Page 2 sur 2 • 1, 2
- henrietteMédiateur
Mentalité de Prima Donna !
- EdgarNeoprof expérimenté
Il faudrait faire comme en Corée du Nord, recruter une claque pour les membres du gouvernement.
En même temps, ils font bien tous cela pour le prestige, il faut arrêter de raconter n'importe quoi. Gérer l'Etat est un moyen de mettre les projecteurs sur soi et gagner de la notoriété. Ils veulent plus que n'importe qui les honneurs aujourd'hui et la postérité demain; peu l'auront.
En même temps, ils font bien tous cela pour le prestige, il faut arrêter de raconter n'importe quoi. Gérer l'Etat est un moyen de mettre les projecteurs sur soi et gagner de la notoriété. Ils veulent plus que n'importe qui les honneurs aujourd'hui et la postérité demain; peu l'auront.
- CeladonDemi-dieu
Pauvre France. De quelque bord qu'on les prenne...
- User5899Demi-dieu
Ouais, n°3. Médaille de bronze, quoi. Le métal dont on fait les cloches.
Il n'a pourtant pas l'air airainté.
Il n'a pourtant pas l'air airainté.
- IphigénieProphète
juste sonné?Cripure a écrit:Ouais, n°3. Médaille de bronze, quoi. Le métal dont on fait les cloches.
Il n'a pourtant pas l'air airainté.
- MareuilNeoprof expérimenté
Ne l'appelez pas Vincent, par pitié, sinon Paul et les autres vont rappliquer !Olympias a écrit:John revenait il y a quelques jours sur cette réunion intitulée "Sortir de l'école de la défiance", où Libé et les deux invités ayant peu apprécié l'attitude de Peillon.
Brève du Figaro ce matin (page 41 du journal papier) intitulée "Vincent Peillon tient à rappeler qu'il est numéro 3 du gouvernement"
" Le ministre de l'Education nationale s'est vexé [non, sans blague ?? ]. Invité, la semaine dernière, par l'ESC de Paris à débattre autour du thème "Sortir de l'école de la défiance", Vincent Peillon s'est finalement défilé. Passant une tête dans l'amphithéâtre, le ministre s'est aperçu que seule une cinquantaine d'étudiants avait fait le déplacement, au lieu des quatre cents annoncés. Trop peu au goût de Vincent Peillon qui a annulé sa participation en se plaignant : "Je suis quand même le numéro trois du gouvernement ! ". Après Jean-Marc Ayrault et Laurent Fabius."
Mais il fallait nous prévenir, nous serions TOUS venus...Je crois que nos impôts paient (cher) des attachées de presse, conseillères com' et tutti quanti.... On serait venus, Vincent, pour te dire que le changement s'est maintenant, on l'attend toujours !!!!!!!!!! AU BOULOT !
- User5899Demi-dieu
Dont François...Mareuil a écrit:Ne l'appelez pas Vincent, par pitié, sinon Paul et les autres vont rappliquer !Olympias a écrit:John revenait il y a quelques jours sur cette réunion intitulée "Sortir de l'école de la défiance", où Libé et les deux invités ayant peu apprécié l'attitude de Peillon.
Brève du Figaro ce matin (page 41 du journal papier) intitulée "Vincent Peillon tient à rappeler qu'il est numéro 3 du gouvernement"
" Le ministre de l'Education nationale s'est vexé [non, sans blague ?? ]. Invité, la semaine dernière, par l'ESC de Paris à débattre autour du thème "Sortir de l'école de la défiance", Vincent Peillon s'est finalement défilé. Passant une tête dans l'amphithéâtre, le ministre s'est aperçu que seule une cinquantaine d'étudiants avait fait le déplacement, au lieu des quatre cents annoncés. Trop peu au goût de Vincent Peillon qui a annulé sa participation en se plaignant : "Je suis quand même le numéro trois du gouvernement ! ". Après Jean-Marc Ayrault et Laurent Fabius."
Mais il fallait nous prévenir, nous serions TOUS venus...Je crois que nos impôts paient (cher) des attachées de presse, conseillères com' et tutti quanti.... On serait venus, Vincent, pour te dire que le changement s'est maintenant, on l'attend toujours !!!!!!!!!! AU BOULOT !
Pourquoi tous les présidents socialistes s'appellent François ?
Desproges auraient eu une idée...
Voir ici, page 41
Page 2 sur 2 • 1, 2
- Critique des grandes écoles - Peter Gumbel sort un nouveau livre : Elite Academy
- Après Peter Gumbel, Antonella Verdiani critique l'école française... sans y avoir été élève ni enseignante.
- Ecoliers, collégiens, lycéens : bonheur ou galère ? avec Philippe Meirieu, Peter Gumbel et Caroline Brizard
- Peter Gumbel : "38 élèves ont obtenu 20 sur 20 au bac, soit 0,0058%. En Angleterre c’est 8% ! La moyenne fixée à 10/20 implique que la moitié de l'éventail des notes sont des notes d’échec."
- Libération : "Délégué, un rôle pas toujours très classe"
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum