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- LefterisEsprit sacré
Dugong a écrit:Les filles seraient plus orientées vers le concret et le palpable
.
" Tron de diou" :shock: , comme disait le capitaine Pamphile.
J'ai cru que c'était des mamelles au premier coup d'oeil ...
Duos habet, et bene pendentes
- Fesseur ProGuide spirituel
Des gens ont été payés pour ça.
C'est des sacrés malins quand même.
C'est des sacrés malins quand même.
_________________
Pourvu que ça dure...
- philannDoyen
Ceci dit l'Europe est coutumière des clips-ratés-coûtant-une-fortune!
Avant le clip machiste, le clip raciste à la kill bill
Y en a qui sont chers payés comparés à nous... http://tempsreel.nouvelobs.com/video/20120309.OBS3403/un-spot-de-l-union-europeenne-blame-pour-racisme.html
Avant le clip machiste, le clip raciste à la kill bill
Y en a qui sont chers payés comparés à nous... http://tempsreel.nouvelobs.com/video/20120309.OBS3403/un-spot-de-l-union-europeenne-blame-pour-racisme.html
- *Lady of Shalott*Fidèle du forum
J'ai regardé le clip raciste et le clip pétasse (c'était ça ou bosser). Le clip pétasse fille qu'elle kiffe trop les sciences, han est nettement plus crétin, à mon avis. Hum... y a des marrants à l'UE. Peut-être qu'ils font un concours de clips débiles, pour changer de l'Eurovision ? Peut-être que c'est une manoeuvre de diversion pour nous faire oublier la crise ?
- Le grincheuxSage
mel93 a écrit:C'est d'autant plus absurde comme campagne que j'ai lu récemment dans un bouquin de Françoise Héritier (saine lecture que je recommande) que les femmes représentaient 55% des diplomés en 3ème cycle en recherche industrielle et 42% en sciences, informatique et mathématiques en Europe mais qu'elles ne représentent que 15% des chercheurs dans ces domaines, le problème ne vient pas des femmes, mais des recruteurs.
Pour avoir été recruteur il y a quelques années (justement pour un laboratoire de recherche), j'aurais une nette tendance à dire que ce n'est pas que la faute des recruteurs. C'est un peu facile de leur mettre tout sur le dos. Il y a effectivement des recruteurs qui sont des crétins invétérés mais ils sont en voie d'extinction. Il faudrait surtout voir les conditions de travail qu'il y a dans la recherche appliquée ou fondamentale, conditions largement plus facilement acceptées par un homme que par une femme. Je ne dis pas que c'est bien ou mal, simplement que c'est comme ça.
_________________
Le carnet du Grincheux, Chroniques de misanthropie ordinaire
http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr/
Ma vie, mon œuvre
http://www.systella.fr/
- DugongNiveau 8
On en est à un point tel que le problème n'est déjà plus de "convaincre les filles d'étudier la science" mais de convaincre garçons, filles et divers de le faire.
Ainsi, en maths, Cedric Villani vient de se fendre d'un point de vue sur le thème de la "mathémédiatique", suite à une interview dans Télérama intitulé "Je suis la Lady Gaga des Maths" :
Extrait : "D’ailleurs il ne faut pas s’y tromper : le plus grave souci de notre communauté en ce moment, ce ne sont ni les soucis budgétaires, ni les réformes en cours, ni les questions agaçantes des journalistes, mais bien la perte de popularité de notre métier, et la disparition accélérée de nos étudiants et de nos enseignants, qui compromet tout l’édifice de la recherche et de l’enseignement supérieur. Pour y remédier, seul un message positif pourra aboutir. Parler davantage de science sur la scène publique ne sera probablement pas une condition suffisante pour enrayer la chute des vocations, mais ce sera certainement une condition nécessaire. Ce qui veut dire qu’il nous faut nouer des relations directes et durables avec le public et les médias."
http://smf4.emath.fr/Publications/Gazette/Nouveautes/smf_gazette_133_129-132.pdf
Ainsi, en maths, Cedric Villani vient de se fendre d'un point de vue sur le thème de la "mathémédiatique", suite à une interview dans Télérama intitulé "Je suis la Lady Gaga des Maths" :
Extrait : "D’ailleurs il ne faut pas s’y tromper : le plus grave souci de notre communauté en ce moment, ce ne sont ni les soucis budgétaires, ni les réformes en cours, ni les questions agaçantes des journalistes, mais bien la perte de popularité de notre métier, et la disparition accélérée de nos étudiants et de nos enseignants, qui compromet tout l’édifice de la recherche et de l’enseignement supérieur. Pour y remédier, seul un message positif pourra aboutir. Parler davantage de science sur la scène publique ne sera probablement pas une condition suffisante pour enrayer la chute des vocations, mais ce sera certainement une condition nécessaire. Ce qui veut dire qu’il nous faut nouer des relations directes et durables avec le public et les médias."
http://smf4.emath.fr/Publications/Gazette/Nouveautes/smf_gazette_133_129-132.pdf
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