- KikiHabitué du forum
Je ne trouve pas le sujet sur le net. Quelqu'un l'a-t-il ? C'est un texte fantastique je crois.
- vigaNeoprof expérimenté
extrait de la cafetiere de Gautier
moment où le narrateur est dans la chambre
on bascule du cadre réaliste au fantastique
moment où le narrateur est dans la chambre
on bascule du cadre réaliste au fantastique
- A TuinVénérable
Est-ce que quelqu'un pourrait me scanner ce sujet professionnel ? Ce serait sympa ! Cette année je n'ai pas corrigé car j'étais en congé maternité.
Je peux échanger avec le sujet et corrigé du DNB professionnel de l'an dernier dont je dispose par exemple, si vous n'avez pas.
Je peux échanger avec le sujet et corrigé du DNB professionnel de l'an dernier dont je dispose par exemple, si vous n'avez pas.
- plumedairNiveau 9
Kiki a écrit:Je ne trouve pas le sujet sur le net. Quelqu'un l'a-t-il ? C'est un texte fantastique je crois.
J'étais aussi en train de chercher!
- plumedairNiveau 9
Et moi aussi cela m'intéresserait, please!
Je corrige lundi et mardi...
Je corrige lundi et mardi...
- vigaNeoprof expérimenté
là, je ne peux pas vous aider car je n'ai pas emporté d'exemplaire...
- Melyne5Fidèle du forum
SESSION 2012
FRANÇAIS
Séries Technologique et Professionnelle
Coefficient : 2
Première partie : 1 h 30
‑ Questions (15 points) et réécriture (5 points) 1 h 15
‑ Dictée (5 points) 15 minutes
Deuxième partie : 1 h 30
‑ Rédaction (15 points)
L'usage de la calculatrice et de tout document est interdit.
Pour la deuxième partie (rédaction), l'usage d'un dictionnaire de langue française est autorisé.
Invité chez des amis à passer quelques jours en Normandie, le narrateur, après une longue marche sous la pluie, découvre leur maison.
Rien n'était dérangé. La toilette couverte de boîtes à peignes, de houppes à poudrer1, paraissait
avoir servi la veille. Deux ou trois robes de couleurs changeantes, un éventail semé de
paillettes d'argent, jonchaient le parquet bien ciré, et, à mon grand étonnement, une tabatière d'écaille ouverte sur la cheminée était pleine de tabac encore frais.
Je ne remarquai ces choses qu'après que le domestique, déposant son bougeoir sur la table de
nuit, m'eut souhaité un bon somme, et, je l'avoue, je commençai à trembler comme la feuille. Je
me déshabillai promptement, je me couchai, et, pour en finir avec ces sottes frayeurs, je fermai bientôt les yeux en me tournant du côté de la muraille.
Mais il me fut impossible de rester dans cette position : le lit s'agitait sous moi comme une
vague, mes paupières se retiraient violemment en arrière. Force me fut de me retourner et de
voir.
Le feu qui flambait jetait des reflets rougeâtres dans l'appartement, de sorte qu'on pouvait sans peine distinguer les personnages de la tapisserie et les figures des portraits enfumés pendus à
la muraille.
C'étaient les aïeux de notre hôte2, des chevaliers bardés de fer, des conseillers en perruque, et
de belles dames au visage fardé et aux cheveux poudrés à blanc, tenant une rose à la main.
Tout à coup le feu prit un étrange degré d'activité ; une lueur blafarde illumina la chambre, et je
vis clairement que ce que j'avais pris pour de vaines peintures était la réalité ; car les prunelles
de ces êtres encadrés remuaient, scintillaient d'une façon singulière ; leurs lèvres s'ouvraient et
se fermaient comme des lèvres de gens qui parlent, mais je n'entendais rien que le tic‑tac de la pendule et le sifflement de la bise3 d'automne.
Une terreur insurmontable s'empara de moi, mes cheveux se hérissèrent sur mon front, mes
dents s'entrechoquèrent à se briser, une sueur froide inonda tout mon corps.
La pendule sonna onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu'il fut éteint tout à fait...
Oh ! non, je n'ose pas dire ce qui arriva, personne ne me croirait, et l'on me prendrait pour un
fou.
Théophile GAUTIER, Contes fantastiques, « La Cafetière » (1831).
1. Houppes à poudrer (ligne 1) : accessoires de maquillage
2. Les aïeux de notre hôte (ligne 15) : les ancêtres de notre ami
3. La bise (ligne 21) : petit vent froid
Première partie : Questions ‑ Réécriture ‑ Dictée 25 points
QUESTIONS (15 points)
Toutes vos réponses devront être rédigées.
I ‑ Un cadre réaliste 7 points
1. a) Quel pronom désigne le narrateur ? 1 point
b) Quel effet cherche à produire l'auteur sur le lecteur en utilisant ce pronom ? 1 point
2. Où se trouve précisément le narrateur ?
Justifiez votre réponse en citant le texte. 2 points
3. a) Quels objets constituent le décor de la pièce ?
Citez‑les (au moins quatre éléments attendus). 1 point
b) Comment évoluent les sentiments du narrateur dans les deux premiers paragraphes ? 1point
c) Ligne 7, pourquoi le narrateur parle‑t‑il de « sottes frayeurs » ? 1 point
II ‑ Le basculement dans le fantastique 8 points
4. Lignes 9‑10, « le lit s'agitait sous moi comme une vague » : nommez et expliquez la figure de style. 2 points
5. a) Comment le décor se transforme‑t‑il ? 1 point
b) Qualifiez l'atmosphère dans la pièce. Justifiez votre réponse. 1 point
6. Comment se manifeste physiquement la peur du narrateur ?
Justifiez votre réponse par deux éléments du texte. 1 point
7. Ligne 12 : « des reflets rougeâtres ».
Analysez la construction du mot « rougeâtres » . 1 point
8. Relisez la dernière phrase du texte et expliquez « on me prendrait pour un fou ». 2 points
RÉÉCRITURE (5 points)
1. Lignes 9 à 11 : « Mais il me fut impossible de rester dans cette position : le lit s'agitait sous moi comme une vague, mes paupières se retiraient violemment en arrière. Force me fut de me retourner et de voir. »
Réécrivez ce passage à la troisième personne du singulier.
2. Lignes 22‑24 : « Une terreur insurmontable s'empara de moi, mes cheveux se hérissèrent sur mon front, mes dents s'entrechoquèrent à se briser, une sueur froide inonda tout mon corps. La pendule sonna onze heures. »
Réécrivez ce passage au présent de l'indicatif.
DICTÉE (5 points)
Consignes pour la dictée à l'attention du surveillant‑lecteur :
On fera faire la dictée le dernier quart d'heure de la première partie.
Lors de la dictée, on procédera successivement :
1) à une lecture préalable, lente et bien articulée du texte ;
2) à la dictée effective du texte, en précisant la ponctuation et en marquant les liaisons ;
3) à la relecture, sans préciser cette fois‑ci la ponctuation mais en marquant toujours les liaisons. À l'issue de cette relecture, on transcrira lisiblement au tableau le nom de l'auteur et le titre Contes Fantastiques, La Cafetière.
On demandera aux candidats d'écrire une ligne sur deux.
On ne répondra pas aux questions éventuelles des candidats après la relecture du texte : ils en seront avertis avant cette relecture.
On notera au tableau « Japon ».
Ces dignes personnages s'assirent ; la cafetière sauta légèrement sur la table. Ils prirent le café dans des tasses du Japon blanches et bleues, chacune d'elles munie d'un morceau de sucre et d'une petite cuiller d'argent.
D'après Théophile Gautier, Contes Fantastiques, « La Cafetière » (1831).
Deuxième partie : Rédaction 15 points
Vous traiterez au choix l'un des deux sujets suivants.
L'utilisation d'un dictionnaire de langue française est autorisée.
1) Sujet d'imagination
Un personnage effrayant sort de la tapisserie ou des tableaux et s'anime à son tour. Rédigez une description organisée en une vingtaine de lignes. Votre texte commencera par : « Il était onze heures onze ... ».
Vous veillerez au respect des règles d'orthographe, de grammaire et de présentation.
2) Sujet de réflexion
Beaucoup de jeunes aiment les histoires fantastiques (films, livres, jeux vidéo, etc.). Vous expliquerez, en une vingtaine de lignes, les raisons de cette attirance en vous appuyant sur des exemples précis.
Vous veillerez au respect des règles d'orthographe, de grammaire et de présentation.
FRANÇAIS
Séries Technologique et Professionnelle
Coefficient : 2
Première partie : 1 h 30
‑ Questions (15 points) et réécriture (5 points) 1 h 15
‑ Dictée (5 points) 15 minutes
Deuxième partie : 1 h 30
‑ Rédaction (15 points)
L'usage de la calculatrice et de tout document est interdit.
Pour la deuxième partie (rédaction), l'usage d'un dictionnaire de langue française est autorisé.
Invité chez des amis à passer quelques jours en Normandie, le narrateur, après une longue marche sous la pluie, découvre leur maison.
Rien n'était dérangé. La toilette couverte de boîtes à peignes, de houppes à poudrer1, paraissait
avoir servi la veille. Deux ou trois robes de couleurs changeantes, un éventail semé de
paillettes d'argent, jonchaient le parquet bien ciré, et, à mon grand étonnement, une tabatière d'écaille ouverte sur la cheminée était pleine de tabac encore frais.
Je ne remarquai ces choses qu'après que le domestique, déposant son bougeoir sur la table de
nuit, m'eut souhaité un bon somme, et, je l'avoue, je commençai à trembler comme la feuille. Je
me déshabillai promptement, je me couchai, et, pour en finir avec ces sottes frayeurs, je fermai bientôt les yeux en me tournant du côté de la muraille.
Mais il me fut impossible de rester dans cette position : le lit s'agitait sous moi comme une
vague, mes paupières se retiraient violemment en arrière. Force me fut de me retourner et de
voir.
Le feu qui flambait jetait des reflets rougeâtres dans l'appartement, de sorte qu'on pouvait sans peine distinguer les personnages de la tapisserie et les figures des portraits enfumés pendus à
la muraille.
C'étaient les aïeux de notre hôte2, des chevaliers bardés de fer, des conseillers en perruque, et
de belles dames au visage fardé et aux cheveux poudrés à blanc, tenant une rose à la main.
Tout à coup le feu prit un étrange degré d'activité ; une lueur blafarde illumina la chambre, et je
vis clairement que ce que j'avais pris pour de vaines peintures était la réalité ; car les prunelles
de ces êtres encadrés remuaient, scintillaient d'une façon singulière ; leurs lèvres s'ouvraient et
se fermaient comme des lèvres de gens qui parlent, mais je n'entendais rien que le tic‑tac de la pendule et le sifflement de la bise3 d'automne.
Une terreur insurmontable s'empara de moi, mes cheveux se hérissèrent sur mon front, mes
dents s'entrechoquèrent à se briser, une sueur froide inonda tout mon corps.
La pendule sonna onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu'il fut éteint tout à fait...
Oh ! non, je n'ose pas dire ce qui arriva, personne ne me croirait, et l'on me prendrait pour un
fou.
Théophile GAUTIER, Contes fantastiques, « La Cafetière » (1831).
1. Houppes à poudrer (ligne 1) : accessoires de maquillage
2. Les aïeux de notre hôte (ligne 15) : les ancêtres de notre ami
3. La bise (ligne 21) : petit vent froid
Première partie : Questions ‑ Réécriture ‑ Dictée 25 points
QUESTIONS (15 points)
Toutes vos réponses devront être rédigées.
I ‑ Un cadre réaliste 7 points
1. a) Quel pronom désigne le narrateur ? 1 point
b) Quel effet cherche à produire l'auteur sur le lecteur en utilisant ce pronom ? 1 point
2. Où se trouve précisément le narrateur ?
Justifiez votre réponse en citant le texte. 2 points
3. a) Quels objets constituent le décor de la pièce ?
Citez‑les (au moins quatre éléments attendus). 1 point
b) Comment évoluent les sentiments du narrateur dans les deux premiers paragraphes ? 1point
c) Ligne 7, pourquoi le narrateur parle‑t‑il de « sottes frayeurs » ? 1 point
II ‑ Le basculement dans le fantastique 8 points
4. Lignes 9‑10, « le lit s'agitait sous moi comme une vague » : nommez et expliquez la figure de style. 2 points
5. a) Comment le décor se transforme‑t‑il ? 1 point
b) Qualifiez l'atmosphère dans la pièce. Justifiez votre réponse. 1 point
6. Comment se manifeste physiquement la peur du narrateur ?
Justifiez votre réponse par deux éléments du texte. 1 point
7. Ligne 12 : « des reflets rougeâtres ».
Analysez la construction du mot « rougeâtres » . 1 point
8. Relisez la dernière phrase du texte et expliquez « on me prendrait pour un fou ». 2 points
RÉÉCRITURE (5 points)
1. Lignes 9 à 11 : « Mais il me fut impossible de rester dans cette position : le lit s'agitait sous moi comme une vague, mes paupières se retiraient violemment en arrière. Force me fut de me retourner et de voir. »
Réécrivez ce passage à la troisième personne du singulier.
2. Lignes 22‑24 : « Une terreur insurmontable s'empara de moi, mes cheveux se hérissèrent sur mon front, mes dents s'entrechoquèrent à se briser, une sueur froide inonda tout mon corps. La pendule sonna onze heures. »
Réécrivez ce passage au présent de l'indicatif.
DICTÉE (5 points)
Consignes pour la dictée à l'attention du surveillant‑lecteur :
On fera faire la dictée le dernier quart d'heure de la première partie.
Lors de la dictée, on procédera successivement :
1) à une lecture préalable, lente et bien articulée du texte ;
2) à la dictée effective du texte, en précisant la ponctuation et en marquant les liaisons ;
3) à la relecture, sans préciser cette fois‑ci la ponctuation mais en marquant toujours les liaisons. À l'issue de cette relecture, on transcrira lisiblement au tableau le nom de l'auteur et le titre Contes Fantastiques, La Cafetière.
On demandera aux candidats d'écrire une ligne sur deux.
On ne répondra pas aux questions éventuelles des candidats après la relecture du texte : ils en seront avertis avant cette relecture.
On notera au tableau « Japon ».
Ces dignes personnages s'assirent ; la cafetière sauta légèrement sur la table. Ils prirent le café dans des tasses du Japon blanches et bleues, chacune d'elles munie d'un morceau de sucre et d'une petite cuiller d'argent.
D'après Théophile Gautier, Contes Fantastiques, « La Cafetière » (1831).
Deuxième partie : Rédaction 15 points
Vous traiterez au choix l'un des deux sujets suivants.
L'utilisation d'un dictionnaire de langue française est autorisée.
1) Sujet d'imagination
Un personnage effrayant sort de la tapisserie ou des tableaux et s'anime à son tour. Rédigez une description organisée en une vingtaine de lignes. Votre texte commencera par : « Il était onze heures onze ... ».
Vous veillerez au respect des règles d'orthographe, de grammaire et de présentation.
2) Sujet de réflexion
Beaucoup de jeunes aiment les histoires fantastiques (films, livres, jeux vidéo, etc.). Vous expliquerez, en une vingtaine de lignes, les raisons de cette attirance en vous appuyant sur des exemples précis.
Vous veillerez au respect des règles d'orthographe, de grammaire et de présentation.
- A TuinVénérable
Punaise il est plus intéressant que celui de l'an dernier.
Je ne sais pas qui l'avait pondu mais c'était culcul gnangnan comme pas possible avec cette histoire de pommes et de vieille cave....
Je ne sais pas qui l'avait pondu mais c'était culcul gnangnan comme pas possible avec cette histoire de pommes et de vieille cave....
- A TuinVénérable
J'abuse mais .. quelqu'un aurait-il de la même façon, le sujet de DNB pour les séries générales ? Quel en était l'extrait ?
J'ai trouvé ça :
http://www.letudiant.fr/examen/brevet/corriges-et-sujets-0001/corrige-du-diplome-national-du-brevet-serie-college-le-sujet-de-francais.html
C'est en rapport ?
J'ai trouvé ça :
http://www.letudiant.fr/examen/brevet/corriges-et-sujets-0001/corrige-du-diplome-national-du-brevet-serie-college-le-sujet-de-francais.html
C'est en rapport ?
- A TuinVénérable
C'est bon j'ai trouvé, je crois.
http://assiste.free.fr/Assiste/Corrige_du_brevet_des_colleges_2012_francais.html
Vous me confirmez que c'est bien ce sujet ?
http://assiste.free.fr/Assiste/Corrige_du_brevet_des_colleges_2012_francais.html
Vous me confirmez que c'est bien ce sujet ?
- DinaaaExpert spécialisé
Fini de corriger : j'ai corrigé les questions-dictée de la série techno-pro (quelques bonnes copies, une majorité de candidats mal préparés à l'épreuve (ont fait 1 seule réécriture sur les 2, n'ont pas su analyser l'évolution des sentiments ni compris ce que signifiait "décomposer rougeâtre"...) et les rédactions de la série collège (un excellent paquet, une veine, j'ai mis plusieurs 15/15 et je me suis régalée !).
Ca y est, c'est fini
Ca y est, c'est fini
- Artemis44Niveau 5
J'en reviens ! J'ai eu des paquets bizarres : 21 questions-dictées de techno-agri, puis 8 rédacs toutes seules, puis 23 autres rédacs toutes seules de découverte pro... Pas d'unité, très étrange.
Pour la rédac nous avons eu toutes les peines du monde à dépasser 5/15 (hors sujets à la pelle : du récit pour l'imagination, des réflexions sur "pourquoi les jeunes aiment les films" pour la réflexion mais rien sur le fantastique).
Les dictées-questions étaient aussi très faibles. Je n'ai vu que 2 fois la comparaison, rougeâtre une seule fois les mots "radical" et "suffixe" sur une même copie, les questions de compréhension étaient généralement ratées.
C'était une première pour moi et cela m'a fait beaucoup de peine. C'était laborieux et l'écriture de certains me faisait penser à de très jeunes enfants. Je pense que j'ai eu des élèves ayant de très grandes difficultés.
Pour la rédac nous avons eu toutes les peines du monde à dépasser 5/15 (hors sujets à la pelle : du récit pour l'imagination, des réflexions sur "pourquoi les jeunes aiment les films" pour la réflexion mais rien sur le fantastique).
Les dictées-questions étaient aussi très faibles. Je n'ai vu que 2 fois la comparaison, rougeâtre une seule fois les mots "radical" et "suffixe" sur une même copie, les questions de compréhension étaient généralement ratées.
C'était une première pour moi et cela m'a fait beaucoup de peine. C'était laborieux et l'écriture de certains me faisait penser à de très jeunes enfants. Je pense que j'ai eu des élèves ayant de très grandes difficultés.
- paul31Érudit
Je pense que la majorité de mes élèves a du réussir ce brevet.
Le sujet me plaît plus que le général.
Le sujet me plaît plus que le général.
- Artemis44Niveau 5
Moi aussi il me plaisait plus (j'adore la Cafetière en plus). Mais j'ai vraiment été désolée pour les élèves de ce que j'ai dû mettre comme notes...
- Palombella RossaNeoprof expérimenté
Épreuve de français du Diplôme national du Brevet :
la réaction du collectif SAUVER LES LETTRES
http://www.sauv.net/fx120629.php
la réaction du collectif SAUVER LES LETTRES
http://www.sauv.net/fx120629.php
- Docteur OXGrand sage
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/29/97001-20120629FILWWW00602-brevet-l-epreuve-de-francais-niveau-6e.php
- miss teriousDoyen
Et n'y aurait-il pas moyen de donner de l'ampleur au communiqué de SLL, une pétition ou une lettre ouverte signée par davantage de monde, car là, on nous prend vraiment pour des c*ns ?
_________________
"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- Palombella RossaNeoprof expérimenté
miss terious a écrit:Et n'y aurait-il pas moyen de donner de l'ampleur au communiqué de SLL, une pétition ou une lettre ouverte signée par davantage de monde, car là, on nous prend vraiment pour des c*ns ?
Contactez SLL sur le site...
http://www.sauv.net/contact.php3
... et faites une proposition de pétition ou de lettre ouverte.
Je veux bien la relayer pour RE, dans un second temps.
- kensingtonEsprit éclairé
Palombella Rossa a écrit:Épreuve de français du Diplôme national du Brevet :
la réaction du collectif SAUVER LES LETTRES
http://www.sauv.net/fx120629.php
...après les travaux récents des chercheurs pointant tous l'urgence d'un enseignement raisonné de la grammaire...
Quelqu’un sait-il à quels travaux il est fait allusion?
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