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- doublecasquetteEnchanteur
roxanne a écrit:de toute façon, je ne le ferai pas, d'une part parce que je n'ai pas les moyens , d'autre part, parce que fille, petite-fille, arrière petite d'instit laïcs , j'ai quand même été élevée dans un certain état d'esprit, vous vous doutez bien..mais bon, ça fait réfléchir .doublecasquette a écrit:Je dois être un peu ringarde sur les bords, mais je n'arrive pas à me contenter de la solution individuelle.
C'est même pire que cela, que des "serviteurs de l'Etat" arrivent à l'envisager me met horriblement mal à l'aise.
Mais j'arrête avant que ce fil ne se mette à déraper comme le précédent. Toutes mes excuses pour le HS.
- IphigénieProphète
Là tu rêves un peu si je peux me permettre: le but c'est de surtout ne jamais arriver dans un "bahut normal": c'est un autre circuit qui s'est créé. Les solutions individuelles, ça fait déjà un bail qu'elles sont d'ores et déjà à l'oeuvre.Dans notre bahut (ex-bourgeoisie provinciale) ça fait belle lurette qu'on ne voit plus venir les très bons élèves: les boîtes privés sélectives (car là aussi il y a deux vitesses) les ont récupérés.C'est ce qu'on a appelé la "démocratisation de l'enseignement".Reine Margot a écrit:roxanne a écrit:Ceci dit, si on a les moyens, il y a des solutions .Cyrano a des amis friqués (elle avocate), leur aîné a deux ans et demi, pas de place à l'école publique ou à 3 ans dans des classes à 30.Ils l'ont inscrit dans une école privée non-catholique, 10 à 15 enfants par groupes, enseignement bilingue, musique, culturel..bon, ça côute cher, mais ils ont le choix ...et si je l'avais , moi ce choix , entre une grosse école de ville où éventuellement on me prendrait mon gosse au milieu de 29 autres, et une petite structure comme celle-là , je ferais quoi, malgré toutes mes convictions ?
mais attention, ces enfants font des tas d'activités culturelles coûteuses qui certes leur ouvrent l'esprit, mais quand ils arrivent dans un bahut normal et qu'on leur demande une vraie méthodologie de travail, là ça coince...les problèmes, ils les auront plus tard.
- roxanneOracle
Mais dans le cas que je citais , le père est un fils d'une bonne famille très bourgeoise et friquée mais il a fait quasiment toute sa scolarité en public (ceet là que Cyrano l'a connu) parce que ses parents y tenaient, ce qui n'a pas empêché qu'après il reprenne la boîte de papa et épouse une fille de son milieu?Lui voulait aussi mettre ses gosses en public, mais pas de place anant l'âge de 3 ou 4 ans , 30 par classe...alors, du coup, vers chez lui , école à petits effectifs, activités de toute sorte, projet éducatif...seulement, après fera-t-il marche(arrière ? pas sûr ..
- Reine MargotDemi-dieu
roxanne a écrit:de toute façon, je ne le ferai pas, d'une part parce que je n'ai pas les moyens , d'autre part, pârce que fille, petite-fille, arrière petite d'instit laïcs , j'ai quand même été élevée dans un certain état d'esprit, vous vous doutez bien..mais bon, ça fait réfléchir .doublecasquette a écrit:Je dois être un peu ringarde sur les bords, mais je n'arrive pas à me contenter de la solution individuelle.
C'est même pire que cela, que des "serviteurs de l'Etat" arrivent à l'envisager me met horriblement mal à l'aise.
Mais j'arrête avant que ce fil ne se mette à déraper comme le précédent. Toutes mes excuses pour le HS.
même chose. Mes enfants iront dans le public, sauf si vraiment c'est le bazar intégral et qu'ils se font racketter à la sortie...
- Reine MargotDemi-dieu
iphigénie a écrit:Là tu rêves un peu si je peux me permettre: le but c'est de surtout ne jamais arriver dans un "bahut normal": c'est un autre circuit qui s'est créé. Les solutions individuelles, ça fait déjà un bail qu'elles sont d'ores et déjà à l'oeuvre.Dans notre bahut (ex-bourgeoisie provinciale) ça fait belle lurette qu'on ne voit plus venir les très bons élèves: les boîtes privés sélectives (car là aussi il y a deux vitesses) les ont récupérés.C'est ce qu'on a appelé la "démocratisation de l'enseignement".Reine Margot a écrit:roxanne a écrit:Ceci dit, si on a les moyens, il y a des solutions .Cyrano a des amis friqués (elle avocate), leur aîné a deux ans et demi, pas de place à l'école publique ou à 3 ans dans des classes à 30.Ils l'ont inscrit dans une école privée non-catholique, 10 à 15 enfants par groupes, enseignement bilingue, musique, culturel..bon, ça côute cher, mais ils ont le choix ...et si je l'avais , moi ce choix , entre une grosse école de ville où éventuellement on me prendrait mon gosse au milieu de 29 autres, et une petite structure comme celle-là , je ferais quoi, malgré toutes mes convictions ?
mais attention, ces enfants font des tas d'activités culturelles coûteuses qui certes leur ouvrent l'esprit, mais quand ils arrivent dans un bahut normal et qu'on leur demande une vraie méthodologie de travail, là ça coince...les problèmes, ils les auront plus tard.
je connais aussi pas mal de gens qui mettent leurs enfants dans ces bôites uniquement qqes années car ils n'ont pas le moyens énormes et qu'ils veulent quand même une bonne scolarité pour leurs enfants, pendant qques années stratégiques...et même dans les bahuts publics il reste des endroits très courus...
Ma cousine qui a 3 enfants en Bretagne les a mis à l'école publique, et les pires élèves sont dans le privé! comme quoi le privé n'est pas une garantie de réussite..
- frankensteinVénérable
Mais le rapport public/privé en Bretagne est particulier. Il y a des régions ou des dpts dont la situation est différente de la moyenne française. Politiquement, c'est la même chose, et pour le FN c'est flagrant.Ma cousine qui a 3 enfants en Bretagne les a mis à l'école publique, et les pires élèves sont dans le privé! comme quoi le privé n'est pas une garantie de réussite..
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
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