- Palombella RossaNeoprof expérimenté
Source : http://www.sundepidf.org/spip.php?article305
Voir aussi : http://www.rue89.com/2011/10/05/education-nationale-le-vote-electronique-rime-avec-panique-224808
et http://www.fsu.fr/Fonction-publique-Vote
Ce qu'il y a de bien avec Sarko Chatel etc., c'est qu'ils sont fidèles en amitié !
Voir aussi : http://www.rue89.com/2011/10/05/education-nationale-le-vote-electronique-rime-avec-panique-224808
et http://www.fsu.fr/Fonction-publique-Vote
Les élections professionnelles se sont déroulées pour l’Éducation nationale du 13 au 20 octobre 2011 ; Sud Éducation obtient un siège en Comité technique ministériel. Mais le fait marquant est l’énorme baisse de la participation qui passe de 60% en 2008 à moins de 40% en 2011 ! Il faut dire que les électeurs de l’Éducation nationale inauguraient le vote électronique.
Les conditions d’organisation se sont révélées désastreuses ; pour Sud Éducation « Complexité des opérations de vote, difficulté à récupérer son matériel de vote, difficulté d’accès aux plateformes sur internet, incompatibilités et dysfonctionnements informatiques : voter s’est révélé un vrai parcours du combattant, aggravé par l’individualisation, voire l’isolement de l’acte de vote ! [1] De plus, Sud Éducation dénonce le fait de n’avoir eu « aucun moyen de contrôle réel sur l’authenticité du vote ».
Pourtant le ministère n’a pas lésiné sur les moyens financiers : 4,5 millions d’euros passés avec la société de service informatique Atos, soit un coût de 5 euros par électeur ! « Précisons qu’Atos est présidé par Thierry Breton, ancien ministre de l’Économie, ancien PDG de Thomson et de France Télécom, plus connu pour ses talents de cost-killing que de prestations informatiques. Y aurait-il un lien avec ce tarif bien au-dessus du marché ? », c’est la question que se pose le Web magazine Basta ! [2] Si vous ne savez pas ce qu’est un cost-killer, lisez l’article « Après France Télécom, Thierry Breton passe Atos à l’essoreuse » sur Rue89 ; édifiant !
Sud éducation :
Dépose un recours administratif en contestation des résultats auprès du ministre de l’EN .
Soutient les collègues qui, ayant été privé-e-s de leur droit d’élire leurs représentants, déposent des recours.
Demande que les millions d’euros extorqués par le prestataire privé soient reversés au service public.
Exige le maintien des droits syndicaux pour toutes les organisations syndicales, y compris celles qui n’ont pas présenté de listes aux élections professionnelles. [3]
Par ailleurs, la FSU demande au ministre de l’Éducation nationale la création d’une commission d’enquête administrative sur les dysfonctionnements constatés lors des élections.
Le Snalc « privé de la plus grande partie de ses moyens de fonctionnement » puisque absent du CTM ministériel, annonce qu’il déposera un recours pour contester le scrutin du CTM.
Les conditions d’organisation se sont révélées désastreuses ; pour Sud Éducation « Complexité des opérations de vote, difficulté à récupérer son matériel de vote, difficulté d’accès aux plateformes sur internet, incompatibilités et dysfonctionnements informatiques : voter s’est révélé un vrai parcours du combattant, aggravé par l’individualisation, voire l’isolement de l’acte de vote ! [1] De plus, Sud Éducation dénonce le fait de n’avoir eu « aucun moyen de contrôle réel sur l’authenticité du vote ».
Pourtant le ministère n’a pas lésiné sur les moyens financiers : 4,5 millions d’euros passés avec la société de service informatique Atos, soit un coût de 5 euros par électeur ! « Précisons qu’Atos est présidé par Thierry Breton, ancien ministre de l’Économie, ancien PDG de Thomson et de France Télécom, plus connu pour ses talents de cost-killing que de prestations informatiques. Y aurait-il un lien avec ce tarif bien au-dessus du marché ? », c’est la question que se pose le Web magazine Basta ! [2] Si vous ne savez pas ce qu’est un cost-killer, lisez l’article « Après France Télécom, Thierry Breton passe Atos à l’essoreuse » sur Rue89 ; édifiant !
Sud éducation :
Dépose un recours administratif en contestation des résultats auprès du ministre de l’EN .
Soutient les collègues qui, ayant été privé-e-s de leur droit d’élire leurs représentants, déposent des recours.
Demande que les millions d’euros extorqués par le prestataire privé soient reversés au service public.
Exige le maintien des droits syndicaux pour toutes les organisations syndicales, y compris celles qui n’ont pas présenté de listes aux élections professionnelles. [3]
Par ailleurs, la FSU demande au ministre de l’Éducation nationale la création d’une commission d’enquête administrative sur les dysfonctionnements constatés lors des élections.
Le Snalc « privé de la plus grande partie de ses moyens de fonctionnement » puisque absent du CTM ministériel, annonce qu’il déposera un recours pour contester le scrutin du CTM.
Ce qu'il y a de bien avec Sarko Chatel etc., c'est qu'ils sont fidèles en amitié !
- Jim ThompsonExpert
et qu'ils fédèrent contre eux (de sud au snalc) et à tous les coups le sgen et l'unsa ne soutiendront pas les recours...........
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- DaphnéDemi-dieu
Et en plus il a sous-traité à l'étranger..........
- JohnMédiateur
D'où la chanson bien connue :
Il aime les montants ronds, vive Thierry Breton...
Il aime les montants ronds, vive Thierry Breton...
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