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- User5899Demi-dieu
thrasybule a écrit:Cripure, je suis cloué au lit à cause d' une sinusite: c est pas gentil de me faire rigoler, ça a fait empirer la céphalée :colere:
Et cela, de tous tempsJohn a écrit:j'ai bien compris que ce forum était 100 % anti-HollandeL'un des problèmes des gens, c'est l'excès dans la généralisation abusive.Tout le PS est dans cette onction d'évêque, je trouve.
- Luigi_BGrand Maître
thrasybule a écrit:Cripure, je suis cloué au lit à cause d' une sinusite: c est pas gentil de me faire rigoler, ça a fait empirer la céphalée :colere:
Pas étonnant que rien n'aille comme il faut dans l’Éducation nationale : il y en a si peu qui travaillent pendant que Thrasy bulle.
- ysabelDevin
adrifab a écrit:De toute façon, j'ai bien compris que ce forum était 100 % anti-Hollande donc je n'interviens plus car étant déjà en dépression, je n'ai pas besoin d'avoir en plus une meute qui me tombe dessus dès que j'écris un mot. Vous n'entendrez plus parler de moi sur ce forum. Votez blanc si ça vous amuse et restez dans le rejet de tous. Seulement, si Sarko est réellu, ne venez pas pleurnicher ! Au revoir !
le pleurnicheur c'est toi ici... si le fait de ne pas être d'accord avec tes choix politiques te hérisse et bien tant pis et bon vent...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- User5899Demi-dieu
Hi hi hi :lol: Je n'avais pas osé la faire, merci ! :lol!:Luigi_B a écrit:Pas étonnant que rien n'aille comme il faut dans l’Éducation nationale : il y en a si peu qui travaillent pendant que Thrasy bulle.thrasybule a écrit:Cripure, je suis cloué au lit à cause d' une sinusite: c est pas gentil de me faire rigoler, ça a fait empirer la céphalée :colere:
- JohnMédiateur
Bon, j'ai demandé à mettre fin aux private jokes, c'est la dernière fois.
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- kensingtonEsprit éclairé
source: L'Express.frEducation: Sarkozy n'est pas en mesure de "réenchanter" l'école
Par Marie Caroline Missir, publié le 22/02/2012 à 17:06
Dominique Antoine, conseiller éducation de Nicolas Sarkozy de 2007 à 2009 votera pour François Hollande aux prochaines élections présidentielles. Il explique le sens de son ralliement et s'exprime sur la politique éducative de Nicolas Sarkozy.
Vous qualifiez le bilan éducatif de Nicolas Sarkozy de "maigre". Pourquoi?
Deux choses expliquent ce maigre bilan: le manque de courage politique et un manque de connaissance du système éducatif. A l'Elysée, les conseillers qui n'étaient pas à la réunion du matin ne pesaient pas suffisamment et c'était mon cas. Plusieurs conseillers intervenaient sur les questions d'éducation: Emmanuelle Mignon, Raymond Soubie, Henri Guaino et Cédric Goubert, le chef de cabinet, très présent sur les questions mémorielles. Moi je n'étais pas un sarkozyste historique, je n'avais pas participé à la campagne. J'étais là en tant qu'expert.
Que cherchez-vous avec ce ralliement à François Hollande? Un poste? Une fonction dans la campagne?
Les postes je les ai eus. J'en ai peut être rêvé plus jeune : ce n'est plus le cas. J'anime aujourd'hui une émission littéraire sur internet, Interlignes. Ce qui me motive c'est mon attachement à l'Education nationale, et il m'a paru intéressant, dans cette période de prendre position. Quant à participer à la campagne de François Hollande, je crois que Vincent Peillon est suffisamment entouré. Je n'ai pas d'enjeux personnels dans cette affaire. J'ai passé l'âge. Ce qui m'intéresse, c'est de faire avancer les choses.
Pourquoi critiquer aujourd'hui les "libéraux" que compte l'entourage de Nicolas Sarkozy alors que vous êtes vous-même l'initiateur d'une association très libérale, "créateurs d'école"?
L'initiative de ce mouvement a été prise par Guy Bourgeois, alors directeur adjoint de cabinet de René Monory. Je l'ai connu à ma sortie de l'Ena en 1987. J'étais humainement proche de lui et je l'ai accompagné dans ce projet. De juin 1991 à octobre 1992, j'ai été le secrétaire général de cette association. C'était une association libérale, qui voulait faciliter la création d'écoles hors contrat. Son action était autant dirigée contre l'enseignement public que contre l'enseignement catholique. Dès cette époque, je me suis rendu compte que c'était une impasse: c'est pourquoi j'ai pris mes distances avec ce mouvement. Toute mon action par la suite au ministère de l'Education nationale a montré que je m'étais détourné de cette erreur de jeunesse.
Durant votre passage à l'Elysée, vous avez été tenu à l'écart de certaines mesures, comme la suppression de l'école le samedi matin, décidée directement par le ministre et le président. Existait-il une guerre d'influence entre le conseiller de l'Elysée et le ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos?
Une guerre, non. Mais il est vrai qu'assez vite, Xavier Darcos a bénéficié d'une large confiance du président. Il a eu tendance à chercher d'autres canaux de communication avec l'Elysée que celui du conseiller en charge de l'éducation, notamment sur la question de la réforme de la formation des enseignants. Cette réforme me paraissait un peu rapide et pas suffisamment réfléchie. S'agissant de la suppression du samedi matin, je rappelle simplement que Xavier Darcos était favorable à la semaine de quatre jours et demi. Ce sont les conseils d'école qui ont majoritairement décidé de passer à la semaine de quatre jours.
Vous semblez sceptique dans votre tribune sur la possibilité de créer 60 000 nouveaux postes dans l'Education nationale, comme le propose François Hollande. Vous n'y croyez pas?
Disons que je salue le volontarisme qui s'exprime à travers cette annonce. Je sais que ce sera très difficile. Il faudra faire de gros sacrifices ailleurs pour arriver à ce résultat.
Nicolas Sarkozy présentera son programme pour l'école le 28 février. Que devrait-il proposer selon vous pour gagner l'adhésion du monde éducatif?
Je voudrais souligner que je n'ai pas de problème personnel avec le Président. Mon sujet n'est pas de régler des comptes. Je pense malheureusement que le bilan de Nicolas Sarkozy ne le met pas en situation de réenchanter le monde éducatif. Pour moi, la mère des batailles c'est la lecture en CP: il faut repérer les bonnes pratiques, se donner les moyens de les diffuser et de former les professeurs. Si un candidat développe cette priorité, je serai de son côté.
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