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- leyadeEsprit sacré
Celadon a écrit:Quelle compil, Leyade, dans ton lien ! C'est époustouflifiant !!
C'est vrai que sur le thème de Léda, la page offre une sacrée variété de styles.
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- CeladonDemi-dieu
Et d'informations. Comme de l'art de l'épilation au XVIIIème...
- PseudoDemi-dieu
Thalia de G a écrit:Moi aussi !Celadon a écrit:Ses nus me mettent assez mal à l'aise, Thalia. Tout comme Lucian Freud ou Bacon. Je suis d'un classicisme aveugle !
Et pourtant... Le nue forcement beau, plastique, c'est tout sauf du nu, à mon sens. Et Courbet avec son origine ne m'aurait pas démenti. Parce qu'à l'époque son tableau a semblé très laid. Et il l'est encore pour beaucoup de monde aujourd'hui.
La nudité n'est pas forcement "belle", au sens esthétisant du terme. Mais elle est émouvante.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- Christian-HG-TZR67Niveau 6
Question d'un cuistre du point de vue artistique, est-il vrai que dans la statuaire grecque, la position des membres du visage des mains etc avait une signification particulière ? et si oui quelqu'un pourrait-il me mettre un lien vers un site fiable, j'ai lu/vu beaucoup de c****ries à ce sujet sur la toile.
- InvitéeHrÉrudit
Chez Schiele aussi le langage des mains était paraît-il sexuellement codé.
- SaloumHabitué du forum
Pseudo a écrit:Thalia de G a écrit:Moi aussi !Celadon a écrit:Ses nus me mettent assez mal à l'aise, Thalia. Tout comme Lucian Freud ou Bacon. Je suis d'un classicisme aveugle !
Et pourtant... Le nue forcement beau, plastique, c'est tout sauf du nu, à mon sens. Et Courbet avec son origine ne m'aurait pas démenti. Parce qu'à l'époque son tableau a semblé très laid. Et il l'est encore pour beaucoup de monde aujourd'hui.
La nudité n'est pas forcement "belle", au sens esthétisant du terme. Mais elle est émouvante.
Merci Pseudo, c'est exactement ce que je voulais dire : les nus de Schiele sont extrêmement émouvants et expressifs, on sent vraiment la personnalité du peintre dans ces courbes, son geste pour les tracer... Ils me fascinent. J'adore aussi les grands nus de Modigliani.
- ShajarVénérable
Christian-HG-TZR67 a écrit:Question d'un cuistre du point de vue artistique, est-il vrai que dans la statuaire grecque, la position des membres du visage des mains etc avait une signification particulière ? et si oui quelqu'un pourrait-il me mettre un lien vers un site fiable, j'ai lu/vu beaucoup de c****ries à ce sujet sur la toile.
Je ne suis pas spécialiste d'art grec, mais je n'ai pas entendu parler de cela lors de mes études d'histoire de l'art. Certains gestes ont une signification, bien sûr, par exemple lorsque sur un vase, les gens qui entourent un défunt s'arrachent les cheveux, c'est signe de deuil, mais ça paraît assez logique vis à vis de la narration. Certaines postures peuvent être récurrentes, mais elles ont un fond d'observation de la nature, s'inscrivent dans un contexte narratif. On ne trouve dans l'art grec aucune codification comparable, par exemple, au système indien de gestes des mains (à ma connaissance du moins). Ce sont plutôt les attributs qui ont une signification - beaucoup, toutefois, ont disparu,ce qui donne souvent aux statues une position étrange.
Par conte, les artistes développent une réflexion importante sur la manière de représenter le corps.
Chais pas si c'est très clair... En biblio, un manuel bien fait : Bernard Holtzmann, Alain Pasquier, l'art grec, Paris : RMN/Ecole du Louvre/Documentation française, 1998
- CavaGrand sage
JEMS a écrit:Cava a écrit:Waw, j'adore JEMS :lol:
:lol:
Mes enfants viennent de tomber sur le tableau
C'est malin!
C'est la nature ! D'où mon amour pour ces représentations, complètement libres, non normées.
En fait, mes diables ont déjà aperçu ce tableau à Orsay. Mais ils étaient plus petits
A leur âge, ils trouvent ce tableau juste ce qui est normal.
Bon je n'ai pas le temps de poster d'autres représentations aujourd'hui mais je reviendrai ici avec plaisir, une autre fois. :lol:
- PseudoDemi-dieu
Cava a écrit:JEMS a écrit:Cava a écrit:Waw, j'adore JEMS :lol:
:lol:
Mes enfants viennent de tomber sur le tableau
C'est malin!
C'est la nature ! D'où mon amour pour ces représentations, complètement libres, non normées.
En fait, mes diables ont déjà aperçu ce tableau à Orsay. Mais ils étaient plus petits
A leur âge, ils trouvent ce tableau juste ce qui est normal.
Bon je n'ai pas le temps de poster d'autres représentations aujourd'hui mais je reviendrai ici avec plaisir, une autre fois. :lol:
Je l'ai vu la première fois à Montpellier, lors d'un expo sur Courbet.
Et il fallait voir les cadres se bousculer venir le voir entre midi et deux.... Costard cravate, sacoche d'ordi en main, ils traçaient à travers l'expo pour arriver devant l'origine du monde, qu'ils osaient à peine regarder en fait, ils tournaient dans la salle en y jetant de petits regards coulés... Pathétique et drôle. Je n'ai pas vraiment compris leur problème.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- DuplayExpert
Pas moyen de trouver un magnifique "Nu au bordel" de Fautrier sur le web... :colere:
Bon, ne nous laissons pas abattre, voici la Vénus au miroir de Vélasquez :
et l'Olympia de Manet :
Bon, ne nous laissons pas abattre, voici la Vénus au miroir de Vélasquez :
et l'Olympia de Manet :
- JEMSGrand Maître
Un autre artiste que j'apprécie André Planson
Elève de MESLE, il est une figure de la peinture en Seine et Marne. Il a beaucoup peint des nus, mais aussi les bords de Marne. Le musée de la Ferté-sous-Jouarre porte son nom. Il a été également illustrateur de certains ouvrages, notamment un livre sur le rugby "six maillots de rugby".
On remarquera les traits "pin-up" typiques des années 30 de ces sujets.
Elève de MESLE, il est une figure de la peinture en Seine et Marne. Il a beaucoup peint des nus, mais aussi les bords de Marne. Le musée de la Ferté-sous-Jouarre porte son nom. Il a été également illustrateur de certains ouvrages, notamment un livre sur le rugby "six maillots de rugby".
On remarquera les traits "pin-up" typiques des années 30 de ces sujets.
- JPhMMDemi-dieu
Norman Lindsay
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Lindsay était Australien, oui.JEMS a écrit:Lindsey, il est Australien ?
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- CavaGrand sage
par Pseudo
Je l'ai vu la première fois à Montpellier, lors d'un expo sur Courbet.
Et il fallait voir les cadres se bousculer venir le voir entre midi et deux.... Costard cravate, sacoche d'ordi en main, ils traçaient à travers l'expo pour arriver devant l'origine du monde, qu'ils osaient à peine regarder en fait, ils tournaient dans la salle en y jetant de petits regards coulés... Pathétique et drôle. Je n'ai pas vraiment compris leur problème.
Le tableau de Courbet est tout de même très audacieux, c'est en cela qu'il me plaît.
J'apprécie la sobriété et la mélancolie qui se dégage de ce tableau de Pierre Puvis de Chavannes. Désolée pour la mauvaise qualité de l'image.
- PseudoDemi-dieu
Cava a écrit:par Pseudo
Je l'ai vu la première fois à Montpellier, lors d'un expo sur Courbet.
Et il fallait voir les cadres se bousculer venir le voir entre midi et deux.... Costard cravate, sacoche d'ordi en main, ils traçaient à travers l'expo pour arriver devant l'origine du monde, qu'ils osaient à peine regarder en fait, ils tournaient dans la salle en y jetant de petits regards coulés... Pathétique et drôle. Je n'ai pas vraiment compris leur problème.
Le tableau de Courbet est tout de même très audacieux, c'est en cela qu'il me plaît.
Ce n'est pas tant leur gène face au tableau qui m'a surprise, que leur façon de venir à l'expo entre midi et deux, juste pour filer voir l'origine, comme un cocufieur qui file à l'hôtel retrouver sa maîtresse à l'heure de déjeuner, avec la honte aux joues.
Etre gêné par le tableau au moment où on le voit je comprends, mais préméditr de venir à m'expo en cachette, juste pour voir ce tableau là, par contre
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- CavaGrand sage
Cette réaction est amusante :lol: mais peut-être venaient-ils admirer ce tableau pendant leur pause déjeuner?Ce n'est pas tant leur gène face au tableau qui m'a surprise, que leur façon de venir à l'expo entre midi et deux, juste pour filer voir l'origine, comme un cocufieur qui file à l'hôtel retrouver sa maîtresse à l'heure de déjeuner, avec la honte aux joues.
Etre gêné par le tableau au moment où on le voit je comprends, mais préméditr de venir à m'expo en cachette, juste pour voir ce tableau là, par contre
J'assume totalement mes goûts classiques
@JEMS : C'est une belle découverte. Je serais curieuse de savoir ce que lit cette jeune beauté :lol:
- JEMSGrand Maître
Allez, je remonte le topic avec un nouveau peintre.
Henry Lebasque
Issu d'une famille modeste (son père était tonnelier), Henri Lebasque s'inscrit à l'Académie Colarossi en 1886. Il collabore avec Ferdinand Humbert aux fresques du Panthéon à Paris pendant six ans à partir de 1888. Il expose à la Société des Artistes français et au Salon des Artistes indépendants, et se lie avec Maximilien Luce et Paul Signac. Il expose à la société nationale des Beaux-Arts et rencontre Pissarro en 1902 qui aura une grande influence sur lui. Il voyage, découvre Turner à Londres, l'État lui achète Goûter sur l'herbe en 1903. Il collabore avec Félix Vallotton et Georges Rouault aux essais de céramique chez André Methey (1871-1920) en 1906. Il réalise des décors pour les théâtres et différents lieux parisiens et en 1917 sera peintre aux armées avec Vallotton. En 1922 il expose à la galerie E. Druet. En 1924, achat de la villa « Beau site » qu'il habitera jusqu'en 1930, il est promu officier de la Légion d'honneur en 1925 et après la dissolution de la galerie Georges Petit en 1927, il n'accepte plus de contrat avec aucun marchand d'art. Il achète en 1930 la maison de la rue des Danys au Cannet, il fréquente beaucoup Dunoyer de Segonzac et Bonnard qui s'y étaient fixés en 1925. Il meurt au Cannet où il est enterré.
Henry Lebasque
Issu d'une famille modeste (son père était tonnelier), Henri Lebasque s'inscrit à l'Académie Colarossi en 1886. Il collabore avec Ferdinand Humbert aux fresques du Panthéon à Paris pendant six ans à partir de 1888. Il expose à la Société des Artistes français et au Salon des Artistes indépendants, et se lie avec Maximilien Luce et Paul Signac. Il expose à la société nationale des Beaux-Arts et rencontre Pissarro en 1902 qui aura une grande influence sur lui. Il voyage, découvre Turner à Londres, l'État lui achète Goûter sur l'herbe en 1903. Il collabore avec Félix Vallotton et Georges Rouault aux essais de céramique chez André Methey (1871-1920) en 1906. Il réalise des décors pour les théâtres et différents lieux parisiens et en 1917 sera peintre aux armées avec Vallotton. En 1922 il expose à la galerie E. Druet. En 1924, achat de la villa « Beau site » qu'il habitera jusqu'en 1930, il est promu officier de la Légion d'honneur en 1925 et après la dissolution de la galerie Georges Petit en 1927, il n'accepte plus de contrat avec aucun marchand d'art. Il achète en 1930 la maison de la rue des Danys au Cannet, il fréquente beaucoup Dunoyer de Segonzac et Bonnard qui s'y étaient fixés en 1925. Il meurt au Cannet où il est enterré.
- leyadeEsprit sacré
Superbe!!!!!!!
Merci de me le faire découvrir!
Merci de me le faire découvrir!
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LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- leyadeEsprit sacré
La richesse de la palette, la quiétude de la composition, la douceur de la scène ...
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