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- NellGuide spirituel
lebrudu84 a écrit:Je comptais prendre Britannicus mais j'en suis empêché (cf. mon post de ce soir), car c'est une pièce qui me fascine -j'espérais fasciner aussi les élèves du coup.
Pour la représentation filmée elle existe, achat de 7 euros:
http://www.cine4me.com/videos/theatre-filme/britannicus/
Merci pour le lien (toujours bon à avoir). Je viens de lire ton fils et, je l'avoue, c'est avec soulagement que j'ai constaté que nous officions loin l'un de l'autre... Bon courage lebru!
Cripure, je suis d'accord mais je pense tout de même que l'idée de la fatalité aide nos chères têtes blondes à asseoir cette idée de tragédie. Au moins dans un 1er temps. Et il peut être de fait intéressant de les emmener vers une lecture d'un texte à seule dimension humaine ensuite pour ouvrir le champ.
- AudreyOracle
Euh...le lien de Lebru, c'est le même que le mien...
Sinon, à te lire Nell, on dirait que le fatum n'est présent que par la malédiction...le fatum, c'est aussi le poids de la responsabilité inextricable, de la naissance, de la nature même des êtres...Britannicus est grandiose justement par la réflexion sur les conflits naissant de ces contraintes ou aspirations qui entrent en collision avec les passions...
Je trouve important de montrer justement que fatum et mythologie/malédiction ne sont pas forcément liés.
Sinon, à te lire Nell, on dirait que le fatum n'est présent que par la malédiction...le fatum, c'est aussi le poids de la responsabilité inextricable, de la naissance, de la nature même des êtres...Britannicus est grandiose justement par la réflexion sur les conflits naissant de ces contraintes ou aspirations qui entrent en collision avec les passions...
Je trouve important de montrer justement que fatum et mythologie/malédiction ne sont pas forcément liés.
- NellGuide spirituel
Audrey a écrit:Euh...le lien de Lebru, c'est le même que le mien...
Sinon, à te lire Nell, on dirait que le fatum n'est présent que par la malédiction...le fatum, c'est aussi le poids de la responsabilité inextricable, de la naissance, de la nature même des êtres...Britannicus est grandiose justement par la réflexion sur les conflits naissant de ces contraintes ou aspirations qui entrent en collision avec les passions...
Je trouve important de montrer justement que fatum et mythologie/malédiction ne sont pas forcément liés.
La responsabilité même de la naissance de Phèdre et sa nature même, c'est aussi le coeur de Phèdre il me semble...
Et je ne vais pas parler du caractère grandiose de Britannicus: si je n'en étais déjà pas convaincue, je ne me serais pas interrogée quant au choix.
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Impose ta chance, sers ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s'habitueront. (R. Char)
- nuagesGrand sage
Et dans une classe de seconde de garçons pas littéraires ? Plutôt Britannicus, non?
- Libé-RationGuide spirituel
Personnellement, j'adore faire Britannicus, et je suis frustrée cette année, car il n'y a que 27 exemplaires et j'ai 31 2nde ! (Et pas moyen de se procurer un bouquin en français ici)
Et quand je n'ai pas de DVD sous la main (encore le cas ici...), je leur interprète la scène... :lol: Et franchement, sur Britannicus, je me fais plaisir ; les grandes tirades entre Agrippine et Néron lors de leur confrontation, sérieusement, c'est grandiose !
Et j'adore leur raconter l'Histoire de Néron, les tentatives de meurtre de sa mère, et son suicide devant Rome en flamme...Eux aussi !
Phèdre, on l'a, mais ça ne me tente paaaaaaaaaaaaas ! Et je n'ai pas compté mais je crois qu'on n'en a pas assez pour la classe.
Bon, du coup, je me rabats sur le Cid... Rien à voir ! Mais la seule autre pièce qu'on ait en série en assez d'exemplaires, c'est Athalie... Et non, non, non, je ne fais pas Athalie avec des Secondes !
Et quand je n'ai pas de DVD sous la main (encore le cas ici...), je leur interprète la scène... :lol: Et franchement, sur Britannicus, je me fais plaisir ; les grandes tirades entre Agrippine et Néron lors de leur confrontation, sérieusement, c'est grandiose !
Et j'adore leur raconter l'Histoire de Néron, les tentatives de meurtre de sa mère, et son suicide devant Rome en flamme...Eux aussi !
Phèdre, on l'a, mais ça ne me tente paaaaaaaaaaaaas ! Et je n'ai pas compté mais je crois qu'on n'en a pas assez pour la classe.
Bon, du coup, je me rabats sur le Cid... Rien à voir ! Mais la seule autre pièce qu'on ait en série en assez d'exemplaires, c'est Athalie... Et non, non, non, je ne fais pas Athalie avec des Secondes !
- lebrudu84Niveau 9
@Audrey, oups désolé javais lu trop rapidement le Fil, je n'avais pas vu que ma proposition était redondante. plates excuses
Athalie? Il ya de grands pervers dans ton établissement! :diable:
Athalie? Il ya de grands pervers dans ton établissement! :diable:
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Bravo, tu as saisi la différence entre l'auxiliaire "être" et l'auxiliaire "avoir"!
- CondorcetOracle
Libellune a écrit:Personnellement, j'adore faire Britannicus, et je suis frustrée cette année, car il n'y a que 27 exemplaires et j'ai 31 2nde ! (Et pas moyen de se procurer un bouquin en français ici)
Et quand je n'ai pas de DVD sous la main (encore le cas ici...), je leur interprète la scène... :lol: Et franchement, sur Britannicus, je me fais plaisir ; les grandes tirades entre Agrippine et Néron lors de leur confrontation, sérieusement, c'est grandiose !
Et j'adore leur raconter l'Histoire de Néron, les tentatives de meurtre de sa mère, et son suicide devant Rome en flamme...Eux aussi !
Phèdre, on l'a, mais ça ne me tente paaaaaaaaaaaaas ! Et je n'ai pas compté mais je crois qu'on n'en a pas assez pour la classe.
Bon, du coup, je me rabats sur le Cid... Rien à voir ! Mais la seule autre pièce qu'on ait en série en assez d'exemplaires, c'est Athalie... Et non, non, non, je ne fais pas Athalie avec des Secondes !
Libellune, je viens dès que possible dans ta classe pour te voir interpréter :
1/ Ruy Blas
2/ Britannicus
3/ Le Cid
- Libé-RationGuide spirituel
Heu, le Cid, je ne l'ai jamais joué (ni fait en classe).
Mais tu paieras moins cher, pour un spectacle de meilleure qualité, dans n'importe quelle salle de spectacle près de chez toi, tu sais ! :lol:
Mais tu paieras moins cher, pour un spectacle de meilleure qualité, dans n'importe quelle salle de spectacle près de chez toi, tu sais ! :lol:
- VioletEmpereur
Audrey a écrit:Euh...le lien de Lebru, c'est le même que le mien...
Sinon, à te lire Nell, on dirait que le fatum n'est présent que par la malédiction...le fatum, c'est aussi le poids de la responsabilité inextricable, de la naissance, de la nature même des êtres...Britannicus est grandiose justement par la réflexion sur les conflits naissant de ces contraintes ou aspirations qui entrent en collision avec les passions...
Je trouve important de montrer justement que fatum et mythologie/malédiction ne sont pas forcément liés.
Très intéressant ce que tu dis... Effectivement, il faudra que j'insiste auprès des élèves là-dessus.
- TriskelNiveau 7
Libellune a écrit:Et quand je n'ai pas de DVD sous la main (encore le cas ici...), je leur interprète la scène... :lol: Et franchement, sur Britannicus, je me fais plaisir ; les grandes tirades entre Agrippine et Néron lors de leur confrontation, sérieusement, c'est grandiose !
AGRIPPINE
Poursuis. Tu n'as pas fait ce pas pour reculer.
Ta main a commencé par le sang de ton frère.
- Spoiler:
- Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère.
Dans le fond de ton coeur, je sais que tu me hais.
Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Mais je veux que ma mort te soit même inutile :
Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille.
Rome, ce ciel, ce jour, que tu reçus de moi,
Partout, à tout moment, m'offriront devant toi.
Tes remords te suivront comme autant de furies.
Tu croiras les calmer par d'autres barbaries.
Ta fureur s'irritant soi-même dans son cours
D'un sang toujours nouveau marquera tous tes jours.
Mais j'espère qu'enfin le ciel las de tes crimes
Ajoutera ta perte à tant d'autres victimes,
Qu'après t'être couvert de leur sang et du mien,
Tu te verras forcé de répandre le tien ;
Et ton nom paraîtra dans la race future
Aux plus cruels tyrans une cruelle injure.
Voilà ce que mon coeur se présage de toi.
Adieu, tu peux sortir.
NERON
Narcisse suivez-moi.
Rien que pour cette tirade, j'échange 5 Phèdre pour un Britannicus.
La pièce était au programme de l'agreg l'an dernier, ce qui a permis une reverdie critique (j'entends par là des bouquins de synthèse certes plus ou moins heureux, mais pratique ).
D'un point de vue scénique, la scène du rideau est super pour faire comprendre aux élèves que non, le théâtre classique n'est pas que paroles, que Racine était bien un homme de théâtre, et que le pouvoir panoptique d'antan n'avait rien à envier à nos caméras de sécurité .
Quant au fatum, il est aussi absent car nous avons affaire à une pièce historique, donc par essence vidée de toute malédiction - mais pas de toute amartia ou tout hybris.
- lebrudu84Niveau 9
cf. toutefois l'imprécation finale d'Agrippine, donnée en spoiler vue par certains critiques comme une véritable malédiction; et mais je crois que ça a été dit plus haut, il y a la "fatalité du sang" énoncée dans l'exposition:
AGRIPPINE
Non, non, mon intérêt ne me rend point injuste :
Il commence, il est vrai par où finit Auguste ;
Mais crains que, l'avenir détruisant le passé,
Il ne finisse ainsi qu'Auguste a commencé.
Il se déguise en vain : je lis sur son visage
Des fiers Domitius l'humeur triste et sauvage ;
Il mêle avec l'orgueil qu'il a pris dans leur sang
La fierté des Nérons qu'il puisa dans mon flanc.
Toujours la tyrannie a d'heureuses prémices :
De Rome, pour un temps, Caius fut les délices ;
Mais, sa feinte bonté se tournant en fureur,
Les délices de Rome en devinrent l'horreur.
AGRIPPINE
Non, non, mon intérêt ne me rend point injuste :
Il commence, il est vrai par où finit Auguste ;
Mais crains que, l'avenir détruisant le passé,
Il ne finisse ainsi qu'Auguste a commencé.
Il se déguise en vain : je lis sur son visage
Des fiers Domitius l'humeur triste et sauvage ;
Il mêle avec l'orgueil qu'il a pris dans leur sang
La fierté des Nérons qu'il puisa dans mon flanc.
Toujours la tyrannie a d'heureuses prémices :
De Rome, pour un temps, Caius fut les délices ;
Mais, sa feinte bonté se tournant en fureur,
Les délices de Rome en devinrent l'horreur.
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- AudreyOracle
Triskel, tu veux dire que pour toi, il n'y a aucun poids du fatum dans Britannicus?
- TriskelNiveau 7
Tout dépend de ce que l'on met derrière fatum : certains y voient le destin tout-puissant contre lequel il n'y a aucun recours, à l'image des tragédies mythiques ; d'autres étendent le terme ( cf. le message d'Audrey).
C'est une question de terminologie, dès lors que les termes sont définis, on peut parler de fatum dans Britannicus.
Personnellement, je limite le fatum au destin, qui pourrit la vie de plusieurs générations (cf. la Thébaïde) Dans Britannicus, Néron doute, hésite, et fait des choix, il commet des erreurs. Je préfère le terme d'hamartia (le h m'était resté dans le clavier) d'ailleurs employé par Aristote, c'est-à-dire la faute, qui implique la notion de responsabilité humaine.
C'est une question de terminologie, dès lors que les termes sont définis, on peut parler de fatum dans Britannicus.
Personnellement, je limite le fatum au destin, qui pourrit la vie de plusieurs générations (cf. la Thébaïde) Dans Britannicus, Néron doute, hésite, et fait des choix, il commet des erreurs. Je préfère le terme d'hamartia (le h m'était resté dans le clavier) d'ailleurs employé par Aristote, c'est-à-dire la faute, qui implique la notion de responsabilité humaine.
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L'espoir des cantharides
Est un bien bel espoir.
- AudreyOracle
Triskel a écrit:Tout dépend de ce que l'on met derrière fatum : certains y voient le destin tout-puissant contre lequel il n'y a aucun recours, à l'image des tragédies mythiques ; d'autres étendent le terme ( cf. le message d'Audrey).
C'est une question de terminologie, dès lors que les termes sont définis, on peut parler de fatum dans Britannicus.
Personnellement, je limite le fatum au destin, qui pourrit la vie de plusieurs générations (cf. la Thébaïde) Dans Britannicus, Néron doute, hésite, et fait des choix, il commet des erreurs. Je préfère le terme d'hamartia (le h m'était resté dans le clavier) d'ailleurs employé par Aristote, c'est-à-dire la faute, qui implique la notion de responsabilité humaine.
Ca tombe bien, Audrey, c'est moi...LOL
- AudreyOracle
Mais la responsabilité du pouvoir transmis par le sang ne relève-t-elle pas du fatum à ton sens, faisant ainsi de Britannicus, héritier de Claude tant par le sang que par la loi, sa victime? S'il n'était pas fils de Claude, jamais il ne se serait trouvé face à Néron... jamais Néron n'aurait eu à le craindre..à le tuer...
Je divague complètement?
Je divague complètement?
- TriskelNiveau 7
Audrey a écrit:
Ca tombe bien, Audrey, c'est moi...LOL
Au temps pour moi, je me suis emmêlé les pinceaux !
Tu ne divagues pas, car ta définition de fatum concorde avec ce qui se passe dans Britannicus.
Pour moi, l'avantage et l'inconvénient du fatum, c'est qu'on peut facilement l'associer au hasard... Du coup, il peut justifier aisément beaucoup de choses. Or, un argument massue donné à des élèves encore faibles leur retombe sur les pieds.
Britannicus n'est pas, même s'il donne son nom à la pièce, le héros de Britannicus. Quand je parlais d'absence de fatum dans l'oeuvre, je pensais avant tout à Néron. Le cas de Britannicus est particulier, en quelque sorte. Si le fatum ne concerne que les héros, peut-on parler de fatum pour le fils de Claude ? De même, il ne lutte pas contre le destin, il l'ignore, à la différence d'Etéocle et Polynice qui essayent de lutter contre leur sang maudit ( terme le plus répété de la pièce d'ailleurs ) — en vain.
En réduisant la définition des termes au plus simple, on réduit aussi les cas problématiques, et je préfère dire qu'il n'y a pas de fatum au sens strict dans Britannicus, que devoir expliquer que le fatum à l'oeuvre dans cette pièce est différent de celui de la Thébaïde.
- lebrudu84Niveau 9
Pour s'y retrouver :lol:
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Bravo, tu as saisi la différence entre l'auxiliaire "être" et l'auxiliaire "avoir"!
- CondorcetOracle
Libellune a écrit:Heu, le Cid, je ne l'ai jamais joué (ni fait en classe).
Mais tu paieras moins cher, pour un spectacle de meilleure qualité, dans n'importe quelle salle de spectacle près de chez toi, tu sais ! :lol:
Je veux voir l'adepte de la mémoire kinesthésique, moi !
- Hermione0908Modérateur
J'ai fait Britannicus en licence, et un vers m'a achevée : "J'entendrai des regards que vous croirez muets"
Je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais ce vers me chamboule.
Je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais ce vers me chamboule.
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Certaines rubriques de Neoprofs.org sont en accès restreint.
Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
- AudreyOracle
Question sérieuse: ne peut-on parler de fatum dans la tragédie que pour le héros? Le héros est-il le seul à en subir le poids?
Et sinon, question HS: Triskel, je vois que tu es agrégatif en rhône-alpes... externe, interne? Lyon, grenoble? LC, LM? on peut en parler en MP si tu veux!
Et sinon, question HS: Triskel, je vois que tu es agrégatif en rhône-alpes... externe, interne? Lyon, grenoble? LC, LM? on peut en parler en MP si tu veux!
- TriskelNiveau 7
Je soulève la question, car je pense qu'elle se pose, et qu'il serait mal venu de la trancher trop vite.
Je pense que dans un premier temps d'analyse, il faut restreindre les concepts au minimum. Cela ne veut pas dire pour autant qu'il faut les maintenir dans cet état.
Dans le cas du fatum, on gagne en clarté à le restreindre au héros — on dégage ainsi les grands courants de la tragédie. Une fois cette distinction faite, on peut élargir l'analyse, et du coup se poser les questions "qui fâchent" : y-a-t-il fatum pour Britannicus ? Si oui, quelle forme prend-il ?
Débat passionnant s'il en est
Je pense que dans un premier temps d'analyse, il faut restreindre les concepts au minimum. Cela ne veut pas dire pour autant qu'il faut les maintenir dans cet état.
Dans le cas du fatum, on gagne en clarté à le restreindre au héros — on dégage ainsi les grands courants de la tragédie. Une fois cette distinction faite, on peut élargir l'analyse, et du coup se poser les questions "qui fâchent" : y-a-t-il fatum pour Britannicus ? Si oui, quelle forme prend-il ?
Débat passionnant s'il en est
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L'espoir des cantharides
Est un bien bel espoir.
- IsiaSage
Triskel a écrit: Débat passionnant s'il en est
je suis bien d'accord.... même s'il confirme ce que je savais déjà : je suis larguéééééééééééééééééééééééééééééééée !
- TriskelNiveau 7
Rooh, mais non !!
Je sors d'un an de travail sur Racine pour l'agreg... d'ici 6 mois j'aurai tout oublié ( et remplacé par des connaissances sur La Fontaine, hihi )
Je sors d'un an de travail sur Racine pour l'agreg... d'ici 6 mois j'aurai tout oublié ( et remplacé par des connaissances sur La Fontaine, hihi )
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L'espoir des cantharides
Est un bien bel espoir.
- AudreyOracle
Oui, pareil que Triskel... on se sent un peu gavé de trucs que, pour ma part, je n'ai toujours pas digérés...et que je suis donc loin de pouvoir remplacer directement par du Rabelais ou du lagarce, hein! LOL (quand je pense qu'en théâtre, on perd Racine pour prendre Lagarce...pfff...-il n'y a aucun jeu de mots, je précise!)
- TriskelNiveau 7
(quoi que dans le théâtre de Lagarce, on voit des personnages prendre racine et d'autre la fuite)
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