séquence nouvelles réalistes et fantastiques qui doit ne pas durer plus de trois semaines

le truc impossible pour moi! je voudrais faire une mini-séquence de transition entre la parure (ma séquence 1) et Dracula (ma séquence 3) en introduisant le fantastique et approfondissant un peu l'étude de la nouvelle. donc mélanger deux trois nouvelles réalistes (ou une seule s'il faut... ils en auront déjà pas mal mangé avec la parure) et deux trois nouvelles fantastiques, voire une de S-F pour bien distinguer les deux genres (Matheson, Poe, etc)
ce serait une séquence basée essentiellement sur la lecture. avec quelques points de langue et un (ou deux) travail(aux) d'écriture, quand même. idéalement, elle devrait durer deux semaines.
svp svp... vous la mèneriez comment? je suis perdue

Donc, six nouvelles et deux ou trois genres en deux semaines, c'est ça ? Le prendras-tu mal si je te dis que ce n'est pas très réaliste ?
Puisque c'est impossible, selon tes propres dires, ne le fais pas, en tout cas pas comme ça. Il va falloir faire des choix, être moins ambitieuse... Si ton but est qu'ils découvrent en amont le genre fantastique avant de se concentrer sur une œuvre dense, Dracula, alors exit les nouvelles réalistes (ils ont déjà vu "La parure"). Pourquoi pas juste un GT (des extraits) permettant d'illustrer les différents thèmes du fantastique, et l'étude d'une nouvelle pour voir le doute dans la construction du récit, la double interprétation possible?

si, c'est sûr, c'est pas réaliste tes propositions sont intéressantes... il faut que j'admette que dans une année scolaire on ne peut pas tout voir! et ça c'est dur!!!!
mais merci

miss sophie a écrit:Pourquoi pas juste un GT (des extraits) permettant d'illustrer les différents thèmes du fantastique, et l'étude d'une nouvelle pour voir le doute dans la construction du récit, la double interprétation possible?

Cela me semble le plus raisonnable. On doit peut-être trouver une nouvelle (type nouvelles de Sternberg) extra-courte qui pourrait rentrer dans le GT. Je me souviens qu'il y avait de très bonnes nouvelles courtes à la fin de l'édition scolaire du Horla que j'avais élève (dont une dans une salle de cinéma ou le narrateur se retrouvait "dans le film" à regarder le public). Cela doit se trouver, ce genre de choses.