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- micaschisteMonarque
C'est l'histoire des premières minutes...les réflexes reviennent vite.
- CondorcetOracle
pk a écrit:Ca va bien se passer anthinéa, c'est un coup de blues. Garde courage, haut les coeurs.
Itou.
- Invité5Expert
Des bises Anthi !
Je suis sûre que tout va bien se passer, ça va sûrement te faire du bien au moral de rebosser
Celian va mieux aujourd'hui ?
Courage
Je suis sûre que tout va bien se passer, ça va sûrement te faire du bien au moral de rebosser
Celian va mieux aujourd'hui ?
Courage
- SalsepareilleÉrudit
pk a écrit:Tu vas chez un médecin ou tu vas bosser. Tu as 1 minute pour décider. Si tu n'arrives pas à te décider, une solution: tu ouvres un roman, tu choisis une page au hasard, tu lis quelques lignes, 15 secondes de réflexion, la réponse est dans le livre!
Si cette dernière est d'y aller, enseigner, cela ne s'oublie pas en quinze jours tout de même. Tu vas assurer. Petit caca du soir, douche chaude et zou au lit! Tu te répètes plusieurs fois: "Je vais très bien dormir, me réveiller en pleine forme et je vais vraiment assurer."
Quelle que soit la réponse, je te souhaite de te rétablir au mieux.
On voit que pk n'est pas constipé, lui... "Petit caca du soir", et tout va mieux: aaaaah, si tout était aussi simple! :lol:
Anthi, ça ira pieux après ta première heure de cours. Allez, courage!
- KetamineNiveau 2
L'angoisse du dimanche soir, de la fin des vacances est normale. L'angoisse de reprendre après avoir été arrêtée est encore plus forte parce qu'il y a la culpabilité. Mais souvent, elles sont disproportionnées par rapport à la journée du lendemain.
J'angoisse tous les weekends de devoir reprendre le mardi qui suit. Le mardi matin j'ai la nausée, le moral à zéro et 2 de tension. Et pourtant, une fois au collège, je retrouve mon énergie et ma motivation.
Bon pas longtemps parfois...
C'est un mauvais moment à passer, mais la reprise se fera bien, tu verras.
J'angoisse tous les weekends de devoir reprendre le mardi qui suit. Le mardi matin j'ai la nausée, le moral à zéro et 2 de tension. Et pourtant, une fois au collège, je retrouve mon énergie et ma motivation.
Bon pas longtemps parfois...
C'est un mauvais moment à passer, mais la reprise se fera bien, tu verras.
- HéliandreExpert
C'est quand même bizarre, ça (je ressens la même chose, je précise). Ca fait aussi partie des particularités de notre métier... Il me semble qu'on n'a pas à être stressé régulièrement à la reprise du travail (sauf cas particulier, convocation du boss, intervention devant un amphi...), ça ne doit pas être le cas dans la plupart des autres activités, si ce n'est pour les artistes (je pense à Brel qui gerb*** avant l'entrée en scène, parait-il).Ketamine a écrit:L'angoisse du dimanche soir, de la fin des vacances est normale. L'angoisse de reprendre après avoir été arrêtée est encore plus forte parce qu'il y a la culpabilité. Mais souvent, elles sont disproportionnées par rapport à la journée du lendemain.
- KetamineNiveau 2
Ma "vieille" collègue de français qui a 30 ans de métier me le dit souvent, elle le ressent toujours, tous les dimanche. Pourtant elle est rodée.
Je pense qu'on angoisse parce qu'on est constamment livrés à l'imprévu. Qu'est ce qui va se passer aujourd'hui ? J'espère que les 4e Machin vont pas être trop chiants. Et si je pouvais pas finir mon cours. Etc... Et on est pas les seuls dans cette situation. Pour moi le stress des profs n'est pas normal, mais il est compréhensible.
Je pense qu'on angoisse parce qu'on est constamment livrés à l'imprévu. Qu'est ce qui va se passer aujourd'hui ? J'espère que les 4e Machin vont pas être trop chiants. Et si je pouvais pas finir mon cours. Etc... Et on est pas les seuls dans cette situation. Pour moi le stress des profs n'est pas normal, mais il est compréhensible.
- doublecasquetteEnchanteur
Héliandre a écrit:C'est quand même bizarre, ça (je ressens la même chose, je précise). Ca fait aussi partie des particularités de notre métier....Ketamine a écrit:L'angoisse du dimanche soir, de la fin des vacances est normale. L'angoisse de reprendre après avoir été arrêtée est encore plus forte parce qu'il y a la culpabilité. Mais souvent, elles sont disproportionnées par rapport à la journée du lendemain.
Pas du tout !
C'est comme ça pour tous les gens qui prennent leur travail à cœur et sont d'un tempérament anxieux, dans n'importe quel métier, et surtout sur les dix à quinze premières années de carrière.
Il y a tellement de premières fois à surmonter, tellement de pratiques (= clients ou élèves) difficiles qui nous déstabilisent.
Et avec le développement d'une société procédurière, de la "flexibilité" et autres précarisations, ça ne va pas en s'arrangeant.
- MagpieExpert
Je suis d'accord avec DC : quand on prend notre métier au sérieux, on a forcément cette envie de bien faire et l'appréhension qui va avec. Quand je faisais du ménage l'été, je m'en fichais (si ce n'est que quelques clients - c'était chez des particuliers- étaient particulièrement pénibles), le blues du dimanche soir, c'était juste la fin du repos, pénible mais pas anxiogène.
En boulangerie c'était déjà plus difficile parce que j'avais des comptes à rendre aux patrons et aux clients (globalement sympas).
Mais si mes premières journées de classe (et les autres "premières journées" de la semaine, du trimestre...) me marquent autant, c'est bien parce que c'est là que je veux être efficace. C'est une question d'implication.
En boulangerie c'était déjà plus difficile parce que j'avais des comptes à rendre aux patrons et aux clients (globalement sympas).
Mais si mes premières journées de classe (et les autres "premières journées" de la semaine, du trimestre...) me marquent autant, c'est bien parce que c'est là que je veux être efficace. C'est une question d'implication.
- anthinéaGuide spirituel
il me reste une heure de vie de classe .... Et j'ai mal partout .... C'est horrible ....
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