- CondorcetOracle
Je connaissais mon directeur depuis la 1ère année... Je me demande si le fonctionnement en autarcie est si bon conseiller que cela...
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
PaoloSarpi a écrit:Je connaissais mon directeur depuis la 1ère année... Je me demande si le fonctionnement en autarcie est si bon conseiller que cela...
Mais dans ce cas, que faire? Même avec des inspecteurs, il y aura toujours des directeurs de recherches au caractère changeant. Et je me répète, mais qui pour inspecter?
- CondorcetOracle
Favoriser la mobilité universitaire/disciplinaire (les cursus bi/trivalents) parmi les étudiants. Les inspecteurs n'auraient pas une vocation coercitive ni ne serviraient de courroie de transmission politique comme dans le secondaire : ils joueraient le rôle d'agents d'information. Parmi les docteurs ayant poursuivi dans ou à l'extérieur des institutions académiques des recherches, le choix est large...
- User5899Demi-dieu
Deux cas particuliers comme cas d'école, à propos du recrutement.
Quand j'ai passé l'agrégation de lettres en 88, ma marraine était au jury. Quand j'ai passé mes oraux, elle s'est retirée des deux commissions auxquelles elle appartenanit. Rien que de très normal me semble-t-il.
21 ans plus tard. Un ami très proche, MCF, passe avec succès son habilitation à diriger des recherches et dans la foulée, demande sa qualification comme PU. Il ne prête pas attention à la composition de la (commission ? jury ?). Il est refusé à sa grande surprise. Se renseigne. Dans la (commission ? jury ?), une PU qui, pendant dix ans, suite à une querelle d'érudits via une revue, lui a envoyé des mails signés lui promettant de pourrir sa carrière. Il se renseigne encore : aucun recours possible, apparemment, à moins d'être tricard à vie. Il a loupé un très beau poste qu'il convoitait depuis longtemps et qu'il aurait eu.
Mafia.
Quand j'ai passé l'agrégation de lettres en 88, ma marraine était au jury. Quand j'ai passé mes oraux, elle s'est retirée des deux commissions auxquelles elle appartenanit. Rien que de très normal me semble-t-il.
21 ans plus tard. Un ami très proche, MCF, passe avec succès son habilitation à diriger des recherches et dans la foulée, demande sa qualification comme PU. Il ne prête pas attention à la composition de la (commission ? jury ?). Il est refusé à sa grande surprise. Se renseigne. Dans la (commission ? jury ?), une PU qui, pendant dix ans, suite à une querelle d'érudits via une revue, lui a envoyé des mails signés lui promettant de pourrir sa carrière. Il se renseigne encore : aucun recours possible, apparemment, à moins d'être tricard à vie. Il a loupé un très beau poste qu'il convoitait depuis longtemps et qu'il aurait eu.
Mafia.
- User5899Demi-dieu
Mais Marcel, je connais des gens très sérieux qui ont été inspectés récemment Une inspection ne constate pas nécessairement des manques.Marcel Khrouchtchev a écrit:le titre d'"inspecteur", qui en voudrait? Comment le donnerait-on? Ça me paraîtrait être une usine à gaz inutile et une provocation à l'égard des EC (car dans le lot, certains font bien leur travail, il faudrait quand même le rappeler).
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Cripure a écrit:Deux cas particuliers comme cas d'école, à propos du recrutement.
Quand j'ai passé l'agrégation de lettres en 88, ma marraine était au jury. Quand j'ai passé mes oraux, elle s'est retirée des deux commissions auxquelles elle appartenanit. Rien que de très normal me semble-t-il.
21 ans plus tard. Un ami très proche, MCF, passe avec succès son habilitation à diriger des recherches et dans la foulée, demande sa qualification comme PU. Il ne prête pas attention à la composition de la (commission ? jury ?). Il est refusé à sa grande surprise. Se renseigne. Dans la (commission ? jury ?), une PU qui, pendant dix ans, suite à une querelle d'érudits via une revue, lui a envoyé des mails signés lui promettant de pourrir sa carrière. Il se renseigne encore : aucun recours possible, apparemment, à moins d'être tricard à vie. Il a loupé un très beau poste qu'il convoitait depuis longtemps et qu'il aurait eu.
Mafia.
Cripure a écrit:Mais Marcel, je connais des gens très sérieux qui ont été inspectés récemment :PUne inspection ne constate pas nécessairement des manques.Marcel Khrouchtchev a écrit:le titre d'"inspecteur", qui en voudrait? Comment le donnerait-on? Ça me paraîtrait être une usine à gaz inutile et une provocation à l'égard des EC (car dans le lot, certains font bien leur travail, il faudrait quand même le rappeler).
Je suis bien d'accord avec vous Cripure, évidemment. Mais je ne vois vraiment aucune solution. Qui de vraiment neutre pour décider de la qualification? On ne peut la rendre anonyme, le monde de la recherche, surtout en lettres et SHS, est beaucoup trop petit. Des inspecteurs dans le supérieur ne feraient que constituer une nouvelle mafia, je crains que ce soit fatal.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Mon pessimisme ne signifie évidemment pas que je cautionne ce qui est arrivé dans le terrible cas que vous évoquez. Ce qui est effarant, c'est l'absence de possibilités de recours (alors que le nombre de dossiers doit quand même être limité) et l'impossibilité de faire constater objectivement que la dame en question a voulu sciemment bousiller la carrière qu'elle avait entre les mains pour des raisons illégitimes.
- User5899Demi-dieu
Rien que cela serait quand même un bon début...Marcel Khrouchtchev a écrit:Mon pessimisme ne signifie évidemment pas que je cautionne ce qui est arrivé dans le terrible cas que vous évoquez. Ce qui est effarant, c'est l'absence de possibilités de recours (alors que le nombre de dossiers doit quand même être limité) et l'impossibilité de faire constater objectivement que la dame en question a voulu sciemment bousiller la carrière qu'elle avait entre les mains pour des raisons illégitimes.
- e-WandererGrand sage
De quelle section du CNU relève ton ami, Cripure ?
Je ne sais pas comment cela se passe dans le cadre des sections Lettres Classiques (8e) ou Littérature comparée (10e), mais pour la 9e (Langue et littérature françaises), il y a systématiquement une double évaluation de chaque dossier de qualification. S'il y a un désaccord entre les deux rapporteurs (ou si une injustice manifeste est signalée par un collègue qui connaît le dossier : par exemple quelqu'un qui a siégé au jury, ou qui a déjà rapporté dessus lors d'une précédente session du CNU ou lors de commissions de spécialistes), il y a forcément discussion et ça peut aller jusqu'à un vote à bulletins secrets de l'ensemble de la commission : difficile de "pourrir" volontairement quelqu'un, ou alors il faut vraiment que la chose soit préméditée par un réseau et que le dossier ait de vrais points faibles. En tout cas, une personne, même chargée du rapport sur le dossier, ne peut pas faire à elle seule la pluie et le beau temps).
Il est d'ailleurs plus rare que les qualifications PU soient refusées : d'abord parce qu'il y a moins de candidatures fantaisistes ou hors profil que pour les MCF (par exemple des gens demandant une double qualif 7e/9e, 9e/10e, 9e/18e etc. alors que le profil 9e n'est pas bien établi). C'est arrivé qu'on refuse, mais il s'agissait pour tous les cas que j'ai vus de candidatures objectivement faibles (j'ai souvenir du cas d'une collègue qui a soutenu son HDR un peu tôt et son dossier était vraiment limite : elle a été qualifiée l'année suivante, après avoir un peu étoffé la chose. Plus souvent, il s'agit de collègues plus âgés, qui ont fait beaucoup d'administratif pendant 10 ou 15 ans, et qui décident de faire une HDR sur le tard : et forcément, ça peut coincer...).
D'autre part, un recours est toujours possible (c'est alors un comité restreint qui décide, composé si je ne m'abuse des membres du bureau de la section CNU concernée). Mais effectivement, ça doit tout de même faire rater une campagne, le temps que la procédure suive son cours.
Je ne sais pas comment cela se passe dans le cadre des sections Lettres Classiques (8e) ou Littérature comparée (10e), mais pour la 9e (Langue et littérature françaises), il y a systématiquement une double évaluation de chaque dossier de qualification. S'il y a un désaccord entre les deux rapporteurs (ou si une injustice manifeste est signalée par un collègue qui connaît le dossier : par exemple quelqu'un qui a siégé au jury, ou qui a déjà rapporté dessus lors d'une précédente session du CNU ou lors de commissions de spécialistes), il y a forcément discussion et ça peut aller jusqu'à un vote à bulletins secrets de l'ensemble de la commission : difficile de "pourrir" volontairement quelqu'un, ou alors il faut vraiment que la chose soit préméditée par un réseau et que le dossier ait de vrais points faibles. En tout cas, une personne, même chargée du rapport sur le dossier, ne peut pas faire à elle seule la pluie et le beau temps).
Il est d'ailleurs plus rare que les qualifications PU soient refusées : d'abord parce qu'il y a moins de candidatures fantaisistes ou hors profil que pour les MCF (par exemple des gens demandant une double qualif 7e/9e, 9e/10e, 9e/18e etc. alors que le profil 9e n'est pas bien établi). C'est arrivé qu'on refuse, mais il s'agissait pour tous les cas que j'ai vus de candidatures objectivement faibles (j'ai souvenir du cas d'une collègue qui a soutenu son HDR un peu tôt et son dossier était vraiment limite : elle a été qualifiée l'année suivante, après avoir un peu étoffé la chose. Plus souvent, il s'agit de collègues plus âgés, qui ont fait beaucoup d'administratif pendant 10 ou 15 ans, et qui décident de faire une HDR sur le tard : et forcément, ça peut coincer...).
D'autre part, un recours est toujours possible (c'est alors un comité restreint qui décide, composé si je ne m'abuse des membres du bureau de la section CNU concernée). Mais effectivement, ça doit tout de même faire rater une campagne, le temps que la procédure suive son cours.
- User5899Demi-dieu
eWanderer, il ne relève pas de ces sections et les recours n'ont pas été possibles à l'époque.
- Nom d'utilisateurNiveau 10
e-Wanderer a écrit:
Je ne sais pas comment cela se passe dans le cadre des sections Lettres Classiques (8e) ou Littérature comparée (10e), mais pour la 9e (Langue et littérature françaises), il y a systématiquement une double évaluation de chaque dossier de qualification.
La double expertise est la règle au CNU, dans les sections comme en "voie 3", je ne connais pas d'exceptions.
Cela ne garantit pas totalement contre les inimitiés ou le favoritisme : le milieu académique ne cultive pas l'anonymat, on lui en voudrait avec raison de le faire.
- User5899Demi-dieu
Il vous reste donc plein de découvertes passionnantes à faireNom d'utilisateur a écrit:e-Wanderer a écrit:
Je ne sais pas comment cela se passe dans le cadre des sections Lettres Classiques (8e) ou Littérature comparée (10e), mais pour la 9e (Langue et littérature françaises), il y a systématiquement une double évaluation de chaque dossier de qualification.
La double expertise est la règle au CNU, dans les sections comme en "voie 3", je ne connais pas d'exceptions.
- philannDoyen
Je ne vois pas bien en quoi la double-expertise est garaantie de quoi que ce soit!!
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
En theorie, les 2 rapporteurs ne se connaissent pas et pour la qualification du CNU l'un est PR l'autre MCF. De plus la compo de la section du CNU est 1/2 par nomination et 1/2 par élection...
_________________
CdB
@AbbeCordillere
- Nom d'utilisateurNiveau 10
Cripure a écrit:
Il vous reste donc plein de découvertes passionnantes à faire
Dites-nous donc quelle section du CNU ne pratique pas la double expertise, chiche.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Collier de Barbe a écrit:En theorie, les 2 rapporteurs ne se connaissent pas et pour la qualification du CNU l'un est PR l'autre MCF. De plus la compo de la section du CNU est 1/2 par nomination et 1/2 par élection...
Pour les qualifications de PR, les deux sont PR.
- User5899Demi-dieu
MPNom d'utilisateur a écrit:Dites-nous donc quelle section du CNU ne pratique pas la double expertise, chiche.Cripure a écrit:Il vous reste donc plein de découvertes passionnantes à faire
- Jiddu KrishnamurtiNiveau 5
Au-delà de toutes ces considérations, il y en a une pratique : un non-agrégé ne peut pas - théoriquement - enseigner dans le Master enseignement, ce qui dans certaines facs peut poser un pb.Marcel Khrouchtchev a écrit:
Sur l'agrégation: en histoire, que l'on prend en exemple ici et que je connais moins mal que les autres disciplines, il y a des dizaines de dossiers par poste. Si au cours de la sélection on départage tous les excellents chercheurs par l'agrégation, je ne vois vraiment pas le problème, au contraire. Il faut bien des critères quand c'est si tendu. Encore une fois, il n'est pas question de privilégier l'agrégation avant tout autre critère (c'est la recherche qui doit primer), mais entre deux excellentes thèses, appuyées par des articles solides et reconnus, si l'une des deux a été écrite par un agrégé et l'autre non, ce n'est pas scandaleux de prendre l'agrégation, ce qui garantira une solide culture générale (utile pour la partie enseignement, nécessairement moins pointue que la recherche).
- e-WandererGrand sage
Tout doit dépendre des disciplines : j'ai plusieurs collègues non-agrégés qui enseignent en Capes / agreg régulièrement. Pourquoi ne le pourraient-ils pas, si on les a jugés compétents en les recrutant comme MCF ou PU ? Et j'imagine que ce qui est encore assez occasionnel en Lettres doit être particulièrement fréquent en langues vivantes.
- Jiddu KrishnamurtiNiveau 5
Cela m'a toujours été présenté ainsi dans les 3 universités où je suis passé.e-Wanderer a écrit:Tout doit dépendre des disciplines : j'ai plusieurs collègues non-agrégés qui enseignent en Capes / agreg régulièrement. Pourquoi ne le pourraient-ils pas, si on les a jugés compétents en les recrutant comme MCF ou PU ? Et j'imagine que ce qui est encore assez occasionnel en Lettres doit être particulièrement fréquent en langues vivantes.
- e-WandererGrand sage
Disons que ce n'est pas illogique dans la mesure où nos concours d'enseignement à la française sont très particuliers, et il est toujours préférable d'en connaître la mécanique "de l'intérieur". C'est pourquoi on confie de préférence ces cours à des collègues qui connaissent la boutique. Mais il y a aussi d'excellents collègues qui par exemple ont fait leur cursus universitaire à l'étranger ou qui sont issus de disciplines sans agrégation (par exemple, on peut parfaitement confier un cours de grammaire-stylistique pour l'agrégation de LM à un spécialiste de linguistique).
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Ça me ferait bien rire: dans ma fac, c'est un prof qui n'était pas agrégé qui fait les CM de la prépa agreg. Et c'est très bien comme ça, il est le plus qualifié pour les faire.Jiddu Krishnamurti a écrit:Au-delà de toutes ces considérations, il y en a une pratique : un non-agrégé ne peut pas - théoriquement - enseigner dans le Master enseignement, ce qui dans certaines facs peut poser un pb.Marcel Khrouchtchev a écrit:
Sur l'agrégation: en histoire, que l'on prend en exemple ici et que je connais moins mal que les autres disciplines, il y a des dizaines de dossiers par poste. Si au cours de la sélection on départage tous les excellents chercheurs par l'agrégation, je ne vois vraiment pas le problème, au contraire. Il faut bien des critères quand c'est si tendu. Encore une fois, il n'est pas question de privilégier l'agrégation avant tout autre critère (c'est la recherche qui doit primer), mais entre deux excellentes thèses, appuyées par des articles solides et reconnus, si l'une des deux a été écrite par un agrégé et l'autre non, ce n'est pas scandaleux de prendre l'agrégation, ce qui garantira une solide culture générale (utile pour la partie enseignement, nécessairement moins pointue que la recherche).
- Jiddu KrishnamurtiNiveau 5
Qu'il fasse les cours dans un domaine bien précis, c'est une chose, mais si ce sont des cours de méthodo ou des oraux blancs, cela ne me semble pas pertinent.Marcel Khrouchtchev a écrit:Ça me ferait bien rire: dans ma fac, c'est un prof qui n'était pas agrégé qui fait les CM de la prépa agreg. Et c'est très bien comme ça, il est le plus qualifié pour les faire.Jiddu Krishnamurti a écrit:Au-delà de toutes ces considérations, il y en a une pratique : un non-agrégé ne peut pas - théoriquement - enseigner dans le Master enseignement, ce qui dans certaines facs peut poser un pb.Marcel Khrouchtchev a écrit:
Sur l'agrégation: en histoire, que l'on prend en exemple ici et que je connais moins mal que les autres disciplines, il y a des dizaines de dossiers par poste. Si au cours de la sélection on départage tous les excellents chercheurs par l'agrégation, je ne vois vraiment pas le problème, au contraire. Il faut bien des critères quand c'est si tendu. Encore une fois, il n'est pas question de privilégier l'agrégation avant tout autre critère (c'est la recherche qui doit primer), mais entre deux excellentes thèses, appuyées par des articles solides et reconnus, si l'une des deux a été écrite par un agrégé et l'autre non, ce n'est pas scandaleux de prendre l'agrégation, ce qui garantira une solide culture générale (utile pour la partie enseignement, nécessairement moins pointue que la recherche).
D'autant plus que les étudiants savent très bien les qualifications des profs et cela joue pas mal sur la crédibilité.
Quand j'ai passé mon agreg à la Sorbonne, il y avait un prof (en médiévale je crois) qui n'avait pas ses concours, il en prenait plein la gueule lors des pauses cafés :lol:
(bon, il faut dire qu'il mettait ses branches de lunettes dans son oreille puis dans sa bouche aussi)
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Quelle tristesse...Jiddu Krishnamurti a écrit:Quand j'ai passé mon agreg à la Sorbonne, il y avait un prof (en médiévale je crois) qui n'avait pas ses concours, il en prenait plein la gueule lors des pauses cafés :lol:
Juger avec tant de suffisance un enseignant qui, bien que n'étant pas agrégé, a été recruté à Paris IV, c'est vraiment lamentable. Pour être arrivé là où il est avec son parcours, c'est qu'il est bien plus talentueux que ses collègues. Seuls les étudiants de la Sorbonne, bouffis d'orgueil sans jamais avoir prouvé quoi que ce soit, ne s'en rendent pas compte.
Quelle tristesse....
- philannDoyen
Ce d'autant que Paris IV n'est pas réputé pour son caractère révolutionnaire. Les profs de Paris IV en ShS doivent pas être nombreux...
Il doit avoir de sacrées qualités !
Il doit avoir de sacrées qualités !
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- User5899Demi-dieu
Mon frère est au jury d'une agrégation sans être agrégé, et pour cause :pas d'agreg dans sa discipline.e-Wanderer a écrit:Disons que ce n'est pas illogique dans la mesure où nos concours d'enseignement à la française sont très particuliers, et il est toujours préférable d'en connaître la mécanique "de l'intérieur". C'est pourquoi on confie de préférence ces cours à des collègues qui connaissent la boutique. Mais il y a aussi d'excellents collègues qui par exemple ont fait leur cursus universitaire à l'étranger ou qui sont issus de disciplines sans agrégation (par exemple, on peut parfaitement confier un cours de grammaire-stylistique pour l'agrégation de LM à un spécialiste de linguistique).
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