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- starstruckNiveau 2
Il est bien vrai que le niveau de la classe ne change pas grand chose tant les élèves sont imprévisibles parfois. Mes élèves (je devrais dire étudiants mais je refuse de leur attribuer ce nom) les plus difficiles sont des bts informatique: 24 gars, pour la plupart venant de bac pro.
J'enseigne le droit, l'économie, le management. Ils ont tout simplement pourri mon inspection la semaine dernière (j'en ai pleuré devant l'inspectrice pendant l'entretien, elle a été charmante, et j'ai bien cru qu'elle allait se mettre à pleurer aussi).
Depuis, difficile de ne pas y penser non stop. j'en étais limite à parler toute seule et à imaginer les répliques que j'aurais si j'en avais un ou deux en face à face et si j'avais eu ma répartie habituelle.
Effectivement, ne pas sur-préparer les cours est indispensable, sous peine de doubler la frustration. Je n'ai quasiment rien foutu cette semaine et ça m'a fait du bien.
Il faut aussi se résigner à ne par terminer les programmes: tout n'est pas de notre responsabilité, ce n'est pas à nous d'avoir le sentiment d'écoper sans cesse. On finit par se sentir coupables à leur place.
Et faire du sport! je suis toute bloquée de partout et je ne dois pas être la seule. Merci en tout cas pour tous les conseils.
Bref, avec une 1° STG (j'enseigne leur matière à plus gros coeff et je suis leur PP), avec des bts compta et ces fameux bts info, c'est la galère...
Bon courage à tous et vive la respiration abdominale!
J'enseigne le droit, l'économie, le management. Ils ont tout simplement pourri mon inspection la semaine dernière (j'en ai pleuré devant l'inspectrice pendant l'entretien, elle a été charmante, et j'ai bien cru qu'elle allait se mettre à pleurer aussi).
Depuis, difficile de ne pas y penser non stop. j'en étais limite à parler toute seule et à imaginer les répliques que j'aurais si j'en avais un ou deux en face à face et si j'avais eu ma répartie habituelle.
Effectivement, ne pas sur-préparer les cours est indispensable, sous peine de doubler la frustration. Je n'ai quasiment rien foutu cette semaine et ça m'a fait du bien.
Il faut aussi se résigner à ne par terminer les programmes: tout n'est pas de notre responsabilité, ce n'est pas à nous d'avoir le sentiment d'écoper sans cesse. On finit par se sentir coupables à leur place.
Et faire du sport! je suis toute bloquée de partout et je ne dois pas être la seule. Merci en tout cas pour tous les conseils.
Bref, avec une 1° STG (j'enseigne leur matière à plus gros coeff et je suis leur PP), avec des bts compta et ces fameux bts info, c'est la galère...
Bon courage à tous et vive la respiration abdominale!
- LefterisEsprit sacré
J'espère que l'inspection s'est bien déroulée au final . Pour te rassurer en attendant le rapport , voici ce qui m'est arrivé quand j'étais stagiaire (en fait détaché de mon administration d'origine, donc moins tendu) on m'a collé en ZEP dans une zone classée à l'époque 5 . Classe très dure, un combat pour tout avec certains élèves : entrer en classe, enlever les vestes, sortir les affaires, ne pas s'insulter,etc. Le jour de l'inspection de titularisation, le "dur" de la classe qui avait compris que j'étais inspecté et qu'il pouvait me nuire -mais ne savait pas que j'étais stagiaire, vu mon âge- a tout mis en oeuvre pour que le cours ne puisse se dérouler, a commencé à apostropher des élèves, puis a circulé dans la salle, etc. J'ai pris sur moi, j'ai interrompu le cours, j'ai rempli une feuille d'exclusion,etc. Le cours n'a pas été fait intégralement, les élèves ne répondaient pas aux objectifs des programmes, etc. . Mais ça s'est bien passé , la faute n'est pas retombée sur moi (de toute manière je n'étais pas dans un stress infernal , au pire je retournais dans mon corps d'origine... ) et le rapport au contraire mentionnait dès le début "M. .. travaille dans des conditions très difficiles". Puis suivait la mention de la situation d'agitation, de violence latente , et ce qui état valorisé, c'était ma progression , les efforts faits pour les faire travailler. Bref, il y a quand même des gens lucides, même si j'ai bien conscience que des idéologues se sont parfois acharnés sur de malheureux stagiaires dans des situation similairesstarstruck a écrit:Il est bien vrai que le niveau de la classe ne change pas grand chose tant les élèves sont imprévisibles parfois. Mes élèves (je devrais dire étudiants mais je refuse de leur attribuer ce nom) les plus difficiles sont des bts informatique: 24 gars, pour la plupart venant de bac pro.
J'enseigne le droit, l'économie, le management. Ils ont tout simplement pourri mon inspection la semaine dernière (j'en ai pleuré devant l'inspectrice pendant l'entretien, elle a été charmante, et j'ai bien cru qu'elle allait se mettre à pleurer aussi).
Depuis, difficile de ne pas y penser non stop. j'en étais limite à parler toute seule et à imaginer les répliques que j'aurais si j'en avais un ou deux en face à face et si j'avais eu ma répartie habituelle.
Effectivement, ne pas sur-préparer les cours est indispensable, sous peine de doubler la frustration. Je n'ai quasiment rien foutu cette semaine et ça m'a fait du bien.
Il faut aussi se résigner à ne par terminer les programmes: tout n'est pas de notre responsabilité, ce n'est pas à nous d'avoir le sentiment d'écoper sans cesse. On finit par se sentir coupables à leur place.
Et faire du sport! je suis toute bloquée de partout et je ne dois pas être la seule. Merci en tout cas pour tous les conseils.
Bref, avec une 1° STG (j'enseigne leur matière à plus gros coeff et je suis leur PP), avec des bts compta et ces fameux bts info, c'est la galère...
Bon courage à tous et vive la respiration abdominale!
- starstruckNiveau 2
Les élèves ont voulu me faire payer des contentieux récents: ils sont infernaux depuis la rentrée des vacances de février.
L'inspectrice a parlé aux délégués, qui m'ont débinée sans problème.
Mais elle a su faire la part des choses et m'a assuré pendant l'entretien que mon cours était bon, bien structuré, bien mené malgré les chahuts, adapté à leur niveau. Elle m'a donné pas mal de conseils car elle a eu affaire à ce public (banlieue, zep, rar, eclair, prévention violence, bref la totale!).
Ce qui est triste, c'est que je ne peux plus encadrer cette classe alors que tous les élèves ne sont pas des affreux: certains (pas nombreux certes) sont volontaires et méritent qu'on s'occupe d'eux. Mais malheureusement, on oublie parfois les élèves normaux tant on est obnubilés par les "cas".
L'inspectrice a parlé aux délégués, qui m'ont débinée sans problème.
Mais elle a su faire la part des choses et m'a assuré pendant l'entretien que mon cours était bon, bien structuré, bien mené malgré les chahuts, adapté à leur niveau. Elle m'a donné pas mal de conseils car elle a eu affaire à ce public (banlieue, zep, rar, eclair, prévention violence, bref la totale!).
Ce qui est triste, c'est que je ne peux plus encadrer cette classe alors que tous les élèves ne sont pas des affreux: certains (pas nombreux certes) sont volontaires et méritent qu'on s'occupe d'eux. Mais malheureusement, on oublie parfois les élèves normaux tant on est obnubilés par les "cas".
- lalilalaEmpereur
C'est bien vrai...
_________________
Nuestra vida es un círculo dantesco.
Mon blog
- Raoul VolfoniGrand sage
Je suis arrêtée depuis deux semaines maintenant, et je stresse toujours. Je suis sous anxiolytiques, mais malgré ça je ne parviens pas à dormir correctement : en général, je me réveille vers 6h en pensant au boulot. Je ne suis toujours pas remplacée. J'ai peur qu'on me demande des comptes... Je n'ai pas pu avancer correctement le programme en terminale, entre les cours pourris où ces jeunes gens ne veulent rien faire, les fois où j'étais malade et celles où j'étais en formation... Les élèves peuvent jouer leur bac sur une interrogation en français/histoire-géo lors de l'épreuve de contrôle, et ça me fait angoisser... J'ai peur que ça me retombe dessus. J'ai fait ce que j'ai pu, j'ai fini par me rendre malade, et j'angoisse toujours.
- lalilalaEmpereur
tu étais/es en arrêt, je ne vois pas ce qu'on peut te reprocher : c'est la vie!
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- starstruckNiveau 2
Kruella a écrit:Je suis arrêtée depuis deux semaines maintenant, et je stresse toujours. Je suis sous anxiolytiques, mais malgré ça je ne parviens pas à dormir correctement : en général, je me réveille vers 6h en pensant au boulot. Je ne suis toujours pas remplacée. J'ai peur qu'on me demande des comptes... Je n'ai pas pu avancer correctement le programme en terminale, entre les cours pourris où ces jeunes gens ne veulent rien faire, les fois où j'étais malade et celles où j'étais en formation... Les élèves peuvent jouer leur bac sur une interrogation en français/histoire-géo lors de l'épreuve de contrôle, et ça me fait angoisser... J'ai peur que ça me retombe dessus. J'ai fait ce que j'ai pu, j'ai fini par me rendre malade, et j'angoisse toujours.
Ne te sens pas responsable à la place des élèves: si le programme n'est pas achevé, ce n'est pas de ta faute. L'avancement du cours, c'est une dynamique, les élèves ont largement leur part la-dedans! On ne te demandera pas de comptes, tu as été mise en arrêt en bonne et due forme.
J'ai l'impression que tu endosses la culpabilité que d'autres personnes ne ressentent pas: les élèves qui ne travaillent pas, l'administration qui devrait te trouver un remplaçant.
Ménage toi, bon courage!!!
- LefterisEsprit sacré
Kruella a écrit:Je suis arrêtée depuis deux semaines maintenant, et je stresse toujours. Je suis sous anxiolytiques, mais malgré ça je ne parviens pas à dormir correctement : en général, je me réveille vers 6h en pensant au boulot. Je ne suis toujours pas remplacée. J'ai peur qu'on me demande des comptes... Je n'ai pas pu avancer correctement le programme en terminale, entre les cours pourris où ces jeunes gens ne veulent rien faire, les fois où j'étais malade et celles où j'étais en formation... Les élèves peuvent jouer leur bac sur une interrogation en français/histoire-géo lors de l'épreuve de contrôle, et ça me fait angoisser... J'ai peur que ça me retombe dessus. J'ai fait ce que j'ai pu, j'ai fini par me rendre malade, et j'angoisse toujours.
Il faut vraiment arrêter de culpabiliser comme le dit Starstruck. Si les élèves chahutent, ne sont pas concentrés, c'est parce qu'ils sont mal élevés, n'ont aucune maîtrise d'eux-mêmes et de leurs pulsions, et le professeur qui les voit quelques heures par semaines après des années de ravages dans leur éducation (les modèles sociaux, les parents qui ne les ont pas tenus ...) n'y peut rien. J'en suis d'autant plus intimement persuadé qu'il n'y a pas eu de mutation génétique dans les 30 dernières années. Or, les classes étaient tranquilles , et même si nous étions parfois dilettantes ou paresseux, on ne s'avisait pas de parler à jet continu et à haute voix pendant un cours , ni à remettre en cause la parole du professeur, ou à négocier les devoirs. Et j'étais dans un lycée de province tout ce qu'il y a de plus "normal", hétérogène, pas dans une boîte à bachot, et moi-même à l'époque doté d'un solide poil dans la main et élèves moyen (mais un moyen des années 70..)
Les problèmes viennent évidemment de "l"air du temps", du mépris des enseignants, et aussi de la massification démagogique (mais anti-républicaine dans les faits) qui donne l'impression que la sanction ne tombe jamais, qu'on passera perpétuellement dans le niveau supérieur sans travailler (alors qu'en réalité la sélection est plus tardive mais plus sournoise et plus impitoyable).
Ne plus culpabiliser peut se décréter , intimement, il faut bien se persuader au fond de soi-même de ce que je dis . On savonne la planche des "acteurs" de l'éducation, et ensuite on leur adresse des reproches , faisant des victimes les coupables, les désignant à la vindicte, afin d'éviter en haut lieu de prendre les bonnes décisions, voir plus cyniquement de créer un écran de fumée sur ses propres turpitudes.
- lene75Prophète
Lefteris
Et je vois que nous avons le même argument :
Et je vois que nous avons le même argument :
Lefteris a écrit:J'en suis d'autant plus intimement persuadé qu'il n'y a pas eu de mutation génétique dans les 30 dernières années.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- DerborenceModérateur
Lefteris a écrit:
Il faut vraiment arrêter de culpabiliser comme le dit Starstruck. Si les élèves chahutent, ne sont pas concentrés, c'est parce qu'ils sont mal élevés, n'ont aucune maîtrise d'eux-mêmes et de leurs pulsions, et le professeur qui les voit quelques heures par semaines après des années de ravages dans leur éducation (les modèles sociaux, les parents qui ne les ont pas tenus ...) n'y peut rien. J'en suis d'autant plus intimement persuadé qu'il n'y a pas eu de mutation génétique dans les 30 dernières années. Or, les classes étaient tranquilles , et même si nous étions parfois dilettantes ou paresseux, on ne s'avisait pas de parler à jet continu et à haute voix pendant un cours , ni à remettre en cause la parole du professeur, ou à négocier les devoirs. Et j'étais dans un lycée de province tout ce qu'il y a de plus "normal", hétérogène, pas dans une boîte à bachot, et moi-même à l'époque doté d'un solide poil dans la main et élèves moyen (mais un moyen des années 70..)
Les problèmes viennent évidemment de "l"air du temps", du mépris des enseignants, et aussi de la massification démagogique (mais anti-républicaine dans les faits) qui donne l'impression que la sanction ne tombe jamais, qu'on passera perpétuellement dans le niveau supérieur sans travailler (alors qu'en réalité la sélection est plus tardive mais plus sournoise et plus impitoyable).
Ne plus culpabiliser peut se décréter , intimement, il faut bien se persuader au fond de soi-même de ce que je dis . On savonne la planche des "acteurs" de l'éducation, et ensuite on leur adresse des reproches , faisant des victimes les coupables, les désignant à la vindicte, afin d'éviter en haut lieu de prendre les bonnes décisions, voir plus cyniquement de créer un écran de fumée sur ses propres turpitudes.
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- MelanieSLBDoyen
Lefteris, bravo.
Kruella, ce n'est plus ton problème. Tu es arrêtée! Stop. Ils n'ont pas fait le programme? De toute façon, ils ne voulaient pas le faire. Et vu ce que tu as écris sur leur niveau toute l'année, toi, une autre ou personne ne changera pas fondamentalement leurs (non-)perspectives d'avoir le Bac. On ne peut pas sauver les élèves contre leur gré.
Je sais que je ne terminerai pas le programme avec mes classes: entre le mois d'arrêt cumulé et les presque 2 semaines et demies de formation, et les voyages, je ne pourrai pas. Et je peux dire et expliquer pourquoi. Je vis limiter la casse (i.e. aborder les 2 points de grammaire absolument nécessaires à ces 2 niveaux) et puis c'est tout. De toute façon, ils ne l'apprendront pas, et n'en tireront rien. Zen... On pense d'abord à soi.
Kruella, ce n'est plus ton problème. Tu es arrêtée! Stop. Ils n'ont pas fait le programme? De toute façon, ils ne voulaient pas le faire. Et vu ce que tu as écris sur leur niveau toute l'année, toi, une autre ou personne ne changera pas fondamentalement leurs (non-)perspectives d'avoir le Bac. On ne peut pas sauver les élèves contre leur gré.
Je sais que je ne terminerai pas le programme avec mes classes: entre le mois d'arrêt cumulé et les presque 2 semaines et demies de formation, et les voyages, je ne pourrai pas. Et je peux dire et expliquer pourquoi. Je vis limiter la casse (i.e. aborder les 2 points de grammaire absolument nécessaires à ces 2 niveaux) et puis c'est tout. De toute façon, ils ne l'apprendront pas, et n'en tireront rien. Zen... On pense d'abord à soi.
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La réforme du collège en clair : www.reformeducollege.fr .
Et pour ceux qui voudraient en comprendre quelques fondements idéologiques:
De l’école, Jean-Claude Milner, visionnaire en 1984 (ça ne s'invente pas!) de ce qui nous arrive: "On ne dira pas que les enseignants sont l'appendice inutile d'une institution dangereuse et presque criminelle; on dira seulement qu'ils doivent devenir Autres: animateurs, éducateurs, grands frères, nourrices, etc. La liste est variable. Que, par là, les enseignants cessent d’être ce qu'ils doivent être, c'est encore une fois sortir de la question. On ne dira pas que les enseignants n'ont pas à exister, mais qu'ils ont à exister Autrement. Que cette Autre existence consiste à renoncer à soi-même pour disparaître dans la nuit éducative et s'y frotter, tous corps et tous esprits confondus, avec les partenaires de l'acte éducatif - manutentionnaires, parents, élèves, etc. -, seul un méchant pourrait en prendre ombrage." (page 24)
- Crazy CowFidèle du forum
Lefteris, bravo!
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We should never allow our fears or the expectations of others to set the frontiers of our destiny.
- JaneBNeoprof expérimenté
MelanieSLB a écrit:Lefteris, bravo.
Kruella, ce n'est plus ton problème. Tu es arrêtée! Stop. Ils n'ont pas fait le programme? De toute façon, ils ne voulaient pas le faire. Et vu ce que tu as écris sur leur niveau toute l'année, toi, une autre ou personne ne changera pas fondamentalement leurs (non-)perspectives d'avoir le Bac. On ne peut pas sauver les élèves contre leur gré.
Je sais que je ne terminerai pas le programme avec mes classes: entre le mois d'arrêt cumulé et les presque 2 semaines et demies de formation, et les voyages, je ne pourrai pas. Et je peux dire et expliquer pourquoi. Je vis limiter la casse (i.e. aborder les 2 points de grammaire absolument nécessaires à ces 2 niveaux) et puis c'est tout. De toute façon, ils ne l'apprendront pas, et n'en tireront rien. Zen... On pense d'abord à soi.
Franchement, je ne suis plus dans l'obsession de finir mes programmes...car je vois bien que d'année en année, tout est presque à reprendre à zéro. Autant dire que c'est dérisoire de s'inquiéter de ne pas avoir traité tel ou tel point .
Kruella, ne culpabilise pas! Tes élèves n'ont toujours pas de remplaçant? J'aurais presque envie de dire : tant pis pour eux!
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