe soudée, des collègues qui se soutiennent, une direction à l'écoute de son équipe, des élèves dans l'ensemble polis et travailleurs.
Dans l'autre c'est une catastrophe : une majorité de gens refusent de m'adresser la parole car je ne suis que contractuelle, la collègue dont je complète le poste vient de foutre en l'air deux mois de travail (et sans aucune justification, certains de ses actes vont à l'encontre du bon sens et de l'éthique), le CPE me force à prendre des élèves que j'ai refusés et renvoyés en perm car arrivés en retard. Quand à la direction je préfère ne pas en parler. Que faire face à tout ca? J'ai une boule au ventre quand je vais travailler dans cet établissement, je pleure régulièrement, c'est à vous dégoûter du métier. A contrario je suis heureuse de me rendre chaque semaine dans mon établissement principal.
- christophevanNiveau 6
Même si ce n'est pas évident : prends du recul. On ne te donne pas les moyens de mener à bien ta mission dans ton second établissement? Et bien tu te contentes du plus strict minimum, sans risquer de foutre en l'air ta santé et sans chercher à mener de projets. garde ton énergie pour le bahut où on respecte ton travail.
Pour ce qui est des élèves arrivés en retard, s'ils ont normalement cours avec toi, il est logique que tu les accueilles malgré tout. Si par contre ils ne sont pas là en cours, tu es obligée de les accepter? Ecris des rapports et essaie de voir avec les quelques collègues qui te parlent si ils les connaissent.
Charmante ambiance dans ton second bahut...
Pour ce qui est des élèves arrivés en retard, s'ils ont normalement cours avec toi, il est logique que tu les accueilles malgré tout. Si par contre ils ne sont pas là en cours, tu es obligée de les accepter? Ecris des rapports et essaie de voir avec les quelques collègues qui te parlent si ils les connaissent.
Charmante ambiance dans ton second bahut...
- pitchounetteExpert
C'est le conseil le plus dur à faire, mais le plus pertinent. Ca ne se fera pas du jour au lendemain, mais elle y arriverachristophevan a écrit: Et bien tu te contentes du plus strict minimum, sans risquer de foutre en l'air ta santé et sans chercher à mener de projets
- RoninMonarque
Rien à dire de valable si ce n'est courage
_________________
- labarolineNiveau 10
Si ça peut te rassurer (ou pas...) ça n'est pas ton statut de contractuelle qui les fait se comporter ainsi : si tu étais TZR ça serait pareil, c'est juste une sorte d'impolitesse collective envers les remplaçants, les "pas-d'ici" quel que soit leur statut. Certains établissements sont ainsi, l'ambiance générale qui plombe tout rend tout le monde aigri et égoiste. Essaie d'en parler à d'autres remplaçants du bahut, tu verras que tu n'es certainement pas la seule à ressentir cela. ça c'est pour te déculpabiliser quant au cadre de travail.
Du coup, les conseils précédents sont les bons : service minimum, du moins tant que tu n'as pas lié sympathie (si c'est possible, mais laisse faire les choses...) avec un(e) collègue. Parfois, entre remplaçants esseulés on finit par pouvoir monter une ou deux séances. Mais si ça n'est pas le cas, n'insiste pas, surtout si la titulaire a du mal à te laisser la moitié de la semaine (comme je te comprends...)
Quant aux élèves qui reviennent d la Vie Sco (je déteste ce genre de procédé mais souvent la Vie sco profite du "non titulaire" pour se lâcher et faire sa loi) Soit tu supportes et ronges ton frein, mais tu perds en crédibilité auprès des élèves qui savent que même si tu les vires ça n'aura que peu d'effet (il m'est arrivé de coller plusieurs fois en pure perte, la Vie sco n'ayant jamais fait parvenir le courrier aux parents), soit tu continues de les virer. Après tout, tu es responsable des règles de vie du CDI quand tu y es, sans rendre de compte à la Vie Sco qui n'est pas ton supérieur hierarchique. Ils reviennent ? renvoies-les à nouveau accompagnés d'un mot de ta part : le CDi n'est pas un moulin, on n'entre ps quand on veut à l'heure voulue, ça perturbe le travail des autres élèves. Ils reviennent à nouveau ? Renvoies-les encore. Et ainsi de suite. A ce petit jeu tu es dans ton droit. Tu peux également faire un mot au CPE lui détaillant ta façon de travailler "pour le bien des élèves qui sont au calme au CDI qui n'est pas un moulin".
Prends du recul, ne te laisse pas bouffer ni par les incohérences de la collègue ni par la mauvaise ambiance générale. Tu arrives, tu fais ton taf sans états d'âme (dans ces cas-là dis-toi que c'est alimentaire) et basta. Garde tes sourires et ton energie pour le bahut dans lequel tu es bien.
Courage, courage
Du coup, les conseils précédents sont les bons : service minimum, du moins tant que tu n'as pas lié sympathie (si c'est possible, mais laisse faire les choses...) avec un(e) collègue. Parfois, entre remplaçants esseulés on finit par pouvoir monter une ou deux séances. Mais si ça n'est pas le cas, n'insiste pas, surtout si la titulaire a du mal à te laisser la moitié de la semaine (comme je te comprends...)
Quant aux élèves qui reviennent d la Vie Sco (je déteste ce genre de procédé mais souvent la Vie sco profite du "non titulaire" pour se lâcher et faire sa loi) Soit tu supportes et ronges ton frein, mais tu perds en crédibilité auprès des élèves qui savent que même si tu les vires ça n'aura que peu d'effet (il m'est arrivé de coller plusieurs fois en pure perte, la Vie sco n'ayant jamais fait parvenir le courrier aux parents), soit tu continues de les virer. Après tout, tu es responsable des règles de vie du CDI quand tu y es, sans rendre de compte à la Vie Sco qui n'est pas ton supérieur hierarchique. Ils reviennent ? renvoies-les à nouveau accompagnés d'un mot de ta part : le CDi n'est pas un moulin, on n'entre ps quand on veut à l'heure voulue, ça perturbe le travail des autres élèves. Ils reviennent à nouveau ? Renvoies-les encore. Et ainsi de suite. A ce petit jeu tu es dans ton droit. Tu peux également faire un mot au CPE lui détaillant ta façon de travailler "pour le bien des élèves qui sont au calme au CDI qui n'est pas un moulin".
Prends du recul, ne te laisse pas bouffer ni par les incohérences de la collègue ni par la mauvaise ambiance générale. Tu arrives, tu fais ton taf sans états d'âme (dans ces cas-là dis-toi que c'est alimentaire) et basta. Garde tes sourires et ton energie pour le bahut dans lequel tu es bien.
Courage, courage
- géohistoireNiveau 10
Je ne suis pas tout à fait d'accord, lors du premier remplacement que j'ai fait, j'étais sur deux établissements. Dans un des deux j'ai entendu une prof répéter au moins trois fois bien fort devant moi qu'elle avait passé un "concours élitiste" et qu'elle trouvait anormal qu'on fasse appelle à des contractuels (en substance). Je ne l'ai pas pris pour moi d'abord parce que je savais qu'il n'y avait personne d'autre à mettre à ma place, parce que je n'étais là que pour un mois et demi et parce que si il fallait écouter toujours les cons on ne vivrait plus.labaroline a écrit:Si ça peut te rassurer (ou pas...) ça n'est pas ton statut de contractuelle qui les fait se comporter ainsi : si tu étais TZR ça serait pareil, c'est juste une sorte d'impolitesse collective envers les remplaçants, les "pas-d'ici" quel que soit leur statut. Certains établissements sont ainsi, l'ambiance générale qui plombe tout rend tout le monde aigri et égoiste. Essaie d'en parler à d'autres remplaçants du bahut, tu verras que tu n'es certainement pas la seule à ressentir cela. ça c'est pour te déculpabiliser quant au cadre de travail.
- labarolineNiveau 10
géohistoire a écrit: Je ne l'ai pas pris pour moi d'abord parce que je savais qu'il n'y avait personne d'autre à mettre à ma place, parce que je n'étais là que pour un mois et demi et parce que si il fallait écouter toujours les cons on ne vivrait plus.
Voilà :-)
- manchotte50Niveau 10
Même si c'est pas évident, parce qu'on culpabilise au début, si on ne te don e pas les moyens de faire les choses correctement, contentes-toi (comme l'ont dit d'autres avant moi) de faire le simple minimum !!!
J'ai des difficultés sur le poste où je suis actuellement car ma collègue ne me laisse pas faire de gestion documentaire et son fonctionnement date de je ne sais quel siècle mais en tous cas ne correspond à rien de concret ! Ainsi, j'ai pris le parti de me consacrer à des actions pédagogiques et des collaborations avec des professeurs d'autres disciplines. Cela ne plaît pas à ma collègue qui refuse d'ailleurs de faire de la pédagogie (pour elle ce n'est pas notre boulot, on n'est pas payé pour ça ) mais tant pis. Lors de mon entretien de positionnement, ma tutrice, la proviseur et moi-même avons évoqué le problème...L'inspecteur m'a conforté dans ce choix qui est pour lui prioritaire (en espérant que ma collègue se décide à partir en retraite !!!).
Tout ça pour te dire : ne culpabilise pas, savoure les bons moments dans l'établissement où tu te plaît et quand tu es dans l'autre contentes toi du minimum (à la limite profites-en pour peaufiner les projets pour l'autre )
J'ai des difficultés sur le poste où je suis actuellement car ma collègue ne me laisse pas faire de gestion documentaire et son fonctionnement date de je ne sais quel siècle mais en tous cas ne correspond à rien de concret ! Ainsi, j'ai pris le parti de me consacrer à des actions pédagogiques et des collaborations avec des professeurs d'autres disciplines. Cela ne plaît pas à ma collègue qui refuse d'ailleurs de faire de la pédagogie (pour elle ce n'est pas notre boulot, on n'est pas payé pour ça ) mais tant pis. Lors de mon entretien de positionnement, ma tutrice, la proviseur et moi-même avons évoqué le problème...L'inspecteur m'a conforté dans ce choix qui est pour lui prioritaire (en espérant que ma collègue se décide à partir en retraite !!!).
Tout ça pour te dire : ne culpabilise pas, savoure les bons moments dans l'établissement où tu te plaît et quand tu es dans l'autre contentes toi du minimum (à la limite profites-en pour peaufiner les projets pour l'autre )
- petit-chatJe viens de m'inscrire !
Je remonte ce topic. Merci à tous pour vos réponses, elles ont été très réconfortantes et m'ont fait beaucoup de bien.
Une réunion avec l'adjoint a été organisée, en pure perte, ma collègue persiste dans ses positions et me considère clairement comme son assistante. Ils ont fait appeler l'IPR pour le mois prochain.
Je viens d'apprendre par mail que cette fois-ci c'est l'administration qui choisit de me mettre à l'écart d'un projet : c'est ma collègue qui va venir au CDI sur mes heures faire l'accueil des CM2, en ma présence. Clairement je jouerai le rôle de la plante verte toute une après-midi. Je suis une nouvelle fois en larmes au moment où je vous écris. Je ne comprends pas ce qu'on me reproche ni pourquoi ils n'ont pas refusé ma nomination au septembre si c'était pour en venir là. Je viens d'appeler l'ASL, un dossier est ouvert, la dame attend mon compte-rendu détaillé des faits.
Une réunion avec l'adjoint a été organisée, en pure perte, ma collègue persiste dans ses positions et me considère clairement comme son assistante. Ils ont fait appeler l'IPR pour le mois prochain.
Je viens d'apprendre par mail que cette fois-ci c'est l'administration qui choisit de me mettre à l'écart d'un projet : c'est ma collègue qui va venir au CDI sur mes heures faire l'accueil des CM2, en ma présence. Clairement je jouerai le rôle de la plante verte toute une après-midi. Je suis une nouvelle fois en larmes au moment où je vous écris. Je ne comprends pas ce qu'on me reproche ni pourquoi ils n'ont pas refusé ma nomination au septembre si c'était pour en venir là. Je viens d'appeler l'ASL, un dossier est ouvert, la dame attend mon compte-rendu détaillé des faits.
- DUMACNiveau 6
Bonjour petit-chat,
"Clairement je jouerai le rôle de la plante verte". Cela peut avoir son utilité!
Plus sérieusement, tu es contractuelle, fais le boulot qu'on te donne et basta!
Préserve-toi avant tout. Ne multiplie pas les plaintes, cela pourrait te jouer des tours.Toi d'abord, ensuite les autres.
Concentre-toi sur l'établissement qui te respecte et laisse couler jusqu'en juin dans le second.
Parole d'ex contractuel qui a très vite pris conscience qu'il fallait d'abord penser à son bien être même si pour cela il fallait avaler des couleuvres!
"Clairement je jouerai le rôle de la plante verte". Cela peut avoir son utilité!
Plus sérieusement, tu es contractuelle, fais le boulot qu'on te donne et basta!
Préserve-toi avant tout. Ne multiplie pas les plaintes, cela pourrait te jouer des tours.Toi d'abord, ensuite les autres.
Concentre-toi sur l'établissement qui te respecte et laisse couler jusqu'en juin dans le second.
Parole d'ex contractuel qui a très vite pris conscience qu'il fallait d'abord penser à son bien être même si pour cela il fallait avaler des couleuvres!
- labarolineNiveau 10
petit-chat a écrit:Je remonte ce topic. Merci à tous pour vos réponses, elles ont été très réconfortantes et m'ont fait beaucoup de bien.
Une réunion avec l'adjoint a été organisée, en pure perte, ma collègue persiste dans ses positions et me considère clairement comme son assistante. Ils ont fait appeler l'IPR pour le mois prochain.
Je viens d'apprendre par mail que cette fois-ci c'est l'administration qui choisit de me mettre à l'écart d'un projet : c'est ma collègue qui va venir au CDI sur mes heures faire l'accueil des CM2, en ma présence. Clairement je jouerai le rôle de la plante verte toute une après-midi. Je suis une nouvelle fois en larmes au moment où je vous écris. Je ne comprends pas ce qu'on me reproche ni pourquoi ils n'ont pas refusé ma nomination au septembre si c'était pour en venir là. Je viens d'appeler l'ASL, un dossier est ouvert, la dame attend mon compte-rendu détaillé des faits.
Peux-tu permuter avec l'autre établissement pour la demi-journée avec les CM2, voire la journée complète si les deux étab sont trop loin. Ou carrément prendre cette demi-journée-là. Et tu récupèrerais dans l'étab moins sympa soit en permutant à nouveau avec la collègue (pas sympa) si elle veut récupérer sa demi-jour (ce serait quand même lui faire beaucoup d'honneurs, oublie cette trop aimable solution, qu'elle se démerde avec sa demi-journée de rab' non compensable en HSE...), soit en récupérant sur un mercredi matin (et là, bon point, le CDE serait aux anges que son CDI soit ouvert un mercredi) Honnêtement j'adopterais cette deuxième solution sans états d'âme aucun. Propose-le au principal, non, même pas, rempli directement une fiche de changement exceptionnel d'emploi du temps, "absence telle date de telle heure à telle heure", Motif : permutation Mme pour projet liaison CM2. Récupération proposée : mercredi suivant telle heure à telle heure.
Et basta. Tu déposes au secrétariat. Tu préviens juste la Vie Sco en passant que tu ouvres le CDI mercredi prochain. Et zou tu rentres chez toi. Et tu évites de faire plante verte le jour dit.
Au final on ne pourra rien te reprocher : pas besoin de deux docs pour le projet CM2, la titulaire fera très bien l'affaire toute seule, après tout ; et le CDI sera ouvert un mercredi matin, alleluhia :-)
Devant la bêtise, sois opportuniste et entre dans la brèche qu'ils ont ouverte ! Et bon courage mais ne te mets pas martel en tête et prend de la distance.
- pitchounetteExpert
BIen dit!DUMAC a écrit:Plus sérieusement, tu es contractuelle, fais le boulot qu'on te donne et basta!
Préserve-toi avant tout. (....).Toi d'abord, ensuite les autres.
Concentre-toi sur l'établissement qui te respecte et laisse couler jusqu'en juin dans le second.
courage :succes:
- petit-chatJe viens de m'inscrire !
labaroline a écrit:petit-chat a écrit:Je remonte ce topic. Merci à tous pour vos réponses, elles ont été très réconfortantes et m'ont fait beaucoup de bien.
Une réunion avec l'adjoint a été organisée, en pure perte, ma collègue persiste dans ses positions et me considère clairement comme son assistante. Ils ont fait appeler l'IPR pour le mois prochain.
Je viens d'apprendre par mail que cette fois-ci c'est l'administration qui choisit de me mettre à l'écart d'un projet : c'est ma collègue qui va venir au CDI sur mes heures faire l'accueil des CM2, en ma présence. Clairement je jouerai le rôle de la plante verte toute une après-midi. Je suis une nouvelle fois en larmes au moment où je vous écris. Je ne comprends pas ce qu'on me reproche ni pourquoi ils n'ont pas refusé ma nomination au septembre si c'était pour en venir là. Je viens d'appeler l'ASL, un dossier est ouvert, la dame attend mon compte-rendu détaillé des faits.
Peux-tu permuter avec l'autre établissement pour la demi-journée avec les CM2, voire la journée complète si les deux étab sont trop loin. Ou carrément prendre cette demi-journée-là. Et tu récupèrerais dans l'étab moins sympa soit en permutant à nouveau avec la collègue (pas sympa) si elle veut récupérer sa demi-jour (ce serait quand même lui faire beaucoup d'honneurs, oublie cette trop aimable solution, qu'elle se démerde avec sa demi-journée de rab' non compensable en HSE...), soit en récupérant sur un mercredi matin (et là, bon point, le CDE serait aux anges que son CDI soit ouvert un mercredi) Honnêtement j'adopterais cette deuxième solution sans états d'âme aucun. Propose-le au principal, non, même pas, rempli directement une fiche de changement exceptionnel d'emploi du temps, "absence telle date de telle heure à telle heure", Motif : permutation Mme pour projet liaison CM2. Récupération proposée : mercredi suivant telle heure à telle heure.
Et basta. Tu déposes au secrétariat. Tu préviens juste la Vie Sco en passant que tu ouvres le CDI mercredi prochain. Et zou tu rentres chez toi. Et tu évites de faire plante verte le jour dit.
Au final on ne pourra rien te reprocher : pas besoin de deux docs pour le projet CM2, la titulaire fera très bien l'affaire toute seule, après tout ; et le CDI sera ouvert un mercredi matin, alleluhia :-)
Devant la bêtise, sois opportuniste et entre dans la brèche qu'ils ont ouverte ! Et bon courage mais ne te mets pas martel en tête et prend de la distance.
Je te (et vous) remercie tous de vos messages. Pas possible de changer, je ne travaille pas sur les mêmes horaires dans les deux, et changer ca voudrait dire imposer des changements d'horaires à mon bébé qui est très petit et les évènements de ces derniers mois ont déjà suffisamment pesé, il ressentait ma nervosité, je ne veux pas qu'il y ait plus d'incidences sur son quotidien que ca n'en a déjà. Vivement la fin de l'année...
- contractuelle affectée sur deux établissements
- Harcèlement : tout se passe bien, et les établissements sont vigilants.
- Réforme : Comment ça se passe dans vos établissements (réunions, actions, etc) ?
- peut-on raconter sur internet ce qui se passe dans nos établissements?
- Pas TZR mais 2 etablissements : comment se passe les frais de transport ?
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