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- ChocolatGuide spirituel
roxanne a écrit:de plus courageux ..venir vers quelqu'un en feu, surmonter la panique, trouver le sang froid pour la couvrir à 16 ou 17 ans , c'est pas si facile.Quant à ceux qui ont chanté ou filmé , il faut les identifier et les sanctionner pénalement.Celadon a écrit:Heureusement que l'éducation à la citoyenneté permet de remplir quelques
petites cases, sinon on ne voit pas très bien à quoi ni à qui elle sert.
Pour les élèves qui ont tenté de la sauver, quoi de plus normal, de plus humain ?
Complètement d'accord - c'est un comportement exceptionnel, nous ne pouvons pas ne pas le reconnaître !
- JaneBNeoprof expérimenté
Reine Margot a écrit:
C'est dingue mais ça reflète bien la mentalité de certains beaufs de mauvaise foi , non?
( la réaction du quidam de la vidéo à la marche blanche pour Lise B. n'en est pas si éloignée...)
- JaneBNeoprof expérimenté
Melody Nelson a écrit:roxanne a écrit:et d'autres ont tenté de la sauver...rien n'est tout blanc ou tout noirMelody Nelson a écrit:Merci John.... Je suis sous le choc en lisant que des gamins ont filmé ou chanté....... Ce sont des monstres............
Evidemment, mais naïvement je n'imaginais pas qu'on puisse filmer ou chanter en pareilles circonstances...
+ 1. Immondes jusqu'au bout, certains auront été!!
- User5899Demi-dieu
C'est de l'ironie ? Faut-il une "éducation à la citoyenneté" pour tenter d'aider quelqu'un qui brûle devant soi ? Ou du moins pour ne pas la filmer en rigolant ? Je me rappelle, il y a une quinzaine d'années, au Mont-Saint-Michel, cette famille qui s'est noyée dans des sables mouvants, entourée de badauds qui la filmaient en train de s'enfoncer... Éducation ou pas, il y a ici ou là des monstres. Mais je me demande si faire de la citoyenneté sur des heures de cours ne suggère pas à certains que sorti du cours, c'est du pipeau.Celadon a écrit:Heureusement que l'éducation à la citoyenneté permet de remplir quelques
petites cases, sinon on ne voit pas très bien à quoi ni à qui elle sert.
Pour les élèves qui ont tenté de la sauver, quoi de plus normal, de plus humain ?
- ysabelDevin
Cripure a écrit:C'est de l'ironie ? Faut-il une "éducation à la citoyenneté" pour tenter d'aider quelqu'un qui brûle devant soi ? Ou du moins pour ne pas la filmer en rigolant ? Je me rappelle, il y a une quinzaine d'années, au Mont-Saint-Michel, cette famille qui s'est noyée dans des sables mouvants, entourée de badauds qui la filmaient en train de s'enfoncer... Éducation ou pas, il y a ici ou là des monstres. Mais je me demande si faire de la citoyenneté sur des heures de cours ne suggère pas à certains que sorti du cours, c'est du pipeau.Celadon a écrit:Heureusement que l'éducation à la citoyenneté permet de remplir quelques
petites cases, sinon on ne voit pas très bien à quoi ni à qui elle sert.
Pour les élèves qui ont tenté de la sauver, quoi de plus normal, de plus humain ?
+1
pour sortir nos élèves de la barbarie ils ont besoin de culture, tout simplement.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- illiziaEsprit éclairé
+1
La citoyenneté c'est essentiel bein sûr, mais ce n'est pas l'objet de cours à mon avis (encore moins d'activités abêtissantes pour tous, enseignants et élèves, genre jeux de rôles, QCM débiles, expositions à la noix...etc).
La culture, la fréquentation des grands textes, l'approche de la démarche scientifique, ça c'est notre boulot, et ça, ça forme du citoyen (ajouté à d'autres vecteurs certes, mais pas de notre ressort), de l'humaniste!
Mais, bon, on rame à contre-courant là: j'intervenais juste face à ces deux derniers messages si rafraîchissants, sinon, je reste dans ma tour d'ivoire et je l'assume. vais pas me rendre malade de l'état de l'éducation nationale de l'intelligence nationale même...sans moi!
La citoyenneté c'est essentiel bein sûr, mais ce n'est pas l'objet de cours à mon avis (encore moins d'activités abêtissantes pour tous, enseignants et élèves, genre jeux de rôles, QCM débiles, expositions à la noix...etc).
La culture, la fréquentation des grands textes, l'approche de la démarche scientifique, ça c'est notre boulot, et ça, ça forme du citoyen (ajouté à d'autres vecteurs certes, mais pas de notre ressort), de l'humaniste!
Mais, bon, on rame à contre-courant là: j'intervenais juste face à ces deux derniers messages si rafraîchissants, sinon, je reste dans ma tour d'ivoire et je l'assume. vais pas me rendre malade de l'état de l'éducation nationale de l'intelligence nationale même...sans moi!
- pkHabitué du forum
"Notre chef d'établissement a reçu du cabinet du ministère de l'éducation nationale une note proclamant l'interdiction de toute forme de soutien à cette enseignante et ses collègues. Nous en ferons fi, mais de quoi ont-ils donc peur?...Qu'on dise la vérité sur ce qui se passe dans les établissements?"
Il faut récupérer cette note, si elle existe.
Il faut récupérer cette note, si elle existe.
- pkHabitué du forum
On a l'impression d'un changement radical dans le soutien hiérarchique depuis quelques années. C'est un sentiment largement partagé. Ce genre de documents, cela serait une faute grave. J'ai la naïveté de penser que cela n'a pu se passer qu'à l'oral.
- User5899Demi-dieu
Parenthèse : mes cons de collègues, pour "haiduquer à la Sitwayèneté", les emmènent visiter... les déchéteries du coin... Ou alors organisent "la journée Sitwayène" au lycée : une seule activité, ramasser les déchets par terre...illizia a écrit:+1
La citoyenneté c'est essentiel bein sûr, mais ce n'est pas l'objet de cours à mon avis (encore moins d'activités abêtissantes pour tous, enseignants et élèves, genre jeux de rôles, QCM débiles, expositions à la noix...etc).
C'est la faute à Voltaire ! :lol:
Fin de la parenthèse.
- sandmanNiveau 10
C'est peut être un peu hors sujet, quoique.
Pour rebondir sur l'éducation à la citoyenneté, je préconise un enseignement collectif de la matière "éducation civique".
Perso, je me sens bien seul dans cette matière et ni moins, ni plus légitime que mes collègues pour l'enseigner.
Pour rebondir sur l'éducation à la citoyenneté, je préconise un enseignement collectif de la matière "éducation civique".
Perso, je me sens bien seul dans cette matière et ni moins, ni plus légitime que mes collègues pour l'enseigner.
- SchéhérazadeNiveau 10
Juste une remarque: est-ce que quelqu' un peut traduire en français "éducation à la citoyenneté"? Moi je ne connais que l'éducation civique. La citoyenneté, c' est la qualité de citoyen, donc un état de fait, alors que le civisme, c' est l' ensemble des qualités d' un bon citoyen: il me semble que seul le civisme est perfectible. Et puis je connais une éducation de l' oreille, des sentiments, de la volonté, mais pas une éducation "à": qu'est-ce que ce charabia est censé vouloir dire?
Fin du HS. Surtout grand merci à John pour toutes les informations et textes qu' il nous fait parvenir.
Fin du HS. Surtout grand merci à John pour toutes les informations et textes qu' il nous fait parvenir.
- SergeMédiateur
Qu’on s’immole en France en raison de l’indifférence généralisée, c’est déjà intolérable ; mais qu’on s’immole en France dans l’indifférence la plus totale, cela devient proprement inacceptable.
J'avoue que j'en suis resté incrédule en découvrant comment l'info avait été traitée dans les médias, comment elle a pu être commentée parfois par des collègues aussi ...
Ou pire ... comment elle n'a pu faire parfois l'objet d'aucun commentaire ni signe d'intérêt parmi des gens que je connais.
- Marie LaetitiaBon génie
sandman a écrit:C'est peut être un peu hors sujet, quoique.
Pour rebondir sur l'éducation à la citoyenneté, je préconise un enseignement collectif de la matière "éducation civique".
Perso, je me sens bien seul dans cette matière et ni moins, ni plus légitime que mes collègues pour l'enseigner.
- Spoiler:
- Moi je vois bien quelqu'un de la mairie du coin, qualifié avec concours, enseigner ça. Ça leur ferait mettre le nez dans les classes.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- CeladonDemi-dieu
Euh... Cripure, je ne pensais pas que vous aviez besoin d'une explication de texte pour discerner l'ironie !
- lene75Prophète
sandman a écrit:C'est peut être un peu hors sujet, quoique.
Pour rebondir sur l'éducation à la citoyenneté, je préconise un enseignement collectif de la matière "éducation civique".
Perso, je me sens bien seul dans cette matière et ni moins, ni plus légitime que mes collègues pour l'enseigner.
Moi je ne comprends pas en quoi il s'agit d'une matière ni en quoi ça s'enseigne. J'avais la naïveté de croire que l'instruction toute entière, celle qui est donnée à l'école de la République, était une éducation civique au sens où elle formait des citoyens et des hommes avant tout. J'apprends à mes élèves à réfléchir, ça me paraît plus utile que de leur apprendre que "voter est un devoir par respect pour ceux qui se sont battus pour ce droit" (et avorter est un devoir par respect pour ceux qui se sont battus pour ce droit ? ). Nos élèves passent leur temps en actions citoyennes en tous genres et je vois que tout ce que nous arrivons à former par ces actions, ce sont des sauvages : il faudrait peut-être se poser des questions.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- User7674Érudit
lene75 a écrit:sandman a écrit:C'est peut être un peu hors sujet, quoique.
Pour rebondir sur l'éducation à la citoyenneté, je préconise un enseignement collectif de la matière "éducation civique".
Perso, je me sens bien seul dans cette matière et ni moins, ni plus légitime que mes collègues pour l'enseigner.
Moi je ne comprends pas en quoi il s'agit d'une matière ni en quoi ça s'enseigne. J'avais la naïveté de croire que l'instruction toute entière, celle qui est donnée à l'école de la République, était une éducation civique au sens où elle formait des citoyens et des hommes avant tout. J'apprends à mes élèves à réfléchir, ça me paraît plus utile que de leur apprendre que "voter est un devoir par respect pour ceux qui se sont battus pour ce droit" (et avorter est un devoir par respect pour ceux qui se sont battus pour ce droit ? ). Nos élèves passent leur temps en actions citoyennes en tous genres et je vois que tout ce que nous arrivons à former par ces actions, ce sont des sauvages : il faudrait peut-être se poser des questions.
Je suis d'accord avec toi : l'école dans son ensemble forme des citoyens et apprend la vie en société. Pourtant, dans les cours d'éducation civique, il il y a certains chapitres qui sont importants je pense : la justice en 4ème, les médias en 3ème, la définition de parti politique...
- cristalExpert spécialisé
roxanne a écrit:de plus courageux ..venir vers quelqu'un en feu, surmonter la panique, trouver le sang froid pour la couvrir à 16 ou 17 ans , c'est pas si facile.Celadon a écrit:Heureusement que l'éducation à la citoyenneté permet de remplir quelques
petites cases, sinon on ne voit pas très bien à quoi ni à qui elle sert.
Pour les élèves qui ont tenté de la sauver, quoi de plus normal, de plus humain ?
Quant à ceux qui ont chanté ou filmé , il faut les identifier et les sanctionner pénalement.
Tout à fait d'accord!
- Jean Bernard Salon de PNiveau 1
Les enseignants du collège Jean Bernard de Salon de Provence tiennent à vous apporter leur soutien et leur solidarité dans ce moment tragique où l'une de vos collègues ,Lise Bonnafous s'est donné la mort par le feu. S'immoler n'est pas un acte individuel et désespéré,c'est une voix ,c'est un cri adressé aux autres :aux élèves,aux parents,aux professeurs,à tous ceux qui subissent aujourd'hui,des pressions multiples,l'exigence de résultats,le manque de considération voire le mépris de la hiérarchie ou de leurs employeurs, à ceux que la solitude conduit au désespoir. Evidemment,il est préférable pour le ministre et l'inspecteur d'Académie de présenter cet acte aux téléspectateurs comme lié à la vie privée de Lise,ainsi l'Education Nationale se trouve dédouanée de toute responsabilité. Quant à nous ,nous n'oublierons pas que ce drame s'est produit sur le lieu de travail,au sein même de l'institution, dans une cour de récréation:nous en mesurons toute la portée symbolique et subversive.
- DHMonarque
c'est sympa mais vous comptez poster combien de fois le même message?
(du coup je fais pareil mais suis légitime)
bon, j'vous réponds comme ça tout le monde lira sept fois le même message.
Je sais bien que c'est le propre du prof de se répéter mais là vous êtes fortiche
(du coup je fais pareil mais suis légitime)
bon, j'vous réponds comme ça tout le monde lira sept fois le même message.
Je sais bien que c'est le propre du prof de se répéter mais là vous êtes fortiche
- ysabelDevin
tu te répètes DH ! mais je comprends...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- User5899Demi-dieu
Ben, à vrai dire, et c'est un vrai problème, les contextes ne sont plus si nets qu'il y a quelques mois... Mille excusesCeladon a écrit:Euh... Cripure, je ne pensais pas que vous aviez besoin d'une explication de texte pour discerner l'ironie !
- ChocolatGuide spirituel
Dr Housette a écrit:c'est sympa mais vous comptez poster combien de fois le même message?
(du coup je fais pareil mais suis légitime)
bon, j'vous réponds comme ça tout le monde lira sept fois le même message.
Je sais bien que c'est le propre du prof de se répéter mais là vous êtes fortiche
Perso, cela ne me dérange pas - ce n'est pas pire que le "up" pour qu'un fil ne se perde pas...
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- JohnMédiateur
Le Figaro, 21.10.11 :
VOS TÉMOIGNAGES - La semaine passée, l’immolation par le feu d’une enseignante désespérée à Béziers a suscité une vive émotion. Un suicide qui pourrait en grande partie s’expliquer par un «burn-out» : soit une situation de très grand épuisement professionnel, un surmenage extrême qui toucherait selon une étude 17% des enseignants. Plusieurs professeurs internautes du Figaro ont répondu à notre appel pour expliquer que ce «burn-out» n’a rien d’une découverte pour eux.
«Je suis découragé, épuisé par les conflits permanents»
Ce surmenage des enseignants, Christophe aimerait en sortir. Professeur depuis plus de 15 ans dans le secondaire, il cherche désormais à quitter son métier. «Je suis découragé, épuisé par les conflits permanents avec les élèves et la hiérarchie. Je vis de semaine en semaine, et non plus d’année en année, une dégradation de mes conditions de travail.»
Pour ce professeur, les raisons de cette désespérance sont plus morales que matérielles. Elles n’en sont pas moins préoccupantes : «Insultes, violences, sentiment d’inutilité, culpabilisation des professeurs par les élèves, l’institution, la hiérarchie, la société. Tout s’accumule pour faire de nous des dépressifs, alors que nous sommes censés donner le goût d’apprendre et de vivre à des jeunes qui se cherchent.»
L’internaute Inès est arrêtée pour cause de dépression. Elle explique l’impuissance qu’elle ressentait à faire cours devant une classe réfractaire : «Rendez-vous compte : 30 élèves en face de vous qui n’ont strictement rien à faire de votre autorité, de votre savoir et de leurs études ! Si vous les excluez de cours, ils refusent de sortir. Et lorsque vous alertez la direction, on vous répond que certains jeunes refusent l’autorité féminine et qu’il faut faire attention aux remarques que l’on peut leur faire…»
«Une fois lauréate du concours, j’espérais avoir une meilleure situation»
Certains enseignants ayant répondu à l’appel du Figaro pointent également du doigt la faillite de l’institution scolaire et sa mauvaise organisation, à l’origine de conditions de travail très défavorables, qui peuvent parfois conduire à la dépression.
C’est le cas de l’internaute Thomas, professeur dans un lycée privé : «Depuis la rentrée, j'enseigne à quatre classes de seconde, deux de première et une terminale. La charge de travail est très lourde, surtout que je passe en parallèle le concours. Ce qui veut dire également que je n'ai eu aucune formation, comme mes collègues venant de réussir le concours après tout.»
Et au-delà du nombre de classes dont Thomas est responsable, les effectifs de celles-ci peuvent aussi poser problème : «La moitié de mes classes compte plus de 27 élèves. Certains sont en grosse difficulté, et refusent l'institution.»
Pour un professeur, la titularisation est un cap à franchir, mais est-il bien suffisant pour connaître une certaine «tranquillité de l’esprit» ? L’internaute Inès ne le croit pas : «Une fois lauréate du concours, j’espérais avoir une meilleure situation, mais je me trompais ! Certes, j'ai eu une paye correcte sans attendre, mais en tant qu'individu, en tant que "personne" je n'existe pas !»
Thomas, l’internaute du Figaro qui débute l’enseignement dans le privé, se demande même s’il ne va pas baisser les bras : «Après un mois et demi d'enseignement, je me réveille déjà la nuit, inquiet de mes classes. Aurais-je la motivation requise pour réussir ce concours ?»
«Cette administration ne prend pas soin de son personnel»
Plus grave encore, l’internaute Georges dénonce l’absence de prise en charge des enseignants par la médecine du travail : «J'ai fait un infarctus en 1989, avec arrêt de trois mois et mi-temps thérapeutique. Par la suite, et jusqu’à ma retraite il y a deux ans, à aucun moment je n'ai été vu par la médecine du travail malgré la pathologie cardiaque dont je souffrais.»
Par son témoignage, Georges espère simplement «démontrer la situation regrettable d’une administration qui ne prend pas soin de son personnel».
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