- SandyrinaHabitué du forum
ils sont considérés comme appartenant au Moyen-Âge ou à la Renaissance ??? Je m'arrache les cheveux :shock: ... et tant que j'y suis, quels sont selon vous les figures essentielles de la poésie médiévale? Merci :lol:
- DHMonarque
Renaissance , je dirai (à confirmer).
Poésie médiévale, je dirai Rutebeuf, , guillaume de Machaut, charles d'orléans, villon
Poésie médiévale, je dirai Rutebeuf, , guillaume de Machaut, charles d'orléans, villon
- Thalia de GMédiateur
Renaissance tous les deux.
Poésie médiévale, Villon dans un 1er temps, Charles d'Orléans et bien d'autres.
Poésie médiévale, Villon dans un 1er temps, Charles d'Orléans et bien d'autres.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- stenchMonarque
Qu'en est-il de cette idée que Louise Labé n'a jamais existé? L'un-e d'entre vous aurait suivi cette histoire?
- Thalia de GMédiateur
Ah bon ? Un spécialiste va passer par là.stench a écrit:Qu'en est-il de cette idée que Louise Labé n'a jamais existé? L'un-e d'entre vous aurait suivi cette histoire?
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- ysabelDevin
stench a écrit:Qu'en est-il de cette idée que Louise Labé n'a jamais existé? L'un-e d'entre vous aurait suivi cette histoire?
absurde... certains ne supportent pas l'idée qu'une femme puisse avoir écrit ces poèmes.
Marot et Labbé c'est la Renaissance. Labbé, l'école lyonnaise avec Scève.
moyen-âge : Villon Rutebeuf, Charles d'Orléans...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- stenchMonarque
ysabel a écrit:stench a écrit:Qu'en est-il de cette idée que Louise Labé n'a jamais existé? L'un-e d'entre vous aurait suivi cette histoire?
absurde... certains ne supportent pas l'idée qu'une femme puisse avoir écrit ces poèmes.
D'autant plus étrange que, si je ne me trompe, c'est une femme qui a tenu ces propos. Je n'ai pas lu les ouvrages en question, c'est pourquoi je ne peux pas me faire ma propre idée. Tu les as lus?
- ysabelDevin
j'en ai parcouru... rien de bien convaincant. Certains ne savent pas quoi écrire pour faire parler d'eux.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- jehanneNiveau 8
Je n'ai pas d'avis sur la question, mais Mireille Huchon, qui a présenté Louise Labé comme une "créature de papier", dont les oeuvres seraient de la plume d'Olivier de Magny (si je me souviens bien) n'est pas spécialement un auteur à la recherche d'un succès sulfureux. C'est a priori une grammairienne et seizièmiste sérieuse...
- ArmideNeoprof expérimenté
jehanne a écrit:Je n'ai pas d'avis sur la question, mais Mireille Huchon, qui a présenté Louise Labé comme une "créature de papier", dont les oeuvres seraient de la plume d'Olivier de Magny (si je me souviens bien) n'est pas spécialement un auteur à la recherche d'un succès sulfureux. C'est a priori une grammairienne et seizièmiste sérieuse...
effectivement ! et pas seulement a priori, elle l'est bel et bien.
bon, j'avoue, j'ai acheté l'ouvrage en question pour me faire une idée, mais pour l'instant il attend que j'ai le temps pour parcourir ses quelques 200 pages ...
- doctor whoDoyen
Il faut lire ça pour mettre Huchon en perspective :
http://www.siefar.org/docsiefar/file/Martin-Louise-Labe.pdf
http://www.siefar.org/docsiefar/file/Martin-Louise-Labe.pdf
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- invitéeMaNiveau 5
Louise Labé a-t-elle existé, je n'en sais rien, ce qui est sûr, c'est que les poèmes sont bel et bien là, je ne suis pas sûre que cette polémique y change grand-chose...
Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;
J’ai chaud extrême en endurant froidure ;
La vie m’est et trop molle et trop dure ;
J’ai grands ennuis entremêlés de joie.
Tout à coup je ris et je larmoie,
Et en plaisir maint grief tourment j’endure ;
Mon bien s’en va, et à jamais il dure ;
Tout en un coup je sèche et je verdoie.
Ainsi Amour inconstamment me mène ;
Et quand je pense avoir plus de douleur,
Sans y penser je me trouve hors de peine.
Puis quand je crois ma joie être certaine
Et être au haut de mon désiré heur,
Il me remet en mon premier malheur.
Moi quand je lis ça, je suis instantanément amoureuse, que notre chère Louise soit de chair ou de papier... Une chose est sûre, celle ou celui qui a écrit ces vers est bel et bien de chair !
Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;
J’ai chaud extrême en endurant froidure ;
La vie m’est et trop molle et trop dure ;
J’ai grands ennuis entremêlés de joie.
Tout à coup je ris et je larmoie,
Et en plaisir maint grief tourment j’endure ;
Mon bien s’en va, et à jamais il dure ;
Tout en un coup je sèche et je verdoie.
Ainsi Amour inconstamment me mène ;
Et quand je pense avoir plus de douleur,
Sans y penser je me trouve hors de peine.
Puis quand je crois ma joie être certaine
Et être au haut de mon désiré heur,
Il me remet en mon premier malheur.
Moi quand je lis ça, je suis instantanément amoureuse, que notre chère Louise soit de chair ou de papier... Une chose est sûre, celle ou celui qui a écrit ces vers est bel et bien de chair !
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