- InvitéInvité
Un extrait de la mise en scène de Benjamin Lazard.. avec prononciation à la Eugéne Green .. j'ai le dvd du Bourgeois qui est trés singulier comme Cadmus et Hermione.. Mais finalement trés dröle..
Là un extrait des femmes savantes lors du festival "éclat baroque" de 2008.... pub du ranelagh..
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je dis oui aux costumes qui nous change des tuniques des théâtres d'aujourd'hui où l'on refuse la couleur locale.. Mais je ne supporte pas la gestuelle et encore moins la langue à la Eugéne Green..;j'aime comprendre ce qui se dit.
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je dis oui aux costumes qui nous change des tuniques des théâtres d'aujourd'hui où l'on refuse la couleur locale.. Mais je ne supporte pas la gestuelle et encore moins la langue à la Eugéne Green..;j'aime comprendre ce qui se dit.
- helbellNiveau 3
Benjamin Lazar mène un travail remarquable et unique dans le théâtre français depuis des années. Il faut le voir sur scène, c'est une expérience incomparable : une véritable résurrection de l'esthétique baroque associant musique, décor, costumes... Il a en effet été l'élève d'Eugène Green mais ce serait vraiment dommage de ne retenir de son travail que l'exotisme de la déclamation et de la gestuelle, auquel on s'habitue en fait très rapidement en tant que spectateur. (Je veux dire VRAI spectateur, dans la salle avec des vrais gens, le bois des instruments qui résonnent et le parquet qui craque sous les pas des comédiens. Ce sont des spectacles qui ne passent pas du tout en DVD, malheureusement !)
- InvitéInvité
Ma tête de turc est évidemment Green mais Lazard est fascinant et un formidable comédien et metteur en scène. J'en convient.
- FreudignotNiveau 1
C'est très frontal et littéral, tout de même. La difficulté, c'est que, considérant qu'on ne peut même pas considérer comme authentique la prononciation, pas mal de l'intérêt devient discutable.
Mais je ne nie pas non plus le charme de l'exotisme qui fait redécouvrir les pièces, sonner voluptueusement le corps des mots, et bien sûr l'aspect La Tour de la scène avec l'éclairage à la bougie.
Mais je ne nie pas non plus le charme de l'exotisme qui fait redécouvrir les pièces, sonner voluptueusement le corps des mots, et bien sûr l'aspect La Tour de la scène avec l'éclairage à la bougie.
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