CP/CE1 : à ma place, que répondriez-vous aux quatre pages de questions préparatoires à mon inspection ?

Lysimaque bon courage ! Et bravo à Rikki !

Obligé ? Je ne sais sais pas. Voilà un extrait du courrier que j'ai reçu :

La visite d’inspection constitue un acte réglementaire de contrôle de l’exercice professionnel
de l’enseignant. Elle s’inscrit également dans un processus d’évaluation formative. Il paraît
donc important de la préparer.
Vous voudrez bien faire parvenir au secrétariat de la circonscription quelques jours
avant la visite le questionnaire relatif à votre classe joint à ce courrier.
Je vous demande également de cibler les élèves en difficulté, de prévoir une différenciation
au cours des séances présentées et de présenter les aides proposées tout au long de
l’année (ex. PPRE - aide personnalisée – échanges…).
Enfin, il convient de tenir à ma disposition le jour de l’inspection les documents suivants :
1. Les préparations écrites de votre travail (programmations de cycle, de classe, livret
de compétences, projets spécifiques, outils d’évaluation, cahier journal…).
2. Votre action : aide personnalisée (diagnostic – objectifs – calendrier – évaluations).
3. Les programmes personnalisés de réussite éducative, projet personnalisés de
scolarisation, projet d’accueil individualisé.
4. Les travaux d’élèves.
5. Votre emploi du temps.
6. Le projet d’école.
7. Le registre d’appel .
8. Le cahier de conseil de maîtres, de cycles.
Les directrices et directeurs d’école voudront bien préparer également les registres
réglementaires de l’école.

En dehors de ce questionnaire, j'ai aussi une grille d'auto-positionnement à compléter en m'attribuant une note de 1 à 5. Cette grille est départementale. Mais il est clairement indiqué que je ne suis pas obligée de la remplir.

Le document intitulé « bilan personnel » ci-joint doit vous
permettre d’une part de connaître les critères sur lesquels l’ensemble des inspecteurs du
département fondent leur analyse et d’autre part de réfléchir à votre pratique professionnelle
dans la classe autant que dans l’école. Je vous invite à le compléter et à me le remettre ou
non le jour de l’inspection.

Les autres questions portent sur mes besoins de formation, mon analyse des résultats aux évaluations nationales CE1 et CM2, la prise en compte de l’hétérogénéité de la classe, les modalités de la mise en œuvre de l'aide personnalisée, les outils des élèves et l'analyse que je fais de leur trace écrite et mes propres outils.

Concernant les séances que je vais présenter, on me demande d'indiquer les "modalités de différenciation" que j'ai choisi de mettre en place, la place que j'accorde à l'oral, et la place que j'accorde à l'écrit.

Pour le travail en équipe, je vous ai déjà mis la question sur le LPC. On me demande aussi mon analyse sur :

• l’usage des TUIC 

• l’enseignement des langues vivantes 

• la continuité des apprentissages et la cohérence des enseignements 

• le traitement de la difficulté scolaire (connaissances et attitudes) 

• la relation école-famille

 

• la relation avec les partenaires territoriaux.

Le questionnaire se termine par une demande d'auto évaluation :

Quel regard portez-vous sur l’évolution de votre pratique de classe par rapport à votre dernière inspection ?

Et la fameuse question sur le socle commun :

Quel regard portez-vous sur la mise en œuvre du socle commun dans votre pratique de classe ?

C'est quand même l'hallu, ce nouveau dispositif d'auto-évaluation de mes f........... ! :colere:
Courage, Lysimaque !

C'est la mode maintenant dans l'éducation nationale.
Ce ne sont que les dérives d'une gestion de type management.

L'IEN ne fait que répondre aux exigences de sa hiérarchie. Entre l'enclume et le marteau sa position n'est pas très enviable.
Le nœud du problème vient surtout de la politique faite en amont.

Difficile de se mettre "à la place de" Lysimaque : les rapports de force sont tellement différents selon l'IEN, l'école, la circonscription, les collègues, l'implantation syndicale, l'ancienneté ...
Je ne peux qu'encourager ceux qui en ont les moyens à résister, voire à contre-attaquer si l'occasion se présente.
Cette année j'ai refusé de remplir cette grille d'auto-évaluation (voir Management sur BA) je viens de recevoir un très bon rapport d'inspection, augmentation de la note, et tout et tout...
J'ai sans doute eu de la chance, mais il faut croire qu'une certaine détermination peut payer.
Bon courage !

Lysimaque a écrit:C'est la mode maintenant dans l'éducation nationale.
Ce ne sont que les dérives d'une gestion de type management.

L'IEN ne fait que répondre aux exigences de sa hiérarchie. Entre l'enclume et le marteau sa position n'est pas très enviable.
Le nœud du problème vient surtout de la politique faite en amont.

Oui, l'IEN n'est pas obligatoirement l'ennemi à abattre, on peut lui souffler à l'oreille : "Choisis ton camp camarade !"

Mufab a écrit:Bon heureusement que je n'étais pas là ce soir...
Je ne sais même pas ce qu'est un "LPC"... (Je dirais "Livret Personnel de Compétences" ? Le "Livret Scolaire" que je remplis le 25 juin au kilomètre, quoi ? En plus moderne ?)

Pffff. Me sens nulle avec mes pauvres cahiers du jour, mes plans de travail, mes appréciations ou conseils sous forme de phrases.

Le LPC, c'est bien le Livret Personnel de Compétences...

Celui qui va se remplir "tout seul" en ligne, l'an prochain, grâce au Livret Scolaire Numérique sur lequel nous rentrerons d'un "simple clic de souris" :ack: les 285 713 245 résultats d'évaluation de chacun des délicieux bambins qu'on nous confie toujours plus nombreux au sein de nos classes.

Les parents pourront alors, en ligne, suivre à la seconde l'évolution de Monchérijolitoutplein et de Mapouletteauxyeuxsivifs sauf, évidemment, s'ils sont daltoniens.

Et ne vous inquiétez pas, mon IEN me l'a certifié mercredi dernier, le système informatique de ce LNS est totalement inviolable, contrairement à celui du Pentagone étatsunien :Drapeaufrançai ! Personne ne pourra aller fouiller dans le passé de Kevin ou de Samantha !

De toute manière, la pratique, pas évident d'en causer tout le temps... ça me fait irrésistiblement penser à Reiser, tout ça !

:abg:

Excellent !
Aaah, Reiser ! Toute ma jeunesse ! Mes parents étaient fans.... et j'ai quasiment appris à lire avec ! Comme quoi, y'a pas que la syllabique, dans la vie !

Clarinette a écrit:Excellent !
Aaah, Reiser ! Toute ma jeunesse ! Mes parents étaient fans.... et j'ai quasiment appris à lire avec ! Comme quoi, y'a pas que la syllabique, dans la vie !

Mon père les planquait (mal).

Je les trouvais.

Heureusement, je savais déjà lire, mais il faut dire que j'ai appris à 4 ans, et je ne suis pas sûre qu'à cet âge tendre j'aurais pu apprécier Reiser à sa juste valeur ! (sachant en plus qu'ils n'étaient pas parus à l'époque, la question restera très rhétorique)

Rikki a écrit:De toute manière, la pratique, pas évident d'en causer tout le temps... ça me fait irrésistiblement penser à Reiser, tout ça !

Faut reconnaître que ça aurait de la gueule de renvoyer cette BD à l'IEN en guise de document préparatoire à l'inspection...
Une prochaine fois peut être ... :lol:

J'imagine bien un collègue dessinateur talentueux en faire une version pédagol...

Irrésistible Reiser !

Bon, ben moi, c'est une petite Agrippine que je dédie à Lysimaque :

Et ceci pour aider Lysimaque à conduire de manière efficace son introspection/autocritique quant à l'aspect "relation avec les apprenants", suivi des apprentissages des apprenants, pilotage des apprentissages, remédiations...

Franchement, Lysimaque, j'aurais vraiment du mal à remplir ton questionnaire en toute bonne foi, notamment concernant l'évaluation, le LPC (merci DC, ma question n'était pas ironique : je ne savais pas ce que c'était parce que je crois que je m'en tape grave), les TUIC, les langues vivantes.
Rien sur l'enseignement des maths et du français ? Sur les choix pédagogiques effectués pour ces fondamentaux ?

Comme je suis inspectable cette année, il va falloir que je fasse vraiment un gros efforts sur ces trucs-là qui semblent tant leur tenir à coeur, alors que ce sont réellement les cadets de mes soucis professionnels.
Pour moi, le Livret, les PPRE, et même les bulletins trimestriels (que je me force à faire en ce moment pour la première fois depuis que je suis PE, lasse de me distinguer), sont vraiment des formalités administratives sans intérêts (sauf cas de réunion formelle de l'équipe éducative pour les PPRE, qui peuvent alors devenir une base de travail ou d'intervention de l'enseignant référent.)

Ils représentent autant de temps volé à ma préparation de classe (dont dépendra le temps réel passé avec les élèves et son efficacité), à mon auto formation sur les outils à utiliser, à l'auto critique de ma gestion de la classe, aux échanges de méthodes ou de points de vue avec les collègues, à une véritable prise en compte des difficultés comportementales in situ, à ma réflexion sur les progrès de chaque élève et sur ce qui engendre ou inhibe ces progrès dans ce que je propose.

D'autre part, je ne peux pas utiliser la salle informatique car elle ne dispose que de 10 postes pour 27 élèves, donc 3 qui hier ne fonctionnaient pas.

Pour l'anglais, heu... Oui il y a deux créneaux sur mon emploi du temps papier.

Il m'étonne que l'on puisse bâtir une Inspection ou un entretien d'Inspection sur ces critères, et que le travail de gestion de la classe, de préparation, d'intégration réelle de la difficulté scolaire ou du handicap dans la vie et les apprentissages quotidiens de la classe, en mettant les connaissances aux programmes à la portée de tous, leur adaptation à un public spécifique et extrêmement hétérogène, la prise en compte du rythme des enfants... soient portés au second plan.
Cette grille proposée ne colle pas avec la réalité du terrain, ou en tout cas du mien.

D'ailleurs, en ce qui concerne l'évaluation, il m'étonne que l'on ne parle pas de l'évaluation formative (quotidienne : orale ou écrite, via la correction des exercices, les encouragements ou reprises verbaux, les aides ponctuelles, le recours à l'auto correction, pointage des progrès ou erreurs de tous ordres, in situ), de ce que l'on transmet à l'enfant comme image (positive, ou à corriger sur certains points) de lui-même en tant qu'élève (statut qu'il est en train de construire dans les petites classes, et pour beaucoup, ce n'est pas gagné) et de sa mise en oeuvre pratique - la seule qui me semble en adéquation avec ce que je sais de la fragilité des acquis, et avec les processus d'apprentissage, faits d'avancées, de stagnation, parfois de régressions.

Bon excusez-moi pour tout ce verbiage qui n'apporte rien de constructif à la discussion : je crois que je suis un peu crevée en cette fin de trimestre, et manque encore, en général, terriblement de recul sur mon métier.

:lol!:

Evidemment, mon éclat de rire s'adressait au pédagogue de Mowg', pas au message de Muf' !


Mufab, à mon avis, il y a plusieurs options pour faire face à ces demandes institutionnelles :
- en rire intérieurement et jouer le jeu du blabla abscons pour avoir la paix
- en fonction de la personnalité de l'IEN, réussir à adopter une attitude complice du "vous et moi, on sait bien que tout ça c'est du pipeau"
- adopter une attitude de refus

On peut envisager des variantes et des dosages de chaque attitude.

Par contre, à mon sens, si on veut s'en sortir indemne, il ne faut à aucun moment commencer à entrer dans le détail et se mettre à prendre leur délire au sérieux, sinon, effectivement, on se met soi-même en danger.

je découvre le fil à l'instant et je vois que tout a été dit! Rikki super pro!!!
Pour ma part, je fais l'idiote, celle qui veut bien mais qui ne comprend pas où on veut en venir et je demande des conseils... et jusqu'à aujourd'hui, cette attitude a fonctionné . Je refuse tout ce jargon pédago masturbatoire, et souvent qd on me le propose, je réponds : c'est-à-dire? Et laisse mon interlocuteur discourir...

Rikki a écrit:J'imagine bien un collègue dessinateur talentueux en faire une version pédagol...

Même pas besoin : il suffit de garder les dessins de Reiser et de remplacer, dans les bulles, les questions du mec par celles du formulaire de pré-inspection. Si quelqu'un a le temps de s'y mettre, ça vaut le coup d'être diffusé, ENAURME ton détournement Rikki

Mufab a écrit:Franchement, Lysimaque, j'aurais vraiment du mal à remplir ton questionnaire en toute bonne foi, notamment concernant l'évaluation, le LPC (merci DC, ma question n'était pas ironique : je ne savais pas ce que c'était parce que je crois que je m'en tape grave), les TUIC, les langues vivantes.
Rien sur l'enseignement des maths et du français ? Sur les choix pédagogiques effectués pour ces fondamentaux ?

Comme je suis inspectable cette année, il va falloir que je fasse vraiment un gros efforts sur ces trucs-là qui semblent tant leur tenir à coeur, alors que ce sont réellement les cadets de mes soucis professionnels.
Pour moi, le Livret, les PPRE, et même les bulletins trimestriels (que je me force à faire en ce moment pour la première fois depuis que je suis PE, lasse de me distinguer), sont vraiment des formalités administratives sans intérêts (sauf cas de réunion formelle de l'équipe éducative pour les PPRE, qui peuvent alors devenir une base de travail ou d'intervention de l'enseignant référent.)

Ils représentent autant de temps volé à ma préparation de classe (dont dépendra le temps réel passé avec les élèves et son efficacité), à mon auto formation sur les outils à utiliser, à l'auto critique de ma gestion de la classe, aux échanges de méthodes ou de points de vue avec les collègues, à une véritable prise en compte des difficultés comportementales in situ, à ma réflexion sur les progrès de chaque élève et sur ce qui engendre ou inhibe ces progrès dans ce que je propose.

D'autre part, je ne peux pas utiliser la salle informatique car elle ne dispose que de 10 postes pour 27 élèves, donc 3 qui hier ne fonctionnaient pas.

Pour l'anglais, heu... Oui il y a deux créneaux sur mon emploi du temps papier.

Il m'étonne que l'on puisse bâtir une Inspection ou un entretien d'Inspection sur ces critères, et que le travail de gestion de la classe, de préparation, d'intégration réelle de la difficulté scolaire ou du handicap dans la vie et les apprentissages quotidiens de la classe, en mettant les connaissances aux programmes à la portée de tous, leur adaptation à un public spécifique et extrêmement hétérogène, la prise en compte du rythme des enfants... soient portés au second plan.
Cette grille proposée ne colle pas avec la réalité du terrain, ou en tout cas du mien.

D'ailleurs, en ce qui concerne l'évaluation, il m'étonne que l'on ne parle pas de l'évaluation formative (quotidienne : orale ou écrite, via la correction des exercices, les encouragements ou reprises verbaux, les aides ponctuelles, le recours à l'auto correction, pointage des progrès ou erreurs de tous ordres, in situ), de ce que l'on transmet à l'enfant comme image (positive, ou à corriger sur certains points) de lui-même en tant qu'élève (statut qu'il est en train de construire dans les petites classes, et pour beaucoup, ce n'est pas gagné) et de sa mise en oeuvre pratique - la seule qui me semble en adéquation avec ce que je sais de la fragilité des acquis, et avec les processus d'apprentissage, faits d'avancées, de stagnation, parfois de régressions.

Bon excusez-moi pour tout ce verbiage qui n'apporte rien de constructif à la discussion : je crois que je suis un peu crevée en cette fin de trimestre, et manque encore, en général, terriblement de recul sur mon métier.

Ton questionnement, ça me fait exactement penser à celui que nous avons opposé à notre CPC lorsqu'il nous a signalé que notre projet d'école ne contenait pas de fiche-action portant sur l'accueil des "élèves à profil particulier" :

"Mais... c'est infaisable ! Tant que l'élève à profil particulier n'a pas pointé son nez au portail de l'école, comment pouvons-nous savoir comment nous nous adapterons à la nature de son profil ?
Il faudrait que nous écrivions un ouvrage d'un petit millier de pages qui risquerait encore d'être insuffisamment exhaustif et totalement improductif le jour de l'arrivée du malheureux bambin !"

Ce à quoi il nous a été répondu : "Oui mais non, pas du tout. Vous devez avoir cette fiche, format A4, afin d'être immédiatement opérationnelles le jour où on vient vous inscrire indifféremment un enfant sourd, aveugle, myopathe, autiste ou un car de trente petits Kosovars !"

On a donc pondu la fiche, complètement nulle, remplie de "différenciation", "PPRE", "PAI", "adaptabilité", "MDPH", "équipe éducative", enfin tout ce qu'on savait déjà, et on l'a remisée par devers nous après validation en pensant très, très fort la même chose que la nana du type de Reiser !

Rikki a écrit:Evidemment, mon éclat de rire s'adressait au pédagogue de Mowg', pas au message de Muf' !


Mufab, à mon avis, il y a plusieurs options pour faire face à ces demandes institutionnelles :
- en rire intérieurement et jouer le jeu du blabla abscons pour avoir la paix
- en fonction de la personnalité de l'IEN, réussir à adopter une attitude complice du "vous et moi, on sait bien que tout ça c'est du pipeau"
- adopter une attitude de refus

On peut envisager des variantes et des dosages de chaque attitude.

Par contre, à mon sens, si on veut s'en sortir indemne, il ne faut à aucun moment commencer à entrer dans le détail et se mettre à prendre leur délire au sérieux, sinon, effectivement, on se met soi-même en danger.

J'ai été inspecté il y a deux semaines et j'avais normalement à remplir toutes ces âneries...Bon , l'inspecteur m'a prévenu la veille. Quand il est arrivé, il ne m'a rien demandé , puis lors de l'entretien j'ai testé;: "Je n'ai pas rempli laes fiches demandées, mais je peux vous les faire parvenir" (dans ce cas j'aurais jouer le jeu du bla bla bien plat), mais l'IEN m'a répondu: "Non, vous et moi on ne va pas perdre du temps avec ça... "
Bon evidemment, je suis tombé sur un sympa, je sais que dans les autres circos, ce ne serait pas le cas...
Sinon, on peut se demander si c'est la peine d'aller faire du cirage de pompe. Parfois les notes ne suffisent pas pour passer au GC. Hier CAPD dans mon dpt pour les promotions: quand je vois les barèmes nécessaires dans les derniers échelonds, pff...autant laisser tomber et être en accord avec soi-même. Cette paperasserie, c'est du délire total, qui peut bien penser qu'on va améliorer le système, l'enseignement, le niveau des élèves avec de telles âneries ?

L'an dernier j'ai reçu 8 pages de questionnaire préalable à l'inspection, en renvoyer "par retour de mail" :lol!:

Tiens je joins la fiche qu'on nous demande de remplir...

I.E.N.XXX Année scolaire 2011-2012

Notice préparatoire à l’inspection du

Nom :
Nom de jeune fille :
Prénom :
Né(e) le :
Grade :
Emploi :
Echelon :
Note :
Date de la dernière inspection :

Date de nomination dans le poste :
Ecole :
Commune :
Nombre de classes :
Nature de la classe :
Inscrits : Présents :
Nombre de contrats d’intégration :
Nombre d’élèves en retard :
Nombre d’élèves en prolongation de cycle :
Nombre d’élèves ne maîtrisant pas les compétences de base (cycle3) :
Pourcentages mensuels de fréquentation
Septembre Octobre Novembre Décembre Janvier Février Mars Avril Mai Juin

Effectifs de l’école par classe :
3 ans 4ans 5ans CP CE1 CE2 CM1 CM2 TOTAL






L'inspecteur de l'éducation nationale XXXXX


Pièces à fournir le jour de l’Inspection
• Joindre dernier rapport d’inspection
• Prévoir une photocopie de l’emploi du temps
• Fournir un tableau de synthèse des résultats aux évaluations CE1 et CM2.

Mutualisation des compétences


Décloisonnement, échanges de service



Interventions du RASED




Enseignement d’une langue vivante
Modalités du dispositif (prise en charge, volume horaire, niveaux concernés) :




I.E.N. xxx Année scolaire 2011-2012

CONTEXTE EDUCATIF ET PEDAGOGIQUE
1. Projet d’école : intitulé des axes retenus et objectifs prioritaires correspondants :



2. Projet(s) spécifique(s) à la classe (correspondances, défis, actions culturelles, voyages et sorties scolaires...) :




3. Continuité pédagogique : travail d’équipe, modalités de concertation au sein du cycle et de l’école (ou du RPI), liaison GS/CP, liaison CM2/6ème :






4. Liste des cahiers et classeurs utilisés dans la classe (bien vouloir détailler):



Les élèves disposent-ils d’un cahier de références culturelles ?
d’un cahier d’expériences et d’observations ?
d’un cahier de vocabulaire ?
5. Le livret personnel de compétences a-t-il été mis en œuvre ?


6. Dispositif d’évaluation / prise en compte de l’hétérogénéité des élèves / exploitation des évaluations CE1 et CM2




7. Brevet informatique et internet – Compétences acquises, actuellement travaillées :




8. Pratique de l’EPS (horaire hebdomadaire, nature des activités) – Fournir la programmation /Installations sportives spécifiques.





9 Enseignement de l’histoire des arts (contenus, modalités de mise en œuvre)



10. Mise en œuvre de PPRE (élèves concernés et dominantes)- Projets personnalisés de scolarisation




11. Aide personnalisée (jours et horaires)/ nombre d’élèves pris en charge/Objectifs, contenu, appréciation des progrès réalisés




12. Instruction morale (démarches pédagogiques)



13. Mise en œuvre d’ »apprendre à porter secours » à l’école primaire (document de suivi)



14. Mise en œuvre de « Première éducation à la route » (APER)


15. Animations pédagogiques : choix effectués sur l’année en cours
les 6 animations retenues sont :

Mowgli a écrit:

:acb: