[C2i2e] Nouvelles technologies au quotidien

Zelda a écrit:

Karine C. a écrit:Bonsoir,

Les TICE sont désormais incontournables, mais n'étant encore qu'en formation, je me demande comment concrètement les mettez vous en œuvre dans votre quotidien d'enseignant. Qu'est-ce qui vous fait dire ça? Ce qui est incontournable, c'est de transmettre des connaissances aux élèves.

Mon stage en responsabilité approche et c'est un axe important à ne pas négliger mais comment s'y prendre?
Je ne peux qu'être d'accord avec Roxanne et Cripure. Il me semble que vous vous trompez de question: vous nous demandez comment intégrer les TICE à vos cours alors que la vraie question est : quel serait l'apport des TICE à vos cours?

Qu'est ce qui intéresse le plus les élèves en la matière?
Comme plusieurs collègues, j'ai constaté que les élèves sont ravis d'aller en salle info car :
- pour eux, ce n'est pas du travail
- ils ouvrent des fenêtres de conversation ou de jeux en ligne dès qu'on a le dos tourné
- internet présente bien trop d'attraits et de distractions possibles pour que vous puissiez les intéresser à une recherche en ligne sur le sujet de votre choix.
- il semblerait que les élèves au final soient plus reconnaissants envers les enseignants qui soignent le contenu de leurs cours, qu'envers les enseignants qui leurs proposent moult activités dont ils ne retiennent pas toujours grand chose.


Selon les matières enseignées, il y aura des variations mais désormais les TICE nous concernent tous.
Je suis professeur d'anglais et effectivement, je m'aide beaucoup d'internet pour préparer mes cours, j'ai conçu plusieurs sites internet pour mes élèves, et je ne me considère pas du tout comme anti-TICE. Cependant, je juge nécessaire une pratique réfléchie, c'est-à-dire se demander si les TICE apportent vraiment quelque chose avant de vouloir absolument emmener les élèves en salle info.


Pouvez vous me faire part de votre expérience, votre ressenti et éventuellement partager quelques conseils précieux.

- prévoir un plan B car il y aura (presque) toujours quelque chose qui ne fonctionnera pas comme prévu (matériel abimé, connexion trop lente, site internet en maintenance,...)
- Je trouve les lecteurs MP3 avec micro très utiles pour entrainer et évaluer les élèves en compréhension et expression orales, mais il y a toujours des problèmes techniques qui rendent l'utilisation lourde.
- chaque travail sur ordinateur doit donner lieu à un résultat concret et éventuellement noté
- ne pas surestimer le niveau en informatique des élèves
- ne pas aller en classe entière en salle info, c'est ingérable. Voir avec la vie scolaire si c'est possible de leur laisser quinze élèves avec un travail.
- se méfier des problèmes de compatibilité des logiciels



Merci

Je me rends compte que mon message est très négatif alors que j'utilise souvent les TICE, mais c'est parce que le côté "nouvelles technologies = obligation - les tice c'est fantastique" de la formation IUFM me dégoûte.

Ce que je veux dire c'est qu'elles sont incontournables car on entend parler plus que de ca. Et en formation, on nous parle beaucoup de ca. Mais la mise en oeuvre n'est pas si claire. Tice ne rime pas forcément avec salle info mais aussi TNI, videoproj, manuel numérique etc....La transmission est avant tout ce qui doit primer certes, ca va de soi. Pas d'inquiétude, je garde bien ça en mémoire

Karine C. a écrit:Je me rends compte que mon message est très négatif alors que j'utilise souvent les TICE, mais c'est parce que le côté "nouvelles technologies = obligation - les tice c'est fantastique" de la formation IUFM me dégoûte.

Ce que je veux dire c'est qu'elles sont incontournables car on entend parler plus que de ca. Et en formation, on nous parle beaucoup de ca. Mais la mise en oeuvre n'est pas si claire. Tice ne rime pas forcément avec salle info mais aussi TNI, videoproj, manuel numérique etc....La transmission est avant tout ce qui doit primer certes, ca va de soi. Pas d'inquiétude, je garde bien ça en mémoire[/quote]

les formateurs n'enseignent pas pour la plupart... alors ils ne savent pas, ils font passer la nouvelle doxa.

quant au matériel, il faut en avoir... dans notre batiment de français on a ni TNI, un vidéoprojecteur sur une dizaines de salle (donc il faut s'arranger avec le collègue qui est dans la salle) et aucun PC dans les salles... on vient juste de nous installer une salle informatique.

Le lycée contient 2 TNI mais ils ont été installé dans le bâtiment des maths/SVT et seuls les profs des matières scientifiques ont été "invités" pour leur inauguration...

En prime, on ne peut accéder aux sites de vidéo en ligne au lycée (ni à FB)

Je pense que ca viendra à se développer dans le temps. Mais c'est vrai qu'on nous en parle beaucoup mais que ce n'est pas encore réalisable complètement.

Bon alors pour créer des exercices sur ordinateur vous pouvez utiliser:

- hot potatoes
- webquestions
- netquizpro

Mon expérience:
Ça prend un temps fou à faire
Les élèves le font en deux minutes chrono

Donc ce n'est pas très "rentable" pour le professeur. Après, c'est joli, ça rend bien (belle présentation), ça plait aux inspecteurs et aux chefs.

ysabel a écrit:Par contre à la rentrée prochaine je vais voir si je ne peux pas mettre en place un projet pour initier tous les élèves de 2des au traitement de texte car ils sont incapables de l'utiliser.

OUi car tous n'ont pas un ordinateur à la maison. Cette année, j'ai marqué un temps d'arrêt quand un de mes élèves m'a dit mais Mme Lénou, j'ai pas d'ordinateur chez moi.

oh, même ceux qui ont un pc ne savent pas l'utiliser...

Le TNI pourrait etre bien sympa à utiliser, mais il faudrait pour ça avoir les fameux stylos qui fonctionnent, que le reseau n'effacent pas les pages
POur moi le TNI, je ne vois pas ça comme la grande invention du siecle. C'est juste une manière plus rigolote de faire les corrections...Surement que ej ne dois pas l'utiliser comme il faut, mais ca ne m'empêche pas de dormir

Pour être honnete je prefere faire un bon diaporama

Je suis professeure d'informatique dans l'enseignement agricole, qui a la particularité d'intégrer dans son référentiel des heures dévolues à l'informatique. J'ai des classes allant de la 3ème au BTS.
Le fait que cet enseignement soit prévu dans les différents référentiels, fait que nous avons des conditions d'exercice en théorie faciles : des salles de 18 postes, permettant d'avoir un poste par élève (classe en 1/2 groupe), et en bon état de fonctionnement, avec des outils pour gérer les accès internet pendant les cours, etc ... enfin tout ce qu'il faut. J'ai également mis en place une plateforme d'enseignement à distance à destination de mes élèves et de mes étudiants (et aussi pour moi car cela me facilite vraiment la tâche) pour y déposer l'ensemble de mes cours, TP et correction, accessible via internet.

Les élèves que nous avons en 3ème sont souvent (pas tous) des jeunes en situation d'échec dans leur précédent collège, donc a priori classes plutôt difficiles. Le référentiel est celui du B2i, c'est à dire l'utilisation de base d'un PC et de quelques outils comme la messagerie, la recherche internet, et l'usage d'une suite bureautique. A plus de la moitié de l'année j'en ai encore qui ne sont pas capable de retrouver le fichier qu'ils ont fait la fois précédente, mais tous ont un profil Facebook, (n'en connaissent évidemment pas les dangers), jouent à des jeux en ligne, téléchargent sans même avoir entendu parler d'Hadopi ...
Pour ce qui est de l'utilisation (basique évidemment) d'un tableur ou d'un traitement de texte, cela laisse vraiment à désirer.

Quelqu'un disait plus haut que l'informatique dans un contexte pédagogique, avec ses contraintes ne les intéressait pas, c'est exactement ça. L'informatique ludique oui, mais ils ne veulent pas aller au delà de ça.
Tant qu'à mes élèves de BTS, qui ne seront pas tous éleveurs de moutons, et pour certains travailleront bientôt en entreprise, ils auront besoin d'utiliser l'informatique, et bien comment dire ... j'ai vu des étudiants de sections orientées comptabilité - gestion ou technico-commerciale, se demander à quoi pourrait bien leur servir un tableur ...

Si j'étais prof d'autre chose que l'informatique, je l'utiliserai pour moi avant tout car c'est un formidable outil pour gagner du temps, pour l'aspect ré-utilisabilité, etc ... et pour mes élèves généralement ponctuellement, soit pour donner un aspect un peu moins barbare à un concept très théorique, c'est à dire en utilisant une vidéo, une animation sensée illustrer quelque chose, ou bien en application de leçons étudiées, je pense par exemple aux logiciels de géométrie dynamique (je vois mieux à quoi ça peut servir dans les domaines scientifiques que dans les domaines littéraires, mais il y a surement de bons exemples à trouver).

Tout ça pour dire que l'enseignement des TICEs à toutes les sauces, je n'y crois pas beaucoup, je ne suis pas sure que les élèves en retirent un bénéfice majeur, c'est avant tout pour eux un moment de divertissement.

Je rejoins le message de Felicie. Il faut bien, à mon sens distinguer trois choses :

1) l'usage que le professeur a de l'ordinateur pour lui. Nous nous en servons comme d'un outil qui nous apporte évidemment beaucoup, et qui vient s'ajouter à nos livres, manuels sur le plan de nos recherches… et nous permet de taper des leçons, des contrôles, etc.

2) l'usage que les élèves ont des ordinateurs pour eux. Ils en font bien ce qu'ils veulent : ce n'est pas mon problème.

3) l'usage de l'outil informatique (&co) en cours. Et là, on confond souvent la fin et les moyens. Soit on prétend enseigner aux élèves l'informatique/le traitement de texte/les tableurs/que sais-je encore, et dans ce cas on leur donne des cours d'informatique/de traitement de texte/de tableur/de que sais-je encore (i.e. on se dote d'une discipline à part entière sur le sujet, car effectivement, il n'y a pas de raisons que les élèves qui pratiquent pour la plupart tout autre chose sur un ordinateur maîtrisent correctement ces domaines).
Soit on ne fait que s'en servir dans sa pratique pédagogique de prof de français/de maths/d'art pla/etc., et alors c'est juste un moyen comme un autre, et rien davantage. Que je passe un film sur une télé ou sur l'écran d'un TNI, l'important est que je passe un film. Qu'ensuite à la marge l'outil informatique apporte des choses + pratiques, très bien, saisissons-nous en. Mais croire qu'on va révolutionner l'enseignement parce qu'on a des TNI et des ordis, c'est n'importe quoi. Ce qui importe, c'est le contenu des cours, pas de savoir si l'exercice est sur un manuel papier, sur un manuel numérique ou sur une plate-forme où l'on a créé des jolis caches à déplacer d'un beau mouvement de la main ou du stylo numérique. On fait passer le moyen pour une finalité, et ça, c'est assez grave.

J'ajoute à cela que toute cette débauche technologique a un coût, et que blablabla argent mieux utilisé. Honnêtement, quand on voit le prix d'un TNI et celui d'un vidéoprojecteur, je ne comprends pas qu'on puisse équiper les établissements de quelques rares TNI souvent différents les uns des autres suivant les derniers appels d'offre à la mode alors qu'on pourrait équiper chaque salle d'un vidéoprojecteur, qui fait la même chose dans 99% des situations.

+ 1 avec Celeborn.

A propos de coût : Dans mon département tous les collégiens (et leurs profs) de 4ème et 3ème sont dotés par le conseil général d'un ordinateur portable. Quel gâchis d'argent, quand on voit l'état dans lequel ces chérubins rendent ce matériel ... Alors que depuis 12 ans que dure l'opération on aurait pu équiper tous les collèges du département de salles dignes de ce nom, pour beaucoup moins cher !!!

Thalia de G a écrit:Ma réponse ne t'avanceras pas plus que celles de Provence et de Cripure. Je suis en lettres et je n'amène mes classes en salle info qu'une fois par an, histoire de valider l'item B2I qui m'est échu.

Ah ? En lettres, on est concerné par le bédeuzi ? J'en apprends tous les jours, ici...

Karine C. a écrit:

Cripure a écrit:

Karine C. a écrit:Bonsoir,

Les TICE sont désormais incontournables, Ben... Si :lol:

mais n'étant encore qu'en formation, je me demande comment concrètement les mettez vous en œuvre dans votre quotidien d'enseignant.

Mon stage en responsabilité approche et c'est un axe important à ne pas négliger mais comment s'y prendre?

Qu'est ce qui intéresse le plus les élèves en la matière? Raconter des conneries sur eux-mêmes et des saloperies sur les autres via Facebook, je crois.

Selon les matières enseignées, il y aura des variations mais désormais les TICE nous concernent tous.

Pouvez vous me faire part de votre expérience, votre ressenti et éventuellement partager quelques conseils précieux. Bienvenue à vous. Mon ressenti, c'est que ceux qui parlent beaucoup de TICE oublient que ce n'est qu'un moyen. Et c'est qu'on peut très bien s'en passer complètement.

Merci

Mais ne penses-tu pas que dans l'enseignement, les TICE peuvent être bénéfiques aussi bien pour toi que pour tes élèves? Non.
Est-ce un refus catégorique de ta part ou est-ce plutôt par méconnaissance du domaine au niveau de l'enseignement? Je pense que mon enseignement passe par moi.
As tu des collègues qui les utilisent dans ton domaine (les lettres si je ne me trompe pas)? Non, pas dans mon établissement. On est très unis sur ce point
Je te pose cette question car en plus de passer mon CAPES d'anglais, je suis admissible au oraux du CAPLP anglais-lettres.
L'usage des TICE en langues paraît plus rependu, je cherche donc à en apprendre d'avantage pour ce qui est des autres matières.

C'est bien normal Bon courage.

Cripure a écrit:Ah ? En lettres, on est concerné par le bédeuzi ? J'en apprends tous les jours, ici...

Voui!
Les compétences "envoyer un mail"/"faire une recherche"/"ouvrir une pièce jointe"... ne sont pas vraiment liés à un champ disciplinaire.

Ne vous prenez pas la tête avec le B2i. Le B2i fait partie du socle commun. Le socle commun est donné à tout le monde ou presque. Donc autant faire cours.

Peut-être, mais je doute qu'en tenant ce discours Karine C soit plus avancée...

caperucita a écrit:Peut-être, mais je doute qu'en tenant ce discours Karine C soit plus avancée...

Au moins, elle sait à quoi s'en tenir pour quand elle enseignera. L'idée est de faire relativiser l'importance de ces choses bizarroïdes qu'on leur demande dans leur préparation : il faut évidemment faire ça bien pour être validé, mais ne pas y attacher non plus une quelconque importance par rapport au métier à venir.

Je viens de lire les sujets. Ils donnent à fond dans le savoir-être et ont quelque-chose d'intrusif, dans leur injonction à rendre compte de discussions qu'on a eu et des réflexions qu'on en a conçu, que je trouve un peu monstrueux.
Mais bon, il faudra bien que nos jeunes futurs collègues fassent avec, et je leur souhaite bon courage.

Je vous recommande la lecture de The Dumbest Generation de Mark Bauerlein. Son propos concerne les Etats-Unis mais je pense qu'on peut faire le même genre d'analyse et de constats pour la France.

Il parle entre autres de ces "districts scolaires" qui se sont lancés à fond dans les TICE avec un équipement massif des écoles et qui n'ont pu que constater, quelques années plus tard, que cela n'avait eu aucun effet bénéfique sur les résultats et les progrès des élèves. Bon, le livre ne porte pas seulement sur l'usage des TICE dans le cadre scolaire cependant.

Donc, outil formidable pour le prof pour utiliser de nouveaux supports sans doute, solution incontournable pour lutter contre l'échec scolaire (car c'est le message un peu subliminal qu'on veut nous faire "gober"), non.

50 Million Minds Diverted, Distracted, Devoured

For decades, concern has been brewing about the dumbed-down popular culture of young people and the impact it has on their futures.

Social Nitwitting
The dawn of the digital age once aroused our hopes: the Internet, e-mail, blogs, and interactive and ultra-realistic video games promised to yield a generation of sharper, more aware, and intellectually sophisticated children. The terms “information superhighway” and “knowledge economy” entered the lexicon, and we assumed that teens would use their know-how and understanding of technology to form the vanguard of this new, hyper-informed era.
That was the promise. But the enlightenment didn’t happen.

Mind(less) Games
The technology that was supposed to make young adults more astute, diversify their tastes, and improve their minds had the opposite effect. According to recent reports from government agencies, foundations, survey firms, and scholarly institutions, most young people in the United States neither read literature (or fully know how), work reliably (just ask employers), visit cultural institutions (of any sort), nor vote (most can’t even understand a simple ballot). They cannot explain basic scientific methods, recount foundations of American history, or name any of their local political representatives. What do they happen to excel at is – each other. They spend unbelievable amounts of time electronically passing stories, pictures, tunes, and texts back and forth, savoring the thrill of peer attention and dwelling in a world of puerile banter and coarse images.

The Not So Greatest Generation
Anyone who thinks this is mere intergenerational grousing, the time-worn tradition of an older generation wagging its finger at a younger one, should think again.
Drawing upon exhaustive research, detailed portraits, and historical and social analysis, The Dumbest Generation presents an uncompromisingly realistic study of the young American mind at this critical juncture. The book also lays out a compelling vision of how we might address its deficiencies.
To fail to do so may well mean sacrificing our future to the least curious and intellectual generation in national history.

Un site de présentation du livre, ici.

Blan6ine a écrit:

Cripure a écrit:Ah ? En lettres, on est concerné par le bédeuzi ? J'en apprends tous les jours, ici...

Voui!
Les compétences "envoyer un mail"/"faire une recherche"/"ouvrir une pièce jointe"... ne sont pas vraiment liés à un champ disciplinaire.

Ah, voilà. Donc, pas chez moi

Celeborn a écrit:

caperucita a écrit:Peut-être, mais je doute qu'en tenant ce discours Karine C soit plus avancée...

Au moins, elle sait à quoi s'en tenir pour quand elle enseignera. L'idée est de faire relativiser l'importance de ces choses bizarroïdes qu'on leur demande dans leur préparation : il faut évidemment faire ça bien pour être validé, mais ne pas y attacher non plus une quelconque importance par rapport au métier à venir.

Et puis, agir en fonctionnaire éthique et responsable, ça commence en ne demandant pas des crédits pour n'importe quoi

Il y a un formateur qui nous expliquait le contraire et nous enjoignait à râler pour qu'on ait tous un tableau numérique dans notre salle. :lol:

Patissot a écrit:Il y a un formateur qui nous expliquait le contraire et nous enjoignait à râler pour qu'on ait tous un tableau numérique dans notre salle. :lol:

Quelle horreur ! Et mon TVNI ?

Cripure a écrit:Quelle horreur ! Et mon TVNI ?

Qu'est-ce que c'est ça?

Blan6ine a écrit:

Cripure a écrit:Ah ? En lettres, on est concerné par le bédeuzi ? J'en apprends tous les jours, ici...

Voui!
Les compétences "envoyer un mail"/"faire une recherche"/"ouvrir une pièce jointe"... ne sont pas vraiment liés à un champ disciplinaire.

Ces items sont validés en fin de CM2.

Zelda a écrit:

Cripure a écrit:Quelle horreur ! Et mon TVNI ?

Qu'est-ce que c'est ça?

Tableau Volant Non Identifié ?

Snparg a écrit:Tableau Volant Non Identifié ?

Tableau Vert Non Interactif ?