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- variaHabitué du forum
Merci Iphigénie, je regarderai ça plus tard, je le garde dans un coin de mon ordi !
- snowNiveau 9
varia a écrit:Mais comment doit alors se présenter un travail sur deux questions sur l'oeuvre ? une "mini-dissert" pour chacune des deux questions ?
Et pour l'édition de Lorenzaccio, il y a des consignes (ou conseils) ? Je n'en ai pas vu...
Pas d'indication précise pour une édition en particulier.
Les réponses aux 2 questions tendent à des mini-dissert effectivement. Ceci dit, les consignes de correction au bac sont tellement permissives qu'on nous a même demandé de ne pas sanctionner un élève qui fait une intro ultra courte, ou pas d'intro du tout.
- nuagesGrand sage
Et vous êtes tous convaincus de la profonde valeur de Zazie dans le métro et de la nécessité que cette oeuvre figure parmi les deux seules retenues dans le programme squelettique des études littéraires des élèves de TL?
- IphigénieProphète
Les choix des oeuvres étaient déjà discutable parfois lorsqu'il y en avait 4, alors avec 2....J'ai l'impression qu'il est plus guidé par la possibilité d'acheter les droits du film ou à sa disponibilité, qu'à la valeur de l'oeuvre....
- NLM76Grand Maître
2h / semaine ; deux dissert à faire en 2 heures, une œuvre de peu d'intérêt : j'ai dit autant me taper les STG.
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- User5899Demi-dieu
Ben, c'est-à-dire, après Tous les matins du monde, même Oui Oui et son gros chien Patouff nous aurait donné un peu de contenu...nuages a écrit:Et vous êtes tous convaincus de la profonde valeur de Zazie dans le métro et de la nécessité que cette oeuvre figure parmi les deux seules retenues dans le programme squelettique des études littéraires des élèves de TL?
Mais en effet, bon sang, pourquoi ne pas avoir reconduit Rabelais ? Que mange-t-on donc à la cantine des IG pour qu'ils soient aussi... Allez, tiens, je ne dis rien
NLM : Même raisonnement.
- IsidoriaDoyen
Vous me faites peur... j'ai commencé par les vacances et n'ai rien fait à part acheter les oeuvres...
Une petite question: on passe donc cinq mois sur l'un puis cinq mois sur l'autre?
Vous allez commencer par Lorenzaccio ce qui est le plus logique sur un plan chronologique?
Pffff j'ai la tête en vacances!!!
Une petite question: on passe donc cinq mois sur l'un puis cinq mois sur l'autre?
Vous allez commencer par Lorenzaccio ce qui est le plus logique sur un plan chronologique?
Pffff j'ai la tête en vacances!!!
- nuagesGrand sage
Sev2p1 a écrit:j'ai commencé par les vacances et n'ai rien fait à part acheter les oeuvres...
Une petite question: on passe donc cinq mois sur l'un puis cinq mois sur l'autre?
Vous allez commencer par Lorenzaccio ce qui est le plus logique sur un plan chronologique?
Pffff j'ai la tête en vacances!!!
idem: j'ai aussi simplement relu les oeuvres, je n'ai rien fait de plus, je suis en vacances et je commencerai par Lorenzaccio, oeuvre sur laquelle je passerai les 2/3 de l'année (car la profondeur de Zazie )
- HypermnestreÉrudit
De retour de vacances... merci pour vos réponses.
Enfin, votre réponse me rassure un peu quand même.
Quoique... j'ai lu une explication de la rengaine de Zazie (Napoléon mon c... ; snob mon c...) tout à fait délirante. Grand jeu : saurez-vous deviner pourquoi elle répète toujours cela ?
On va donc procéder à une analyse la plus exhaustive possible de l'oeuvre, comme avant, mais en se cassant juste un peu la tête pour que celle-ci corresponde aux trois verbes à l'inifinitifs du domaine d'études ? Cela n'aurait pas été plus simple de ne pas nous imposer ce triptyque et de nous laisser fair l'étude comme nous l'entendions ?iphigénie a écrit:il me semble que ça ne change pas grand chose:
pour Lorenzaccio, forcément qu'on parle du drame romantique, du caractère injouable du texte tel quel, de la mise en scène, de la révolution ratée et des échos historiques,etc ...et de George......
Enfin, votre réponse me rassure un peu quand même.
Peut-être cette impression de première lecture s'estompera au fur et à mesure de l'analyse de l'oeuvre ?...nuages a écrit:Et vous êtes tous convaincus de la profonde valeur de Zazie dans le métro et de la nécessité que cette oeuvre figure parmi les deux seules retenues dans le programme squelettique des études littéraires des élèves de TL?
Quoique... j'ai lu une explication de la rengaine de Zazie (Napoléon mon c... ; snob mon c...) tout à fait délirante. Grand jeu : saurez-vous deviner pourquoi elle répète toujours cela ?
- nuagesGrand sage
Hypermnestre, non, je ne vois pas d'explication subtile ( mon c..) à cette simple provocation irrévérencieuse et vulgaire: as-tu trouvé une étude qui en mette en valeur la symbolique novatrice, mon c.. ?
- HypermnestreÉrudit
Un indice : sous ta plume, cela n'est qu'irrévérencieux et vulgaire, mais chez RAYMOND QUENEAU, et seulement chez lui, on peut y lire autre chose...
- JohnMédiateur
Cul = le Q de Queneau ?
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- HypermnestreÉrudit
Bravo John !
Et le mon = la finale de RayMONd.
RayMOND Queneau...
Pour le critique, cette expression est donc l'occasion pour l'auteur d'inscrire en partie ses prénom et nom au sein de son propre texte...
De même que la veuve Mouaque (moi - que (= 'et' en latin) : "et moi".
Les critiques ne manquent pas d'imagination !
Et le mon = la finale de RayMONd.
RayMOND Queneau...
Pour le critique, cette expression est donc l'occasion pour l'auteur d'inscrire en partie ses prénom et nom au sein de son propre texte...
De même que la veuve Mouaque (moi - que (= 'et' en latin) : "et moi".
Les critiques ne manquent pas d'imagination !
- User5899Demi-dieu
On avait déjà eu droit, pour Fin de partie, à :hypermnestre a écrit:Bravo John !
Et le mon = la finale de RayMONd.
RayMOND Queneau...
Pour le critique, cette expression est donc l'occasion pour l'auteur d'inscrire en partie ses prénom et nom au sein de son propre texte...
De même que la veuve Mouaque (moi - que (= 'et' en latin) : "et moi".
Les critiques ne manquent pas d'imagination !
HAM : A.... (baille) A moi.
(Ham, moi)...
Ca change tout...
- JohnMédiateur
Eh ben heureusement qu'il n'a pas voulu caser en plus la première syllabe de son prénom...Cul = le Q de Queneau ?
Et le mon = la finale de RayMONd.
RayMOND Queneau...
- Spoiler:
- Encore que, si j'ai bien compris, l'expression "mon cul !" pourrait très bien aussi y être une allusion...
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- sandGuide spirituel
Ce topic me console de ma nuit blanche !
- chachaNiveau 7
Eclat de rire du jour grâce à vous, merci !
- HypermnestreÉrudit
J'ai bien ri aussi... après tout, pourquoi pas ? Vite John, publiez un article !
- JohnMédiateur
Vous y découvrez aussi, grâce à ces preuves linguistiques irréfutables, que Raymond Queneau est forcément le scénariste caché du fameux film de Robert Thomas avec Paul Préboist : Mon curé chez les nudistes !hypermnestre a écrit:J'ai bien ri aussi... après tout, pourquoi pas ? Vite John, publiez un article !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mon_cur%C3%A9_chez_les_nudistes
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- User5899Demi-dieu
John a écrit:Vous y découvrez aussi, grâce à ces preuves linguistiques irréfutables, que Raymond Queneau est forcément le scénariste caché du fameux film de Robert Thomas avec Paul Préboist : Mon curé chez les nudistes !hypermnestre a écrit:J'ai bien ri aussi... après tout, pourquoi pas ? Vite John, publiez un article !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mon_cur%C3%A9_chez_les_nudistes
Ca me rappelle un truc de 2001...
- snowNiveau 9
Hier soir j'ai regardé le film de Louis Malle pour la 1e fois.
J'ai beaucoup ri au début, plusieurs scènes m'ont vraiment plu. Mais alors le dernier quart d'heure :shock:
J'imagine la tête des TL, en plein amphi, devant un truc aussi foutraque.
Enfin bon, vu que comme Zazie, je suis prof pour faire chier les mômes, je savoure d'avance.
J'ai beaucoup ri au début, plusieurs scènes m'ont vraiment plu. Mais alors le dernier quart d'heure :shock:
J'imagine la tête des TL, en plein amphi, devant un truc aussi foutraque.
Enfin bon, vu que comme Zazie, je suis prof pour faire chier les mômes, je savoure d'avance.
- snowNiveau 9
Toujours au sujet du fameux "mon cul": qualifié de "clausule zazique" :lol: dans l'analyse de Roland Barthes. (j'ai la critique en intégralité pour ceux qui sont intéressés)
"Un procédé nouveau de dérision, qu'on a beaucoup remarqué, c'est cette clausule vigoureuse dont la jeune Zazie affecte gracieusement (c'est-à-dire tyranniquement) la plupart des affirmations proférées par les grandes personnes qui l'entourent (Napoléon mon cul) ; la phrase du Perroquet (Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire) appartient à peu près à la même technique du dégonflage. Mais ce qui est ici dégonflé, ce n'est pas tout le langage; se conformant aux plus savantes définitions de la logistique, Zazie distingue très bien le langage-objet du méta-langage. Le langage-objet, c'est le langage qui se fonde dans l'action même, qui agit les choses, c'est le premier langage transitif, celui dont on peut parler mais qui lui-même transforme plus qu'il ne parle. C'est exactement dans ce langage-objet que vit Zazie, ce n'est donc jamais lui qu'elle distance ou détruit. Ce que Zazie parle, c'est le contact transitif du réel : Zazie veut son cola-cola, son blue-jean, son métro, elle ne parle que l'impératif, et c'est pour cela que son langage est à l'abri de toute dérision.
Et c'est de ce langage-objet que Zazie émerge, de temps à autre, pour fixer de sa clausule assassine le méta-langage des grandes personnes. Ce méta-langage est celui dont on parle, non pas les choses, mais à propos des choses. C'est un langage parasite, immobile, de fond sentencieux, qui double l'acte comme la mouche accompagne le coche; Ce méta-langage développe autour de la lettre du discours un sens complémentaire, éthique, ou plaintif, ou sentimental, ou magistral, etc.; bref, c'est un chant : on reconnaît en lui l'être même de la Littérature.
La clausule zazique vise donc très exactement ce méta-langage littéraire. Pour Queneau, la Littérature est une catégorie de parole, donc d'existence, qui concerne toute l'humanité. Sans doute, on l'a vu, une bonne part du roman est jeu de spécialiste. Pourtant, ce ne sont pas les fabricateurs de romans qui sont en cause; le chauffeur de taxi, le danseur de charme, le bistrot, le cordonnier, le peuple des attroupements de rue, tout ce monde réel (la réalité d'un langage emporte une socialité exacte) plonge sa parole dans les grandes formes littéraires, vit ses rapports et ses fins par la procuration même de la Littérature. Ce n'est pas le « peuple », aux yeux de Queneau, qui possède la littéralité utopique du langage; c'est Zazie (d'où probablement le sens profond du rôle), c'est-à-dire un être irréel, magique, faustien, puisqu'il est contraction surhumaine de l'enfance et de la maturité, du « Je suis jeune, hors du monde des adultes » et du « J'ai énormément vécu ». L'innocence de Zazie n'est pas fraîcheur, virginité fragile, valeurs qui ne pourraient appartenir qu'au méta-langage romantique ou édifiant : elle est refus du langage chanté, science du langage transitif; Zazie circule dans son roman à la façon d'un génie ménager, sa fonction est hygiénique, contre-mythique : elle rappelle à l'ordre."
"Un procédé nouveau de dérision, qu'on a beaucoup remarqué, c'est cette clausule vigoureuse dont la jeune Zazie affecte gracieusement (c'est-à-dire tyranniquement) la plupart des affirmations proférées par les grandes personnes qui l'entourent (Napoléon mon cul) ; la phrase du Perroquet (Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire) appartient à peu près à la même technique du dégonflage. Mais ce qui est ici dégonflé, ce n'est pas tout le langage; se conformant aux plus savantes définitions de la logistique, Zazie distingue très bien le langage-objet du méta-langage. Le langage-objet, c'est le langage qui se fonde dans l'action même, qui agit les choses, c'est le premier langage transitif, celui dont on peut parler mais qui lui-même transforme plus qu'il ne parle. C'est exactement dans ce langage-objet que vit Zazie, ce n'est donc jamais lui qu'elle distance ou détruit. Ce que Zazie parle, c'est le contact transitif du réel : Zazie veut son cola-cola, son blue-jean, son métro, elle ne parle que l'impératif, et c'est pour cela que son langage est à l'abri de toute dérision.
Et c'est de ce langage-objet que Zazie émerge, de temps à autre, pour fixer de sa clausule assassine le méta-langage des grandes personnes. Ce méta-langage est celui dont on parle, non pas les choses, mais à propos des choses. C'est un langage parasite, immobile, de fond sentencieux, qui double l'acte comme la mouche accompagne le coche; Ce méta-langage développe autour de la lettre du discours un sens complémentaire, éthique, ou plaintif, ou sentimental, ou magistral, etc.; bref, c'est un chant : on reconnaît en lui l'être même de la Littérature.
La clausule zazique vise donc très exactement ce méta-langage littéraire. Pour Queneau, la Littérature est une catégorie de parole, donc d'existence, qui concerne toute l'humanité. Sans doute, on l'a vu, une bonne part du roman est jeu de spécialiste. Pourtant, ce ne sont pas les fabricateurs de romans qui sont en cause; le chauffeur de taxi, le danseur de charme, le bistrot, le cordonnier, le peuple des attroupements de rue, tout ce monde réel (la réalité d'un langage emporte une socialité exacte) plonge sa parole dans les grandes formes littéraires, vit ses rapports et ses fins par la procuration même de la Littérature. Ce n'est pas le « peuple », aux yeux de Queneau, qui possède la littéralité utopique du langage; c'est Zazie (d'où probablement le sens profond du rôle), c'est-à-dire un être irréel, magique, faustien, puisqu'il est contraction surhumaine de l'enfance et de la maturité, du « Je suis jeune, hors du monde des adultes » et du « J'ai énormément vécu ». L'innocence de Zazie n'est pas fraîcheur, virginité fragile, valeurs qui ne pourraient appartenir qu'au méta-langage romantique ou édifiant : elle est refus du langage chanté, science du langage transitif; Zazie circule dans son roman à la façon d'un génie ménager, sa fonction est hygiénique, contre-mythique : elle rappelle à l'ordre."
- HypermnestreÉrudit
Je reviens sur ce problème : voici les trois axes que l'on nous demande de développer, d'après les programmes :Cripure a écrit:Voilà, le vrai problème est là. Si ça doit aboutir à deux questions sur Lorenzaccio, type "Comment l'intrigue Cibo se joint-elle à l'économie générale de la pièce ?" et "Diriez-vous que l'action principale de Lorenzaccio est de libérer Florence ?", ils vont rigoler, ceux qui auront bossé les théories de la réception...hypermnestre a écrit:et frustrant, et absurde... Je ne vois pas du tout comment faire... ni à quoi ressembleront les sujets...iphigénie a écrit:c'est sûr qu'étudier les sources, l'intertextualité et la publication, sans étudier l'oeuvre, c'est ballot :lol:
- une oeuvre théâtrale rendue publique sous forme livresque,
- le détour par l'Italie renaissante pour parler à et de la France d'après 1830,
- une pièce finissant par connaître tardivement la représentation (...).
Cela permet certes de voir avec les élèves de nombreux aspects de l'oeuvre... mais pas tous, loin s'en faut ! Laquelle de ces entrées permet d'aborder, par exemple, l'intrigue Cibo, la débauche, la personnalité de Lorenzo... ? Bref, la distance qu'a prise Musset avec ses sources ?
Je continue à trouver ces formulations restrictives (et inutilement contraignantes).
- snowNiveau 9
Je pense que la distance par rapport aux sources s'insère parfaitement dans le programme: "Lire-écrire-publier".
- HypermnestreÉrudit
Merci. Si les sources et ce qu'en fait Musset correspondent à "écrire", que recouvre "lire" en ce cas ?
- User5899Demi-dieu
Je trouve personnellement que c'est diablement tiré par les cheveux, que ce recyclage de la partie honnie de l'ancien programme de seconde est une sorte de baffe donnée aux collègues et que, si l'on avait vraiment tenu à ce que cet angle du programme soit étudié, il y avait des dizaines d'oeuvres plus représentatives.snow a écrit:Je pense que la distance par rapport aux sources s'insère parfaitement dans le programme: "Lire-écrire-publier".
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