Page 2 sur 2 • 1, 2
- AzadHabitué du forum
doctor who a écrit:L'enseignant comme nécromancien.
Bien ! Je vais le reprendre à mon cours de rentrée, et à la réunion parents profs... Ce n'est que trop vrai :lol:
- User5899Demi-dieu
Juste deux questions : pourquoi parler de "poussière" ? Et pourquoi vouloir devenir professeur quand, au fond, à vous lire, on sent que ce qui vous intéresse, et c'est bien légitime et sans doute passionnant, c'est être chroniqueur littéraire ?jeunebrunedemo a écrit:Voilà, docteur...
J'ai commencé ma carrière avec les nouveaux programmes de collège de 96 et très franchement , je me suis éclatée en collège. Je voulais enseigner un français carré mais aussi ludique, faire découvrir le plaisir de lire de tout de l'_Odyssée_ aux contemporains, du bonheur aux larmes. ..
Bien loin des sombres œuvres "du patrimoine" de mes années collège (la partie sombre, choisie par des adultes désabusés de 40 à 60 ans) à drame et à malheurs qui s'accablaient sur nos têtes candides et étonnées, mes élèves ont pu lire et analyser du fantastique, du policier, du lyrique et du contemporain, créer avec l'explicatif ludique. Bref, docteur, j'étais fan.
Ensuite, le lycée et le bonheur de faire lire du moderne, de recevoir des auteurs venus parler de leur métier et de leur début (Lire, écrire, publier), emmener nos classes dans les salons littéraires ici et là...Le plaisir de mélanger tous les arts dans un même objectif, l'éloge ou le blâme, l'altérité, etc. ce que d'aucuns appellent "fourre-tout" et que moi j'appelais "libertés".
Là, je me sens à l'étroit...
si c'est un récit,il doit être narratif ou naturaliste. Les écrivains de ces mouvements eux-mêmes ne se sont-ils pas sentis un peu étriqués en filant un peu plus qui vers le fantastique qui vers le lyrique romantique...Même Zola se laisse séduire au clair-obscur.
Si c'est du théâtre, il doit être classique. De la poésie ? Romantique à Surréaliste (enfin un peu d'imagination, d'émotion, d'envolées).
Pardonnez mon inculture mais je ne vois que très peu d'histoire un peu heureuses ou du moins humanistes dans le mouvement naturaliste ou réaliste. Il y a bien sûr des chefs d’œuvres - je suis fan d'A rebours -mais pas une seconde je ne peux le faire dans une de mes secondes. Si peut-être Au bonheur des dames comblera un peu le vide laisser à la fantaisie, à l'insouciance, à l'imagination....Un peu, pas tant.
A moins bien sûr de voguer vers l'Angleterre ou les Etats-Unis voire l'Amérique du Sud et leurs auteurs un rien baroques par essence qui savent bien que la vraie vie -et donc la vraie leçon de vie - n'est jamais toute noire ni toute blanche mais bien les deux en même temps.
Comment réconcilier nos lycéens avec la lecture et la littérature si c'est pour à nouveau les plonger dans le drame ou la poussière ?
ALors, Docteur, un remède ? Oui, dites moi que je suis inculte et donnez -moi plein d'idées de beaux textes et œuvres intégrales qui me feront aimer ces programmes, parce que là, j'ai peur de m'ennuyer terriblement et mes élèves aussi.
Et je ne suis pas la seule...
Je n'ai aucune raison de penser que vous êtes inculte, mais je m'interroge sur vos a priori. Ce qui paraît en ce moment est sous nos yeux, nous n'avons aucun recul, nous y réagissons par l'émotion, et l'émotion ne se décrète pas : ce qui vous bouleverse peut barber et vice-versa. L'avantage d'oeuvres plus anciennes, outre qu'elles aident à comprendre une évolution (et donc qu'elles peuvent s'enseigner), est qu'elles ont passé la barrière du temps. L'époque classique a vu l'écriture et la représentation de plus de 1200 pièces. Combien ont survécu ? Pourquoi ? Combien des 650 romans de cette rentrée littéraire passeront 6 mois ? 2 ans ? Dix ans ?
Bonne rentrée.
- lebrudu84Niveau 9
Cripure, comme d'hab: +100
_________________
Bravo, tu as saisi la différence entre l'auxiliaire "être" et l'auxiliaire "avoir"!
- cavecattumNeoprof expérimenté
Juste une question: qui a dit que la littérature devait exprimer exclusivement la joie de vivre, l'"humanisme" et la sensualité? On ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments...
Vous êtes presque comme les censeurs qui s'étaient élevés contre Zola justement, lui reprochant exactement la même chose...
Vous êtes presque comme les censeurs qui s'étaient élevés contre Zola justement, lui reprochant exactement la même chose...
- doctor whoDoyen
S'il faut faire dans la sensualité, je propose du Flaubert. Ya pas mieux, dans le genre (Emma léchant le fond de son verre de je ne sais plus quoi : hmmm!!!)
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- jeunebrunedemoNiveau 4
Pour reprendre ce sujet et vos réflexions,( j'esquive très bien les piques saillantes
Il est vrai que parler de "poussière" était excessif. J'en conviens. Quant à faire vivre les textes et les aimer, le problème ne porte pas bien sûr sur mes compétences mais sur les besoins de mes élèves. Et à mon envie/besoin d'y répondre au mieux avec l'aide du Patrimoine littéraire qui est le nôtre.
Je serais la première à vouloir faire _Emma Bovary_ ou _Germinal_ mais...
J'aurais plusieurs idées psycho-pédagogiques à exposer ici face au nouveau programme de 2de, or cela nécessite encore un peu de réflexion et un temps que je dois consacrer à mes prépa pour l'instant.
Merci de votre aide, caustique ou non. A suivre...
Il est vrai que parler de "poussière" était excessif. J'en conviens. Quant à faire vivre les textes et les aimer, le problème ne porte pas bien sûr sur mes compétences mais sur les besoins de mes élèves. Et à mon envie/besoin d'y répondre au mieux avec l'aide du Patrimoine littéraire qui est le nôtre.
Je serais la première à vouloir faire _Emma Bovary_ ou _Germinal_ mais...
J'aurais plusieurs idées psycho-pédagogiques à exposer ici face au nouveau programme de 2de, or cela nécessite encore un peu de réflexion et un temps que je dois consacrer à mes prépa pour l'instant.
Merci de votre aide, caustique ou non. A suivre...
- User5899Demi-dieu
jeunebrunedemo a écrit:Je serais la première à vouloir faire _Emma Bovary_ ou _Germinal_ mais...
- ysabelDevin
jeunebrunedemo a écrit:Pour reprendre ce sujet et vos réflexions,( j'esquive très bien les piques saillantes
Il est vrai que parler de "poussière" était excessif. J'en conviens. Quant à faire vivre les textes et les aimer, le problème ne porte pas bien sûr sur mes compétences mais sur les besoins de mes élèves. Et à mon envie/besoin d'y répondre au mieux avec l'aide du Patrimoine littéraire qui est le nôtre.
Je serais la première à vouloir faire _Emma Bovary_ ou _Germinal_ mais...
J'aurais plusieurs idées psycho-pédagogiques à exposer ici face au nouveau programme de 2de, or cela nécessite encore un peu de réflexion et un temps que je dois consacrer à mes prépa pour l'instant.
Merci de votre aide, caustique ou non. A suivre...
c'est quoi des idées psycho-pédagogiques ?
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- sabethNiveau 6
Quelle vision triste de la littérature! Je suis moi-même passionnée de littérature contemporaine mais plus j'avance (en âge, sans doute) plus je redécouvre les textes de classiques. Leur force? Pouvoir traverser les siècles et, avec un véritable travail de médiation, pouvoir toucher les élèves (certes, pas toujours, certes, c'est parfois difficile). J'estime qu'ils doivent aussi apprendre à cheminer vers les textes.
Un des livres qui a le mieux marché avec mes élèves de 4e difficile l'année dernière (l'une des pires classes du collège, des vrais cas...) est Les Misérables. Ils ont été touché par Jean Valjean et se sont sentis, curieusement, très proches des personnages, très concernés par l'injustice sociale et la pauvreté, eux qui savent en effet ce que cela signifie dans leurs vies. Je n'ai pas regretté d'avoir tenté cette séquence. Alors oui, je suis beaucoup passé par l'image pour aller vers le texte, et j'ai beaucoup insisté sur le contexte historique et culturel, plus que sur les études détaillées de texte. Mais pourquoi les priver d'accès à ces textes? Si le professeur ne le fait pas, qui le fera? Et, pour prendre le contre-pied de l'idée des textes classiques ennuyeux, je peux te dire aussi que les élèves de 5e ont beaucoup ri avec Rabelais.
Ceci dit, je ne te jette pas la pierre, chacun cherche à trouver du sens à ce qu'il fait avec ses propres convictions...et j'ai, pour ma part, quitté le navire (ce qui ne me donne pas - enfin, plus beaucoup - de légitimité pour argumenter). Ceci dit, je trouve qu'on a tant tendance à vouloir adhérer au présent, coller aux "besoins" de nos élèves, vivre dans un "présentisme" exacerbé...que remettre un peu de conscience historique dans tout ça, avec de vieux poussiéreux d'écrivains, me paraît être un programme plus que nécessaire.
Un des livres qui a le mieux marché avec mes élèves de 4e difficile l'année dernière (l'une des pires classes du collège, des vrais cas...) est Les Misérables. Ils ont été touché par Jean Valjean et se sont sentis, curieusement, très proches des personnages, très concernés par l'injustice sociale et la pauvreté, eux qui savent en effet ce que cela signifie dans leurs vies. Je n'ai pas regretté d'avoir tenté cette séquence. Alors oui, je suis beaucoup passé par l'image pour aller vers le texte, et j'ai beaucoup insisté sur le contexte historique et culturel, plus que sur les études détaillées de texte. Mais pourquoi les priver d'accès à ces textes? Si le professeur ne le fait pas, qui le fera? Et, pour prendre le contre-pied de l'idée des textes classiques ennuyeux, je peux te dire aussi que les élèves de 5e ont beaucoup ri avec Rabelais.
Ceci dit, je ne te jette pas la pierre, chacun cherche à trouver du sens à ce qu'il fait avec ses propres convictions...et j'ai, pour ma part, quitté le navire (ce qui ne me donne pas - enfin, plus beaucoup - de légitimité pour argumenter). Ceci dit, je trouve qu'on a tant tendance à vouloir adhérer au présent, coller aux "besoins" de nos élèves, vivre dans un "présentisme" exacerbé...que remettre un peu de conscience historique dans tout ça, avec de vieux poussiéreux d'écrivains, me paraît être un programme plus que nécessaire.
- jeunebrunedemoNiveau 4
1) Remettons le débat là où il est : le naturalisme et le réalisme et pas autre chose.
Ne me faite pas l'apologie de Rabelais ou même de Balzac et Huysmans, je les adore. Ne me parlez pas de leur valeur mais dites-moi plutôt ce que vous trouvez de si bien dans ces nouveaux programmes ?
2) IL NE s'agit PAS de discuter de mes goûts littéraires mais bien d'un point de vue pédagogique et didactique :
nous avons en face de nous, certains ou beaucoup, des élèves, de jeunes humains qui sortent à peine de l'enfance ou qui y sont encore.
Je n'enseigne pas la littérature seulement parce que c'est beau, je veux l'enseigner aussi parce qu'elle dit quelque chose sur la vie, l'amour, la mort...ces grandes énigmes qui fondent le concept d'humanité et d'Art.
Or, comment faire lire des œuvres si lucides voire désabusées sur l'Amour, la Vie à des gamins qui :
1) ne connaissent même pas encore la réalité de ces sentiments - Je ne doute pas que la lecture de _Mme Bovary_ est pleine d'enseignement sur l'amour et ses illusions, y compris, modernes. Et je suis toute prête à l'étudier en cours mais au fond, est-ce bien légitime de leur casser le rêve sous le pied ?
Certains trouveront cela peut-être naïf ou chochote mais peu importe, mettre du sens dans ce que nous faisons est aussi important que le reste.
2) qui ont peur de la vie avant même qu'on la leur ait fait apprécier ?
Les ados ricanent mais très peu ont la fougue de découverte et d'explorations que nous avions à leur âge. En tout cas, dans mes classes...Et c'est le cas depuis quelques années déjà. Ils ironisent sur tout mais pour mieux masquer leur peur de ne pas être à la hauteur de cette quête de l'autonomie/du travail qu'ils entendent partout (télé, famille, école) si difficile à conquérir.
A noter aussi, que par le jeu des options de mon lycée, nous n'avons 98% de garçons, donc des classes entières de mecs qui ont peur d'explorer leur intériorité et leur humanité.
Et je me demande quel texte du naturalisme ou du réalisme peut bien correspondre à cette urgence pyschopédagogique-là...
Alors même que pour beaucoup l'acte de lire est en lui-même angoissant ou dévalorisé, en tout cas, pas usuel.
La chose reste encore confuse dans mon esprit mais j'espère avoir été claire.
Quant à la conscience historique, les anciens programmes ne l'ont jamais interdites, loin de là et bien heureusement.
Ne me faite pas l'apologie de Rabelais ou même de Balzac et Huysmans, je les adore. Ne me parlez pas de leur valeur mais dites-moi plutôt ce que vous trouvez de si bien dans ces nouveaux programmes ?
2) IL NE s'agit PAS de discuter de mes goûts littéraires mais bien d'un point de vue pédagogique et didactique :
nous avons en face de nous, certains ou beaucoup, des élèves, de jeunes humains qui sortent à peine de l'enfance ou qui y sont encore.
Je n'enseigne pas la littérature seulement parce que c'est beau, je veux l'enseigner aussi parce qu'elle dit quelque chose sur la vie, l'amour, la mort...ces grandes énigmes qui fondent le concept d'humanité et d'Art.
Or, comment faire lire des œuvres si lucides voire désabusées sur l'Amour, la Vie à des gamins qui :
1) ne connaissent même pas encore la réalité de ces sentiments - Je ne doute pas que la lecture de _Mme Bovary_ est pleine d'enseignement sur l'amour et ses illusions, y compris, modernes. Et je suis toute prête à l'étudier en cours mais au fond, est-ce bien légitime de leur casser le rêve sous le pied ?
Certains trouveront cela peut-être naïf ou chochote mais peu importe, mettre du sens dans ce que nous faisons est aussi important que le reste.
2) qui ont peur de la vie avant même qu'on la leur ait fait apprécier ?
Les ados ricanent mais très peu ont la fougue de découverte et d'explorations que nous avions à leur âge. En tout cas, dans mes classes...Et c'est le cas depuis quelques années déjà. Ils ironisent sur tout mais pour mieux masquer leur peur de ne pas être à la hauteur de cette quête de l'autonomie/du travail qu'ils entendent partout (télé, famille, école) si difficile à conquérir.
A noter aussi, que par le jeu des options de mon lycée, nous n'avons 98% de garçons, donc des classes entières de mecs qui ont peur d'explorer leur intériorité et leur humanité.
Et je me demande quel texte du naturalisme ou du réalisme peut bien correspondre à cette urgence pyschopédagogique-là...
Alors même que pour beaucoup l'acte de lire est en lui-même angoissant ou dévalorisé, en tout cas, pas usuel.
La chose reste encore confuse dans mon esprit mais j'espère avoir été claire.
Quant à la conscience historique, les anciens programmes ne l'ont jamais interdites, loin de là et bien heureusement.
- ysabelDevin
jeunebrunedemo a écrit:1) Remettons le débat là où il est : le naturalisme et le réalisme et pas autre chose.
Ne me faite pas l'apologie de Rabelais ou même de Balzac et Huysmans, je les adore. Ne me parlez pas de leur valeur mais dites-moi plutôt ce que vous trouvez de si bien dans ses nouveaux programmes ?
2) IL NE s'agit PAS de discuter de mes goûts littéraires mais bien d'un point de vue pédagogique et didactique :
nous avons en face de nous, certains ou beaucoup, des élèves, de jeunes humains qui sortent à peine de l'enfance ou qui y sont encore.
Je n'enseigne pas la littérature seulement parce que c'est beau, je veux l'enseigner aussi parce qu'elle dit quelque chose sur la vie, l'amour, la mort...ces grandes énigmes qui fondent le concept d'humanité et d'Art.
Or, comment faire lire des œuvres si lucides voire désabusées sur l'Amour, la Vie à des gamins qui 1) ne connaissent même pas encore la réalité de ses sentiments 2) qui ont peur de la vie avant même qu'on la leur ait fait apprécier ?
Les ados ricanent mais très peu ont la fougue de découverte et d'explorations que nous avions à leur âge. En tout cas, dans mes classes...Et c'est le cas depuis quelques années déjà. Ils ironisent sur tout mais pour mieux masquer leur peur de ne pas être à la hauteur de cette quête de l'autonomie/du travail qu'ils entendent partout (télé, famille, école) si difficile à conquérir.
A noter aussi, que par le jeu des options de mon lycée, nous n'avons 98% de garçons, donc des classes entières de mecs qui ont peur d'explorer leur intériorité et leur humanité. Et je me demande quel texte du naturalisme ou du réalisme peut bien correspondre à cette urgence pyschopédagogique-là...
Alors même que pour beaucoup l'acte de lire est en lui-même angoissant ou dévalorisé, en tout cas, pas usuel.
La chose reste encore confuse dans mon esprit mais j'espère avoir été claire.
Quant à la conscience historique, les anciens programmes ne l'ont jamais interdites, loin de là et bien heureusement.
tu fais de la psycho de comptoir. nous ne sommes pas là pour nous occuper de leur état d'âme.
tu devrais changer de métier, non ?urgence pyschopédagogique-
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- jeunebrunedemoNiveau 4
Ca ne s'appelle pas les Humanités pour rien, tu sais
- ysabelDevin
quel rapport entre les humanités et la psycho ?
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- doctor whoDoyen
Psycho-pédagogie : http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychop%C3%A9dagogie
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- InvitéeHrÉrudit
ysabel a écrit:donc des classes entières de mecs qui ont peur d'explorer leur intériorité et leur humanité.
- doctor whoDoyen
Faudrait pas faire croire à jeunebrunedemo qu'on se fiche de la dimension humaine des humanités.
Eh oui, la plupart d'entre nous s'en soucie.
Eh oui, la plupart d'entre nous s'en soucie.
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- ysabelDevin
doctor who a écrit:Psycho-pédagogie : http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychop%C3%A9dagogie
un tissu de conneries
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- doctor whoDoyen
ysabel a écrit:doctor who a écrit:Psycho-pédagogie : http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychop%C3%A9dagogie
un tissu de conneries
Ouh là, comme tu y vas.
En tout cas, je ne savais pas qu'on utilisait encore le mot. Je pensais que la psychopédagogie était morte sous les assauts de la didactique, et ne survivait qu'en cachetonnant dans les sciences de l'éducation.
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- ysabelDevin
doctor who a écrit:ysabel a écrit:doctor who a écrit:Psycho-pédagogie : http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychop%C3%A9dagogie
un tissu de conneries
Ouh là, comme tu y vas.
En tout cas, je ne savais pas qu'on utilisait encore le mot. Je pensais que la psychopédagogie était morte sous les assauts de la didactique, et ne survivait qu'en cachetonnant dans les sciences de l'éducation.
ça me gonfle qu'on balance de la psychologie partout... et j'en ai marre
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- cavecattumNeoprof expérimenté
La psychologie attire beaucoup de neuneus. Moi ça me gonfle. Et la littérature psychologisante encore plus. Mais il se trouve que j'aime beaucoup le pessimisme naturaliste, ceci explique peut-être cela...
- jeunebrunedemoNiveau 4
Je suis super douée en jets d'esquives
Pour les personnes que le sujet intéresse sérieusement, je propose de clore ici et de faire un nouveau post.
Pour les personnes que le sujet intéresse sérieusement, je propose de clore ici et de faire un nouveau post.
Page 2 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum