- BouletbilleNiveau 5
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A l’approche des prochaines échéances électorales, nul ne peut ignorer les programmes éducatifs des différents partis politiques, à commencer par celui du Front National qui semblerait, à première vue seulement, proche des idées d’un grand nombre de royalistes. Le récent colloque du Think Tank Le Peniste Idées Nation a permis de mettre en exergue les grandes lignes du programme éducatif du Front National qui, s’il peut apparaître pertinent au premier abord, renferme de dramatiques mesures au jacobinisme purulent.
Il faut tout d’abord reconnaître que nombre d’idées du Front National sont véritablement pertinentes, et posent de réelles bases de réflexion : revalorisation de l’enseignement de l’Histoire de France, dénonciation des réformes « jacklangistes » (dixit Louis Alliot) et la reformation intellectuelle des jeunes générations, rétablissement d’une saine autorité des enseignants, revalorisation des écoles de proximité et le rejet du communautarisme islamique, etc…
Grandement inspirées des mouvements souverainistes comme celui de Mr Paul Marie Coûteaux, ces mesures à vocation nationalistes ne forment que la partie émergée de l’iceberg frontiste, le miel qui sert d’attrape-mouches pour rafler toutes les voix conservatrices… Et force est de constater les dangereux désastres que renferme la partie immergée de cet iceberg !
Parce qu’elle néglige complètement la liberté éducative nécessaire à l’épanouissement de l’enfant en voulant mettre en place une extrême centralisation éducative par l’Etat, renvoyant aux vestiaires tout principe de subsidiarité et notamment le rôle éducatif fondamental des parents. Comme le dit clairement Christian Le Chevallier (récent transfuge de Debout La République) : « c’est bien à l’Etat qu’il appartient d’avoir une politique interventionniste dans l’éducation. »
Le nationalisme frontiste n’est guère tourné vers l’épanouissement de tous, loin d’être pour l’indépendance intellectuelle des jeunes générations : s’inspirant du principe d’éducation totale, cher au nationaliste Fichte, le Front National remet au goût du jour l’éducation « sans les parents » avec un Etat omniprésent et une rééducation intellectuelle purement républicaine. L’Histoire royale de France semble visiblement être le cadet de leur souci, tout comme les mensonges républicains semble être leur marque de fabrique, par exemple cette énormité de Mr Alliot : « Nul ne contestera que depuis les Lumières jusqu’à 1980 l’école fut instituée pour la République. Ce sont les valeurs sociales et républicaines qui fondent le contrat social »…
On peut également noter que ce programme du Front National ressemble étonnamment au projet éducatif défendu par l’ardent révolutionnaire Michel Lepeletier en 1792-1793, axé sur la laïcité, la république et l’autorité en lui ôtant tout de même son côté spartiate complètement impertinent. Ce dernier proposait d’ « opérer une entière régénération grâce à une éducation vraiment nationale, vraiment républicaine qui prenne en charge la totalité de l’existence de l’enfant »…
Que les royalistes et les gens de bonne foi ne s’y trompent pas : les mesures proposées par le Front National sont, sur bien des points, aux antipodes de la pensée royaliste. Principe de subsidiarité, objectivité historique et épanouissement intellectuel, voilà quelques fondamentaux royalistes que la Gueuse abhorre. Et que l’on n’oublie pas, lorsque ressortent les pitoyables fantasmes jacobins, que la république « est un régime pourri qui sait se défendre »… en noyant ces infamies dans quelques mesures de bon sens.
A l’approche des prochaines échéances électorales, nul ne peut ignorer les programmes éducatifs des différents partis politiques, à commencer par celui du Front National qui semblerait, à première vue seulement, proche des idées d’un grand nombre de royalistes. Le récent colloque du Think Tank Le Peniste Idées Nation a permis de mettre en exergue les grandes lignes du programme éducatif du Front National qui, s’il peut apparaître pertinent au premier abord, renferme de dramatiques mesures au jacobinisme purulent.
Il faut tout d’abord reconnaître que nombre d’idées du Front National sont véritablement pertinentes, et posent de réelles bases de réflexion : revalorisation de l’enseignement de l’Histoire de France, dénonciation des réformes « jacklangistes » (dixit Louis Alliot) et la reformation intellectuelle des jeunes générations, rétablissement d’une saine autorité des enseignants, revalorisation des écoles de proximité et le rejet du communautarisme islamique, etc…
Grandement inspirées des mouvements souverainistes comme celui de Mr Paul Marie Coûteaux, ces mesures à vocation nationalistes ne forment que la partie émergée de l’iceberg frontiste, le miel qui sert d’attrape-mouches pour rafler toutes les voix conservatrices… Et force est de constater les dangereux désastres que renferme la partie immergée de cet iceberg !
Parce qu’elle néglige complètement la liberté éducative nécessaire à l’épanouissement de l’enfant en voulant mettre en place une extrême centralisation éducative par l’Etat, renvoyant aux vestiaires tout principe de subsidiarité et notamment le rôle éducatif fondamental des parents. Comme le dit clairement Christian Le Chevallier (récent transfuge de Debout La République) : « c’est bien à l’Etat qu’il appartient d’avoir une politique interventionniste dans l’éducation. »
Le nationalisme frontiste n’est guère tourné vers l’épanouissement de tous, loin d’être pour l’indépendance intellectuelle des jeunes générations : s’inspirant du principe d’éducation totale, cher au nationaliste Fichte, le Front National remet au goût du jour l’éducation « sans les parents » avec un Etat omniprésent et une rééducation intellectuelle purement républicaine. L’Histoire royale de France semble visiblement être le cadet de leur souci, tout comme les mensonges républicains semble être leur marque de fabrique, par exemple cette énormité de Mr Alliot : « Nul ne contestera que depuis les Lumières jusqu’à 1980 l’école fut instituée pour la République. Ce sont les valeurs sociales et républicaines qui fondent le contrat social »…
On peut également noter que ce programme du Front National ressemble étonnamment au projet éducatif défendu par l’ardent révolutionnaire Michel Lepeletier en 1792-1793, axé sur la laïcité, la république et l’autorité en lui ôtant tout de même son côté spartiate complètement impertinent. Ce dernier proposait d’ « opérer une entière régénération grâce à une éducation vraiment nationale, vraiment républicaine qui prenne en charge la totalité de l’existence de l’enfant »…
Que les royalistes et les gens de bonne foi ne s’y trompent pas : les mesures proposées par le Front National sont, sur bien des points, aux antipodes de la pensée royaliste. Principe de subsidiarité, objectivité historique et épanouissement intellectuel, voilà quelques fondamentaux royalistes que la Gueuse abhorre. Et que l’on n’oublie pas, lorsque ressortent les pitoyables fantasmes jacobins, que la république « est un régime pourri qui sait se défendre »… en noyant ces infamies dans quelques mesures de bon sens.
- AbraxasDoyen
Je respecte (presque) les opinions de chacun.
Mais là, il ne s'agit plus même d'opinions : c'est ubne mauvaise lecture.
Croire que le FN est sincèrement laïcard et républivcain, alors qu'il vomit l'un et l'autre, et opère en sous-main pour une privatisation générale de l'Ecole et le passage au chèque-éducation…
Revenez un peu sur terre.
Quant à l'épanouissement des élèves, il passe bien mieux à travers des programmes nationaux, susceptibles d'(engendrer des manuels de bon niveau, que dans des initiatives locales et des fantaisies individuelles.
Et pour ce qui est d'appeler la République la Gueuse… Tiens, je vais finir la tête de veau cuisinée hier 21 janvier.
PS. J'explicite mon allusion à la tête de veau. Je suis fondamentalement contre la peine de mort, et Louis XVI était juste un gros incapable (son épouse, c'est encore autre chose — elle était autrichienne et servait un clan qui n'était pas franchement français, non ? En temps de guerre, on appelle cela de la haute trahison). Mais son exécution était nécessaire — comme était nécessaire celle de Charles Ier à Londres en 1649. C'est la terrible logique des révolutions.
Mais là, il ne s'agit plus même d'opinions : c'est ubne mauvaise lecture.
Croire que le FN est sincèrement laïcard et républivcain, alors qu'il vomit l'un et l'autre, et opère en sous-main pour une privatisation générale de l'Ecole et le passage au chèque-éducation…
Revenez un peu sur terre.
Quant à l'épanouissement des élèves, il passe bien mieux à travers des programmes nationaux, susceptibles d'(engendrer des manuels de bon niveau, que dans des initiatives locales et des fantaisies individuelles.
Et pour ce qui est d'appeler la République la Gueuse… Tiens, je vais finir la tête de veau cuisinée hier 21 janvier.
PS. J'explicite mon allusion à la tête de veau. Je suis fondamentalement contre la peine de mort, et Louis XVI était juste un gros incapable (son épouse, c'est encore autre chose — elle était autrichienne et servait un clan qui n'était pas franchement français, non ? En temps de guerre, on appelle cela de la haute trahison). Mais son exécution était nécessaire — comme était nécessaire celle de Charles Ier à Londres en 1649. C'est la terrible logique des révolutions.
- CeladonDemi-dieu
"Mais son exécution était nécessaire" JPB
Nécessaire, je finis par en douter, au vu de l'évolution de notre république bien bien monarchiste. Symboliquement, un pas a été franchi. Peut-être.
"s’inspirant du principe d’éducation totale, cher au nationaliste Fichte, le Front National remet au goût du jour l’éducation « sans les parents » avec un Etat omniprésent et une rééducation intellectuelle purement républicaine. " Bouletbille
Dans la perspective enthousiasmante et désormais à nos portes d'un Etat sous carcan intégriste (quel qu'il soit) ou totalitaire, "la Gueuse" si mal nommée aurait-elle les moyens de lutter contre sa propre destruction ou serait-elle enrôlée pour y prendre part ? La République s'accommode mal de la "rééducation"...
Nécessaire, je finis par en douter, au vu de l'évolution de notre république bien bien monarchiste. Symboliquement, un pas a été franchi. Peut-être.
"s’inspirant du principe d’éducation totale, cher au nationaliste Fichte, le Front National remet au goût du jour l’éducation « sans les parents » avec un Etat omniprésent et une rééducation intellectuelle purement républicaine. " Bouletbille
Dans la perspective enthousiasmante et désormais à nos portes d'un Etat sous carcan intégriste (quel qu'il soit) ou totalitaire, "la Gueuse" si mal nommée aurait-elle les moyens de lutter contre sa propre destruction ou serait-elle enrôlée pour y prendre part ? La République s'accommode mal de la "rééducation"...
- JohnMédiateur
Apparemment, Bouletbille n'a pas bien compris le message qu'il recopie : ce n'est pas un billet des royalistes sur l'Education, c'est un billet des royalistes contre le Front national. C'est tout de même différent.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- BouletbilleNiveau 5
John a écrit:Apparemment, Bouletbille n'a pas bien compris le message qu'il recopie : ce n'est pas un billet des royalistes sur l'Education, c'est un billet des royalistes contre le Front national. C'est tout de même différent.
Les Royalistes à travers leur critique du FN nous disent, implicitement, ce qu'ils ne veulent pas en terme d'éducation. Donc ils parlent d'éducation.
CQFD.
Bien à vous,
- JacqGuide spirituel
Abraxas a écrit:Tiens, je vais finir la tête de veau cuisinée hier 21 janvier.
Ah !
Celle entamée samedi soir en l'honneur de la naissance de la France vient d'être achevée ce soir.
- JacqGuide spirituel
Abraxas a écrit:
Et pour ce qui est d'appeler la République la Gueuse… Tiens, je vais finir la tête de veau cuisinée hier 21 janvier.
PS. J'explicite mon allusion à la tête de veau. Je suis fondamentalement contre la peine de mort, et Louis XVI était juste un gros incapable (son épouse, c'est encore autre chose — elle était autrichienne et servait un clan qui n'était pas franchement français, non ? En temps de guerre, on appelle cela de la haute trahison). Mais son exécution était nécessaire — comme était nécessaire celle de Charles Ier à Londres en 1649. C'est la terrible logique des révolutions.
+1000 !
Vive le jacobinisme !
- NitaEmpereur
Pov' bêtes. (Pas les Jacobins, les veaux)
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- BouletbilleNiveau 5
Jacq a écrit:Abraxas a écrit:
Et pour ce qui est d'appeler la République la Gueuse… Tiens, je vais finir la tête de veau cuisinée hier 21 janvier.
PS. J'explicite mon allusion à la tête de veau. Je suis fondamentalement contre la peine de mort, et Louis XVI était juste un gros incapable (son épouse, c'est encore autre chose — elle était autrichienne et servait un clan qui n'était pas franchement français, non ? En temps de guerre, on appelle cela de la haute trahison). Mais son exécution était nécessaire — comme était nécessaire celle de Charles Ier à Londres en 1649. C'est la terrible logique des révolutions.
+1000 !
Vive le jacobinisme !
Car oui, le roi de France n'est pas un homme comme les autres, il est aussi lieutenant du Christ sur terre; par son sacre, par l'anneau qui lui est remis au doigt, il épouse la France et les Français. Lui porter atteinte est sacrilège et le crime commis le 21 Janvier 1793 en est un, de loin le plus grave, puisqu'il met à terre l'âme et le coeur de la France.
Ce crime odieux, commis par des barbares qui, durant la Terreur - de 1793 à 1795, firent rouler 40.000 têtes dans le sac, constitua un point de non-retour. La France de la Convention, plongée dans la Terreur par quelques milliers de sang-culottes - alors que la France comptait plus de 25 millions d'habitants, devait permettre l'avènement de nos valeurs républicaines. En réalité, il n'en fut rien. Jamais régime ne fut si barbare que celui-là. La peur y était permanente, les dénonciations monnaie-courante, et Fouquier-Tinville, nommé par la Convention Accusateur public, était chargé d'épurer la société de tous ceux qui ne se réclamaient pas des révolutionnaires.
Louis XVI fit tout ce qui était en son pouvoir pour adapter la monarchie absolue aux évolutions sociales et intellectuelles. Pour cela il réunit les États Généraux en mai 1789. Hélas, il ne sut pas se montrer assez ferme et il céda aux revendications des privilégiés qui entendaient conserver leurs avantages. De leur côté, les députés du tiers-état n'étaient pas de cet avis et prirent leur indépendance, fermement convaincus qu'ils ne se sépareraient pas tant que la France ne serait pas dotée d'une Constitution. Le récit qui s'ensuit est suffisamment connu et il serait trop long de vous le rappeler. Je vous invite donc à lire Révolution française de Max Gallo qui explique savamment ces épisodes en deux tomes.
- JohnMédiateur
Je cite pour garder une trace, sinon on ne me croirait pas.Car oui, le roi de France n'est pas un homme comme les autres, il est aussi lieutenant du Christ sur terre; par son sacre, par l'anneau qui lui est remis au doigt, il épouse la France et les Français. Lui porter atteinte est sacrilège et le crime commis le 21 Janvier 1793 en est un, de loin le plus grave, puisqu'il met à terre l'âme et le coeur de la France.
Bouletbille, vous faites quoi dans la vie ?
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- BouletbilleNiveau 5
John a écrit:Je cite pour garder une trace, sinon on ne me croirait pas.Car oui, le roi de France n'est pas un homme comme les autres, il est aussi lieutenant du Christ sur terre; par son sacre, par l'anneau qui lui est remis au doigt, il épouse la France et les Français. Lui porter atteinte est sacrilège et le crime commis le 21 Janvier 1793 en est un, de loin le plus grave, puisqu'il met à terre l'âme et le coeur de la France.
Bouletbille, vous faites quoi dans la vie ?
J'ai bien envie de commencer par cela : la DHC et l'article X, pourtant républicain :
"Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi",
au cas où, il se trouverait des esprits chagrineux, (même si vos propos ne vont pas dans ce sens, je vous l'accorde) simplement pour rappeler la liberté d'opinion qui prévaut, jusqu'à nos jours, dans notre pays. Principe rappelé par la cour européenne de justice, je crois...
Ensuite, les sarcasmes ne me font guère d'effet. Le jugement des hommes m'importe peu. En outre, je n'ai jamais dit adhérer aux propos notés par mes soins sur ce "topic".
Puis, pour répondre à votre question, j'ai sûrement le même métier que vous, mais je n'ai jamais manqué à mes obligations de neutralité, contrairement à d'autres qui ne s’embarrassent guère de scrupules pour livrer à leurs élèves, leurs opinions politiques, orientations philosophiques et religieuses, croyant détenir LA seule vérité...
Bien à vous,
- JacqGuide spirituel
Bouletbille a écrit:Jacq a écrit:Abraxas a écrit:
Et pour ce qui est d'appeler la République la Gueuse… Tiens, je vais finir la tête de veau cuisinée hier 21 janvier.
PS. J'explicite mon allusion à la tête de veau. Je suis fondamentalement contre la peine de mort, et Louis XVI était juste un gros incapable (son épouse, c'est encore autre chose — elle était autrichienne et servait un clan qui n'était pas franchement français, non ? En temps de guerre, on appelle cela de la haute trahison). Mais son exécution était nécessaire — comme était nécessaire celle de Charles Ier à Londres en 1649. C'est la terrible logique des révolutions.
+1000 !
Vive le jacobinisme !
Ah ce jacobinisme, destructeur d'identités, ethnocidaire par bien des aspects...
Vive la France !
Car oui, le roi de France n'est pas un homme comme les autres, il est aussi lieutenant du Christ sur terre; par son sacre, par l'anneau qui lui est remis au doigt, il épouse la France et les Français. Lui porter atteinte est sacrilège et le crime commis le 21 Janvier 1793 en est un, de loin le plus grave, puisqu'il met à terre l'âme et le coeur de la France.
Oui ! saluons cet acte salutaire et salvateur qui permit la naissance de la France moderne débarrassée des oripeaux de la superstition (citée plus haut). C'est un jour sacré que bénissent tous les bons citoyens !
La royauté est définitivement morte, effacée ce jour là et les avatars grostesques des restaurations qui suivirent furent et seront sans légimité aucune grâce à cela !
Vive la France ! Mort aux tyrans !
- BouletbilleNiveau 5
Jacq a écrit:Bouletbille a écrit:Jacq a écrit:Abraxas a écrit:
Et pour ce qui est d'appeler la République la Gueuse… Tiens, je vais finir la tête de veau cuisinée hier 21 janvier.
PS. J'explicite mon allusion à la tête de veau. Je suis fondamentalement contre la peine de mort, et Louis XVI était juste un gros incapable (son épouse, c'est encore autre chose — elle était autrichienne et servait un clan qui n'était pas franchement français, non ? En temps de guerre, on appelle cela de la haute trahison). Mais son exécution était nécessaire — comme était nécessaire celle de Charles Ier à Londres en 1649. C'est la terrible logique des révolutions.
+1000 !
Vive le jacobinisme !
Car oui, le roi de France n'est pas un homme comme les autres, il est aussi lieutenant du Christ sur terre; par son sacre, par l'anneau qui lui est remis au doigt, il épouse la France et les Français. Lui porter atteinte est sacrilège et le crime commis le 21 Janvier 1793 en est un, de loin le plus grave, puisqu'il met à terre l'âme et le coeur de la France.
Oui ! saluons cet acte salutaire et salvateur qui permit la naissance de la France moderne débarrassée des oripeaux de la superstition (citée plus haut). C'est un jour sacré que bénissent tous les bons citoyens !
La royauté est définitivement morte, effacée ce jour là et les avatars grostesques des restaurations qui suivirent furent et seront sans légimité aucune grâce à cela !
Vive la France ! Mort aux tyrans !
Allez dire cela aux descendants des 200000 victimes vendéennes (PLUS que tout ce que l'INQUISITION dominicaine aura généré de massacres) de la Révolution bourgeoise...
Quand on connaît, de surcroît, le sort du prolétariat au XIXe siècle...
« Le département qui a trop longtemps porté l’effroyable et perfide nom de Vendée, n’est en ce moment qu’un monceau de cendres et un vaste désert. » BARERE le 5 novembre 1793
- « Il n’y a plus de Vendée ! Citoyens républicains, elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais de Savenay, suivant les ordres que vous m’avez donnés. J’ai écrasé les enfants sous les pieds de mes chevaux, massacré les femmes qui au moins pour celles là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant que sur plusieurs points, ils font des pyramides. » Général François WESTERMANN
Quant à l'obscurantisme... Regardons le système éducatif républicain actuel pour s'en faire une idée...
Bien à vous, et Vive la France !
- JacqGuide spirituel
Ben il faut savoir, ou ils ont été exterminés et je ne peux rien leur dire, ou ils ne l'ont pas été et je peux le leur dire.
Plus sérieusement, il s'agit d'une guerre civile, avec ses outrances et ses abominations, qu'on peut déplorer.
Concernant ce texte, il correspond parfaitement à l'outrance verbale caractéristique des révolutionnaires de l'époque, il y a pire, si vous le souhaitez que je peux vous sortir quelques textes bien plus atroces.
Terreur rouge, terreur blanche, guerre(s).
Enfin je n'ai pas parlé d'obscurantisme mais de superstition.
Salutations citoyennes !
Plus sérieusement, il s'agit d'une guerre civile, avec ses outrances et ses abominations, qu'on peut déplorer.
Concernant ce texte, il correspond parfaitement à l'outrance verbale caractéristique des révolutionnaires de l'époque, il y a pire, si vous le souhaitez que je peux vous sortir quelques textes bien plus atroces.
Terreur rouge, terreur blanche, guerre(s).
Enfin je n'ai pas parlé d'obscurantisme mais de superstition.
Salutations citoyennes !
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