Page 2 sur 2 • 1, 2
- KrokoEsprit éclairé
tout pareil, et pour moi ce n'est QUE la 1ere année. Et quand je me suis rendue compte qu'on a collé une stagiaire à la dernière minute dans le lycée à côté de chez moi ... la fille en question avait pris un an de report de stage, elle n'est ni pacsée, ni maman, ni rien, et hop, elle reste à Stras ... toi t'es pacsée, ben non, t'as qu'à dégager ... chouette.
snif.
snif.
- Crazy CowFidèle du forum
Moi je déprime parce que je dois vivre à 10 000 km de ma famille, mes amis.
Et je suis déjà bien déprimée alors si j'avais un conjoint loin de moi....
Et je suis déjà bien déprimée alors si j'avais un conjoint loin de moi....
_________________
We should never allow our fears or the expectations of others to set the frontiers of our destiny.
- aposiopèseNeoprof expérimenté
idem pour moi... Mon copain n'a pas réussi à trouver de travail dans ma région (j'ai un poste fixe vers DIeppe), au bout de 6 mois il a fini par postuler en région parisienne et a été embauché par une boîte de presta (il est ingénieur). Du coup, il travaille depuis juillet à Cergy mais ne sait pas où il sera nommé quand sa mission sera terminée (toujours en région parisienne, mais c'est vague), il a donc pris un minuscule appartement d'à peine 20m2 sans savoir combien de temps il va y habiter.
COmme nos familles habitent à peu près à mi-chemin, nous nous retrouvons tous les week-ends chez nos parents (ce qui est parfois un peu pesant), après avoir fait chacun 1h30 de route...
Le pire est que l'an prochain est toujours tout aussi incertain : je compte demander ma mutation vers Gisors pour me rapprocher de lui sans pour autant changer d'académie, mais je ne suis pas sûre du tout de l'obtenir ! Idem, rien ne nous dit que l'on pourra prendre un appartement tous les deux dans le coin si on l'envoie bosser plus loin et qu'il n'a toujours pas de voiture... J'avoue que je commence à déprimer, d'autant que beaucoup de mes amis habitent ensemble, se marient et ont des enfants !
COmme nos familles habitent à peu près à mi-chemin, nous nous retrouvons tous les week-ends chez nos parents (ce qui est parfois un peu pesant), après avoir fait chacun 1h30 de route...
Le pire est que l'an prochain est toujours tout aussi incertain : je compte demander ma mutation vers Gisors pour me rapprocher de lui sans pour autant changer d'académie, mais je ne suis pas sûre du tout de l'obtenir ! Idem, rien ne nous dit que l'on pourra prendre un appartement tous les deux dans le coin si on l'envoie bosser plus loin et qu'il n'a toujours pas de voiture... J'avoue que je commence à déprimer, d'autant que beaucoup de mes amis habitent ensemble, se marient et ont des enfants !
- Invité5Expert
CE qui me pèse aussi c'est de ne pas avoir d'amis autour de moi.
Parfois j'en ai marre de bosser, j'ai envie d'un ciné, d'un resto ou d'un café+discut' mais je suis tout le temps seule. Du coup je reste chez moi (sur néo). Moi qui avais une vie sociale très chargée quand j'étais étudiante ça me fout un sacré coup !
Parfois j'en ai marre de bosser, j'ai envie d'un ciné, d'un resto ou d'un café+discut' mais je suis tout le temps seule. Du coup je reste chez moi (sur néo). Moi qui avais une vie sociale très chargée quand j'étais étudiante ça me fout un sacré coup !
- ysabelDevin
Frisouille a écrit:Marcelle Duchamp a écrit:Je déprime aussi de ne pas vivre avec mon chéri...
J'enseigne en région parisienne depuis 2 ans et j'ai quitté Bordeaux où travaille mon chéri. Il est ingénieur et en CDI. Nous sommes pacsés mais malgré ça, je dois rester encore au minimum 2 ans loin de lui pour pouvoir espérer rentrer dans mon académie d'origine.
Et là, je sature.
Je n'arrive pas à envisager 2011 comme étant encore une année loin de lui...Nous nous voyons tous les week end (j'ai un budget train ahurissant!) mais cela me pèse.
Parallèlement à tout ça, je vois mes amis s'installer en couple, se marier, fonder des familles... J'ai l'impression que tout ça m'est interdit avant un long moment.
Si j'ai de la chance, je pourrais espérer revenir pour la rentrée 2013. Sinon, je ne sais pas comment faire... je ne sais pas si j'aurais la force d'attendre plus longtemps
Et demander une aca plus proche n'est pas possible ? J'imagine que tu t'es renseignée auprès d'un syndicat...?
Est-ce que ça vaut le coup de perdre tous ses points pour se rapprocher de 100/200 km ?
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Crazy CowFidèle du forum
Tinkerbell a écrit:CE qui me pèse aussi c'est de ne pas avoir d'amis autour de moi.
Parfois j'en ai marre de bosser, j'ai envie d'un ciné, d'un resto ou d'un café+discut' mais je suis tout le temps seule. Du coup je reste chez moi (sur néo). Moi qui avait une vie sociale très chargée quand j'étais étudiante ça me fout un sacré coup !
Pareil pour moi. On a déjà un boulot usant, alors la solitude en plus, c'est pire que tout!!!
_________________
We should never allow our fears or the expectations of others to set the frontiers of our destiny.
- KrokoEsprit éclairé
Tinkerbell a écrit:CE qui me pèse aussi c'est de ne pas avoir d'amis autour de moi.
Parfois j'en ai marre de bosser, j'ai envie d'un ciné, d'un resto ou d'un café+discut' mais je suis tout le temps seule. Du coup je reste chez moi (sur néo). Moi qui avais une vie sociale très chargée quand j'étais étudiante ça me fout un sacré coup !
+1
- Mona Lisa KlaxonEsprit éclairé
ça ne vous consolera pas, mais je crois que c'est le lot de pas mal d'entre nous dans les premières années du boulot. J'ai connu la même solitude, les séparations et les gros blues du dimanche soir sur les quais de gare... Après des années de sépa, j'ai obtenu une mutation, mais j'ai perdu tous les avantages que j'avais dans mon boulot (poste fixe, collègues sympas, etc). Du coup, rapprochée de mon conjoint, mais TZR et km au quotidien, statut galère, années pourries moralement... Il a fallu du temps pour que tout se rééquilibre. Maintenant, j'ai un poste fixe, un bahut sympa, une vie sociale (oui, oui, on réussit à la reconstruire!) et qq'1 dans mon lit tous les soirs! (et je vous en souhaite tout autant, le plus vite possible!!)
- Marcelle DuchampExpert spécialisé
Je vois que je ne suis pas la seule.
Ça me désespère de voir mes collègues lassés d'attendre une éventuelle mutation qui s'installent en région parisienne faute de pouvoir revenir dans leurs régions natales.
Moi, je ne rêve que de ça et je ne veux pas perdre espoir.
Effectivement, je souffre de solitude car rentrer chez moi tous les week end n'aide pas à la socialisation...
Du coup, pour passer le temps, je bosse, bosse et rebosse mes cours à fond (ou comme en ce moment, je me couche dès que je rentre!)
Tenter de me rapprocher dans une académie limitrophe ne me servirait à rien... L'académie de Bordeaux est trop vaste pour que cela devienne intéressant pour moi. En plus, en arts plastiques, il faut entre 350 et 600 points pour pouvoir y entrer donc autant ne pas perdre de points...
Là, je me rassure en me disant que je suis en poste fixe et que je n'aurais connu qu'un an le statut de TZR.
Mais... mon chéri me manque. J'ai l'impression de passer à côté de ma vie. J'adore mon métier mais ce côté là me déprime énormément.
Je me rends compte que je ne connais pas le quotidien de celui qui partage ma vie et je trouve ça très triste.
Ça me désespère de voir mes collègues lassés d'attendre une éventuelle mutation qui s'installent en région parisienne faute de pouvoir revenir dans leurs régions natales.
Moi, je ne rêve que de ça et je ne veux pas perdre espoir.
Effectivement, je souffre de solitude car rentrer chez moi tous les week end n'aide pas à la socialisation...
Du coup, pour passer le temps, je bosse, bosse et rebosse mes cours à fond (ou comme en ce moment, je me couche dès que je rentre!)
Tenter de me rapprocher dans une académie limitrophe ne me servirait à rien... L'académie de Bordeaux est trop vaste pour que cela devienne intéressant pour moi. En plus, en arts plastiques, il faut entre 350 et 600 points pour pouvoir y entrer donc autant ne pas perdre de points...
Là, je me rassure en me disant que je suis en poste fixe et que je n'aurais connu qu'un an le statut de TZR.
Mais... mon chéri me manque. J'ai l'impression de passer à côté de ma vie. J'adore mon métier mais ce côté là me déprime énormément.
Je me rends compte que je ne connais pas le quotidien de celui qui partage ma vie et je trouve ça très triste.
_________________
Je m’excuse par avance des fautes d’accord, de grammaire, de syntaxe et de conjugaison que je peux laisser passer dans mes écrits. Je suis aphasique suite à un AVC et je réapprends à écrire depuis presque 5 ans. J'ai un grand problème avec le subjonctif et le genre des mots!
- KrokoEsprit éclairé
Marcelle Duchamp a écrit:Je vois que je ne suis pas la seule.
Ça me désespère de voir mes collègues lassés d'attendre une éventuelle mutation qui s'installent en région parisienne faute de pouvoir revenir dans leurs régions natales.
Moi, je ne rêve que de ça et je ne veux pas perdre espoir.
Effectivement, je souffre de solitude car rentrer chez moi tous les week end n'aide pas à la socialisation...
Du coup, pour passer le temps, je bosse, bosse et rebosse mes cours à fond (ou comme en ce moment, je me couche dès que je rentre!)
Tenter de me rapprocher dans une académie limitrophe ne me servirait à rien... L'académie de Bordeaux est trop vaste pour que cela devienne intéressant pour moi. En plus, en arts plastiques, il faut entre 350 et 600 points pour pouvoir y entrer donc autant ne pas perdre de points...
Là, je me rassure en me disant que je suis en poste fixe et que je n'aurais connu qu'un an le statut de TZR.
Mais... mon chéri me manque. J'ai l'impression de passer à côté de ma vie. J'adore mon métier mais ce côté là me déprime énormément.
Je me rends compte que je ne connais pas le quotidien de celui qui partage ma vie et je trouve ça très triste.
je suis comme toi ...
- Marcelle DuchampExpert spécialisé
Allez courage Kroko! On va se serrer les coudes! On va y arriver!
_________________
Je m’excuse par avance des fautes d’accord, de grammaire, de syntaxe et de conjugaison que je peux laisser passer dans mes écrits. Je suis aphasique suite à un AVC et je réapprends à écrire depuis presque 5 ans. J'ai un grand problème avec le subjonctif et le genre des mots!
- Marcelle DuchampExpert spécialisé
Je vois qu'on a sensiblement le même âge et qu'on enseigne presque la même discipline. Je suppose que tu as les même galères pour muter là où tu voudrais.
Bref, je comprends ton "Humeur:morne"...
Bref, je comprends ton "Humeur:morne"...
_________________
Je m’excuse par avance des fautes d’accord, de grammaire, de syntaxe et de conjugaison que je peux laisser passer dans mes écrits. Je suis aphasique suite à un AVC et je réapprends à écrire depuis presque 5 ans. J'ai un grand problème avec le subjonctif et le genre des mots!
- KrokoEsprit éclairé
et oui, quasiment tout pareil ... les espoirs pour moi d'avoir Strasbourg sont très faibles, il me faudrait 2 enfants en fait.
Et comme je ne peux pas envisager de
1. faire un enfant pour des points
2. être enceinte à 300 bornes de mon chéri
ça semble compliqué.
Et comme je ne peux pas envisager de
1. faire un enfant pour des points
2. être enceinte à 300 bornes de mon chéri
ça semble compliqué.
- Marcelle DuchampExpert spécialisé
Évidement!
Inconcevable de faire un bébé quand le papa n'est pas là pour moi, de continuer à vivre dans un studio et de payer une nounou les yeux de la tête!
C'est pour ça que je me sens prise au piège...
Inconcevable de faire un bébé quand le papa n'est pas là pour moi, de continuer à vivre dans un studio et de payer une nounou les yeux de la tête!
C'est pour ça que je me sens prise au piège...
_________________
Je m’excuse par avance des fautes d’accord, de grammaire, de syntaxe et de conjugaison que je peux laisser passer dans mes écrits. Je suis aphasique suite à un AVC et je réapprends à écrire depuis presque 5 ans. J'ai un grand problème avec le subjonctif et le genre des mots!
Page 2 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum