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- AuroreEsprit éclairé
Y@nn a écrit:Aurore, tu peux ressortir l'histoire "des appareils électroménagers" tant que tu veux, ça ne constitue pas un argument définitif. Meirieu lui-même a reconnu qu'il s'était amplement trompé sur le sujet. L'aveu est aussi comique que pitoyable, surtout de la part d'un soi-disant "expert". Au reste, en ce qui te concerne, tu dis des énormités qui ne t'empêchent pas de les étaler au grand jour. Encore un argument d'autorité : manquerais-tu d'éléments de fond ?
Quoi qu'il en soit, ce n'est vraiment pas le sujet. Mais ce que je ne comprends pas, c'est que dès que Meirieu dit un truc, il faut que la discussion dérive en "Oui, mais c'est un gros crétin" ! On peut penser ce que l'on veut de Meirieu, mais le propos est intéressant sans qu'il soit invariablement ramené à l'histoire "des appareils électroménagers" ou à quoi que ce soit de la fin des années 90. Je me répète : quand on se "trompe" ainsi, on la ferme et on arrête de pérorer dans les médias. Et il n'y a pas que les appareils électroménagers : ses récents propos sur l'éducation artistique (d'ailleurs, qu'est-ce qu'il y connaît, le bougre ???) sont d'une bêtise stupéfiante. Et je pourrais citer bien d'autres exemples.
- AuroreEsprit éclairé
Igniatius a écrit:Il y a évaluation et évaluation : aujourd'hui, ce qui est prôné par nos dirigeants, ce sont des évaluations à la politburo, où l'on connaît les chiffres avant les épreuves.
L'objectif est de démontrer que les réformes fonctionnent, et donc que les gamins peuvent bien passer en classe supérieure: tout est bidonné pour atteindre cet objectif.
En revanche, après avoir craché sur "l'obsession de la note qui traumatise les élèves", créant ainsi des cohortes de gamins mal formés parce que mal évalués, sans pression, sans exigences, Meirieu vient nous expliquer que l'école est surmédicalisée : la faute à qui ? Grâce à l'abandon du français, ils ont créé des nouvelles maladies pour les orthophonistes. Aujourd'hui, on en vient à parler de "dyscalculie", chimère existant depuis que l'on ne demande plus d'apprendre les tables.
Je trouve honteux que ce salopard de Meirieu soit encore écouté : il est pour moi comme les pompiers pyromanes de Goldman Sachs nommés à la tête de l'Italie et de la Grèce, comme les hommes politiques condamnés et qui reviennent faire de la politique. Ces gens devraient être interdits à vie d'exercer ces métiers.
En écrivant ce papier, Meirieu ne cherche pas à proposer de solutions : c'est tjrs le même salmigondis incompréhensible de propos lénifiants concernant le travail d'équipe, etc.
Il dit quand même que tout le monde se fout aujourd'hui de ce qui se passe en classe ! MAis oui, il a raison, et c'est la faute de son courant d'idées !
Il est là pour faire de la retape politique, c'est tout.
Et comme tous les politiques, il n'a peur de rien, surtout pas de se renier entièrement.
Triste.
- kpNiveau 2
Igniatius a écrit:Il y a évaluation et évaluation : aujourd'hui, ce qui est prôné par nos dirigeants, ce sont des évaluations à la politburo, où l'on connaît les chiffres avant les épreuves.
L'objectif est de démontrer que les réformes fonctionnent, et donc que les gamins peuvent bien passer en classe supérieure: tout est bidonné pour atteindre cet objectif.
En revanche, après avoir craché sur "l'obsession de la note qui traumatise les élèves", créant ainsi des cohortes de gamins mal formés parce que mal évalués, sans pression, sans exigences, Meirieu vient nous expliquer que l'école est surmédicalisée : la faute à qui ? Grâce à l'abandon du français, ils ont créé des nouvelles maladies pour les orthophonistes. Aujourd'hui, on en vient à parler de "dyscalculie", chimère existant depuis que l'on ne demande plus d'apprendre les tables.
Je trouve honteux que ce salopard de Meirieu soit encore écouté : il est pour moi comme les pompiers pyromanes de Goldman Sachs nommés à la tête de l'Italie et de la Grèce, comme les hommes politiques condamnés et qui reviennent faire de la politique. Ces gens devraient être interdits à vie d'exercer ces métiers.
En écrivant ce papier, Meirieu ne cherche pas à proposer de solutions : c'est tjrs le même salmigondis incompréhensible de propos lénifiants concernant le travail d'équipe, etc.
Il dit quand même que tout le monde se fout aujourd'hui de ce qui se passe en classe ! MAis oui, il a raison, et c'est la faute de son courant d'idées !
Il est là pour faire de la retape politique, c'est tout.
Et comme tous les politiques, il n'a peur de rien, surtout pas de se renier entièrement.
Triste.
- Y@nnNiveau 9
Jane a écrit:Y@nn a écrit:Jane a écrit:Peut-être n'est-il pas tout à fait étranger à ce qu'on a fait de l'école. Facile de le déplorer ensuite.
Oui, c'est le mal incarné. Si on arrive à le démontrer, on retrouve la béatitude d'avant la chute.
Inutile de me répondre comme si j'étais une débile.
Je plaisante...
- Y@nnNiveau 9
Aevin a écrit:+1Y@nn a écrit:Jane a écrit:je me marre...
Bah, moi, je ne me marre pas. Je trouve, comme à l'accoutumée, l'analyse plutôt juste, y compris dans sa métaphore météorologique et psychologique («une véritable dépression scolaire»). Je déplore cette passion pour l'évaluation, cela dès le plus jeune âge, puisque Luc Chatel a récemment proposé d'évaluer les maternelles et aussi les élèves de cinquième («la classe est en train de devenir progressivement un lieu où l’on passe son temps à évaluer les élèves »). Et je déplore également ces emplâtres sur des jambes de bois que sont ces différentes instances qui vont «de la classe vers l’aide personnalisée, puis vers l’étude dirigée, le soutien scolaire, les cours particuliers, le psychologue et l’orthophoniste, les filières dédiées et les établissements spécialisés, Internet et les camps de vacances-études…». Le lieu où tout devrait se jouer est bien la classe... Or on passe son temps à se demander - au sein même du collège unique - où on pourrait envoyer les élèves (SEGPA, DP 6, etc.).
C'est un vrai "+1" ? Pour moi ? Merci.
- kpNiveau 2
Y@nn, c'est décevant. Comprends-tu que ce monsieur, sciemment ou non, a été le représentant de la déformation de la transmission des savoirs?
- AuroreEsprit éclairé
ghi a écrit:Y@nn, c'est décevant. Comprends-tu que ce monsieur, sciemment ou non, a été le représentant de la déformation de la transmission des savoirs?
Tu doutes encore ?
- AevinHabitué du forum
avec plaisirY@nn a écrit:Aevin a écrit:+1Y@nn a écrit:Jane a écrit:je me marre...
Bah, moi, je ne me marre pas. Je trouve, comme à l'accoutumée, l'analyse plutôt juste, y compris dans sa métaphore météorologique et psychologique («une véritable dépression scolaire»). Je déplore cette passion pour l'évaluation, cela dès le plus jeune âge, puisque Luc Chatel a récemment proposé d'évaluer les maternelles et aussi les élèves de cinquième («la classe est en train de devenir progressivement un lieu où l’on passe son temps à évaluer les élèves »). Et je déplore également ces emplâtres sur des jambes de bois que sont ces différentes instances qui vont «de la classe vers l’aide personnalisée, puis vers l’étude dirigée, le soutien scolaire, les cours particuliers, le psychologue et l’orthophoniste, les filières dédiées et les établissements spécialisés, Internet et les camps de vacances-études…». Le lieu où tout devrait se jouer est bien la classe... Or on passe son temps à se demander - au sein même du collège unique - où on pourrait envoyer les élèves (SEGPA, DP 6, etc.).
C'est un vrai "+1" ? Pour moi ? Merci.
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Automate - et fier de l'être
"Well, the travelling teachers do come through every few months," said the Baron.
"Yes, sir, I know sir, and they're useless. They teach facts, not understanding. It's like teaching people about forests by showing them a saw. I want a proper school, sir, to teach reading an writing, and most of all thinking, sir [...]"
Terry Pratchett - I Shall Wear Midnight
... und wer Fehler findet, kann sie behalten!
- kpNiveau 2
@Aevin:Argumentons, souffrez d'avis contraires. N'entendez - vous pas la marée qui monte ?
- kpNiveau 2
:lol:Aurore a écrit:Tu doutes encore ?ghi a écrit:Y@nn, c'est décevant. Comprends-tu que ce monsieur, sciemment ou non, a été le représentant de la déformation de la transmission des savoirs?
- Y@nnNiveau 9
ghi, qu'est-ce qui est décevant ? Meirieu ne s'est jamais opposé à la transmission des savoirs. Il faudrait le lire avant de crier au loup et au lieu de s'appuyer sur deux ou trois interviews ressassés ad nauseam. Et puis, je le redis, on peut bien penser ce que l'on veut de Meirieu (m'en fous), mais le diagnostic qu'il fait est intéressant. Malheureusement, c'est le dada de deux ou trois réacs qui, dès qu'ils entendent son nom, entonnent la même antienne "Bouh ! le méchant pédagogo responsable de tous nos maux".
- JaneMonarque
Y@nn a écrit:Jane a écrit:Y@nn a écrit:Jane a écrit:Peut-être n'est-il pas tout à fait étranger à ce qu'on a fait de l'école. Facile de le déplorer ensuite.
Oui, c'est le mal incarné. Si on arrive à le démontrer, on retrouve la béatitude d'avant la chute.
Inutile de me répondre comme si j'étais une débile.
Je plaisante...
Mouais; c'était pas transparent.
Surtout quand je lis Malheureusement, c'est le dada de deux ou trois réacs qui, dès qu'ils entendent son nom, entonnent la même antienne "Bouh ! le méchant pédagogo responsable de tous nos maux".
- kpNiveau 2
Je ne suis pas né de la dernière pluie. Ensuite ce serait plutôt les conservateurs que tu devrais décrier. Mais laissons cela de côté. Les hordes d'ignares formées par des personnels des 'Iufm' sont - ils fantasmagoriques? Ne doit - on pas recentrer les apprentissages sur les savoirs aujourd'hui en détachant ces derniers de leurs utilités illusoires?Y@nn a écrit:ghi, qu'est-ce qui est décevant ? Meirieu ne s'est jamais opposé à la transmission des savoirs. Il faudrait le lire avant de crier au loup et au lieu de s'appuyer sur deux ou trois interviews ressassés ad nauseam. Et puis, je le redis, on peut bien penser ce que l'on veut de Meirieu (m'en fous), mais le diagnostic qu'il fait est intéressant. Malheureusement, c'est le dada de deux ou trois réacs qui, dès qu'ils entendent son nom, entonnent la même antienne "Bouh ! le méchant pédagogo responsable de tous nos maux".
- AuroreEsprit éclairé
Y@nn a écrit:ghi, qu'est-ce qui est décevant ? Meirieu ne s'est jamais opposé à la transmission des savoirs. Il faudrait le lire avant de crier au loup et au lieu de s'appuyer sur deux ou trois interviews ressassés ad nauseam. Et puis, je le redis, on peut bien penser ce que l'on veut de Meirieu (m'en fous), mais le diagnostic qu'il fait est intéressant. Malheureusement, c'est le dada de deux ou trois réacs qui, dès qu'ils entendent son nom, entonnent la même antienne "Bouh ! le méchant pédagogo responsable de tous nos maux".
Tu parles de Meirieu et de Dubet, là ?
"Meirieu ne s'est jamais opposé à la transmission des savoirs". Et pourquoi pas : "Sarko, le président du pouvoir d'achat" ?
- AuroreEsprit éclairé
Les vrais réacs et conservateurs, ce sont ceux qui veulent maintenir les enfants de milieu défavorisé dans leur ignorance en les "mettant au centre", en "adaptant la pédagogie à leurs besoins", et en refusant de leur transmettre des savoirs "bourgeois".
- Y@nnNiveau 9
"Les hordes d'ignares" ??? Tu veux dire toi et moi ? Feu l'IUFM ne faisait que tisser du lien (tant bien que mal, plutôt mal que bien d'ailleurs) entre le savoir universitaire et le métier qui allait être le nôtre. Le savoir est au cœur de tous les enjeux, et ce n'est pas les derniers propos de Meirieu qui infirmeront mes affirmations.
- JaneMonarque
Aurore a écrit:Les vrais réacs et conservateurs, ce sont ceux qui veulent maintenir les enfants de milieu défavorisé dans leur ignorance en les "mettant au centre", en "adaptant la pédagogie à leurs besoins", et en refusant de leur transmettre des savoirs "bourgeois".
- nanouevaNiveau 10
Il me gave le théoricien beaujolisé. Ca fait combien de temps qu'il n'a pas mis les pieds dans un collège, une salle de classe?
- Y@nnNiveau 9
nanoueva a écrit:Il me gave le théoricien beaujolisé. Ca fait combien de temps qu'il n'a pas mis les pieds dans un collège, une salle de classe?
Bon, vous êtes très sympas tous, mais comme vous avez décidé de décliner "Meirieu est un c...", je vous laisse.
- AuroreEsprit éclairé
Y@nn a écrit:nanoueva a écrit:Il me gave le théoricien beaujolisé. Ca fait combien de temps qu'il n'a pas mis les pieds dans un collège, une salle de classe?
Bon, vous êtes très sympas tous, mais comme vous avez décidé de décliner "Meirieu est un c...", je vous laisse.
On n'a toujours pas eu les arguments de ta part prouvant le contraire. En même temps, il faudrait d'abord les trouver...
- JohnMédiateur
Ce sont des arguments, peut-être, "hordes d'ignares" et "théoricien beaujolisé" ?
Il y a un truc poli et sérieux à répondre à des expressions comme celles-là ?
Il y a un truc poli et sérieux à répondre à des expressions comme celles-là ?
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- kpNiveau 2
Je suis ton ainé. La liaison est importante. Le tissage de liens professionnels, cela m'a échappé alors. Un savoir universitaire est le garant d'une compétence accrue, statistiquement parlant, sinon à quoi servent les diplômes? Maîtriser la théorie des groupes permet d'avoir une vision plus large des apprentissages dans le secondaire. Cela permet une continuité des perceptions ensemblistes (entiers naturels, nombres décimaux, puis les rationnels, les irrationnels, etc.) Limiter ces connaissances universitaires, cela conduit à un risque accru. Les Iufm et leur gourous ont interdit l'apprentissage de différentes formes d'enseignements. A chaque notion se pose la question du biais, de la méthode et du support le plus favorable. Pour ne citer que deux exemples: les vecteurs ne passent jamais aussi bien que par un enseignement frontal; les aires des figures géométriques de bases s'accommodent d'une mise en avant du sens de la mesure, si je puis dire. C'est alors, que le rôle délétère des gourous pointe en interdisant aux futurs praticiens la connaissance a priori des différentes méthodes de transmissions des savoirs.Y@nn a écrit:"Les hordes d'ignares" ??? Tu veux dire toi et moi ? Feu l'IUFM ne faisait que tisser du lien (tant bien que mal, plutôt mal que bien d'ailleurs) entre le savoir universitaire et le métier qui allait être le nôtre. Le savoir est au cœur de tous les enjeux, et ce n'est pas les derniers propos de Meirieu qui infirmeront mes affirmations.
- AuroreEsprit éclairé
John a écrit:Ce sont des arguments, peut-être, "hordes d'ignares" et "théoricien beaujolisé" ?
Il y a un truc poli et sérieux à répondre à des expressions comme celles-là ?
Sur les "hordes d'ignares" : nous constatons couramment que les connaissances disciplinaires de nombre de récents lauréats des concours (primaire et CAPES) laissent à désirer, pour rester soft. Les instits qui sortent de socio ou sciences de l'éduc et qui omettent de corriger les fautes d'orthographe dans les copies des élèves (quand ils n'en font pas une toutes les trente secondes), ce n'est pas une légende.
Sur le théoricien : il est pour le moins hasardeux de soutenir que la prose meiriolesque procède d'une expérience de terrain régulière et soutenue.
Bilan : tu t'en prends à la forme alors qu'il existe bel et bien un problème de fond...
- JohnMédiateur
Personnellement, j'aimerais bien que si le fond est réellement argumenté, la forme ne verse pas dans la stupidité outrancière des "hordes d'ignares" et du "beaujolisé".
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"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- kpNiveau 2
Certes, mais où est passé le beaujolais?Aurore a écrit:Sur les "hordes d'ignares" : nous constatons couramment que les connaissances disciplinaires de nombre de récents lauréats des concours (primaire et CAPES) laissent à désirer, pour rester soft. Les instits qui sortent de socio ou sciences de l'éduc et qui omettent de corriger les fautes d'orthographe dans les copies des élèves (quand ils n'en font pas une toutes les trente secondes), ce n'est pas une légende.John a écrit:Ce sont des arguments, peut-être, "hordes d'ignares" et "théoricien beaujolisé" ?
Il y a un truc poli et sérieux à répondre à des expressions comme celles-là ?
Sur le théoricien: il est pour le moins hasardeux de soutenir que la prose meiriolesque procède d'une expérience de terrain régulière et soutenue.
Bilan : tu t'en prends à la forme alors qu'il existe bel et bien un problème de fond...
- BouletbilleNiveau 5
Meirieu : quand on a participé à la désintégration, il n'est plus le temps de venir chialer !
Le marché qui investit tous les domaines de la société (éducation incluse) d'un côté (libéral-), la destruction des "valeurs" de l'autre (-libertaire)...
En réalité, pas d'opposition...une alliance des libéraux et des libertaires. Ita missa est...
Maintenant, on (ceux qui se sentent encore concernés) se bouge et on remet en cause tout cela !
Le marché qui investit tous les domaines de la société (éducation incluse) d'un côté (libéral-), la destruction des "valeurs" de l'autre (-libertaire)...
En réalité, pas d'opposition...une alliance des libéraux et des libertaires. Ita missa est...
Maintenant, on (ceux qui se sentent encore concernés) se bouge et on remet en cause tout cela !
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"La franc-maçonnerie est la religion de la république. Amen. Hosanna au plus haut des cieux". Jules-Vincent Ferry-Peillon
"Faites ce que je dis pas c'que j'fais".
"Merci pour ce moment".
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- L'éducation en une de Libération avec Camille Bedin (UMP, la Droite forte), Philippe Meirieu (EELV), Maya Akkari (Terra Nova)...
- Philippe Meirieu défend "la pédagogie" contre les attaques réactionnaires
- Philippe Meirieu et Loys Bonod dans Rue des Ecoles le 09 avril 2014 à 15h.
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- Lyon Capitale s'interroge : Philippe Meirieu, affaibli à Lyon, obtiendra-t-il "un maroquin" dans le premier gouvernement Hollande ?
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