- InvitéInvité
Bonjour, j'ai appris vendredi que je devais travailler avec ma classe de troisième sur ce poème d'Apollinaire. Or, je clos ma partie poésie, et, par conséquent, j'aimerais le faire en devoir et faire ensuite un corrigé bien approfondi sur ce poème. Quelqu'un aurait-il quelque chose à me conseiller (document, questions déjà faites). Vous me sauveriez grandement ! merci d'avance
- miss teriousDoyen
J'ai trouvé ça sur le net :
http://1poeme1image.over-blog.com/article-32198115.html
Et ça :
Poème XII, daté ce qui confirme le statut de poème-épistolaire : ce poème est bien une lettre et cette lettre comble l'absence, abolit les distances. Poème qui fait suite à la 2ème permission et le poète sent déjà un premier éloignement de Lou (alors que le recueil est à peine commencé) : poème qui repose sur une hypothèse tragique à savoir, la mort du poète (fantasmée car à ce moment-là, A est officier réserviste, et il ne découvrira le front que 2 mois plus tard). Voir en quoi cela participe du discours de la persuasion amoureuse.
Poème qui apparaît à la fois comme un chant d'amour, mais aussi un chant mémoriel qui, tout en chantant Lou, met en avant le poète : on retrouve les thèmes chers à Apollinaire comme le souvenir, l'analogie amour/guerre. Voir ici le glissement vers un lyrisme élégiaque. Tradition avec un poème de facture classique mais modernité dans le choix des images et l'acrostiche final : l'invocation du nom, élément lyrique majeur ici renouvelé.
I. Chanter l'amour et le souvenir
- Instances lyriques pour réinvestir la séance 2 / Montrer le rapport essentiel entre lyrisme et chant (caractère oral à mobiliser) et enfin l'idée que l'exclamation lyrique aussi suspend la mort.
Insister sur l'idée que la poésie lyrique est moins la présence d'un « je » (même si indéniablement elle est le fait d'un sujet à la 1ère personne) qu' « une invocation tutoyante ». Elle se reconnaît donc à l'exclamation « Ô toi qui... ». Relever les co-occurrences de « je » et « tu » et plus subtilement leur présence (le poète et Lou) dans le chant avec les sonorités et analogies, les périphrases :
- faire relever pour représenter Lou : le son [ou] : 26 fois dans le poème (mourais, souvenir rougirais, toutes, bout, bouche...) et les liquides [l] + relever les sonorités du poète amant : le son [ã] : relié à « obus éclatant », « sang » du poète qui revient comme une litanie « souviens-t’en »à relier à l'acrostiche final totalement dédié à Lou (nom devient un matériau poétique): acrostiche + acrostiche final qui lie les deux : O LOU en acrostiche et rime en [ã] «descend », « pressent », « sang ». Montrer l'enthousiasme du ton et du propos en décalage avec la situation tragique imaginée : mort « sur le front de l'armée » (hémistiche répété 2 fois) :
- relever les traces du chant : 5 quintils avec alexandrins autour de deux rimes par quintil avec un texte qui fait apparaître des répétitions d'hémistiches ou d'expressions variant sur un mot avec des polyptotes par exemple. Pour cela, voir les 2 périphrases pour désigner le poète : « souvenir » et « obus » : jeu avec des polyptotes qui fait l'analogie entre souvenir et obus : « souvenir éclaté » et « obus éclatant » sont la preuve de cette analogie. + jeu de répétitions qui témoignent d'une poésie litanique avec des rimes riches, des répétitions à la rime, des anaphores et des variations sur ces anaphores : subtil jeu d'entrelacement avec « obus » et « souvenir » pour arriver à « sang ».
- dernier point montrer que cela s'inscrit dans une persuasion amoureuse : litanie du souvenir avec l'idée d'un commémoration : dialogue avec Lou pour le souvenir (dernier quintil), et l'encourage au bonheur par delà la mort.
II. Un réel transmué par l'écriture poétique : une renaissance poétique
Le réel et l'imaginaire :
Travailler sur la comparaison et l'analogie (des éléments déjà donnés dans la partie précédente), ce qui permet d'appréhender l'esthétique d'Apollinaire : là où la métaphore propose une fusion entre comparant et comparé pour produire l'image, la comparaison laisse en parallèle le
comparé et le comparant et fait ainsi cohabiter réel et imaginaire.
L'analogie apparaît sur trois niveaux : sons (voir 1ère partie), mots (poète devient « obus » qui devient « souvenir », idées amour et guerre : c'est l'objet de cette partie : montrer le messianisme, la charge érotique de l'écriture qui au moment de la mort dit le désir immortalisé : c'est l'argument de tout le poème si on le prend dans le sens d'un discours de la persuasion.
- Voir d'abord la transmutation du réel tragique : place de la guerre dans le texte est sublimée (alors que le prochain texte la montre plus concrètement). Eléments tragiques : mort et ses polyptotes : verbe mourir qui ouvre et clôt le texte + lexique « fatal giclement » « destins galants » « nuit descend » et les vers de clôture.
- Mais tragique récupéré par le messianisme : amour et mort fusionnent pour nourrir et féconder la terre : renaissance du monde par la mort sacrificielle du poète (topos littéraire du sang des soldats fécondant la Terre). L'obus, moteur de l'analogie (voir 1er quintil trois niveaux de comparaison) se retrouve dans le mot « souvenir » (deux quintils suivants) : fait le lien entre le monde terrestre et le monde céleste : analogie microcosme/macrocosme avec les images florales, naturelles, cosmiques. Quintils du coeur du poème : expression de la totalité (à relever) + expression de l'universalité (monde espace étoiles...) + démultiplication des éléments (importance du soleil)
- Dernier point : érotisation de l'écriture. Il s'agira de montrer la dimension performative de la poésie. La renaissance du monde permise par le sacrifice du poète « souvenir oublié vivant dans toutes choses » s'apparente à une dernière jouissance amoureuse. Sang du poète touche Lou comme il a touché le monde : force érotique du quintil central avec un double sens sur l'ensemble des mots. « Rougirais » sens propre : sang / sens figuré : métaphore du désir, « tu ne vieillirais point » « fatal giclement » « mon sang » autre analogie « c'est la fontaine ardente du bonheur » (contre-rejet du vers 14 analogie Lou / toutes choses). Apothéose du dernier quintil invocation à Lou + « jeunesse » « amour » « ardeur » « fontaine ardente ». Souffle lyrique final.
Conclusion : Communication amoureuse comme entreprise vocative, une parole performative, un appel à la fois désespéré et plein d'espoir.
- Vision lyrique, messianique, érotisée de la prophétie de sa propre mort.
http://1poeme1image.over-blog.com/article-32198115.html
Et ça :
Poème XII, daté ce qui confirme le statut de poème-épistolaire : ce poème est bien une lettre et cette lettre comble l'absence, abolit les distances. Poème qui fait suite à la 2ème permission et le poète sent déjà un premier éloignement de Lou (alors que le recueil est à peine commencé) : poème qui repose sur une hypothèse tragique à savoir, la mort du poète (fantasmée car à ce moment-là, A est officier réserviste, et il ne découvrira le front que 2 mois plus tard). Voir en quoi cela participe du discours de la persuasion amoureuse.
Poème qui apparaît à la fois comme un chant d'amour, mais aussi un chant mémoriel qui, tout en chantant Lou, met en avant le poète : on retrouve les thèmes chers à Apollinaire comme le souvenir, l'analogie amour/guerre. Voir ici le glissement vers un lyrisme élégiaque. Tradition avec un poème de facture classique mais modernité dans le choix des images et l'acrostiche final : l'invocation du nom, élément lyrique majeur ici renouvelé.
I. Chanter l'amour et le souvenir
- Instances lyriques pour réinvestir la séance 2 / Montrer le rapport essentiel entre lyrisme et chant (caractère oral à mobiliser) et enfin l'idée que l'exclamation lyrique aussi suspend la mort.
Insister sur l'idée que la poésie lyrique est moins la présence d'un « je » (même si indéniablement elle est le fait d'un sujet à la 1ère personne) qu' « une invocation tutoyante ». Elle se reconnaît donc à l'exclamation « Ô toi qui... ». Relever les co-occurrences de « je » et « tu » et plus subtilement leur présence (le poète et Lou) dans le chant avec les sonorités et analogies, les périphrases :
- faire relever pour représenter Lou : le son [ou] : 26 fois dans le poème (mourais, souvenir rougirais, toutes, bout, bouche...) et les liquides [l] + relever les sonorités du poète amant : le son [ã] : relié à « obus éclatant », « sang » du poète qui revient comme une litanie « souviens-t’en »à relier à l'acrostiche final totalement dédié à Lou (nom devient un matériau poétique): acrostiche + acrostiche final qui lie les deux : O LOU en acrostiche et rime en [ã] «descend », « pressent », « sang ». Montrer l'enthousiasme du ton et du propos en décalage avec la situation tragique imaginée : mort « sur le front de l'armée » (hémistiche répété 2 fois) :
- relever les traces du chant : 5 quintils avec alexandrins autour de deux rimes par quintil avec un texte qui fait apparaître des répétitions d'hémistiches ou d'expressions variant sur un mot avec des polyptotes par exemple. Pour cela, voir les 2 périphrases pour désigner le poète : « souvenir » et « obus » : jeu avec des polyptotes qui fait l'analogie entre souvenir et obus : « souvenir éclaté » et « obus éclatant » sont la preuve de cette analogie. + jeu de répétitions qui témoignent d'une poésie litanique avec des rimes riches, des répétitions à la rime, des anaphores et des variations sur ces anaphores : subtil jeu d'entrelacement avec « obus » et « souvenir » pour arriver à « sang ».
- dernier point montrer que cela s'inscrit dans une persuasion amoureuse : litanie du souvenir avec l'idée d'un commémoration : dialogue avec Lou pour le souvenir (dernier quintil), et l'encourage au bonheur par delà la mort.
II. Un réel transmué par l'écriture poétique : une renaissance poétique
Le réel et l'imaginaire :
Travailler sur la comparaison et l'analogie (des éléments déjà donnés dans la partie précédente), ce qui permet d'appréhender l'esthétique d'Apollinaire : là où la métaphore propose une fusion entre comparant et comparé pour produire l'image, la comparaison laisse en parallèle le
comparé et le comparant et fait ainsi cohabiter réel et imaginaire.
L'analogie apparaît sur trois niveaux : sons (voir 1ère partie), mots (poète devient « obus » qui devient « souvenir », idées amour et guerre : c'est l'objet de cette partie : montrer le messianisme, la charge érotique de l'écriture qui au moment de la mort dit le désir immortalisé : c'est l'argument de tout le poème si on le prend dans le sens d'un discours de la persuasion.
- Voir d'abord la transmutation du réel tragique : place de la guerre dans le texte est sublimée (alors que le prochain texte la montre plus concrètement). Eléments tragiques : mort et ses polyptotes : verbe mourir qui ouvre et clôt le texte + lexique « fatal giclement » « destins galants » « nuit descend » et les vers de clôture.
- Mais tragique récupéré par le messianisme : amour et mort fusionnent pour nourrir et féconder la terre : renaissance du monde par la mort sacrificielle du poète (topos littéraire du sang des soldats fécondant la Terre). L'obus, moteur de l'analogie (voir 1er quintil trois niveaux de comparaison) se retrouve dans le mot « souvenir » (deux quintils suivants) : fait le lien entre le monde terrestre et le monde céleste : analogie microcosme/macrocosme avec les images florales, naturelles, cosmiques. Quintils du coeur du poème : expression de la totalité (à relever) + expression de l'universalité (monde espace étoiles...) + démultiplication des éléments (importance du soleil)
- Dernier point : érotisation de l'écriture. Il s'agira de montrer la dimension performative de la poésie. La renaissance du monde permise par le sacrifice du poète « souvenir oublié vivant dans toutes choses » s'apparente à une dernière jouissance amoureuse. Sang du poète touche Lou comme il a touché le monde : force érotique du quintil central avec un double sens sur l'ensemble des mots. « Rougirais » sens propre : sang / sens figuré : métaphore du désir, « tu ne vieillirais point » « fatal giclement » « mon sang » autre analogie « c'est la fontaine ardente du bonheur » (contre-rejet du vers 14 analogie Lou / toutes choses). Apothéose du dernier quintil invocation à Lou + « jeunesse » « amour » « ardeur » « fontaine ardente ». Souffle lyrique final.
Conclusion : Communication amoureuse comme entreprise vocative, une parole performative, un appel à la fois désespéré et plein d'espoir.
- Vision lyrique, messianique, érotisée de la prophétie de sa propre mort.
_________________
"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- ProvenceEnchanteur
Eily a écrit:Bonjour, j'ai appris vendredi que je devais travailler avec ma classe de troisième sur ce poème d'Apollinaire.
Comment ça, "tu dois"? Tu es libre de choisir tes textes et d'en organiser l'étude dans le respect des Instructions Officielles.
- InvitéInvité
C'est ce qu'ils ont choisi pour l'histoire de l'art ...
merci pour le lien, je vais étudier ça en détails
merci pour le lien, je vais étudier ça en détails
- InvitéInvité
Les profs de français du collège où je bosse ... et ça, avant que j'arrive
- ProvenceEnchanteur
Eh bien qu'ils le fassent si ça leur chante. Et toi, fais ce que tu veux.
- InvitéInvité
sauf que la liste pour l'histoire de l'art a déjà été donné à mes élèves :/
- ProvenceEnchanteur
Ils peuvent la traiter en autonomie. Ou bien, tu transformes la liste pour ta classe. Il suffit de remplacer ce poème par un autre que tu as étudié.
- Thalia de GMédiateur
Je suis bien contente de ne pas travailler dans ton collège.
Ce n'est pas une critique contre toi, j'ai l'impression que cela te pèse, mais s'il ne nous reste même pas la liberté de choisir nos textes, où va-t-on ?
Ce n'est pas une critique contre toi, j'ai l'impression que cela te pèse, mais s'il ne nous reste même pas la liberté de choisir nos textes, où va-t-on ?
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- ProvenceEnchanteur
Thalia de G a écrit:Je suis bien contente de ne pas travailler dans ton collège.
Ce n'est pas une critique contre toi, j'ai l'impression que cela te pèse, mais s'il ne nous reste même pas la liberté de choisir nos textes, où va-t-on ?
+1. C'est une dérive inquiétante.
- Thalia de GMédiateur
Vous avez posté en même temps que je rédigeais.
Quel est le thème ?
Quel est le thème ?
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- InvitéInvité
disons que je viens de passer plus d'un mois sur la poésie lyrique et engagée, que mes élèves en ont assez (et franchement, moi aussi). Je viens d'entamer l'autobiographie (car ça tombe au brevet blanc) et j'ai eu comme instruction de la part de la prof que je remplace et des collègues : "faut absolument faire ce texte !". Franchement, j'aurais préféré leur mettre "souvenir de la nuit du 4" qu'on a étudié de fond en comble pour leur faire voir un peu ce qu'était un commentaire composé (comme j'ai une excellente classe)
- ProvenceEnchanteur
Eily a écrit:disons que je viens de passer plus d'un mois sur la poésie lyrique et engagée, que mes élèves en ont assez (et franchement, moi aussi). Je viens d'entamer l'autobiographie (car ça tombe au brevet blanc) et j'ai eu comme instruction de la part de la prof que je remplace et des collègues : "faut absolument faire ce texte !". Franchement, j'aurais préféré leur mettre "souvenir de la nuit du 4" qu'on a étudié de fond en comble pour leur faire voir un peu ce qu'était un commentaire composé (comme j'ai une excellente classe)
Tes collègues n'ont pas à te donner d'instructions. De plus, c'est trop tard. Tu ne vas pas mettre en péril le traitement complet du programme pour une information qui, arrivée trop tard, vient comme un cheveu sur la soupe de ta programmation. Tes collègues s'adapteront à toi.
- Thalia de GMédiateur
Ben voilà, c'est tout trouvé. Tu ne peux pas interrompre ta séquence autobio pour revenir en arrière.
Courage pour argumenter avec tes collègues.
Edit : Provence
Courage pour argumenter avec tes collègues.
Edit : Provence
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- InvitéInvité
Mouais ... Vu déjà comment ils considèrent les contractuelles ... (pour le brevet blanc, on m'a dit de m'adapter que c'était ce sujet, point barre). Je voulais trouver un compromis en faisant un DS sur ce texte d'Apollinaire mais bon ... Ca me gonfle réellement
- ProvenceEnchanteur
Si ça avait été vraiment important, on t'aurait prévenue plus tôt. Bon courage!
- Li-LiNeoprof expérimenté
J'ai un commentaire mais que j'ai fait pour les premières! en revanche Jean Ferrat l'a reprise, on la trouve facilement sur internet, je sais pas si ça peut aider en HDA, mais mes élèves avaient beaucoup aimé la mise en chanson.
- InvitéInvité
Merci Li-Li, je vais regarder ça ... Il faut que je trouve une façon de le travailler sans que ça me gène dans ma progression
- Thalia de GMédiateur
C'est quand, l'oral ? Parce que tu as toujours la solution de distribuer à tes élèves un commentaire tout fait, en leur expliquant qu'on t'a prévenue trop tard, quitte à revenir ultérieurement dessus.
Li-Li te propose le sien, profites-en.
Li-Li te propose le sien, profites-en.
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- InvitéInvité
Tu penses qu'ils comprendront correctement le commentaire de première ? C'est en effet une solution ... Li-Li, tu pourrais me le transmettre s'il te plait. En tout cas, merci à tous
- Li-LiNeoprof expérimenté
Je pense qu'il faut que tu le réadaptes, surtout que pour les premières j'ai une partie sur l'érotisme du poème (déjà qu'ils ont eu un peu de mal ) envoie moi un mp.
- OudemiaBon génie
tu as vu la date ?
EDIT : c'était pour Ch*** qui a édité
- CHOUCROUTENiveau 9
Oudemia a écrit:
tu as vu la date ?
EDIT : c'était pour Ch*** qui a édité
OUI ... je l'ai vue quand j'ai posté ... mais trop tard ... d'où mon "EDIT" !
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum