- mina54Niveau 5
Je viens vers vous car je n'arrive toujours pas à digérer ce que je vis...
Il y a 15 jours, j'entre en classe, des élèves-toujours sympas- me demandent comment je vais , je leur répond que je ne suis pas très en forme(j(ai d'ailleurs un rv chez mon médecin pour 13h45)... Bref, Je projette dans ma classe de seconde bac pro un extrait de DVD afin d'étudier les grands voyages de Découvertes. Je stoppe l'extrait, certains élèves râlent car ils veulent regarder la suite. Je leur redis que nous ne sommes pas dans une salle de cinéma. Je veux continuer le cours. Au même moment où je tourne la tête vers un de mes élèves, il dit "Oh la ***". Il est tout rouge. Je me sens mal car avec lui, nous avions réussi à créer du lien , à faire du bon travail, il avait enfin lu un livre en entier. je ressens comme un coup de poignard dans le dos. je lui dis qu'évidemment j'avais entendu et qu'il fallait qu'il vienne me voir à la fin de l'heure.
La fièvre me gagne, je tiens bon.
10 mn avant la fin de l'heure (je les ai jusqu'à 13h45) un autre élève que j'ai placé devant moi car très perturbateur me regarde d'un air moqueur. Il se retourne , interpelle les autres, lance des coups d’œil vers mon dessous de bras. Il a un large sourire niais.Il insiste auprès des autres.. Je comprends qu'il est en train de se foutre de moi car..je transpire...Je suis furax. ça sonne, je lui demande de rester . Je l'incendie, pour lui rien de grave comme tout le reste..il est passé en commission éducative 4 jours auparavant..
Entre temps, une collègue vient me rejoindre dans la salle pour récupérer mes clefs.L'autre élève s'excuse , il me dit qu'il a dit ça comme ça, que ce mot lui est sorti tout seul. Il me propose une lettre d'excuse qu'il veut me remettre dans mon casier dès le lendemain.
Je file chez le médecin, je suis arrêtée une semaine..
Le lundi suivant, je file voir mon casier , RIEN, pas de lettres, j'ai préparé mon rapport, que je remets à la CPE, elle me dit d'envoyer ces élèves dans son bureau. En début d'heure, je les préviens , ils sont énervés: "on les a vos lettres d'excuse"...
Pendant mon cours, un surveillant viens chercher M, un autre élève, je me demande pourquoi.
A midi, je croise la CPE au self, elle me dit que l'élève en question a dit que ces propos ne m'étaient pas adressés, qu'il discutait avec M et qu'il parlait d'une fille, qu'elle les avait fait tous les deux dans le bureau du proviseur adjoint et que M avait confirmé la version de son camarade.Je me décompose , c'est ma parole qui est mise en doute, je crois rêver. Elle me répond qu'une semaine s'était écoulée et donc que j'aurais dû réagir plus tôt! je lui rétorque que j'avais un rv chez le médecin et qu'ensuite j'étais en arrêt maladie (mon premier en 2 ans) et je poursuis en disant que J. n'était même pas à côté de J en cours. Elle me répond :'Tu es sûre"? J'en ai assez, c'est moi qui ai fait le plan de classe.. et ma collègue était présente lors de l'entretien avec J.
Je file dans l'amphi, avec mes collègues, 120 élèves, c'est la semaine du respect! Le proviseur leur fait un discours , le proviseur adjoint viens me voir tout mielleux et me dit "madame M.j'ai vu les élèves J et M mais son propos ne vous était pas adressé, je lui ai quand même dit qu'on ne disait pas ce mot aux jeunes filles" et il ajoute" quant à l'autre élève, vous comprenez, il a déjà une commission éducative, donc je lui ai dit que cette fois ça passait mais que la prochaine fois , il irait en conseil de discipline". Et il part rejoindre le proviseur. Je suis abasourdie.
C'est la fin des cours , je file dans la salle des profs j'ouvre mon casier et découvre les 2 lettres d'excuse. Celle de J est explicite , il écrit qu'il s'excuse de ces mots envers moi, qu'il ne sait pas pourquoi il a dit ça, etc. Je retourne chez la CPE, je suis ferme, je suis prête à tout...Elle me dit qu'elle convoquera J en fin d'après midi.
Je suis occupée tout le lendemain avec une autre classe sur un projet théâtre. Le soir, je retourne chez la CPE, c'est sa collègue qui est là. Je lis sur Pronote que l'élève avait été entrepris plus fermement cette fois par le proviseur et qu'il avait avoué...
Le jeudi , je retrouve ces élèves, évaluation. J. ne bronche pas, quant à l'autre, il me dit qu'il va porter plainte contre moi car il ne peut pas faire l'évaluation car que je l'avais envoyé pendant le cours chez la CPE. Je rectifie en disant qu'il avait été convoqué chez la CPE à cause de son manque de respect envers moi. Bref, toujours pas de sanction pour lui , ni pour celui qui a menti pour son camarade.
Je me sens complètement désemparée, j'ai dû me battre pour prouver ma bonne foi, ma parole a été mise en doute. Le proviseur adjoint ne m'a pas soutenue, au contraire...Quelle crédibilité ai-je en face de ma classe ? L'élève a failli ne rien avoir, il aurait fallu que je me contente d'une simple lettre d'excuse selon mon supérieur.
Je suis déstabilisée... Ce ne sont pas tant les propos de l'élève ou l'attitude de l'autre qui me brutalisent car en banlieue parisienne , c'était monnaie courante, mais au moins j'étais soutenue par ma direction, mes collègues. Ici l'attitude du PA me sidère, j'ai un vague sentiment d'injustice
Il y a 15 jours, j'entre en classe, des élèves-toujours sympas- me demandent comment je vais , je leur répond que je ne suis pas très en forme(j(ai d'ailleurs un rv chez mon médecin pour 13h45)... Bref, Je projette dans ma classe de seconde bac pro un extrait de DVD afin d'étudier les grands voyages de Découvertes. Je stoppe l'extrait, certains élèves râlent car ils veulent regarder la suite. Je leur redis que nous ne sommes pas dans une salle de cinéma. Je veux continuer le cours. Au même moment où je tourne la tête vers un de mes élèves, il dit "Oh la ***". Il est tout rouge. Je me sens mal car avec lui, nous avions réussi à créer du lien , à faire du bon travail, il avait enfin lu un livre en entier. je ressens comme un coup de poignard dans le dos. je lui dis qu'évidemment j'avais entendu et qu'il fallait qu'il vienne me voir à la fin de l'heure.
La fièvre me gagne, je tiens bon.
10 mn avant la fin de l'heure (je les ai jusqu'à 13h45) un autre élève que j'ai placé devant moi car très perturbateur me regarde d'un air moqueur. Il se retourne , interpelle les autres, lance des coups d’œil vers mon dessous de bras. Il a un large sourire niais.Il insiste auprès des autres.. Je comprends qu'il est en train de se foutre de moi car..je transpire...Je suis furax. ça sonne, je lui demande de rester . Je l'incendie, pour lui rien de grave comme tout le reste..il est passé en commission éducative 4 jours auparavant..
Entre temps, une collègue vient me rejoindre dans la salle pour récupérer mes clefs.L'autre élève s'excuse , il me dit qu'il a dit ça comme ça, que ce mot lui est sorti tout seul. Il me propose une lettre d'excuse qu'il veut me remettre dans mon casier dès le lendemain.
Je file chez le médecin, je suis arrêtée une semaine..
Le lundi suivant, je file voir mon casier , RIEN, pas de lettres, j'ai préparé mon rapport, que je remets à la CPE, elle me dit d'envoyer ces élèves dans son bureau. En début d'heure, je les préviens , ils sont énervés: "on les a vos lettres d'excuse"...
Pendant mon cours, un surveillant viens chercher M, un autre élève, je me demande pourquoi.
A midi, je croise la CPE au self, elle me dit que l'élève en question a dit que ces propos ne m'étaient pas adressés, qu'il discutait avec M et qu'il parlait d'une fille, qu'elle les avait fait tous les deux dans le bureau du proviseur adjoint et que M avait confirmé la version de son camarade.Je me décompose , c'est ma parole qui est mise en doute, je crois rêver. Elle me répond qu'une semaine s'était écoulée et donc que j'aurais dû réagir plus tôt! je lui rétorque que j'avais un rv chez le médecin et qu'ensuite j'étais en arrêt maladie (mon premier en 2 ans) et je poursuis en disant que J. n'était même pas à côté de J en cours. Elle me répond :'Tu es sûre"? J'en ai assez, c'est moi qui ai fait le plan de classe.. et ma collègue était présente lors de l'entretien avec J.
Je file dans l'amphi, avec mes collègues, 120 élèves, c'est la semaine du respect! Le proviseur leur fait un discours , le proviseur adjoint viens me voir tout mielleux et me dit "madame M.j'ai vu les élèves J et M mais son propos ne vous était pas adressé, je lui ai quand même dit qu'on ne disait pas ce mot aux jeunes filles" et il ajoute" quant à l'autre élève, vous comprenez, il a déjà une commission éducative, donc je lui ai dit que cette fois ça passait mais que la prochaine fois , il irait en conseil de discipline". Et il part rejoindre le proviseur. Je suis abasourdie.
C'est la fin des cours , je file dans la salle des profs j'ouvre mon casier et découvre les 2 lettres d'excuse. Celle de J est explicite , il écrit qu'il s'excuse de ces mots envers moi, qu'il ne sait pas pourquoi il a dit ça, etc. Je retourne chez la CPE, je suis ferme, je suis prête à tout...Elle me dit qu'elle convoquera J en fin d'après midi.
Je suis occupée tout le lendemain avec une autre classe sur un projet théâtre. Le soir, je retourne chez la CPE, c'est sa collègue qui est là. Je lis sur Pronote que l'élève avait été entrepris plus fermement cette fois par le proviseur et qu'il avait avoué...
Le jeudi , je retrouve ces élèves, évaluation. J. ne bronche pas, quant à l'autre, il me dit qu'il va porter plainte contre moi car il ne peut pas faire l'évaluation car que je l'avais envoyé pendant le cours chez la CPE. Je rectifie en disant qu'il avait été convoqué chez la CPE à cause de son manque de respect envers moi. Bref, toujours pas de sanction pour lui , ni pour celui qui a menti pour son camarade.
Je me sens complètement désemparée, j'ai dû me battre pour prouver ma bonne foi, ma parole a été mise en doute. Le proviseur adjoint ne m'a pas soutenue, au contraire...Quelle crédibilité ai-je en face de ma classe ? L'élève a failli ne rien avoir, il aurait fallu que je me contente d'une simple lettre d'excuse selon mon supérieur.
Je suis déstabilisée... Ce ne sont pas tant les propos de l'élève ou l'attitude de l'autre qui me brutalisent car en banlieue parisienne , c'était monnaie courante, mais au moins j'étais soutenue par ma direction, mes collègues. Ici l'attitude du PA me sidère, j'ai un vague sentiment d'injustice
- CondorcetOracle
Mina
- sandGuide spirituel
Bon courage Mina
- SteredDoyen
Oui, courage ! Tu n'es pas aidée par ta direction... :colere:
- Scarabee15Habitué du forum
Courage ma belle, ne lâche rien !
A mon avis, pour cet épisode tu peux considérer que c'est clos, car l'incident remonte maintenant à trop loin.
Mais pour la suite, je te suggère de t'organiser sans ta direction-lâcheuse-qui-achete-la-paix-sociale (c'est ce que nous faisons ici mais pour d'autres raisons) : avec tes collègues, vous déterminez des créneaux "d'échange de colles" ; il s'agit d'heures pendant lesquelles la classe de l'élève n'a pas cours mais ou toi ou un collègue pouvez accueillir un élève pendant un cours avec une autre classe. Généralement le collé ne moufte pas car au milieu d'une classe inconnue il ne fait pas le fier.
Mon côté sadique m'a inspiré ma combinaison favorite : un affreux de section industrielle (classes exclusivement masculines) scotché chez des secrétaires (classes exclusivement féminines) :diable:
Bien sûr, tout est fait dans les règles, le malotru est convoqué via le carnet de correspondance, ses parents doivent signer. Si l'incident est grave, je fais en parallèle un rapport mais personnellement je ne demande jamais de sanction dedans, c'est uniquement pour relater les faits et qu'il soit porté au dossier. Ainsi, si un jour il y a un vrai problème, je peux faire ressortir tous les rapports (conservés pendant une année) pour demander une commission éducative, voire plus.
Et comme certains adorent enterrer les rapports sans les verser au dossier, les miens sont toujours envoyés par mail avec copie au PP.
Voilà, c'est juste quelques trucs pour faire efficace et contourner les réticences administratives tout en restant dans les clous.
Et puis il y a le fameux décret pondu avant la dernière rentrée sur les sanctions automatiques en cas d'atteinte verbale... tu peux le mettre sous le nez des hésitants, ça fait réfléchir.
A mon avis, pour cet épisode tu peux considérer que c'est clos, car l'incident remonte maintenant à trop loin.
Mais pour la suite, je te suggère de t'organiser sans ta direction-lâcheuse-qui-achete-la-paix-sociale (c'est ce que nous faisons ici mais pour d'autres raisons) : avec tes collègues, vous déterminez des créneaux "d'échange de colles" ; il s'agit d'heures pendant lesquelles la classe de l'élève n'a pas cours mais ou toi ou un collègue pouvez accueillir un élève pendant un cours avec une autre classe. Généralement le collé ne moufte pas car au milieu d'une classe inconnue il ne fait pas le fier.
Mon côté sadique m'a inspiré ma combinaison favorite : un affreux de section industrielle (classes exclusivement masculines) scotché chez des secrétaires (classes exclusivement féminines) :diable:
Bien sûr, tout est fait dans les règles, le malotru est convoqué via le carnet de correspondance, ses parents doivent signer. Si l'incident est grave, je fais en parallèle un rapport mais personnellement je ne demande jamais de sanction dedans, c'est uniquement pour relater les faits et qu'il soit porté au dossier. Ainsi, si un jour il y a un vrai problème, je peux faire ressortir tous les rapports (conservés pendant une année) pour demander une commission éducative, voire plus.
Et comme certains adorent enterrer les rapports sans les verser au dossier, les miens sont toujours envoyés par mail avec copie au PP.
Voilà, c'est juste quelques trucs pour faire efficace et contourner les réticences administratives tout en restant dans les clous.
Et puis il y a le fameux décret pondu avant la dernière rentrée sur les sanctions automatiques en cas d'atteinte verbale... tu peux le mettre sous le nez des hésitants, ça fait réfléchir.
- BabayagaGrand sage
Mina : à ta place je demanderais une entrevue avec le chef d'établissement. Je lui relaterais les faits de façon chronologique, en mettant mon ressenti de côté. Puis je lui dirais qu'à l'avenir j'aimerais que les choses se passent autrement.
Tout ça de façon très aimable, juste pour m'assurer de la bonne marche de l'établissement, au nom de l'intérêt général, et bla et bla et bla. Sans lui faire de reproches non plus, les faits parlent d'eux-même.
Ce n'est pas un conseil que je te donne, c'est ce que je ferais, avec mon chef, je ne connais pas le tien et c'est un facteur important. Pas sûre que le chef recommence après ça, car s'il sait que tu reviendras dans son bureau le mettre mal à l'aise comme la première fois, il va peut-être y réfléchir à deux fois. Avec mon chef ça marche en tout cas, il craint les grandes gueules...
Tout ça de façon très aimable, juste pour m'assurer de la bonne marche de l'établissement, au nom de l'intérêt général, et bla et bla et bla. Sans lui faire de reproches non plus, les faits parlent d'eux-même.
Ce n'est pas un conseil que je te donne, c'est ce que je ferais, avec mon chef, je ne connais pas le tien et c'est un facteur important. Pas sûre que le chef recommence après ça, car s'il sait que tu reviendras dans son bureau le mettre mal à l'aise comme la première fois, il va peut-être y réfléchir à deux fois. Avec mon chef ça marche en tout cas, il craint les grandes gueules...
_________________
Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- neomathÉrudit
C'est très courant chez les petits chefs qui ne veulent pas de vagues.Babayaga a écrit:Avec mon chef ça marche en tout cas, il craint les grandes gueules...
Un truc qui marche bien c'est de rester toujours calme et courtois mais de passer tous les jours dans son bureau. Ils finissent par en avoir marre et vous donnent gain de cause.
- BabayagaGrand sage
neomath a écrit:C'est très courant chez les petits chefs qui ne veulent pas de vagues.Babayaga a écrit:Avec mon chef ça marche en tout cas, il craint les grandes gueules...
Un truc qui marche bien c'est de rester toujours calme et courtois mais de passer tous les jours dans son bureau. Ils finissent par en avoir marre et vous donnent gain de cause.
Je confirme
- ClarianzEmpereur
je confirme aussi...
_________________
Mama's Rock
- roxanneOracle
Le coup de l'élève qui veut porter plainte parce qu'il était convoqué chez la cpe pendant le devoir !
ils vont tomber de haut dans la vraie vie tous ces jeunes gens , de très haut ! courage !
ils vont tomber de haut dans la vraie vie tous ces jeunes gens , de très haut ! courage !
- mina54Niveau 5
Merci de votre soutien
Mon scarabouille, les colles pour les collègues, c'est ce que nous faisions dans mon ancien établissement. Ici, on doit obligatoirement passer par les cpe et les élèves n'ont pas de carnet de correspondance-inutile-il parait. Cependant, pour le menteur et l'irrespectueux, je demanderai des heures de colle tout de même, en espérant qu'elles soient faites...puisque je dois me passer des services du pA.
Quant à la discussion avec mon CE, je ne sais pas très bien comment m'y prendre, je suis encore un peu chamboulée.J'aurais du mal à ne pas commencer par:"J'ai été très affectée par le propos de cet élève et le peu de soutien de M. "...De plus, Il n'est pas très accessible, coupe souvent court à la discussion.
Ce n'est pas la première fois que ça arrive, ma collègue avait été traitée de la même façon, il n'a rien eu et la fois suivante , il l'a bousculé très fortement...
Et là , c'est les vacances, et j'aimerais enfin avoir la paix dans cette classe où trainent quelques brebis galeuses dans la toute puissance jusqu'à la fin de l'année.
Mon scarabouille, les colles pour les collègues, c'est ce que nous faisions dans mon ancien établissement. Ici, on doit obligatoirement passer par les cpe et les élèves n'ont pas de carnet de correspondance-inutile-il parait. Cependant, pour le menteur et l'irrespectueux, je demanderai des heures de colle tout de même, en espérant qu'elles soient faites...puisque je dois me passer des services du pA.
Quant à la discussion avec mon CE, je ne sais pas très bien comment m'y prendre, je suis encore un peu chamboulée.J'aurais du mal à ne pas commencer par:"J'ai été très affectée par le propos de cet élève et le peu de soutien de M. "...De plus, Il n'est pas très accessible, coupe souvent court à la discussion.
Ce n'est pas la première fois que ça arrive, ma collègue avait été traitée de la même façon, il n'a rien eu et la fois suivante , il l'a bousculé très fortement...
Et là , c'est les vacances, et j'aimerais enfin avoir la paix dans cette classe où trainent quelques brebis galeuses dans la toute puissance jusqu'à la fin de l'année.
- FinrodExpert
Chapeau pour ton courage, il faudrait t'ériger une statue
Je ne serais pas capable, à ta place. Donc bravo, je ne peux que te transmettre toute ma sympathie et mon admiration...
Combien de temps encore restera-t-il des gens pour faire ça ?
Je ne serais pas capable, à ta place. Donc bravo, je ne peux que te transmettre toute ma sympathie et mon admiration...
Combien de temps encore restera-t-il des gens pour faire ça ?
- mina54Niveau 5
Oh oui, une belle statue devant l'entrée du lycée:)
Tout à l'heure , je me disais qu'il me restait justement encore 25" belles" années, au secouuuuuuuuuurrrrrrrrrrrrssssssssssssssssssssssss
Tout à l'heure , je me disais qu'il me restait justement encore 25" belles" années, au secouuuuuuuuuurrrrrrrrrrrrssssssssssssssssssssssss
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum